FB - Sometimes the heart sees what is invisible to the eye - Stiles



 
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FB - Sometimes the heart sees what is invisible to the eye - Stiles
Invité
Anonymous
Mar 21 Juil - 11:44
Je préfère te laisser partir...
Stiles & Malia
Il est parfoit plus aisé de laisser partir l'être aimé que de le voir souffrir en silence... et de souffrir avec lui.

Je l'avais fais. Oui je ne sais pas comment j'avais réussi à faire un truc pareil. Comment avais-je pu être aussi aveugle en faite... Je ne le savais pas du tout. Sans doute parce que j'étais trop stupide, car j'avais vécu une grande partie de ma vie dans une forêt de façon primitive. Et sans doute aussi car j'étais trop amoureuse pour ne pas voir que tu avais toujours eu un coup de cœur pour Lydia. Franchement, je m'en voulais de t'avoir envoyé paître hier, mais fallait que cela sorte. J'étais franche et je ne voulais pas d'une relation qui se transforme en triangle amoureux comme dans ces films que j'avais vu avec Kira. Pis j'avais appris qu'avant nous deux que t'étais genre amoureux d'elle depuis la maternelle ou la primaire, un truc comme ça. J'avais aucune chance de rivaliser. Au pire, la rouquine aurait gardé l'un de ses compagnons-là, cela aurait été plus simple...

Je n'avais pas vraiment bien dormi cette nuit, déjà car je faisais des cauchemars quand j'étais pas avec toi pour dormir et surtout que j'étais super énervée. Oui, y avait de quoi quand même non ? Bien que c'était de ma faute... Enfin, c'est moi qui t'avais balancé comme ça en pleine poire : « J'te quitte Stiles, c'est mieux comme ça. » Sans aucune raison valable en plus, mais je me ferrais une joie de te le faire, ce fameux topo que tu voulais connaître vu le harcèlement que tu m'avais fait hier par appel et sms. J'avais vraiment pas envie d'aller au lycée, en plus un contrôle me tombait sur le bout du nez, j'avais rien révisé c'était la panade. Sans doute parce que j'étais trop stupide, car j'avais vécu une grande partie de ma vie dans une forêt de façon primitive. Ou bien d'un quelconque problème qu'on avait déjà affronté. Quand on y repense on en avait vécu des vertes et des pas murs...

Je m'étais donc levé du mauvais pied, mon père du moins adoptif maintenant que j'étais au courant, m'avais demandé ce qui se passait. Bien sûr,je n'avais pas eu vraiment besoin de dire quoique ce soit, qu'il avait déjà parfaitement compris que le problème qui m'incombait avait un rapport envers toi.
« S'il te fait souffrir, je peux toujours aller le voir et.. » Commence-t-il à dire.
« Arrête, tu ne vas pas sortir ton fusil à chaque opportunité quand même » Grommelais-je un peu amusé quand même de le voir aussi protecteur avec moi. Mais c'était quand même sympa de sa part, il tenait à moi et me le montrait à sa façon. Je l'embrasse brièvement avant donc de prendre un rapide toast et de le fourrer dans ma bouche avant donc de le suivre vers la voiture pour aller au lycée. Je ne savais pas comment j'allais faire aujourd'hui, cela n'allait pas être cool de devoir te donner mes raisons mais il le fallait de toute façon. Sur le chemin, je rallume mon téléphone en voyant je ne sais combien d'appels manqués et de SMS, que je ne prends même pas peine de lire car je savais que t'allais m'attendre de pied ferme demain. Et j'avais encore eu de la chance, t'avais pas déboulé chez moi en pleine nuit pour des explications.

Je me dirige donc vers les portes du lycée, mon sac sur l'épaule avec une fiche de révision entre les doigts, marchant sans trop faire gaffe. Je devais au moins réviser un minimum et je savais que j'allais jamais réussir à faire quoique ce soit de ma vie si je ne réussissais pas les examens. Ma bien vite mon front heurte quelqu'un et me fais lever le nez.. Sur ta personne. Ton air est assez grave et surtout pas en forme, t'avais pas du dormir de la nuit aussi. Alors que tu ouvres la bouche pour me demander sans aucune doute une explication, je rétorque :
« On parlera plus tard, j'dois réviser sinon j'vais avoir des problèmes encore. »


© Gasmask
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Mieczyslaw Stilinski
Mieczyslaw Stilinski
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Jeu 30 Juil - 21:09
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— Stiles & Malia
Je n’avais pas dormi de la nuit.  Je ne comprenais pas du tout ce qui se passait. Est-ce que j’étais encore dans un cauchemar? Mais qu’est-ce qui lui avait pris, pourquoi soudainement, elle ne voulait plus de moi? Est-ce que la révélation de ses origines l’avait troublée à ce point ? J’avais été me garer tout prêt de la maison des Tate et j’avais passé la nuit à me demander si je devais risquer de me faire tirer dessus par le père de Malia simplement pour comprendre la situation. Je m’étais endormi en fixant la fenêtre de la chambre de Malia et j’avais rêvé à Eichen house – endroit qui était définitivement maudit. Probablement, que le choc de cette rupture soudaine de la part de Malia m’avait fait penser à… m’enfin ça n’avait pas vraiment d’importance. Je me réveillai en sursaut après à peine une heure de sommeil et réalisant que j’allais me faire prendre si je restais devant la maison des Tate. Je démarrai ma voiture et quitta rapidement les lieux, une fois chez moi, je me glissai dans ma chambre par la fenêtre et me retrouva sous les couvertures en un instant et fixa mon mur. Encore une fois, il n’y avait pratiquement que du rouge et j’étais inutile une fois de plus. Inutile pour Malia, inutile pour Scott, tout simplement inutile. C’était probablement pour ça qu’elle m’avait laissé, elle voyait bien qu’elle n’irait jamais nulle part si elle m’avait dans sa vie. Soudainement mon réveil matin sonna et je réalisai que je m’étais une fois de plus endormi en pensant à ce que j’avais fait pour éloigner Malia. Mon père ouvrit la porte de ma chambre, comme s’il voulait me signaler que je n’avais pas le choix et que je devais me rendre au lycée. Évidemment que j’allais m’y rendre, je voulais des réponses à mes questions et si Malia n’y était pas – je profiterais de ma période libre pour aller la confronter.

J’enfilai une chemise à carreaux et ne prenant pas la peine de déjeuner – je n’avais pas vraiment faim après tout. Mon jeep démarra au premier essai et je pris la direction de l’école un café à la main. Une fois dans le stationnement du lycée, je ne regardai même pas pour voir si Scott était arrivé, je n’avais pas vraiment envie qu’il renifle mon anxiété et me demande ce qui n’allait pas. J’avais à peine fait trois pas dans le corridor que Malia me frappa de plein fouet. Je n’avais pas besoin de baisser les yeux pour savoir qu’il s’agissait d’elle, j’étais désormais plutôt habitué à son odeur et j’avais dû m’empêcher de refermer mes bras sur elle pour l’enlacer.  « On parlera plus tard, j'dois réviser sinon j'vais avoir des problèmes encore. »  Je la regardais, la bouche grande ouverte. C’était définitif, je n’avais pas halluciné notre conversation du soir précédent… Je sentis mon estomac se nouer une fois de plus, j’aurais dû rester coucher ce matin-là. Je la fixai, elle semblait motivée à ne pas me parler pour l’instant et moi, pour une fois dans ma vie, j’étais sans mots.

Je ne savais pas quoi faire de mes mains. Un instant je voulais la prendre par les épaules pour la raisonner et l’autre instant je voulais bien l’égorger. Mais qu’est-ce qu’elle me faisait cette fille, elle me rendait fou – et honnêtement, je ne voyais pas ça comme un point négatif à notre relation. Elle voulait étudier ? Je ne l’empêcherais certainement pas de le faire, elle avait travaillé si fort pour en arriver là où elle était que j’étais prêt à passer une journée avec le cœur complètement détruit pour qu’elle puisse avoir un avenir. « Comme tu veux… » J’haussai les épaules, extrêmement déçu de la tournure des évènements, tellement démolis que j’avais envie de frapper quelque chose. J’avais envie de lui hurler que je l’aimais et qu’elle faisait erreur, que je m’en voulais de lui avoir caché qui était son père biologique, mais à quoi bon. Malia ne voulait pas parler et aucun mot ne voulait sortir de ma bouche…

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Mieczyslaw Stilinski
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Mar 4 Aoû - 18:52
Je préfère te laisser partir...
Stiles & Malia
Il est parfoit plus aisé de laisser partir l'être aimé que de le voir souffrir en silence... et de souffrir avec lui.

Le pire, dans tout ça, c'est que je n'avais même pas senti ton odeur, tant cette histoire m'avais retourné l'esprit. Franchement, moi, la coyote-garou...Pas capable de sentir l'odeur de son mec qui était dans la voiture dehors vraiment...Cela m'aurais vraiment mis mal de le savoir et de ne pas m'en être rendue compte, surtout te connaissant. Mais bon, c'était mieux que je ne m'en sois pas forcément rendu compte car j'aurais passé une mauvaise nuit, j'aurais été assez en colère et au bout d'un moment, la confrontation aurait eu lieu car j'aurais pris pitié ou autre que je serais venue te sortir de la voiture par la peau des fesses. Mais bref.
Je ne pensais pas faire une erreur en faisant ce que je faisais, c'est-à-dire décider de mettre un terme à tout ça. Certes, je t'aimais mais genre énormément. Normal, t'étais quand même une personne super importante à mes yeux et te voir partir me ferrais extrêmement chier, je l'avouais. Mais de savoir et d'avoir entendu ô combien tu avais fabulé Lydia par le passé mais surtout que je remarquais encore une grosse complicité entre vous, cela me rendais jalouse et j'étais souvent pas sympa quand j'étais jalouse. Vous étiez mes amis, tout deux. Toi plus qu'elle c'est évident mais voilà...Dans le principe c'était ça.

Preuve encore une fois de mon étourderie, c'est que je n'avais même pas eu le temps de t'esquiver dans le hall du lycée. Stupide mais bien réel. Il faut dire que ce contrôle comptait pour mon entrée à la faculté et déjà vue le retard que j'avais vis-à-vis de mon passif, je ne savais pas comment faire encore pour l'heure, si j'allais pouvoir réussir à resté au même niveau que vous.. Mais bon, je faisais le maximum te nous verrions si cela passait. Je voyais bien que cela allait pas, que t'étais énervé et je le comprenais. Je souffle légèrement en restant calme, t'offrant un bref acquiescement de tête avant donc de retrouver les autres en restant un peu à distance bien que je n'eusse pas besoin de grand chose pour puisque j'étais souvent à l'écart, quoiqu'on dise, quoiqu'on fasse. Je lisais donc mes cours en restant plaqué sur les casiers en écoutant vaguement les conversations de Scott et de Kira. La sonnerie retentit annonçant le calvaire de ma journée. Je gronde un peu en marchant d'un air désemparé en classe, pour passer ce contrôle.

La fin de la matinée sonna. Je me laisse tomber sur la table en soufflant longuement, secouant légèrement la main d'avoir écrit aussi rapidement car j'avais eu des trous de mémoire atroces. Ta présence dans la salle et surtout à côté de moi ne m'aidais pas du tout, mais alors vraiment pas. J'entendais en plus ton cœur battre vite, signe de ta nervosité et de ton mal. Je te connaissais par cœur. Je range donc mes affaires, me doutant que fallait qu'on parle, maintenant qu'on avait fini le contrôle. Je me tourne alors vers toi, voyant que tu me regardais :

« On sort du bahut c'est mieux. » Disais-je simplement en te faisant comprendre qu'on n'allait pas rester avec les autres car cela les regardait pas et surtout que la concernée était dans la bande. Je marche donc à tes côtés sans pipée mot jusqu'au parking vers ta voiture.Par automatisme, je grimpe dedans à la place passagère, avant de souffler.
« J'suis pas douée pour tout ce qui est relationnel, tu le sais mieux que quiconque. Donc j'vais être clair. Je sais que tu ressens des choses pour Lydia et j'ai pas envie d'être au milieu. Voilà. »



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Mieczyslaw Stilinski
Mieczyslaw Stilinski
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Ven 21 Aoû - 10:29
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— Stiles & Malia
Je la regardais s’éloigner, motivée à me quitter une fois de plus sans explications. Moi qui croyais la connaître par cœur, j’avais définitivement tort. Je ne comprenais pas du tout son comportement – en un seul instant, tout avait changé et mon monde s’était effondré. Scott arriva derrière moi et j’affichai un sourire, à quoi bon le déranger avec mes problèmes, il avait des choses plus importantes que ça à gérer. Il me demandait si j’allais bien, mon cœur devait trahir mon sourire. « Ouais, tu sais le stress de l’examen…. »  Examen qui ne me stressais pas du tout, examen que je devrais faire dans la même pièce que Malia, examen qui était bien loin d’être sur ma liste de priorité pour l’instant. Il me prit par les épaules affirmant que je pouvais le réussir les yeux fermés et je rétorquai que la seule personne qui pouvait le réussir les yeux fermés étaient Lydia – J’entrai dans la pièce et m’assis pas très loin de Malia, comme à mon habitude pour ne pas attirer trop l’attention et lorsque l’enseignant déposa le contrôle sur mon bureau, je le fixai, sans prendre mon crayon et mon esprit s’envola vers la soirée précédente… Je tentais de comprendre ce qui s’était passé, ce que j’avais dit qui aurait pu la mettre dans un tel étal, j’entendis à peine le son de la cloche lorsque je réalisai que je n’avais qu’indiqué mon nom sur la feuille – je devrais discuter avec l’enseignant, je trouverais bien une excuse. Je levai les yeux et réalisa que Malia était déjà partie, soupirant, je retrouvais les autres à notre table habituelle et j’étais à peine assis lorsque Malia m’attira plus loin. Enfin, j’allais avoir des explications, mais en même temps, je n’étais pas certain dans vouloir… « J'suis pas douée pour tout ce qui est relationnel, tu le sais mieux que quiconque. Donc j'vais être clair. Je sais que tu ressens des choses pour Lydia et j'ai pas envie d'être au milieu. Voilà

Pour la deuxième fois aujourd’hui, j’étais sans voix. Lydia? C’était la raison? Je n’avais pas pensé à Lydia de cette façon depuis le Nogitsune. Mais ou est-ce que Malia avait pu voir que j’étais amoureux de Lyds ? Oui, j’avais déjà ressenti ce genre de sentiments pour elle et honnêtement, j’allais toujours vouloir prendre soin d’elle et la protéger – mais un peu plus dans l’esprit qu’elle est l’une de mes meilleures amies et pas pour autre chose. « Malia, c’est ridicule et tu le sais très bien. C’est toi que j’aime. C’est toi que je veux voir en dernier le soir et la première personne que je veux voir en ouvrant les yeux le matin. » Je passai une fois de plus ma main nerveusement dans mes cheveux. « Je ne vais pas te mentir et te dire que je n’ai jamais vu Lydia de cette façon, mais cela fait une éternité que je ne ressens plus ça pour elle. » Je la fixai, elle semblait déterminée à ne pas changer d’idée et j’en avais le cœur brisé. Je sentais ma respiration devenir de moins en moins égale. J’étais en train de perdre celle que j’aime et j’avais l’impression que je ne pouvais rien y faire. Tout ce que je pouvais faire c’était d’essayer de me calmer, je ne voulais pas faire une crise d’angoisse devant tout le monde, ça serait trop humiliant. Sans réfléchir, je lui pris les mains «  Malia. C’est toi que j’aime. Ne fais pas ça… »


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Mieczyslaw Stilinski
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Dim 23 Aoû - 11:53
Je préfère te laisser partir...
Stiles & Malia
Il est parfoit plus aisé de laisser partir l'être aimé que de le voir souffrir en silence... et de souffrir avec lui.

La situation devenait assez pénible à supporter, car je m'étais parfaitement attendu à ce que tu fasses tout pour me prouver le contraire mais je voyais bien que quelque chose se faisait, ou du moins, que quelque chose ne c'était pas défait. Je me sentais franchement mise à l'écart, j'étais pas super à ma place avec vous. Vous aviez déjà un lien fort toi et Lydia, tu la comprenais sans doute plus que tu ne me comprenais moi. Bref, dans tous les cas, toute la situation me mettait pas à l'aise et surtout depuis que j'avais entendu tout ce qu'il y avait à entendre. Je détestais partager, j'avais horreur de l'échec et pour moi, c'était un échec. Je n'arrivais pas à te faire complètement oublié Lydia et j'en avais parfaitement la preuve. J'écoute tes paroles sans t'interrompre, étant un peu surprise que tu me prennes les mains de la sorte mais je ne bouge pas d'un poils. Je finis par lancer d'un ton presque ferme :
« Et quand tu dors et que je t'entends l'appeler, tu crois que c'est ça la considérée comme une amie ? »

Oui, c'est sûr que là, je n'y étais pas allé de mains mortes. Ton subconscient te disait clairement des choses sur Lydia, j'étais certaine que tu ressentais encore quelque chose, que si elle t'aguichait un peu, que si elle t'embrassait, t'allais pas refuser. Un amour si durable que le tien envers elle, c'était presque certain que tu n'allais pas l'oublier de si tôt. Je me sens cependant franchement mal de ce que tu me dis, limite à faire une déclaration d'amour, chose que tu ne faisais pas forcément de base. Je voyais bien que tu tenais à moi, je serais totalement stupide si je disais que je ne le voyais pas.

« Je sais, moi aussi je t'aime. Mais tout ça...J'arrive pas à gérer, j'aime pas partager et je ne supporte pas d'avoir appris un truc comme ça. Vaut mieux qu'on fasse une pause un truc comme ça, j'sais pas... » Soufflais-je en essayant de garder mon sang-froid, car je ne voulais pas te faire du mal même si on souffrait autant l'un que l'autre. Je retire alors mes mains des tiennes, voyant qu'au fur et à mesure de mes paroles, tu te décomposais. Je m'assieds donc sur un bord de muret, prenant mon sandwich pour quand même manger, ne sachant pas trop ce qui se passerait mais bon.



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Mieczyslaw Stilinski
Mieczyslaw Stilinski
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Mar 15 Sep - 20:13
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— Stiles & Malia
« Et quand tu dors et que je t'entends l'appeler, tu crois que c'est ça la considérée comme une amie ? » On en était vraiment rendu là? Elle me disait des trucs que je ne pouvais pas vérifier moi-même, en fait je pourrais me filmer toute la nuit et j’étais persuadé que je ne m’entendrais jamais prononcer le prénom de Lydia. Malia semblait avoir pris sa décision et s’être armée de plusieurs points pour la justifier. « Quand je dors?... » j’avais la bouche grande ouverte. Vraiment, ça m’avait achevé, j’allais me retrouver seul une fois de plus. Entouré de mes amis, mais seul tout autant. Seul à ne rien avoir de particulier, seul à veiller à ce que tout le monde soit en sécurité. Seul la nuit sans l’odeur de son parfum pour m’aider à faire fuir les cauchemars. Je jouais avec mon téléphone, le faisant passer d’une main à l’autre, car si je ne faisais rien, je crois que j’aurais pu exploser.

Elle me dit finalement qu’elle m’aimait et je sentis mon cœur, l’instant d’une seconde qui recommençait à battre normalement pour ensuite reprendre un rythme de panique. « Partage? Mais de quoi tu parles Malia?. Je suis à 100 pour cent à toi et uniquement à toi. » Si seulement je pouvais démarrer mon jeep et quitter le lycée pour la journée. Je commençais à remarquer que mon manque de sommeil ne me donnait pas la plus claire des visions de la situation. Je ne pouvais plus la regarder. Elle ne comprenait probablement pas à quel point j’avais le cœur brisé, elle n’avait après tout jamais eu à plaquer quelqu’un, ni même été plaquée. C’est à ce moment que je me surpris à lui lancé un truc que je regrettai presqu’aussitôt. « De toute manière, je sais bien que je ne pourrai rien dire pour te faire changer d’idée….T’es revenue humaine, t’as fait tes premières expériences et tu t’es lassé. C’est pas compliqué. J’étais l’option facile et maintenant que t’as plus besoin je suis ne plus utile. » Je sortis de mon jeep, frappant violemment la porte qui ne se ferma pas du premier coup, alors je la fermai une fois de plus, mais cette fois à l’aide de mon pied.. Je ne voulais pas vraiment faire de scène, mais je crois que j’avais entendu mon cœur se briser en mille morceaux. C’était clair, je devais me faire à l’idée. C’était fini et j’étais voué à n’être que Stiles, l’humain inutile de la bande.



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