[+18] And last night you were in my room + Alejandra



 
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[+18] And last night you were in my room + Alejandra
Invité
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Sam 18 Fév - 14:32
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room

Tu as entendu dire qu'il y avait une sacrée soirée en préparation, au Triskellion. Comme tu avais bouclé toutes tes affaires, tu t'es dit que tu passerais bien y faire un tour. Enfin, ça, c'était avant l'appel qui a ruiné ta nuit. Une jeune femme, seule, et riche aussi, appelait pour lui demander de venir enquêter sur un cambriolage. Apparemment, le voleur avait prit quelque chose de précieux. De sensible. Quelque chose que la jeune femme ne voulait pas qu'on apprenne par les médias. Que la jeune femme voulait garder secret, y compris pour ses proches.

Même si le MO employé, décrit par la victime, semblait désigner ton cambrioleur invisible, tu as tenu à te rendre sur place. Le quartier était huppé, et tranquille. Tu avais alors garé ta voiture dans l'allée, avant qu'une jeune femme sorte de la maison en t'indiquant de passer derrière la maison. Elle ne voulait pas que les voisins sachent qu'elle faisait appel à un détective. Elle voulait garder sa mésaventure aussi secrète que possible.

Tu as passé presque deux heures là-bas, à arpenter la propriété, relevant des indices, consolidant ton impression. C'était bien ton insaisissable cambrioleur qui était passé par ici, tu en étais presque sûre. Disons, à 95%. Tu ne trouvais, de ce fait, pas grand-chose. Alors tu as commencé à interroger la jeune femme. Mais elle refusait obstinément de te dire ce qui avait été dérobé. Une heure durant, tu avais persévéré, sans rien obtenir de plus que ce que tu avais pu récolter jusqu'ici : C'est-à-dire pas grand chose. Presque rien. Tu savais juste par où le cambrioleur était entré, par où il était ressortit, et quelle pièce il avait visité. Les caméras de surveillances de l'extérieur ne montraient rien d'utile ou d'exploitable. Et la propriétaire était muette comme une tombe concernant son butin.

Super soirée. Tu n'as pas pris de gants, quand tu as livré tes premières conclusions. Tu pouvais, certes, continuer l'enquête, mais tu doutais de découvrir quoi que ce soit d'autres. Tu lui as parlé de ce cambrioleur que tu ne parvenais jamais à saisir, jamais à suivre ou à trouver. Tu lui as dis que, si elle ne disait pas ce qu'il avait dérobé, il y avait moins de 1% de chance de découvrir de nouveaux résultats, parce que tu ne pourrais pas guetter les revendeurs habituels pour voir si la came qu'ils vendaient provenaient de vols ou pas. Mais, et tu devais bien lui reconnaître ça, la femme fit preuve d'obstination dans son refus de t'en dévoiler plus.

Un coup d'oeil à ta montre t'appris qu'il était plus de trois heures du matin. En face de toi, la femme gardait son air impassible. D'accord. Avec un soupir agacé, tu te lèves, et tu la salues. Tu n'as plus rien à faire ici, et tu doutes de pouvoir un jour conclure cette enquête. Tu le lui dis sans ambages. Puis tu lui demande si elle souhaite poursuivre les investigations malgré tout. Elle t'assures que oui. Alors, avec un sourire presque mesquin, tu lui annonces tes honoraires. Payée à l'heure, évidemment, et avec une prime substantielle à l'arrestation qui ne surviendra sûrement jamais. Elle accepte. Sans broncher, en plus. Et pourtant, tu as gonflé tes tarifs tant son refus de dire quoi que ce soit te tapais sur les nerfs. Mais soit. Au moins, ça te feras une rentrée d'argent régulière, jusqu'à ce qu'elle se lasse de n'avoir aucun résultat. Ça tombe bien, tu devais aller faire une séance de shopping urgente.

Tu quittes la propriété après lui avoir assuré que tu lui enverras la facture dès le lendemain, pour le déplacement et les trois heures de cette nuit. Puis, rincée, tu retournes à l'agence. Tu fais les papiers en vitesse, n'ayant pas envie d'y retourner demain. Quand tu as fini, tu es surprise de voir qu'il n'est pas encore cinq heures. Tu as peut-être le temps d'aller à cette fameuse soirée au Triskellion.

Tu te prépares rapidement, du coup. Un short en jean, un chemisier échancré et noué sur l'avant, style années 90, et ton éternel perfecto de cuir noir, avec les clous mats sur les épaules. Une trace de rouge à lèvre, un coup de crayon et un coup de brosse plus tard, et tu es presque prête. Avant de sortir, tu te glisses dans une paire de bottines style motarde, à talons aiguilles, et tu boit un grand verre d'eau.

+ + +

Tu as de la chance. La boîte n'est pas encore fermée. Après avoir acheté ton entrée, tu te glisses parmi la foule, cherchant l'accès au bar. Peut-être Raven travaillait-elle ce soir. Ce serait bien. Et après son service, tu pourrais lui proposer d'aller manger un truc dehors.

Mais tes plans changent aussi rapidement que tes yeux s'écarquillent lorsque tu arrives au comptoir. Devant toi, aussi magnifique que la dernière fois que tu l'as vue, se tenait Alejandra. La sublime brune brésilienne, avec qui tu as partagé plus qu'un verre. La seule et unique femme à avoir jamais éveillé de l'attirance en toi. La glorieuse créature, auréolée de flammes, que tu as suivi un soir, intriguée.

Bouche bée pendant quelques minutes, tu l'observes. Au début, tu as douté, mais lorsqu'elle s'est tournée de profil, tu n'as plus eu aucun doute. C'était bien elle.

Te reprenant, tu sens un sourire malicieux étirer tes lippes assombries de ton rouge à lèvre, et tu décides de t'approcher, l'air de rien. Tu te glisses à ses côtés, commandant une vodka au barman, avant de lui effleurer l'épaule d'un geste négligent.

« Eh bien, Alejandra ! Toi, ici ? Je n'ai pourtant rien bu encore, sinon de l'eau, et pris aucune substance bizarre... »

Avec un rire, tu lèves ton verre, comme pour trinquer. Tu ne sais pas au juste ce que tu ressens pour cette déesse aux cheveux sombres, mais tu sais que tu l'apprécies beaucoup, de même que sa mini-elle attendrissante et blonde comme les blés.
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
1051 mots.
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Sam 18 Fév - 17:17
Last night
with Quinn & Alejandra

C’était une soirée que l’on pourrait aujourd’hui qualifier de torride, de parfaite, de complètement envoûtante, attendrissante, sensuelle, érotique. C’était une belle soirée qui avait commencé par un après-midi mortel au commissariat. Une belle journée, en gros. Car dans ce métier, ce qui était ennuyeux voulait dire qu’il n’y avait aucun problème, et dans une ville aux habitants victimes d’évènements tout aussi invraisemblables qu’impossibles, c’était une bonne chose.
Et après une charmante journée sans tracas sans problèmes, tu avais embrayé sur la sortie des écoles, allant récupérer la chair de ta chair, le sang de ton sang, le trésor de ta vie, Alycia. Une fois arrivée devant l’école, tu l’avais accueillie avec les bras grand ouverts et un sourire aux lèvres. Tu l’avais ensuite emmenée au parc, pour l’amuser, et l’épuiser. Tu avais fait en sorte qu’elle jouisse de son repos, avant de lui faire le plus grand des sourires : Bon… Dentiste maintenant. Et là, tu avais vu son sourire s’effacer. Elle avait failli pleurer, mais non, c’était trop facile. Alycia n’était pas ainsi. Aussi, cette demoiselle avait alors commencé à compter. Lui demandant ce qu’elle faisait, elle t’avait alors gentiment répondu qu’elle comptait tout ce qu’elle pourrait dire au dentiste à propos de ton intimité, et plutôt que de la gronder, tu avais éclaté de rire.
Sans doute aurait tu dus la fâcher… Maintenant le dentiste savait tout de ta vie intime.

Une fois le soir venu, rouge, en colère parce qu’Alycia avait bien évidemment donné de nombreux détails, tu lui fis son repas, avant de la coucher. Le tout, de mauvaise humeur, ce qui sembla inquiéter en partie la petite. EN partie seulement.
Puis tu passas le reste de ta soirée devant ton ordi, n’arrivant pas à dormir. Sans doute un peu en colère, sans doute en grande partie gênée, tu avais vu que ta fille était tout sauf facilement docile, et tu avais entendu chacun de ses mots bien clairement, alors qu’elle décrivait ton corps, alors qu’elle parlait du fait qu’un jour elle t’avait croisée avec Quinn, lorsque vous étiez encore au Bresil, tandis que tu lui faisais l’amour. Elle décrivait tellement dans les détails, avec sa voix innocente que le dentiste écoutait tout, te regardant par moment. Et finalement, cela t’avait encore plus énervée qu’autre chose. Tu connaissais la langue pendue d’Alycia, et tu savais passer outre. Mais de voir que ce médecin te regardait, tentant d’imaginer, cela t’avait complètement abattue dans ta colère.

N’arrivant pas à faire passer cela, tu appelas Emmy, et lui proposas un tarif bien au dessus de la moyenne pour garder, en urgence, ta petite, afin d’aller te changer les idées.
Tu te sentais bien sûr mal de faire cela comme ceci, mais c’était une urgence, tu sentais que tu n’allais jamais réussir à dormir sinon…

___________

Les verres s’enfilaient, les uns après les autres. Une vodka. Deux vodkas. Trois, tequilas. Un ou deux cocktails ensuite. C’était un monde d’alcool, c’était quelque chose de brumeux, afin de te noyer dans les idées, et de ne plus penser à cet évènement, en soit tout à fait anodin.
Et les heures défilèrent. AU bout de cinq heures, alors que l’ivresse ne t’avait pas encore prise, parce que les heures défilant t’avaient forcée à évacuer le surplus d’alcool – et parce que tu savais tout de même doser la chose –, tu sentis une douce parole venir d’à côté de toi. Une voix que tu connaissais bien, et qui de nombreuses fois avait fini dans ton lit. Une voix remontant à ta période du Brésil. Une voix blonde, nommée Quinn, et qui t’avait fait de l’effet. Plus que toutes les autres quoi étaient passées dans ta vie, ou dans ton lit.

Te tournant vers elle, un sourire sur le visage – elle te faisait toujours cet effet – tu lui répondis doucement, avec une intonation quo t’était propre et un accent brésilien que tu n’avais jamais su enlever, et ce, dans un anglais formidable – seul ton accent semblait indiquer que tu ne venais pas des Etats-Unis – : Quinn ? Tu me suis ? Eh bien tu n’as peut être rien bu mais ce n’est pas mon cas. Tu rigolais. Le ton de la plaisanterie, une petite taquinerie, les ingrédients qui avaient conduit, en plus de ta beauté, à faire de cette hétérosexuelle une bi. Tu te félicitais assez de cet exploit, d’autant que la blonde savait y faire au lit. Alors, sans l’ombre d’un indice, tu laissas ton corps se diriger vers elle, pour que vos lèvres se rencontrent. Pourquoi ? Sans doute l’alcool et l’attirance. Mais si tu avais bien besoin de quelque chose, là, c’était d’elle.

Votre rencontre remontait à un bar. Tu l’avais vue, et sa beauté à couper le souffle t’avait lancée sur elle, pour l’aborder, blaguer, te présenter, t’intéresser, la taquiner, l’embêter, la laisser répondre avec une malice perceptible, la toucher, d’abord à la cuisse, puis remontant, jusqu’aux fesses, pour un premier baiser. L’instant d’après, vous deviez être dans l’appartement que tu avais à l’époque avec Alycia, cette petite endormie depuis de nombreuses heures déjà. Et tu l’avais plaquée contre le mur, susurré de jolis mots, et tes mains s’étaient aventurées entre ses fesses et ses vêtement, la déshabillant de l’autre, lui laissant sentir ton souffle et tes caresses.

Oups. Pardon. L’alcool je crois. Mais même sans lui j’aurais eu envie de t’embrasser. Peut être pas aussi vite par contre. Tu t’étais retirée de son corps pour rire aux éclats, l’affaire de la journée complètement effacée de ton esprit. Il ne restait que le plaisir et le rire, de la voir ici. Deux sexfriends, deux partenaires de jeu, qui n’étaient pas destinées à se rencontrer de nouveau et par pur hasard, et qui, pourtant, arrivaient par chance à s’apercevoir dans un bar, dans une fête. Et ainsi, ta tête fut parsemée des souvenir de votre première nuit…


electric bird.




PS : en narration italique, tu as la partie flash back ^^
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Dim 19 Fév - 7:15
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Entendre à nouveau cet accent si reconnaissable te fis du bien. Tu n'avais jamais vraiment cessé de penser à Alejandra. Ne serait-ce que parce que c'était la seule femme à te faire ressentir ce que tu ressentais habituellement avec un homme. Excitation, tendresse, admiration, lubricité. Tu souris plus largement, en haussant les sourcils d'un air équivoque quand elle demande si tu la suis, avant de rire avec elle quand elle avoue n'être pas sobre, elle. Et soudain, les papillons reviennent danser dans ton ventre. Tu ne réalises que quelques milli-secondes après qu'elle est venue t'embrasser. Ton corps lui réponds, et tu glisses une main derrière sa nuque, pour approfondir l'étreinte de vos lèvres. Ta langue vient caresser la sienne, joueuse, alors que tu retrouves les sensations agréables de son corps contre le tien. De ses formes pulpeuses pressées contre les tiennes.

Tu te souviens de cette soirée où tu l'as rencontrée. Une beauté fatale, nue, auréolée de flammes, qui est venue prendre le corps sans vie de ta cible. Ce sale meurtrier d'enfant que tu avais traqué depuis Beacon Hills. Tu l'avais suivi jusqu'ici, au Brésil, et tu l'avais tué sans remords. Ce n'était pas un homme innocent, et il méritait son sort. Il avait abattu de sang froid deux enfants, et il en avait torturé des dizaines d'autres. Tu ne regrettais rien.

Curieuse, tu avais décidé de suivre la créature de rêve qui emportait son corps. Tu avais découvert un lieu inédit, où elle avait déposé le cadavre. Tu ne sais pas trop où c'était, et tu serais bien incapable de le retrouver après. Puis tu avais suivi à nouveau cette apparition flamboyante, jusqu'à connaître son identité.

Et ce n'était donc pas un hasard si tu étais présente dans le même bar qu'elle, ce soir-là. Tu désirais absolument faire sa connaissance. Comprendre ce qu'elle était, puisqu'elle avait l'air de l'ignorer. T'en faire une amie, peut-être. Mais cette soirée t'as apporté bien plus que ça, en réalité. Tu l'avais accompagné chez elle, entre deux baisers. Tu ne pensais pas être un jour attirée par une femme, mais ce soir-là, c'était le cas. Et quelle femme !

Chez elle, tu l'avais caressée, tu l'avais embrassée. Tu avais découvert chaque centimètre de son corps, et la fièvre qui t'animait semblait inextinguible. Tu avais aimé embrasser sa poitrine nue, pointant fièrement vers toi. Tu avais adoré sentir sa langue caresser ta peau sensible. C'était chaud. C'était incroyablement chaud. Plus encore, même, que lorsque tu avais suivie la beauté enflammée aux prunelles d'ambre.


Un rire accueillit sa réplique. Tu trinque rapidement, avalant une grande gorgée de vodka en frissonnant, et tu reposes ton verre.

« Oh, mais ne t'en fais pas pour ça, sexy, lui susurres-tu en te penchant vers elle. Si tu ne m'avais pas embrassé, j'aurais pris les devants. »

Et comme pour prouver ce que tu avançais, tu laisses ta main glisser sur la cuisse d'Alejandra, remontant doucement pour venir se glisser dans son dos et la rapprocher de toi. Tes lèvres vinrent taquiner les siennes, s'égarant un peu sur sa joue, coulant jusqu'à son oreille dont tu mordillas le lobe avec un soupir satisfait.

« Alors, que viens-tu faire dans ma charmante petite ville ? Non que je ne m'en plaignes, hein. J'ai déjà plein d'idées pour combler la distance qu'il y a eu ces derniers temps. »

Ton sourire taquin étires tes lippes alors que tu te redresses, gardant toutefois ta main contre sa taille pour résister à l'envie de plonger tes doigts dans sa crinière sombre.
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
632 mots.
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Lun 20 Fév - 0:44
Last night
with Quinn & Alejandra

La chaleur de son corps sur le tiens, la douceur sucrée de ses lèvres, la beauté franche de son corps, l’excitation qu’elle te faisait subir, ses câlins, ses tendresses, sa langue contre tes tétons aussi marqué par la pointe… Tout te revenait en tête, mais tu ne l’avais jamais oublié n’est-ce pas ? Tu avais mené cette blonde sulfureuse jusque dans ton appartement, jusque dans ta chambre, jusque dans ton lit, et une fois nue, elle s’était retrouvée allongée sur le dos, sur le matelas. Tu t’étais approchées, tes mèches tombant et caressant son corps à ta place, alors que tu ne rêvais que de la prendre, de l’avoir, de la mordre, de la malaxer, de la sublimer de tes mains, de tes jambes, de toutes les parcelles de ta peau. AU dessus d’elle, tu avais attrapé ses lèvres, tandis que tes doigts, tandis que tes ongles venaient réveiller ses cuisses, remontant alors jusqu’à son ventre musclé, et incroyable, défiant toutes les lois pour créer le nectar entre tes jambes, à la simple première caresses. Alors tu t’étais attardée sur son nombril, noyau d’un plaisir insoupçonné, avant de remonter lentement. Tout cela, sans bouger ton visage, sans même l’embrasser, alors que tout ton corps te criait ce qu’il voulait, alors que même ta lèvres elles-mêmes semblaient désobéissantes, au point que tu dus les mordre sauvagement, pour ne rien laisser pouvant démolir cette frustration que tu lui donnais, que tu t’obligeais. Le but étant là de lui permettre de te vouloir plus que jamais, seuls tes doigts la touchaient, et bien que tu sois au-dessus d’elle, même tes jambes, même tes pieds, même pas le tatouée ne venait effleurer son corps. Et comme pétrifiée par un désir nouveau et inavoué, et la première excitation d’une femme chez cette amante d’hommes, elle n’avait pas bougé, au début, te laissant jouer pour finalement attraper son téton, même pas son sein. C’étaient tes ongles, qui étaient venus titiller ses propres pointes, alors que ton rire semblait clamer haut et fort à quel point tu l’appréciais, et combien tu aimais ce que tu faisais, ce que tu ressentais, ce que tu voyais.

Lorsque la frustration atteignit un comble pour toi, tu craquas, peu de volonté résidant en toi pour une telle succube, et tu te laissas tomber sur elle, complètement, tes mains attrapant respectivement son sein et le drap, alors que tes lèvres du haut avaient la bouche de Quinn. Et en bas ? En bas, ce fut un coulis de cyprine qui vint tendrement taquiner sa fente, comme pour lui montrer à quel point elle te faisait de l’effet. Et le rouge aux joues, tes jambes s’étaient collées aux siennes, alors que ton sourire déformait le baiser, donnant à tes dents une blancheur à faire rager n’importe qui… Un tel sourire, un tel accent alors que tu lui susurrais que tu allais lui montrer ce qu’une femme pouvait faire… Alors que tu allais lui prouver qu’une créature de du même sexe avait des avantages… Le premier, étant de comprendre aussi bien le corps de l’amante que le sien… Alors tu te frottas, laissant ton corps glisser vers le bas, tes lèvres quittant leur nid douillet, mordillant une dernière fois sa lèvre intérieure, pour finalement glisser jusque dans le cou, jusque sur la poitrine, laissant ton intimité trempée caresser l’une de ses cuisses, laissant ta poitrine excitée titiller son ventre. Et plus tu descendais, plus tes dents parvenaient à un premier objectif, arrachant un cri de plaisir à Quinn, et un téton pour se faire. Et tes seins touchèrent finalement, son bas ventre, tandis que ton entrejambe finissait par quitter sa belle peau. Et enfin, tu parvins à ton but final, ce secret bien gardé, cette fente aussi humide que la tienne, signe qu’elle ne pouvait plus cacher son attirance exceptionnelle pour ton corps, ou toi.

Ainsi, tes lèvres vinrent embrasser ses cuisses, de nombreuses fois, se rapprochant toujours plus de cette fleur à la senteur humaine, avant de finalement, au bout de quelques mordillements, parvenir à la base de sa fente, y déposant un baiser des plus sincères, et des plus excitants et excités. Alors tes doigts vinrent caresser cet endroit bien entretenu, tandis que ton endroit épilé affichait encore plus de plaisir. Et enfin, ces deux extrémités parvinrent à effectuer une ouverture, écartant ces deux petits bouts de chairs sensuels pour laisser ton index creuser un trou, passant entre les parois fines de son vagin, tandis que ta langue venait chercher ce petit bouton que les femmes ont à la place de la verge d’un homme. Et tes dents, et ta langue, et un autre doigt passèrent chacun leur tour autour, sur ce clitoris, tandis que tu raffolais du bon goût salé de cette détective. Un sourire plus tard, et un deuxième doigt entrait en elle pour que tes lèvres et ta langue puissent se parfumer de sa senteur exquise. Et ton corps tremblant d’excitation semblait réclamer le même traitement, tu avais donc hâte de l’emmener une première fois au septième ciel, avec le simple pouvoir oral…


Alors que tu semblais t’excuser pour ce baiser – alors que ce n’était absolument pas le cas, tu adorais le contact de ses lèvres –, Quinn te rassura, t’avertissant qu’elle aurait, dans tous les cas franchi le pas pour toi, sûrement trop heureuse de te retrouver. Tu devais lui avoir laissé une marque indélébile, étant la première – et la seule, mais tu ne le savais pas encore – femme à être passée dans le même lit qu’elle. Tu lâchas un sourire, alors qu’elle remontait ta cuisse, explosant toutes les saveurs de l’excitation en un geste, avant de te prendre par le bas du dos et les hanches afin de retrouver le contact de tes lèvres. Mais contrairement au baiser de ta première avance, ce dernier contact s’évada rapidement sur ta joue, remontant jusqu’à ton oreille alors que ta tête se penchait en arrière, et que quiconque autour se sentait pris d’une curiosité qui te faisait frémir d’envie. Aussi tes mains passèrent dans son dos, s’agrippant à elle. Et tu amplifias la portée sensuelle du geste en levant presque la jambe, laissant à la belle Quinn, la belle blonde, tout le loisir de l’attraper.

Alors elle mordit le lobe de ton oreille, et un gémissement distinct se fraya un chemin, tandis que tu murmurais son prénom, une fois, dans son accent à la fois brésilien et érotique : Quinn…
Non, tu n’avais jamais oublié la nuit que vous aviez passée ensemble, mais pas pour les saveurs de la jeune femme… Elle te procurait autre chose. Quelque chose, un sentiment, une émotion, tu ne savais pas. Un changement dans la parfaite physionomie de ton corps, un brusquement dans les battements de ton cœur. Elle te mettait dans un état de quiétude et de luxure en quelques gestes, et tu te doutais que lentement, l’attirance que tu éprouvais envers elle se propulsait vers ton cœur. Mais plutôt que de les réprimer comme à ton habitude, sachant pertinemment que Quinn n’appréciait pas les relations, connaissant son histoire comme elle connaissait la tienne – elle connaissait même plus que ce que tu savais toi, étant donné que tu ignorais encore ta véritable nature –, cette fois ci, à ce moment là, tu te laissas portée par des rêves qui, tu en avais l’impression, ne se réaliserait jamais. Tu te laissas portée par la fraicheur, par la chaleur, par le bonheur d’un réveil, chaque matin, à ses côté. Par un « bonne nuit » quotidien dans ses bras. Pas un amour…

Tu fus tirée de tes rêveries par ses mots doux, et, le rouge aux joues, tu avanças doucement, avec un rire en arrière plan, que J’ai hâte de réduire cette distance, crois-moi…, ta main se collant à sa cuisse, ton regard dans le sien, ton bras autour d’elle, comme si tu ne voulais plus la quitter, plus jamais… Si seulement…
Ton cœur faisant des siennes, tu décidas de l’oublier avec un nouveau baiser, mais plus mordant que le premier, tes dents attrapant ses lèvres, tandis que ton sourire inévitable l’amenait dans les tréfonds de ta joie, devant un visage resplendissant le plaisir de la retrouver. Un baiser court, et empli d’intentions toutes plus osées ou indécentes que les autres. Que des intentions merveilleuses pour deux corps comme les vôtres. Et crois le ou non, mais je suis venue à Beacon Hills parce que… je m’y suis sentie attirée. Je ne sais pas l’expliquer. Peut être suis-je spéciale… Non, tu ne savais pas, et tu ne doutais qu’un peu, surtout que tu étais bloquée dans cette ville, mais cela passerait sous silence pour le moment, c’était un problème qui pouvait avoir le don de casser la chaleur environnante. … puisque je viens dans la ville où tu es. Car tu l’appelles « ma charmante petite ville ». Tu habites où à Beacon Hills, dis moi, Quinn Lisbeth Avery ? Tu adorais prononcer son nom complet. EN fait, tu avais remarqué qu’elle aimait cela aussi, la première fois, lorsque tu lui avais volé son portefeuille et avait lu ce qu’il y avait sur ses papiers. Ce devait être juste avant de l’embrasser dans le bar. J’en profiterais pour venir te voir tous les… hmmm… jours ? Tu laissas couler ton rire dans ses oreilles, la berçant de ta jolie voix, avant de faire une folie, une charmante folie, et de passer une main entre son sous-vêtement et ses fesses, décidant que tu avais très, mais alors très envie de ce corps qui t’avait maintes fois amenée au septième ciel, et même plus haut, lors de cette fameuse et merveilleuse nuit d’autrefois…


electric bird.




PS : en narration italique, tu as la partie flash back ^^
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Dim 26 Fév - 11:56
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Tu déguisais la gêne soudaine ressentie lorsqu'elle te questionnas sur ton lieu de vie par un baiser délicat, aérien, contre la pulpe délicate de ses lèvres. Tes doigts se glissaient contre la peau satinée de la latine, la caressant doucement, comme lorsque vous restiez à parler après l'amour.

« A vrai dire, je n'habite pas à Beacon Hills en soi. J'ai un loft, non loin des bois, mais... J'ai eu des problèmes de nuisibles, et elle est en cours d'assainissement. Alors je squatte mon agence de détective, dans le centre, en ce moment. »

Tu bois rapidement une gorgée de ton verre avant de tourner à nouveau tes prunelles glacées vers celles d'Alejandra.

« Mais je ne suis pas opposée à ce que tu y viennes me rendre visite. J'ai aménagé une petite chambre, tranquille... »

Dans un rire, tu remontais ta main contre son dos, glissant sur son épaule, vers son cou, avec délicatesse. Tu adorais la sensation de sa peau aussi douce que de la soie, avec ce subtil parfum de soleil qui s'en dégageait. Tu te rappelais aussi de ces rainures incandescentes qu'elle avait, la première fois que tu l'avais vue, des flammes qui léchaient son corps sans lui faire le moindre mal, et du terrible érotisme qu'elle dégageait avec ses prunelles de braise. Tu ne lui en avais pas encore parlé. Tu ne savais pas trop comment aborder le sujet. Et tu ne savais pas vraiment ce qu'elle était. Mais même sans ça, même sans le brasier qu'elle pouvait devenir sans en être consciente, elle était vraiment chaude.

« Je suis ravie que tu te sois sentie attirée ici, que ce soir pour moi, ou autre chose, souffles-tu en mêlant tes doigts à sa longue chevelure sombre, enroulant quelques mèches autour de ton index. »

Cette nuit avait été ardente. Tu aimais le contact de la soie de ses cheveux sur ton corps, de ses doigts de fées qui te faisaient ressentir milles et une choses délicieuses. Tu adorais la voir te chevaucher de la sorte, dressée telle une amazone redoutable (et redoutablement sexy). Tu aimais le contact de ses seins entre tes mains, la sensation de la faire s'envoler en agaçant leur pointe érigée. Tu n'avais jamais pensé ressentir de telles choses pour une femme. Mais Alejandra n'était pas n'importe quelle femme. Sous tes yeux troublés par vos jeux, tu revoyais parfois celle que tu avais aperçue en premier, cette femme de feu, littéralement, qui avait porté le criminel que tu venais d'achever sous ta forme d'ours. Tu revoyais son déhanché naturellement sensuel alors qu'elle se dirigeait Dieu sait où dans les bois, et son délicat froncement de sourcil quand elle avait fini sa tâche. Ce même froncement qu'elle avait quand tu inversais les rôles, quand tu la renversais sur son lit pour ses cheveux s'étalent en corolle sous sa tête, sur l'oreiller.

Et sa voix, son accent, te remuaient les entrailles comme jamais, faisant naître ce brasier liquide qui te dévastait alors que tu venais l'embrasser partout, que ta langue traçais un sillon de feu sur son corps de déesse. Tu aimais les gémissements qu'elle laissait échapper, les halètements, lorsque tu venais t'enfouir entre ses cuisses fermes, que tu venais l'embrasser, la mordiller, la taquiner en léchant et en aspirant sa petite perle, ces soupirs qu'elle poussait quand la pointe de ta langue s'insinuait entre les replis tendre de sa féminité. Avais-tu déjà ressenti quelque chose de semblable ? Non, jamais. S'en approchant, peut-être, mais jamais semblable. Faire ce trajet jusqu'au Brésil revenait, à ce moment, à te découvrir plus complètement que tu ne l'avais jamais fait. Pour une fois, tu baissais la garde, priant pour ne pas le regretter, et tu te laissais aller à ce que tu ressentais.


Croisant les jambes en finissant ton verre, tu le fis glisser sur le comptoir avant de te tourner vers la sublime créature à tes côtés. Un sourire charmeur aux lèvres, tu fis glisser l'une de tes mains sur sa joue, la rapprochant de toi pour l'embrasser à nouveau, avec cette touche de vodka qui restait sur tes lippes. Puis, après ce baiser passionné, devant le regard interloqué de certains de vos voisins, tu vins lui chuchoter quelques mots à l'oreille.

« Si tu veux, je peux aller te faire visiter mon agence dès ce soir... »
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
752 mots.
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Dim 26 Fév - 15:34
Last night
with Quinn & Alejandra

Tel le brasier que tu t’ignorais devenir, parfois, la nuit, tu sentais la chaleur monter entre vous deux, deux sublimes succubes, nymphes, princesses dans un étau d’amour, de sexe, et d’excitation. La beauté sauvage qui reprenait le contrôle, n’en pouvant décidément plus de te faire attendre, te renversant sur ton lit, se plaçant en la dominante que tu ne pouvais que désirer, du plus profond de ton cœur. Cette muse plaquant ses mains sur tes bras, calant son regard clair comme l’eau la plus pure des monts les plus inaccessibles, dans le tiens, aussi parfumé que l’océan, que la mer houleuse. C’était comme le calme et la passion la folie et la tempête, la chaleur montant entre vous. Et alors que tes douces mains venaient sur les petits bouts de chair, tes jambes se frottaient allégrement contre ses cuisses chaudes comme les flammes de l’incendie nommé « Désir ». Et dans cette superbe symphonie, comme achevée par un prince de la musique classique, ce fut l’extase qui commençait à s’offrir à toi, tes pointes se sentant oppressées, autant que tu pouvais te sentir toucher la luxure s’exfiltrant de vos pores, envahir tes doigts, envahir tes seins, envahir ta fente, ton nectar coulant anormalement sur les draps. Jamais encore tu n’avais eu affaire à une telle bombe, détruisant tout ce que tu avais jamais connu en une explosion de douceur, en atomisant tes dernières pensées rationnelles, pour te donner entièrement à la déesse nommée Quinn, rejeton d’un dieu de la jouissance. Alors tes jambes, longues longues gambettes, vinrent tendrement s’incruster entre les sienne, pour sentir sa douce cyprine contre ta cuisse enflammée, alors que ton pied marqué de ce tatouage prenait un malin plaisir à satisfaire l’épiderme de l’ours cachée, attenant le bon moment pour rugir sa passion, et descendre au niveau de ta poitrine, mordillant alors sensuellement ce qui attirait le premier regard vers ton buste déshabillé. Léchant d’une langue aussi humide qu’attirante,  frémissant sous les attaques, serrant bientôt une partie des draps, alors que ton corps pris de spasmes charnels semblait appeler à l’aide, croulant sous un assaut injuste, te laissant sans voix ni autre choix que de gémir ton plaisir, que de crier ce nom, cet unique nom qui, pour la première fois de ta vie créait chez toi un excès de cette émotion presque nouvelle : Quiiiiiin.
Un nom s’inscrivant plus loin que dans ta mémoire, un prénom aguicheur, venant se graver dans ton cœur, alors que ses lèvres passait de tes monts marqué de rose jusqu’au charmant puit ombilical. Et tu ne pus que frétiller une nouvelle fois, lorsque tu sentis l’humidité toucher chaque portion de cet édifice naturel. Encore plus lorsque cette trainée de salive parvint jusqu’en bas, ton jardin inondé d’un plaisir coulant, demandant, suppliant à lui seul l’apport d’un baiser, d’une attention toute particulière, ton nectar s’enfuyant alors sur la languie de ta partenaire, cette amante aussi dangereusement charmante qu’intrigante, cette hétérosexuelle découvrant les joies immenses d’une virée à deux d’un même bord. Mais bien vite, trop vite pour toi, un avant-goût du septième ciel s’offrit à toi, ton corps expirant en même temps qu’un hurlement de bonheur à l’accent érotique et chaud comme le Brésil, une trainée de ta gelée, droit dans la cavité de la belle blonde.

Alors elle remonta, te montrant que la nuit ne faisait que commencer, et tu pus la serer contre toi, sentir son antre emplie de douceur salée et sexuelle pressée contre la tienne, frottée contre ton bas ventre, collée à ton intimité, partageant ses fluides avec les tiens. L’essoufflement de ce premier orgasme put offrir à la sauvage aux cheveux d’or un élan de fierté, que tu t’empressas d’utiliser contre elle, attaquant son côté gauche, mordant son cou héroïquement et érotiquement, plaçant ta langue droit contre sa peau pour finalement descendre ta main entre ses deux balcons, pour passer droit dans sa vallée, ne t’intéressant alors qu’à son suçon mélangée à la sensation de deux doigts en elle, et d’un pouce empli de sa salive contre son bourgeon de printemps. Souriant, aspirant pour créer cette marque de passion sexuelle, d’appartenance au moins pour cette nuit, et de bonheur, ce symbole de l’acte, cet afflux de sang la faisant gémir entre ses dents, tes doigts ajoutèrent leur frère en elle, pour jouer, alors qu’emprisonnant sa jambe droite entre les deux tienne, tu parvenais à retourner l’action une nouvelle fois. Mais droit sur elle, la chevauchant avec désir, tu passas tes mains sur ses épaules, et, assise sur son nombril, mouillant droit dessus et lui offrant ce spectacle de luxure et d’excitation, tu pus la retourner sans trop la décevoir, tandis que ton fessier vint se reposer sur le sien, elle, allongée sur ce doux ventre, ce devant de son corps qui éveillait en toi tant de pensées osées, tant de désirs, tant d’envies. Alors, offrant son dos, tu t’allongeas dessus, frottant ton corps, collant tes seins, dessinant de tes pointes sur ses omoplates. Et mordillant son oreille, tu lui assuras d’une chaleur peu commune que tu allais lui montrer à quel point les préliminaires entre deux femmes pouvaient créer cet élan d’orgasme…
Ainsi, tu te glissas lentement contre son dos, l’embrassant de baisers aussi sulfureux les uns que les autres, avant d’arriver à son derrière aussi attirant que le reste, et, le mordant d’abord doucement, tu pus écarter la chair pour arriver à sa deuxième vallée, que tu caressas lentement d’un doigt, avant de le lécher pour lui faire sentir ton fluide. Et enfin, ton doigt passa en toi, s’abreuvant de ta cyprine, pour ensuite titiller son petit trou, d’un geste assuré. Et avant qu’elle ne puisse dire mot, ton doigt la pénétra alors que tu lui écartais les jambes de quelques mots aussi charmants que plaisants, aussi doux que sensuels, aussi érotiques que tu pouvais l’être. Là, tu pus retrouver son intilité, sa belle fente, et tes dents vinrent attraper ses lèvres, pour les titiller, ton doigt glissant lentement en elle par l’arrière… Ton autre main caressait l’arrière de ses cuisses…
Bon sang qu’elle était bonne, tu ne voulais qu’une chose, à part retrouver le plaisir de l’orgasme entre ses doigts, entre sa langue, entre ses lèvres, ses dents, ses bras, ses jambes, son corps…
Ce que tu voulais étais l’emmener plus haut que le septième ciel, l’emmener plus loin dans le plaisir, plus profondément, plus intensément. Tu voulais la faire jouir, tu voulais récolter le fruit de tes labeurs, le fruit de ton travail, le fruit de ce jeu, avant de passer à la phase suivante… Tu voulais la goûter à son summum de l’excitation, tu voulais découvrir le goût qu’elle avait une fois stimulée ainsi.
Tu lui voulais un orgasme…


Ses doigts, ses mains, son corps tout entier te ramenait à cette nuit, à cette fameuse nuit de bonheur infini, cette fameuse nuit où tu avais découvert un amour passionné pour le sexe avec elle… Sans comprendre que c’était un coup de foudre qui s’était déroulé cette nuit là. Sans comprendre que le battement raté de ton cœur allait à Quinn. Sans réussir à mettre la main sur ce phénomène, qui te poussait à la vouloir, ardemment, à la désirer, plus que tout… Tu n’avais même plus touché d’autres femmes, d’autres hommes, depuis cette soirée terminée en plaisir immense, alors que ses doigts t’avaient menée à un orgasme sans pareil au bout de quelques minutes, suivi d bien d’autres. Non,  ton corps savait ce que ton cœur avait au fond de lui, mais ta tête semblait l’ignorer : tu étais tombée amoureuse d’une femme à l’origine encline aux plaisirs hétérosexuels. Tu étais tombée amoureuse de Quinn, mais comment le comprendre ? Comment ton esprit pouvait oblitérer une telle information ? Comment ton cœur arrivait-il à te le cacher ? Cette femme le faisait battre bien plus vite, et le simple fait de la sentir gênée après ta question sur son habitat sembla te faire peur, alors que tu n’aurais pas dû, n’est-ce pas ? Une autre preuve que tu tenais plus à elle que tu le pensais, une autre preuve que l’amour rend aveugle, même dans le mauvais sens du terme.
Alors lorsqu’elle te parla de son obligation de rester dans l’agence, avant de t’inviter, tout de même, tu lui murmuras de ta chaleureuse voix, tes lèvres droit sur son coup, alors que tu venais y déposer un baiser, que Je vais malheureusement avoir du mal à aller voir ton chez toi alors, je ne peux pas sortir de la ville, même si Alycia le peut… Va savoir pourquoi…B Est-ce cela, qui, réellement, t’oblige à dormir dans ton agence ? Tu n’aimais pas les mensonges. Et tu savais en reconnaître un chez Quinn, cette femme s’étant livrée totalement à toi, la nuit de vos sublimes jeux. Mais comprenant pourquoi elle avait changé la réalité, tu ne lui en tenais pas rigueur, et la passion qui te brûlait le corps en sa compagnie te forçait, dans tous les cas, à ne pas la lâcher ? Et à ressentir toutes les sensations les plus merveilleuses du monde, alors que ses mains remontaient, alors que son corps t’attirait, alors que ses doigts passaient dans ta chevelure brune, alors que tes yeux se pliaient à la volonté de ton corps, se fermant pour ressentir son contact, contact que tu adorais, que tu aimais, que tu voulais, encore et toujours ? Cette sublime émotion qui t’envahissait à chaque fois qu’elle te touchait, qui te poussait à serrer ses fesses, que ta main avait toujours, glissée entre ses vêtements et son postérieur. Je suis contente de te retrouver… Tu ne peux pas savoir comme tu m’as manquée… Comment ses doigts pouvaient ils autant endormir ton corps, et prolonger cette attirance ? Il lui suffisait de jouer avec tes cheveux, avec ton corps mais surtout dans ta chevelure de soie, afin que ton esprit se colle à elle, et que tu souffres d’un besoin de Quinn constant. C’était plus fort que toi, tu ne pouvais plus la laisser, tu la voulais. Tu la voulais dans l’immédiat. Tu la désirais tant et tellement, que tu étais même prête à te déshabiller au milieu de tous ces curieux, juste pour elle. Que devenais tu ?
Mais tu étais certaine qu’elle aussi, vu sa façon de te regarder, alors que ta main libre passait sur sa joue, alors que tu lui rendais ce baiser de la façon la plus sensuelle possible, venant enrouler ta langue contre la sienne, te pressant contre elle, et caressant sa raie de ta main cachée. Un amusement ajouté à une envie de plus en plus pressante de finir contre elle, de jouir de sa main, de vivre, et revivre cet instant qui, par le passé, t’avait amené dans un endroit si incroyable, si beau, dans ses bras, sous sa domination, sous la tienne. Dans une plénitude sexuelle, dans une demeure  de feu, de flammes, dans ce brasier nommé Désir…

Sentant sûrement l’incendie nommé excitation t’embraser l’esprit, et subissant à coup sûr les torrents du plaisir, elle te proposa de « visiter » son agence. Tu souris, et tu lui dis dans ton accent aussi chaud que ta forme Hellhound que Ce n’est pas la peine d’attendre plus longtemps alors… Et la main sur ses fesses passa son doigt contre la raie, alors que tu lui montrais, passant sa main contre ta peau, entre ta culotte et ton pubis, à quel point tu ne pouvais plus attendre. Souriante, tu lui adressas un simple sourire, pour qu’elle comprenne, avant de la lâcher, et de prendre ses deux joues entre tes deux mains, la regardant dans les yeux. Alors tes paroles passèrent dans la folie désireuse de l’espagnol, prononçant quatre mots que tu lui avais appris, la dernière fois. Quatre mots que tu lui avais montrés, pour qu’elle te les dise. Quatre mots dans l’une de tes deux langues natales qui exprimaient le désir ardent. Lors de cette fameuse soirée, elle était celle qui avait dû te les dire, mais désormais, c’était toi, et dans un parfait espagnol, tu lui murmuras : Quiero hacerte el amor, Quinn. (Je veux te faire l’amour, Quinn.)
Et tu l’embrassas avec une passion plus puissante encore que tout ce qu’elle, tout ce que tu avais connu. Une passion désireuse de s’installer entre vous…
Oh, Quinn… Tu la désirais tellement…

electric bird.




PS : en narration italique, tu as la partie flash back ^^
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Dim 5 Mar - 9:43
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Le cri de jouissance de cette magnifique succube brésilienne te faisais perdre la tête. Le rouge au joue, excitée à un point que tu ne pouvais pas décrire, tu adorais sentir sa respiration précipité, tu aimais à te glisser contre son corps chaud et encore tremblant, embrassant chaque millimètre de sa peau soyeuse pendant que tu revenais à sa hauteur. Mais les surprises que te réservaient la belle audacieuse ne s'arrêtaient pas là. Après avoir été douce et torride sous tes doigts, sous ta langue et tes lèvres, elle devenait féline et encore plus caliente que précédemment.

C'est elle, cette fois-ci, qui te tirait des gémissements de plaisir, qui faisait se tordre ton corps sous l'insidieux désir qu'elle faisait naître au creux de tes reins. C'est ses doigts qui faisaient monter la température, qui s'insinuaient entre tes cuisses avec agilité. Sa bouche n'était pas en reste. Même si tu étais à présent étendue sur le ventre, présentant ton postérieur rebondi à la déesse brune, tu arrivais à ressentir encore, pour le moment, et différencier chaque toucher. Le velours de ses lèvres glissaient contre ton dos creusé avec délicatesse, avec fougue aussi. Ton cœur s'emballait, battant aussi rapidement qu'il le pouvait, accélérant la circulation du sang dans tes veines. Tes doigts se resserraient sur les draps alors que le brasier entre tes cuisses flambaient plus fort encore, à chaque caresse, à chaque attention.

Ton esprit perdait de sa clarté à mesure que l'orgasme approchait. Tu ne pouvais plus penser de façon cohérente et, pour une fois, tu t'en fichais. Tu te laissais aller à la douce et brûlante symphonie de vos corps enfiévrés. Tes lèvres rougies, autant par ses baisers que par tes dents, s'écartaient pour laisser passer des soupirs qui se transformaient en gémissements, en halètements, puis en cris. Fermant les yeux, creusant de plus belle le dos, tu laissais s'exprimer ton plaisir, surfant sur la vague que la jouissance avait déclenché. La sulfureuse latine devait être aux anges, en te voyant ainsi, désarmée, emportée par le tumulte de ton plaisir, par le sublime chaos qu'elle avait fait naître en toi. Mordant les draps, alors que les dernières vagues de jouissance balayaient ton corps offert, tu te cambres une dernière fois, affolée par toutes ces sensations.


Oh, cet accent, cette voix... Sans que tu puisses te l'avouer, ça t'avais manqué. La tête encore pleine des folies nocturnes de ta virée au Brésil, tu souriais plus largement et ton regard pétillait. Tu ressentais toujours ce désir brûlant pour la terriblement sexy Alejandra. Et tu étais contente de voir que tu n'étais pas la seule. Son impatience t'électrisais, et quand elle prononça ces quatre mots que tu avais tant retourné dans ta tête depuis qu'elle te les avais appris, tu capitulas. Son baiser reflétait à merveille les tourments qui agitaient ton corps dès lors qu'il s'agissait d'elle. Tu y répondit avec autant d'ardeur qu'elle, et tu mordillais même ses lèvres, taquine et impatiente.

T'écartant à regret de la belle brune, tu sortis quelques billets de ta poche pour les poser sur le comptoir. Puis tu attrapes la main de ta compagne, les yeux brillants d'une convoitise impossible à assouvir, et l'entraîna avec toi.

« Lo quiero también, Alejandra, souffles-tu dans un espagnol approximatif. »

Après ton départ, tu avais voulu tenter d'apprendre quelques mots en espagnol, sans même savoir si tu reverrais Alejandra. Mais tu as bien fait. Et même si ton accent reste profondément américain, tu ne te débrouilles pas si mal que ça, pour une débutante.

Le sourire malicieux et aguicheur que tu avais s'élargit alors que tu prends, à pied, la direction de l'agence. Tu n'es pas très loin, et tu es certaine qu'une balade au clair de lune dans les rues de Beacon Hills pourrait plaire à ta déesse. Surtout si vous vous arrêtiez à chaque coin pour vous embrasser, comme tu le fais en la tirant par la main que tu avais attrapé en sortant. Tu la plaques alors contre le mur, sous le lampadaire, pour venir capturer ses lèvres gourmandes, les goûtant avec frénésie presque, enroulant tes bras autour du corps souple de ta partenaire.

« On n'est pas très loin de mon agence. Mais je ne sais pas si je saurais tenir jusque là, guapa... »
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
742 mots.
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Dim 5 Mar - 14:07
Last night
with Quinn & Alejandra

Sous tes caresses, aussi douces que la soie sur la peau, aussi belles que les premiers touchers d’une vie, aussi apaisantes que la musique d’une berceuse, aussi excitantes qu’un corps comme le sien, elle finit par lâcher un cri, puis deux, puis son être atteignit la jouissance, et le septième ciel l’accueillit, le temps de quelques minutes, que tu puisses récolter sur ta langue le doux nectar, le chaud coulis de cyprine qui venait de s’exhiber à l’air libre. Alors, satisfaite, tu lui accordas une récompense, un sourire marqué sur ton visage, et ton doigt s’enfonça un peu plus en elle, alors que ton autre main s’attardait sur ses cuisses, l’arrière, le côté, puis le mollet, lui faisant replier la jambe, pour finalement perdre son anus, et focaliser tes caresses sur sa peau. Tu l’enlaças, tu l’embrassas, tu la titillas, et tu finis même par lui montrer qu’un pied aussi avait des zones érogènes, et d’un doigt, tu parcourras son épiderme, la laissant jouir d’un nouvel instant de bonheur, avant d’y déposer un baiser. Puis tu remontas la jambe, retournant sur son postérieur, claquant sa fesse droite, armée d’un rire cristallin et érotique, avant de révéler sa raie et de tendrement déposer un baiser près de son petit trou, laissant presque ta langue la doter d’une nouvelle sensation, avant de finalement t’arrêter. Ton corps remonta alors, lentement, se frottant au sien, pour finalement revenir sur son dos, et t’y mettre à califourchon. Alors tes doigts, tes ongles, tes mains passèrent sur le haut de son dos, avant que tu lui susurres de se retourner, ce qu’elle fit, sûrement impatiente de voir ce que la suite réservait. Souriante, tu te baissas pour l’embrasser, passionnément, le goût de son jus encore présent sur tes lèvres, sur ta langue. Et tu lui mordillas la lèvre, souriant, avant de te glisser dans son cou, si chaud, pour y déposer de brûlant baiser, tandis que ton bassin dansait, sur elle. Tes mouvements hypnotiques et tes suçons marquants finirent par la faire frétiller, ce que tu pouvais sentir sous tes doigts, qui passaient de ses épaules, à ses joues, puis revenaient à ses seins, pour ensuite emprunter diverses routes, s’arrêtant lorsque tu sentais une nouvelle de ses zones érogènes. Lorsque tu en avais une, un index venait la titiller, jouer tout autour, et tu lui montrais donc avec quelle simplicité et quel plaisir tu la mettais dans des états pas possibles.

Une fois que tu l’eus assez frustrée, et que tu te fus assurée qu’elle reprenne un bassin humide, qu’une nouvelle envie après cette montée au sommet des plaisirs, tu te retournas, te levant pour faire passer ton pied tatouée tendrement sur sa peau, dévoilant ton habileté avec chaque partie de ton corps. Une fois de nouveau à cheval sur elle, tu lui exposas tes fesses, ton intimité, et ton sexe mouillé, encore. Ta tête du côté de son entre jambes, tu posas tendrement tes lèvres, non pas sur sa fente que tu avais déjà bien chouchouté, mais sur son pubis, juste au dessus. Par moment, tu mordillais, par moment tu embrassais, par moment tu faisais courir tes doigts sur cette douce peau, tandis qu’elle avait à disposition ce que tu avais de plus secret. Alors tu sentis ses doigts, tu sentis ses mains tenter, tester ce que tu lui avais fait, écartant tes fesses pour venir caresser ta raie. Prise d’un plaisir intense et d’une chaleur immense, tu passas soudainement deux doigts en elle, gémissant tendrement, avant de finalement reposer tes lèvres sur cette entrée déjà de nouveau mouillée, sur cette fente merveilleuse, sentant aussi bon que ta partenaire. Et tes doigts écartant ces succulentes lèvres, tu posas entre tes lèvres son petit bouton, tes dents venant par moment lui causer un sursaut, un gémissement, voire même un cri aussi délicat qu’érotique.

Ton corps frémissait, sous ses attaques linguales. Ton anus, toujours intact, semblait prêt à se faire pénétrer à tout moment, alors que ta fente croulait sous sa langue, que ton corps était par moments pris de spasmes, qui t’empêchaient presque de continuer ton œuvre, et de jouer avec son clitoris, le frottant sensuellement. La luxure encore ancrée dans vos deux peau, il était chaleureux de continuer à jouer ainsi. Par moment, tu serrais presque machinalement tes jambes, enfermant la tête de ta déesse entre tes deux cuisses, avant de finalement te relâcher. A d’autres moments, un long soupir, ou un cri prononcé par tes lèvres semblaient montrer à quel point cette
Quiiiinn, cette déesse aux cheveux d’or, revêtant l’apparence de la plus délicieuse des femmes que tu avais rencontrées, arrivait à créer en toi cette passion, cet engouement. Tu ne réfléchissais plus, tes doigts sur ses cuisses se crispaient, ton corps criait pour toi combien tu la voulais. Combien tu aimais ce contact qu’elle entretenait avec toi. Alors tu lui indiquas que dans le tiroir de la table de nuit, près de sa tête, se trouvait l’objet qui allait permettre à l’ « hétérosexuelle » de ne pas être dépaysée. EN effet, dans ce tiroir, un dildo, rose, reposait. Alors tu sentis tes yeux, ton corps, ta bouche, tes lèvres, tout ton être lui supplier, lui demander, de jouer avec cette chose et toi. Tu la voulais tant…
Et la suite allait alors devenir bien plus criante. Bien plus physique…


Ces doux mots en espagnol, répondant à ce que tu lui avais appris, te firent frémir, et tu te collas à elle, pour reprendre ses lèvres d’assaut, avant qu’elle finisse par couper court au baiser, et payer pour les boissons, t’emmenant alors sous la couverture de la nuit. A peine fûtes vous sorties que la belle blonde qui faisait battre ton cœur comme aucune autre te tira, pour te coller sous la lueur d’un lampadaire, contre le mur, venant chercher tes lèvres. Et ses paroles créèrent alors en toi une poussée de nouveaux sentiments, de nouvelles envies, si bien que ton corps attrapa Quinn, que ta jambe se replia derrière les siennes, et qu’en réponse au baiser, tu filas dans son cou, tes mains passant sous son haut pour venir caresser sa peau. Tes lèvres laissèrent s’échapper ta voix brésilienne. Moi je sais que je ne tiendrais pas…, et tu rajoutas un mot espagnol, tendre, beau, sexy : Mi Belleza.(Ma Beauté)
Alors tes pulsions attaquèrent, et tes baisers dans son cou devinrent plus sulfureux, alors que sous le couvert de la nuit tu osas, descendant tendrement, pour finalement être à genoux, dans la rue, pour que tes mains agrippent son pantalon. Ainsi, descendant la fermeture, baissant doucement son vêtement, tu lui attrapas son sous vêtement, et de tes dents, tu le coupas, tirant sur la ficelle pour finalement l’enlever d’un coup sec. Ton regard perçant et amusé vint alors se porter sur elle, tandis que tu portais à ton nez ce pauvre cadavre de tissu, sentant encore cette belle odeur dont tu te rappelais parfaitement, ce parfum, celui de son corps. Elle était si attirante. Et le simple fait que tu te souviennes encore avec exactitude de l’odeur de son corps, de son entre jambe, de sa mouille, montrait, sans que tu ne le penses, encore une fois, combien elle t’avait chamboulée. Il fallait que tu t’en rendes compte : tu étais amoureuse. Mais tu l’ignorais encore. Une fois que son sous vêtement fut ainsi retiré, tu osas le lui tendre, avant de venir coller tes lèvres contre le haut de son pubis, désormais révélé à tes yeux. Puis tu descendis encore son pantalon, afin de pouvoir atteindre sa fente, et de la lécher. Et enfin, tu retrouvas ce goût qui t’avait tant manqué. Le goût de Quinn, ce doux nectar qui mouillait sur ta langue. Amusée, tu finis par remonter, passant juste ta main contre son intimité, la doigtant, tandis que tu retrouvais son visage, et l’embrassait, avant de passer à son oreille. Là, tu lui murmuras d’un ton complètement pris par la luxure, dans un espagnol aussi chaud que la braise, dans un accent aussi doux que sexy, sensuel, Haga lo que quiera con mi cuerpo, Quinn Lisbeth Avery.(Faîtes ce que vous voulez de mon corps, Quinn Lisbeth Avery)
Accompagnant le geste à tes paroles aussi dépravées qu’excitante, tu amenas tes mains à ta poitrine, et commença à déboutonner le chemisier que tu portais. Une fois celui-ci complètement ouvert, tu pus montrer l’ouverture frontale de ton soutien gorge,à Quinn, alors que tu retirais ce sous vêtement. Puis, tu laissas tomber ce dernier dans la main d’une Quinn ébahie de te voir faire ceci dans la rue… mais tu dévoilas ta belle poitrine, avant de sourire, glousser, et venir te coller à elle, lui arrachant un baiser à l’oreille, mordillant cette dernière, avant de te reculer, et de lui demander, dans un portugais parfait, l’autre de tes deux langues natales, Você não tocar?(Tu ne touches pas ?)
Ta poitrine était exposée, à la vue de tous, mais surtout de Quinn. EN te rendant compte que tu n’avais ni parlé espagnol, ni anglais, tu traduisis, dans ton anglais marqué par ce belle accent brésilien que tu possédais : Oups, pardon. Ça veut dire : « Tu ne touches pas ? », en portugais.
Puis, blaguant, tu rajoutas J’ai vraiment le don de la langue…. Tu ris, en pensant au double sens de cette phrase, avant de la regarder intensément, presque amoureusement, et tu te collas à elle, passant tes doigts sur ses joues, la regardant d’une lueur de désir. Je te veux tellement, Quinn… Et tu allas pour l’embrasser, avant de te stopper juste devant sa bouche, et d’attendre une seconde. Une seconde qui parut si longue. Ensuite, tu lui donnas le baiser le plus fougueux possible, durant lequel tu lui montras à quel point tu la voulais. Tu t’offrais à elle, prête à le faire dans une rue…
Ce baiser, une fois interrompu, tu pris sa main libre et la glissas dans ta culotte, avant de reprendre en espagnol : Mira cómo estoy mojada.(Vois comme je suis mouillée) Tu souris. Tu te demandais si Quinn aimait lorsque tu mélangeais les différentes langues que tu maîtrisais. Et alors que tu te laissais aller, mouillant sans retenue sur ses doigts, tu commenças à baisser ton pantalon…
Tu étais prête à être tout ce qu’elle voulait, la laisser apposer sa signature, sa délicate marque sur ton corps, alors même que vous étiez dans la rue… Cela montrait à quel point tu voulais d’elle, à quel point tu la désirais. Mais au moment où ton intimité allait être complètement révélée dans cette rue, tes seins l’étant déjà, vous entendîtes du bruit, et tu sentis alors le corps de ta belle t’enlacer, et te garder contre elle. Tu la serras à ton tour, fort, contre toi. Ton cœur battait la chamade. Tes joues se rosirent. Ton corps tout entier montrait à quel point elle était importante à ton cœur. Alors tu ne la lâchas plus…
Tu ne voulais plus la quitter, désormais…
Tu la voulais. Tu la désirais, de toute la force de ta passion…
Tu étais amoureuse.
Si seulement tu t’en rendais compte…


electric bird.




PS : en narration italique, tu as la partie flash back ^^
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Dim 5 Mar - 15:09
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Tu souris, en la tenant tout contre toi, alors qu'elle affirme être sûre que tu ne tiendras pas jusqu'à l'agence. Et elle a raison. Tu as tellement envie d'elle que ça en devient douloureux. Retrouver sa peau satinée, hâlée par le soleil, son odeur féminine et sucrée, tout ça te met en joie, vas-t-on dire. La sentir tout contre toi, ses forme se pressant contre les tiennes... Tu te sens déjà devenir humide, ici, en pleine rue. Et ses baisers, ses caresses, son audace ! Tu souris, complice, alors qu'elle descend se mettre à genoux, qu'elle use d'ingéniosité pour retirer ton sous-vêtement sous ton jean. Tes yeux scintillent de leur formidable lueur bleue lorsqu'elle hume ton odeur intime (fort heureusement assez fraîche). Amusée et franchement excitée, tu attrapes les vestiges de ton sous-vêtement alors qu'elle s'enhardit plus encore, et c'est un petit gémissement surpris qui s'échappe de tes lèvres. Surpris, mais ravi. Et tes yeux se ferment presque instinctivement pour mieux profiter des sensations qu'elle t'offre.

Quand elle remonte contre toi, c'est presque trop tôt. Ton souffle est précipité, et tu laisses tes mains glisser de sa crinière à ses épaules, la serrant contre toi alors qu'elle t'embrasse et que tu y réponds, échauffée et sans complexes. Tu souris sous les mots qu'elle te murmure. Sa voix, et ses paroles ! Tes sens sont en ébullition. Mais tu n'es pas au bout de tes surprises, ou de tes peines, selon l'angle par lequel on prend cette situation. Parce que la tentatrice déboutonne son chemisier, exposant presque sa poitrine, encore prisonnière d'un carcan de tissu. Carcan qu'elle retire malicieusement sous ton regard étonné, sous tes oeillades soudain plus chaudes, plus affamées. Tes lèvres se serrent brièvement pour réprimer ce gloussement de désir qui monte, et elle se colle à nouveau à toi avant que tu n'ai pu englober sa poitrine parfaite entre tes mains si blanches. Les mots qui suivent n'évoquent rien pour toi, littéralement, mais tu crois en deviner le sens grâce au regard de la splendide latine. Un sourire étire tes lèvres alors qu'elle traduit peu après. Tu étais pas trop loin de la vérité avec tes suppositions.

Et tu ris avec elle, face au double-sens qu'elle a laissé échapper. Tu hausses les sourcils d'un air évocateur, approbateur, en te rappelant cette nuit si marquante entre vous.

Tu étais en nage, sous ses caresses. Ta jouissance avait été totale, et tu avais du mal à reprendre ton souffle. Tu sentais toujours la chaleur de son corps, et tu en étais comblée. Tu n'as pas peur des nouvelles expériences, et ce soir, c'en est une totalement inédite pour toi. Faire l'amour à une femme. Jamais tu n'aurais pensé apprécier autant. Et ses doigts joueurs, malicieux, ses lèvres pleines et sensuelles qui parcourent ton corps. Ça aussi tu apprécies plus que de raison.

Essayer de nouvelles positions, avec une femme, était totalement différent de tes précédentes relations. Mais c'était très bon. Aussi, quand Alejandra se retourna, te présentent sa fleur trempée, tu n'hésites pas. Souriante, taquine, ta langue commence à laper ce délicieux nectar qui coule, qui suinte si près de toi, et tes doigts se font aventureux, comme les siens, et caresses ses fesses, exerçant une tendre pression sur son anneau de velours. Tu t'amusais de ses soupirs, de ses gémissements, mais tu le lui rendais bien, soufflant contre sa peau, gémissant à ton tour en arquant le bassin sous son toucher ardent, brûlant, délicieux. Et qu'est-ce que tu adores l'entendre prononcer ainsi ton nom, le gémir... Tu pourrais presque t'y habituer .

Quand elle t'indiqua son tiroir, tu hésitas un instant. Mais bien vite, ta main se tendit, délaissant momentanément sa chair en feu pour ouvrir la commode et en tirer un très beau specimen de dildo, d'un rose éclatant, et de le présenter aux yeux de la belle brune. Ton sourire s'élargit, et plus encore en voyant l'expression de ton amante. Elle en avait envie, autant que toi. C'est dans un petit rire que tu hoches la tête. Un dernier baiser à ton intimité, et tes lèvres s'écartent. Tu frottes alors d'abord doucement le sextoy contre sa fente, laissant son lubrifiant naturel le faire luire, avant de poster le gland rose vif contre son intimité, repoussant presque délicatement les chairs pour l'insinuer en elle, écartant les parois cannelés avec une tendresse que tu ne te connaissais pas. Tu ne la lâchais pas du regard alors que l'objet pénétrait encore, plus loin, avant que tu ne le stoppe. Tu te dégageait légèrement, pour être plus à l'aise, et tu entrepris alors de le retirer.

« Te gusta eso ? demandas-tu dans ton espagnol le plus approximatif. »

Toi, en tout cas, tu adorais. Et tu faisais glisser l'objet encore et encore, d'un mouvement d'abord doux, puis ferme et décidé. Sensuel. Tu embrassais ses fesses en même temps, savourant leur douceur satinée.


Mais ce soir était une autre nuit encore, et tu ne doutes pas d'en garder des souvenirs très précis. Tu ne pus rien répondre, quand elle avoua avoir envie de toi. Tu étais suspendue à ses lèvres, si proches, avant qu'elle ne t'embrasse avec toute la fougue dont elle était capable. Tu lui répondit avec autant d'ardeur, autant de passion. Tu laissais sa main guider la tienne vers son intimité. Tu retrouvais la chaleur torride qui t'avais manqué ces dernières années. Tu retrouvais cette humidité abondante avec plaisir, et ton index et ton majeur ne se firent pas prier pour venir caresser ses lèvres intimes, s'insinuant rapidement entre les replis de chair. Tu la laissais commencer à baisser son pantalon, appréciant de la voir soupirer sous ton toucher, quand des bruits te tirèrent de ta transe sexuelle. Personne d'autre que toi ne verraient le corps exposé de ta déesse. D'un geste sûr, ferme et doux à la fois, tu attirais son corps contre le sien, délaissant momentanément sa fleur intime pour protéger sa pudeur des yeux inconnus. Elle réponds à ton étreinte avec autant de chaleur que toi, et ton cœur manque un battement. Mais tu tournes alors la tête pour voir arriver un couple de retraités qui prennent l'air, revenant sans doute d'un mariage étant donné leurs tenues distinguées. Alors tu pousse un peu plus Alejandra contre le mur, gardant tes bras derrière son dos pour lui éviter la fraîcheur du mur.

Tu entends l'homme murmurer un commentaire désapprobateur à sa compagne, sur les amours libérées d'aujourd'hui, sur les relations homosexuelles, et tu te retiens de tourner la tête pour lui répondre. Parce que tu le sais, tu le sens, tes prunelles de glace luisent face au mur, alors que tu as niché ta tête dans le creux du cou de ton amante. Heureusement, elle ne peux pas le voir. Et tu attends d'être certaine que le couple est loin, avant de t'écarter, tes yeux étant redevenus normaux. Tu esquisses un sourire malicieux, avant de retirer tes bras, doucement, venant enfin caresser les globes de chair si tentateur que la brune exhibe à ton regard impudique.

« J'ai aussi tellement envie de toi... Mais je crois qu'on ferait mieux de faire encore quelques mètres, jusqu'à l'agence... A moins de trouver une ruelle sombre entre temps... »
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
1267 mots.
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Dim 5 Mar - 17:28
Last night
with Quinn & Alejandra

C’était tout simplement délicieux. Goûter ce jus, encore une fois, goûter ce sexe, encore une fois, gpûter cette cyprine, encore une fois. Tu n’arrivais déjà plus à te passer de son goût, tu n’arrivais déjà plus à penser à autre chose que son délicat nectar, ce miel, cette gelée royale. Elle était telle la reine, telle la déesse. Tu sentais ce parfum tout simplement exquis, et tu te faisais avoir par ses attaques contre ta fente, par sa langue, aussi avide que la tienne de récolter le trésor enfermé dans ce coffre au trésor fermé par ces tendres lèvres, que tu adorais mordiller par moment, entre deux gémissements. Lorsque Quinn attrapa le dildo, ton regard était sans équivoque. Tu désirais, ardemment, qu’elle l’utilise. Tu la voulais, tu voulais mélanger ton fluide avec le sien, tu voulais être liée à cette beauté céleste. Ainsi, l’objet contre ton intimité te procura frissons et frémissements, tandis qu’elle l’inondait de ta mouille, avant de tendrement l’enfoncer. Tu crias. Un cri de plaisir, un gémissement intensifié, un doux murmure à l’oreille des dieux, pouvant rendre jalouse une banshee. Il n’était pas un cri surpuissant, mais la tonalité en disait long sur ton plaisir, et ton corps se cambrant, montrait à quel point l’effet attendu était atteint. Mais ce n’était pas tant l’objet de la pénétration qui avait créé cette intense émotion en toi, mais le fait que c’était elle qui l’avait fait. Cette « Hétérosexuelle ». Après cette nuit, tu espérais qu’elle change d’avis, qu’elle accepte plus facilement le sexe entre femmes. Tu voulais avoir d’autres occasions avec cette beauté blonde, cette incroyable demoiselle se livrant à l’exercice d’un plaisir longtemps considéré comme tabou, car entre deux personnes du même sexe. Mais bien qu’anciennement tabou, il était complètement envahissant, et chaque cellules de ton corps semblait ressentir le sexe planer au dessus d’elle.
Ainsi, tes fesses caressées, tu sentais l’objet rose aller toujours plus loin, t’arrachant des gémissements, des élévations de ta voix, des cris et des
Quiiiinn.
Et soudain, tout s’arrêta. Non contente, jetant un regard en arrière, comme suppliant la déesse de continuer, elle te demanda en espagnol si tu aimais cela, ainsi, tu pus jouer avec ta langue et lui répondre dans un espagnol parfait, te demandant si elle serait capable de comprendre, ne lui ayant pas encore tout appris, juste quelques mots.
Si me gusta. Oh, Dios mío, me encantaaaa. Continúa (Oui j’aime. Oh mon dieu, j’adoooore. Continue.)

Alors la blonde aux cheveux de blé commença à former de doux et tendres mouvements de va-et-vient, avant d’accélérer. Et si au début, de simples soupirs déchainés d’une passion comme les chutes étaient déchainées d’eau s’échappaient d’entre tes lèvres, bientôt, ce furent des trombes de gémissement, ta voix résonnant, encore et encore, dans une symphonie jubilatoire d’excitation ? IL n’y avait plus de place en toi pour l’énergie restante à câliner l’entre jambe parfumée de Quinn, tout étant d’un coup utilisé dans tes exclamations. Tes doigts se crispant, autour des jambes, des cuisses, de la nymphe à tes cotées, t’es pensées se perdaient en un flot constant de résonnance orales, de plaisir gagné, et bientôt, sans que tu ne puisses rien contrôler, tes dents attrapèrent l’intérieur de la cuisse de ton amante pour éviter de réveiller tout l’immeuble – et encore moins l’enfant dormant dans une chambre de ton appartement - et en un long râle de plaisir, tu jouis une nouvelle fois, ensevelissant l’objet rose fluo d’une mouille et de ton nectar. Alors tu tombas, épuisée, ta tête contre le pubis et l’intimité de ta partenaire, ton intimité devant la bouche de Quinn. Tu faillis rester comme ceci, mais l’envie de faire subir la même chose à la jolie demoiselle te faisant trop envie, tu te retournas, pour te mettre sur elle dans le bon sens, l’embrassant, avant de lui voler le dildo, et de lui présenter la face marquée de ton corps, de ton jus. Tu lui fis alors sucer l’objet, te retrouvant bientôt de nouveau excitée par cette belle femme léchant ce qui était entré en toi. Souriant, tu glissas lentement l’objet, une fois qu’il fut bien léché, vers son sexe, et tu le retournas, pour que l’autre partie touche ton intimité encore bien mouillée.
Alors tu lubrifias l’objet de nouveau, avant de faire entrer cette moitié en Quinn, dans un regard empli de malice. Ensuite, après un baiser aussi tendre que tu pouvais te le montrer au lit, tu relevas ton buste, restant à califourchon sur elle, avant de poser ce qu’elle avait lécher contre ton jardin secret. Et dans un regard empli de passion et de sous entendu, dans un regard perçant, qui refléta un instant, sans que tu ne le saches, la chaleur du brasier que ton corps pouvait devenir, tu laissas tes lèvres du bas s’ouvrir de nouveau, pour accueillir le plastique marqué de la langue de te belle amie.
Dès lors, dans un petit cri, tu sentis l’objet devenir en toi, et une fois qu’il eut touché le fond, tu pus sentir autre chose, un contact aussi merveilleux que cette nuit. La douceur d’une nuit d’été, la chaleur de l’un de ses baisers, la mouille qu’elle exhalait… Tu pus sentir, contre ton sexe, le sien, celui de Quinn, se frotter contre ton clitoris. Tu gémis d’autant plus, avant de commencer à te déhancher sur elle, à bouger ton bassin dans une danse hypnotisante, qui aurait pu être capable de réchauffer l’iceberg du Titanic, tant tu semblais sortir d’un rêves érotique et brûlant d’un désir immense. Et ta poitrine, bougeant avec toi, permettait à la beauté fatale de ne point perdre de la vue splendide que tu lui offrais, que tu lui donnais…
Et tes mains finirent par attraper les deux seins de la muse, et tu jouas avec, tandis que tu espérais que ton déhanché lui fasse un bel effet…


La main de Quinn faisait merveille contre ton intimité, deux de ses doigts caressant tendrement tes lèvres avant de pénétrer ton sexe, te faisant un bien fou. Elle était comme tu l’avais connue. Aussi bienveillante envers toi et tes désirs. Elle semblait avoir autant envie de toi que tu avais envie d’elle, et répondait avec la même fougue à tes baisers, à tes tentations, ne se laissant pas avoir, ne se laissant pas refuser de tels artéfacts. Ainsi, elle rigolait avec toi, te touchait, et jouait dans ton entre jambe, provoquant chez toi des spasmes de plaisir. Tu avais tant envie d’elle. Entre ton cœur qui battait de plus en plus fort, qui semblait rater des battements à chaque fois, et la tendresse, la douceur, la fougue des doigts de Quinn, tu pouvais presque palper l’envie, le plaisir, le sexe que tu désirais avec elle.
Alors que tu enlevais ton pantalon, chaude comme la braise, et osant, malgré la rue, prête à être totalement nue – était-ce les effets de l’alcool précédemment consommés, ou l’attirance telle que tu avais pour Quinn ? ou peut-être était-ce un mélange des deux ? Ainsi, tu descendant ton pantalon, faisant apparaître ton sous vêtement, lorsque les bruits précipitèrent la blonde contre toi, t’enlaçant dans une étreinte si belle et douce que tu ratas un battement de cœur, et rougis automatiquement. La serrant aussi fort qu’elle te gardait dans ses bras, tu entendis les deux vieux critiquer les relations homosexuelles, mais tu étais habituée à avoir ce genre de remarques. Quinn, en revanche, ne semblait pas aussi habituée, et c’était normal. Aussi lui soufflas tu tendrement Chhht ça va, ne t’en fais pas. Je ne me sens plus mal de puis longtemps, face à ce genre de remarque, et ils n’en valent pas la peine… Et tu la caressais, tendrement. Elle avait la tête dans ton cou, aussi pouvais tu laisser une de tes mains lui caresser les cheveux, doucement, tandis que les évènements te revenaient en tête : elle n’avait pas voulu que d’autres voient ton corps. Encore rouge, tu comprenais qu’elle te voulait pour elle seule, et ton cœur s’emballa. Cela voulait dire qu’elle tenait plus à toi que qi tu n’étais qu’un coup de quelques soirs, qu’un plan cul. Alors tu la serras contre toi, complètement rouge, avant de terminer par un Merci… Elle était si attentionnée envers toi…
Une fois que le couple fut parti, elle te remontra son visage, et tu souriais. Elle était belle. Tellement belle… Et elle attrapa ta poitrine, enfin, pour jouer avec, te faisant une sensation de bien être inexplicable… C’était doux, c’était agréable… C’était sentir les seins se faire masser, cela n’avait pas de prix… Et elle te révéla avoir envie de toi, et tu étais prête à parier qu’elle était trempée aussi… Autant que toi. Alors dans un rire, tu glissas ta main entre sa culotte et son pubis, juste pour sentir de nouveau contre tes doigts cette douceur, cette cyprine, que tu finis par sucer ensuite, avant de lui avouer que Vivement la prochaine ruelle alors…

Ainsi, vous vous remîtes en route, ton chemisier toujours ouvert, cachait néanmoins les tétons, ne laissant la place que pour l’imagination. Mais une fois proche de l’agence, tu profitas d’une ruelle pour tirer ta belle amante et la coller contre le mur, jouer à ce qu’elle avait voulu jouer un peu plus tôt, attrapant ses lèvres, avant de murmurer, dans ton fameux espagnol chaleureux No puedo esperar. (Je ne peux pas attendre)|
Et tu baissas ton pantalon, libérant tes jambes, longues, chaudes, belles, et quelque peu trempées au noveau de ton dernier sous vêtement, par l’envie, par le désir et l’excitation que Quinn savait créer en toi. C’était comme une explosion de saveur une fois qu’elle était devant toi, tu étais incapable de résister. Tu ne pouvais pas ne pas sentir le plaisir qu’elle te faisait exhiber, et tu avais besoin d’elle. Tu la voulais. Tu la voulais terriblement. Tu ne pouvais plus attendre vingt mètres – l’agence se trouvait à vingt-deux mètres exactement –, et tu lui soupiras Enlève la… avec les dents… por favor…, en lui désignant ta culotte noire en dentelle. C’était plus fort que toi, tu la voulais. Et tu voulais profiter de peu de personnes qu’il y avait, et de la ruelle, pour lui faire ressentir une excitation nouvelle : celle d’être possiblement vue, et surtout, d’avoir une amante nue qu’elle voulait pour elle seule dans la rue. C’était un jeu. Un jeu des plus sexy. Tu souris, lui signalant, une fois qu’elle eut enlevé la culotte et que t’étais retrouvée totalement nue, mis à part ton chemisier ouvert et tes chaussures à talons dévoilant tes pieds et ton tatouage, dans cette ruelle que Maintenant, Quinn… Amène moi à ton agence… Et tu sautas sur elle, enroulant son bassin de tes longues jambes, te collant à elle, la serrant dans ses bras. Tu enfouis ta tête dans son cou, et tu lui susurras Je ne vais plus pouvoir me passer de toi, je te préviens. en souriant, avant de lui mordiller le cou, puis de continuer sur une proposition : Dis moi… Quinn avait marché, te portant, protégeant ton corps complètement dénudé de toute vision possible autre que la sienne, et te déposa, une fois la porte de l’agence passée. Ainsi, complètement nue, sans aucun risque d’être vue par une autre personne, tu te collas à la belle, soulevant son haut, jusqu’à voir son soutien gorge, sous vêtement qui fut alors rapidement enlevé. Puis, une fois que tes mains sur sa poitrine l’eurent poussée contre le canapé, la faisant basculer en arrière pour ensuite te glisser sur elle, tu continuas. Est-ce que cela te dirait de… d’emménager avec moi et Alycia ? Tu souriais, tout en aidant Quinn à se débarrasser de son pantalon, laissant ainsi son intimité révélée, et aussi tôt caressée par ta main. Cela te permettrait sans doute de t’échapper de ton agence la nuit, et les jours de repos… Et de passer du temps avec moi ? Et Alycia, bien entendu…
Tu souriais, venant l’embrasser, enlevant finalement complètement son haut, et enlevant tes chaussures et ton chemisier, qui finirent au sol. Vous étiez alors toutes deux nues sur le canapé.
Cela me plairait beaucoup… Et chaque fois que nous le voudrions, nous serions capable de… faire ceci…
Et tu l’embrassas passionnément, ton cœur semblant accélérer, par le stress amené par l’attente de sa réponse. Tu avais tant envie qu’elle dise oui… Sans doute parce qu’au fond de toi, tu savais que tu l’aimais ? Ou peut-être que ton corps savait tout simplement ce que tu désirais mieux que toi…
Mais une chose était sûre : tu voulais qu’elle accepte…
Tu la voulais avec toi…
Tu la voulais.

electric bird.




PS : en narration italique, tu as la partie flash back ^^
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Dim 2 Avr - 13:06
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Non, en effet, tu n'avais pas l'habitude des réactions des gens face à l'homosexualité. Pour toi, c'était normal, c'était naturel. Que tu soi avec un homme ou avec une femme, tu n'avais pas à en avoir honte. Et tu ne comprenais pas l'étroitesse d'esprit de certaines personnes. Tu ne comprenais pas qu'ils ne se contentent pas de passer leur chemin, sans rien dire, laissant deux adultes consentants faire ce qu'ils désiraient de leurs corps, de leurs coeurs. Ces gens-là, tu voulais leur casser la gueule, leur hurler de laisser les autres vivre comme ils l'entendaient. Mais tu voulais aussi protéger ta belle latine de ces commentaires malveillants. Tu voulais protéger son corps souple et magnifique du regard hautain et mauvais de certains, ou lubrique et concupiscent des autres. Tu voulais son corps pour toi, rien que pour toi. Un tel trésor ne devait pas être mis entre les mains de n'importe qui. Un tel filon de beauté devait rester caché pour n'être apprécié que de ceux qui le pouvaient. Comme toi, par exemple. Mais, étais-tu jalouse ? Non, quand même pas. Si ? Un peu peut-être. Bon oui, tu étais un peu jalouse, et tu n'en comprenais pas encore la raison. Alors tu refoulais cette aigreur au fond de ton être pour te concentrer sur le moment présent.

Et tandis que tu appréciais la fermeté de ses seins, la douceur de sa peau, elle souriait, resplendissant dans la faible lueur du lampadaire. Et elle jouait avec toi, glissant ses doigts agiles entre ta peau et le satin de ton sous-vêtement, taquinant ta fleur humide, récoltant ton nectar pour ensuite venir l'y goûter en suçotant la pulpe de son doigt. Un sourire coquin barrait ton visage, et tes prunelles glacées pétillaient de ce plaisir qu'elle te faisait ressentir.

Vous avez ensuite repris votre route, complices, et tu ne pouvais empêcher ton regard de loucher sur sa peau satinée. Son chemisier ouvert ne cachait que les tétons, que la pudeur réprimait, et te laissais voir l'arrondi de sa poitrine généreuse, et son ventre plat, délicatement ciselé par les muscles abdominaux. Tu brûlais d'envie de l'embrasser, de l'embraser. Tu t'imaginais déjà faire couler le pétillant d'une bouteille de champagne entre ses seins, et de venir lécher le liquide en commençant par son nombril. Ton esprit s'échauffait, et tes joues prirent cette délicate teinte rosée que l'excitation faisait naître.

Non loin de l'agence, une petite ruelle fort opportune se présenta à vous. Alejandra ne manqua évidemment pas de la remarquer, et elle t'y entraîna avec une lueur coquine au fond de son regard de braise. La brune ne perdit pas de temps pour commencer le jeu qu'elle imaginait, et elle découvrit ses longues et adorables jambes en enlevant son pantalon, la laissant avec un chemisier presque indécemment ouvert, une petite culotte de dentelle noire, et une paire de talons qui galbait encore ses jambes magnifiques. Qui rehaussait la beauté de son postérieur rebondi. Qui t'excitais terriblement. Et ce petit tatouage, qui ornait son pied, était la cerise sur le gâteau. A moins que ça ne soit la tâche plus sombre qui indiquait le désir de la latine ? Tu ne savais pas trop que choisir.

Tu n'hésites pas un instant quand elle te demande d'enlever sa culotte, et avec les dents s'il te plaît. Ton sourire s'agrandit, et tu viens t'agenouiller face à elle, laissant tes genoux se poser sur le macadam. Tes mains se crochetèrent sur ses hanches, comme pour résister à l'envie de glisser le long de ses jambes de déesse, et tes lèvres s'approchèrent du bas de son ventre. Tu embrasse doucement sa peau délicieusement douce, partant de son nombril (où tu laisse la langue effleurer sensuellement les contours), et descendant peu à peu vers la dentelle humide. Tu  colle tes lèvres impatientes sur le tissu, léchant la tâche plus sombre, aspirant délicatement la chair à travers, avant de dévier sur le côté. Tes mains englobent les lunes jumelles de ses fesses, encore emprisonnées par le sous-vêtement, avant de remonter contre ses reins, pour la tenir contre toi. Tes dents trouvent le bord droit de la culotte, et tu tire doucement, dévoilant une partie de la chair dorée de ta compagne, avant de t'intéresser à l'autre côté. Tu y répètes ton petit manège, serrant la taille fine d'Alejandra entre tes doigts impatients, imprimant de petits cercles sur sa peau douce. Peu à peu, tu fais descendre la culotte le long de ses jambes de mannequin, jusqu'à ce qu'elle glisse toute seule jusqu'au sol. Tu pousses même le vice à creuser ton bassin, remontant ta croupe moulée dans ce fabuleux short en jean qui mettait tes jambes en valeur.

Te redressant, une fois ta tâche accomplie, tu as du mal à lâcher sa peau chaude et délicieuse, mais tu t'écartes légèrement, renouant rapidement ton chemisier sur ton ventre découvert, et réajustant le perfecto noir sur tes épaules. Alejandra vient s'accrocher à toi, nouant ses longues jambes dans ton dos, pour que tu la porte jusqu'à l'agence. En souriant, tu places tes mains sur ses fesses galbées pour les cacher aux regards impudiques (elle est à toi !), et tu la serres contre toi. Sa fleur trempée est en contact étroit avec ton ventre dénudé, et ses cuisses fermes se glissent à merveille sous le cuir noir que tu portes par-dessus ton petit chemisier.

« A vos ordres, ma déesse... Susurres-tu en réponse. »

Tu arrivais à l'agence, vingt-deux mètres plus loin, et tu déverrouillais la porte assez simplement. Porter Alejandra ne t'empêchais pas de pouvoir atteindre la poche et de prendre tes clés. Tu pénétrais dans ton sanctuaire, refermant la porte derrière vous d'une simple pression de tes pieds chaussés de bottines à talons aiguilles. Les rideaux étaient déjà tirés, et de ton coude, tu allumais la lumière tamisée que tu mettais en soirée, quand l'agence avait fermé ses portes. Ensuite seulement, tu consentis à relâcher ton étreinte sur le corps gracieux de tz compagne. Qui vint aussitôt se coller à toi. Tu souriais, appréciant sa beauté latine dénouer et soulever ton chemisier pour libérer ta poitrine, emprisonnée dans un carcan de satin. Quand cette barrière fut aussi tombée, la belle te poussa sur ton canapé, s'installant sur toi, contre toi, une fois que tu t'y sois allongée. Tu appréciais grandement cette situation, et ton sourire faisait pétiller tes prunelles d'un bleu glacé qui s'assombrissaient avec le désir.

La proposition suivante que fit Alejandra te laissa d'abord surprise. Sans voix. Tu ne t'y attendais pas du tout. Mais, une fois que ton esprit eut enregistré la scène, une fois que la belle eut exposé ses raisons (de très bonnes raisons, selon toi), tu ne pus que lui sourire tendrement, levant une main pour caresser sa joue, l'embrassant avec autant de passion qu'elle. Tu souriais de plus belle, incapable de comprendre pourquoi sa proposition avait le don de t'émouvoir à ce point, incapable de faire autre chose que de l'observer quitter son chemisier et ses talons. Tu répondais avec ardeur à son baiser, glissant tes mains dans sa crinière sombre pour mieux la coller contre toi. Tes jambes nues, à l'exception des bottines qui enveloppaient tes pieds et du short qui moulait tes fesses, s'enroulèrent autour de la belle créature qui se pressait contre toi. De quelques gestes adroits, tu te débarrassais des chaussures, qui rejoignirent celles d'Alejandra sur le sol.

« C'est une proposition inattendue, ma belle Alejandra, mais tellement tentante... Ton sourire s'élargit, avec que tu parsemais son visages de légers baisers. Je crois que je vais accepter... Mais il va falloir m'en convaincre plus... Intimement... »

Bien sûr que tu allais accepter. Tu ne voulais pas perdre cette opportunité de retrouver ta belle amante, et sa délicieuse fille. Tu ne voulais pas manquer cette occasion de te sentir à nouveau bien entourée dans ta vie, heureuse et comblée. Pourquoi ressentais-tu cela, d'ailleurs ? Tu n'avais jamais cherché à creuser plus loin pour le savoir. Tu ne voulais pas le savoir, peut-être. Tu craignais de le savoir. Non ?

Chassant ces questions indésirables de ta tête pour le moment, tu te concentrais que la femme terriblement sexy qui te chevauchait. Nue et incroyablement désirable. Tu la redressais un peu pour venir attraper la pointe de ses tétons entre les lèvres, les suçotant, les mordillant, les traitant avec la même douceur, la même passion, sans en oublier un seul, sans te montrer égoïste. Tes mains caressaient son dos, retraçant ses vertèbres, descendant peu à peu vers ses reins, vers ses fesses, que tu agrippais soudainement. D'un geste fluide, tu inversais vos positions, te retrouvant bien calée entre ses jambes délicieuses. Mais ton short en jean vous séparaient encore. Il t'empêchait de sentir la douceur trempée de son intimité quand tu te frottais contre elle. Avec un sourire, un petit rire, tu te redressais alors, te mettant à quelques distances de la tentatrice pour ôter cette dernière barrière de tissu qui empêchait vos corps de se reconnaître. De se retrouver.

Tu ne restais pas longtemps loin d'elle. Sitôt ton short sur le sol, tu revins prendre ta place, glissant l'une de tes cuisses entre les siennes, entourant l'une des siennes entre les tiennes. Tu t'allongeais sur elle, laissant ta poitrine se presser contre la sienne, ton ventre se frotter contre le sien. Tes mains entourèrent son visage, de part et d'autres, et tu posais tes coudes sur le canapé, t'appuyant sur tes avants-bras. Tu te penchais contre elle, l'embrassant d'abord à la manière égyptienne, en frottant tendrement ton nez contre le sien, puis à la manière des amantes que vous étiez, que vous êtes toujours, en capturant ses lèvres entre les tiennes, en les mordillant, en quémandant l'entrée en les caressant de ta langue.

Ta langue humidifiait tes lèvres, alors que la belle latine te chevauchait. L'instrument de plaisir, entre vous deux, te comblait autant que ce contact entre vous. Tu étais plus que trempée, plus qu'excitée. Et le plaisir qui venait enfler en toi, qui gonflait au creux de tes reins, était autant dû à la pénétration qu'à ce frottement entre vos fleurs épanouies. Tu bougeais les hanches contre les siennes, répondant à chacun de ses déhanché par un autre, appréciant l'escalade des plaisirs. Tes lèvres laissaient échapper des sons divins, des gémissements qui, lentement, se transformaient en cris. Tes doigts, d'abord taquin, venant agripper, câliner et masser la poitrine haute et ferme de ta compagne, glissèrent lentement contre son corps. Tes cheveux s'étalaient en corolle autour de ta tête, sur l'oreiller, alors que la marque des dents d'Alejandra sur ta cuisse -pour étouffer ses cris un peu plus tôt- se frottait contre elle, absorbant la sensation toujours vive de la sentir te mordre. Tu étais belle, mais ce n'était rien face à la déesse qui te chevauchait, qui dansait sur toi. Les mouvements lascifs de la belle n'en finissaient pas de t'exciter toujours plus, et tu sentais ce brasier en toi devenir presque insupportable, lancinant.

Tes mains vinrent finalement agripper ses hanches, accompagnant ses mouvements de balancier alors que le sextoy entre vous, en vous, remuaient, et frottaient vos parois cannelées. Tu soupirais de plus belle, ne voulant pas faire trop de bruits, mais tu étais incapable de te réprimer. A mesure que le plaisir grandissait, le niveau sonore s'élevait. Et pour finir, tu attirais la brune vers toi pour étouffer tes cris dans un baiser, collant vos corps encore plus intimement, épousant chaque courbe de ton amante. L'une de tes mains emprisonnait sa nuque, glissée dans sa crinière sombre, tandis que l'autre caressaient son dos en descendants, et venait s'agripper à ses reins, comme pour vous coller encore plus.

Tu ne pouvais plus faire retarder cette vague de plaisir qui déferlait en toi. Emprisonnant ses jambes entre les tiennes, tu gémissais contre ses lèvres alors que ton bassin s'arquait vers le sien. Tu tremblais de plaisir, de ferveur, alors que tes terminaisons nerveuses étaient comme parcourues par un choc électrique. L'orgasme tendit ton corps contre le sien, et tu retrouvais ton goût sur ses lèvres, se mêlant au sien qui était sur les tiennes.

« Oh, Alejandra, parvins-tu à peine à prononcer, quelques instants plus tard. »

Tu avais le souffle court et précipité, mais tes yeux -dont la pupille était élargie par le plaisir- évoquaient bien plus que des mots combien cette expérience avait été intense et inédite pour toi.
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
2156 mots.
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Lun 3 Avr - 7:36
Last night
with Quinn & Alejandra

Ces mouvements, tirés d’un divin enchantement, te permettant de bouger ainsi, vous permettant de vous rencontrer de cette façon, collant vos intimités à chaque période, frottant vos lèvres humides, mélangeant vos goûts, vos jus, vos nectars en un cocktail que tu aurais voulu boire, toucher de ta langue, pour tout au monde, faisaient trembler ton corps d’une extase, son corps d’un plaisir, votre union d’une excitation et d’une sensation sans pareille. En jouant avec elle, avec ces globes de chairs, avec ses jambes, tu te sentais gagnée par quelque chose de nouveau, que tu n’avais jamais eu, pas même avec l’autre femme qui avait pu te donner autant de passion, cette Rafaela d’antan. Non, avec Quinn, cette nuit était la première dans son genre, et la première avec celle lionne aux cheveux d’or te regardant avec tant de désir que tu sentais qu’elle allait te faire fondre, la chaleur de son regard de feu transperçant la mer présente en tes pupilles, dont chacun des iris semblaient exprimer ton envie. Tu souriais, tu y mettais du tien, tu gémissais alors que tu tentais de ne pas le faire, comme si tu avais peur que ta voix la fasse partir. Mais le résultat était incroyablement chaud, permettant à ton souffle sensuel d’atteindre les tympans de cette tigresse à l’âme sauvage. Ton corps se frottait au sien dans un engouement certain, ton cœur battait férocement avec tant de surprise que de plaisir, et tes jambes fermement cadenassées avec les siennes t’enfilaient sur ce jouet sexuel aussi aisément que tes muscles te le permettaient.

Lorsqu’elle jouait de tes seins, qu’elle titillait cette chair, qu’elle s’amusait avec tes tétons, et durcissait ces bouts roses, de courts spasmes se prolongeaient dans ton corps, d’autres gémissements sortaient d’entre tes lèvres, et quelques cris semblaient trouver le chemin hors de ta gorge… Cris que tu aurais bien aimé retenir. Il ne fallait pas que tu paraisses si faible, si facile à atteindre. Non pas que tout le monde pouvait parvenir à cet exploit… Là encore, Quinn était la première à te faire ressentir tant de passion. Mais c’était justement pour cette raison que tu ne voulais pas lui rendre la vie aussi facile, et voulais corser l’acte, pour qu’elle comprenne que ce n’était pas tout. Tu étais capable de plus, mais la rougeur de tes joues t’atteignait, et la douceur de son regard t’apaisait. Alors tu intensifiais tes mouvements, la faisant languir par moment, mais étendant le plaisir ressenti à chaque foulée, appuyant de ton bassin contre elle, qu’elle ressente tout ce que tu voulais lui donner, tout ce dont tu étais fière de lui apprendre, tout ce que ton plaisir signifiait.
Et elle bloqua ses mains sur tes hanches, fermement résolue à t’aider, mais ton sursaut se traduisit par un petit gémissement aigu, alors que d’un sourire, tu acceptas cette aide. Et tes yeux se verrouillèrent dans son regard de braise, alors que finalement, tu augmentais la cadence, sentant ton propre orgasme atteindre bientôt les portes de ce septième ciel dont parlaient les légendes, dont parlaient l’exquis d’un plaisir atteint. Alors tu fermas les yeux, tandis que tes mains vinrent s’appuyer sur les siennes, et dans le feu de l’action, dans la chaleur de tes mouvements, dans l’incendie de ta passion, tu finis par atteindre le plaisir du firmament, avant de continuer pour qu’elle entende les portes de ce ciel s’ouvrir à elle. Et lorsque ce fut le cas, lorsqu’elle prononça ton prénom, lorsque ses lèvres tremblant après l’orgasme osèrent prononcer les quatre syllabes de ton prénom, tes yeux s’écarquillèrent, tandis que ton cœur rata un battement. Tu rougis intensément, avant de te retirer, enlevant dans un sourire invisible – tu ne le savais pas, mais il rayonnait au dessus de ton amante – e l’objet ayant servi à votre action aussi merveilleuse que pimentée, pour finalement te laisser tomber sur elle, ton ventre se plaçant sur le sien, tes jambes cherchant l’entrelacement avec les siennes, ta poitrine écrasant la douce de Quinn, ton visage planant au dessus du sien, tu finis par l’embrasser longuement, ajoutant une dose d’un ingrédient tout à fait spécial, qui t’était toi-même inconnu, mais qui te rendait si heureuse, sans le savoir : une cuillérée de coup de foudre. Sans le savoir toi-même, ton cœur venait de choisir quelqu’un, et, tes yeux fermés pour profiter de ses lèvres, de sa langue, aussi longtemps que possible, il s’emballa tendrement, avant de finalement te laisser en paix, lorsque tu t’écartas. Ton sourire fendit alors ton visage, et d’une pincée de sensualité, tu ramenas ta main entre toi et elle, le dildo couvert de vos pulpes mélangées affichant un désir encore nouveau dans ton regard. Alors la partie ayant pénétré Quinn se retrouva attaqué par ta langue, sous ses yeux, avant que tu ne la suces, la regardant alors de telle sorte qu’elle aurait pu tomber amoureuse de ton visage, sinon être séduite. Tu souriais. Puis tu collas, dans un même temps, le côté ayant entrouvert tes lèvres sur ses merveilleuses lèvres, t’attendant à ce qu’elle « partage ce repas » avec toi. Et ta bouche laissant en paix ton côté finit par tomber à son oreille alors que t la laissais profiter de ton cocktail. Tes dents attrapèrent son oreille, enserrant cette dernière, tandis que ta langue venait caresser chaque partie de ce cartilage attrayant, avant que tes lèvres embrassent cette douce partie de son corps, aussi fragile qu’elle pouvait le paraître dans cet état touché par l’orgasme. Tu souris, avant de souffler chaleureusement dans le creux de cet otage que tes dent avaient fait :
Te gustó ? (As-tu aimé ?)Encore ton espagnol. Encore ton exotisme, dans l’oreille d’une américaine. Tu lui léchas le lobe, avant de revenir au devant de son visage d’ange, écartant le dildo pour reprendre ses lèvres, et finalement lui transmettre cette passion qui te rongeait encore et encore.

Et lorsque tu eus fini, lorsque tu la regardas tendrement, tes yeux clairs se focalisant sur les siens, bien plus clairs, tu lui mordis le nez, avant de sourire, tu lui léchas la joue, avant de rire, et tu roulas sur le côté, à ses côtés, la tournant dans un même temps, te retrouvant finalement dans son cou pour le mordre, ou plutôt aspirer, et créer un suçon, une marque que tu lui voulais, ta belle signature sur son cou de nymphe, sur son corps de divinité. Et te blottissant contre elle, tu finis par remonter ta langue, une fois la marque achevée, jusqu’à son menton, tes mains se mettant à caresser sa silhouette, à tracer ses formes, à activer chaque senseur de sa peau, pour qu’elle se rende compte de la puissance d’une caresse… Car désormais, elle avait atteint le septième ciel, encore, et à partir de là, son corps était forcément beaucoup plus sensible qu’à l’accoutumée, créant une friction encore sans doute jamais ressentie. Parce que c’était une chose avec un homme, mais la tendresse de tes doigts, le mouvement de ce toucher féminin, elle l’expérimentait pour la première fois, et tu voulais lui montrer que même sans atteindre l’une de ses parties, sans attaquer ni sa poitrine, si ses fesses, ni son intimité, et en exploitant tout son corps, tu pouvais lui faire vivre mille douceurs, dix mille bonheurs. Tes doigts partaient de ses hanches, remontant lentement, redescendant, puis passant sur son ventre si plat, si bien formé, si musclé. Tu pouvais sentir la puissance de ses abdominaux, et cela t’impressionnait, tu te demandais si tu avais les mêmes, si tes années d’entrainement, et la boxe – ton sport favori – t’avait forgé la même puissance, t’avait sculpté les mêmes muscles…
Et pendant ce temps, tes jambes avaient finies par entrelacer les siennes, lui faisant sentir la chaleur de tes cuisses, la fraicheur de tes touchers, et la douceur de tes pieds, qui venaient chatouiller les siens… Tout cela, sans perdre une goutte de son regard, et sans penser à autre chose que son plaisir…
Alors, dans un anglais quelque peu embrasé par ton plaisir, et sensuel par ton accent fortement prononcé, tu finis par lui dire, dans un souffle aussi chaud que celui d’un dragon,
La nuit ne fait que commencer, ma belle Quinn.

Sa pression sur tes hanches était si douce, tu avais l’impression d’être traitée comme une poupée de porcelaine entre les doigts de ta déesse aux cheveux de blés, et tu aimais cela. Le simple fait d’être aussi précieuse à Quinn te mettait dans un état second, un sentiment de bonheur parfait traversant tout ton corps sous la forme d’une impulsion électrique, un sourire galvanisant ton visage, une envie se créant d’autant plus, une intimité se mouillant grandement, et une attente qui te semblait durer trop longtemps lorsqu’elle posa ses lèvres sur ta culotte de dentelle, aspirant, provoquant en toi de nombreuses émotions, avant de tendrement attraper le bord et de tirer, de ses dents, le vêtement, le tissu, pour qu’il descende, lentement, doucement. C’était excitant, plaisant, de sentir ses dents passer d’un côté à l’autre de ton sous vêtement, pour finalement réussir à le laisser tomber au sol… Et alors que tu voulais plus que tout qu’elle appose ses lèvres sur ta fente trempée, tu fus régalée par un cambrement laissant apparaître la beauté fatale qu’était ta partenaire, alors qu’elle remontait, te frustrant autant qu’elle garantissait une nuit des plus torrides, sachant sans doute pertinemment que si elle commençait à t’assurer un cunnilingus, vous finiriez par faire votre amour dans cette ruelle, à la potentielle vue que tout le monde. Et bien que c’était excitant, tu ne désirais te montrer qu’à elle, maintenant que tu savais qu’elle ne te voulait que pour elle toute seule, et tu ressentais la même chose à son égard, voulant prévenir tout regard indiscret et étranger de venir admirer le fessier, le corps de ta belle lionne, la laissant alors nouer son chemisier, afin de coller ta fente contre son ventre, d’un sourire à faire chavirer n’importe quel cœur. Et d’un gémissement adorable, tu exprimas combien ses mains sur tes fesses te faisaient plaisir…

Ainsi, lorsque tu l’eus soumise à ta proposition, une fois que vous fûtes allongées dans ce canapé, tu attendis sa réponse, et une fois qu’elle t’eut demandée un argument de plus, tu adoras la sentir te redresser pour s’emparer de tes tétons, gémissant, adorant l’effet de sa langue, de ses dents, de ses lèvres contre ces petits bouts de chair roses. Et finalement, une fois que tu fus couchée sur le dos, et qu’elle retira son dernier vêtement, une fois qu’elle eut entrouvert tes jambes pour poser la sienne, qu’elle t’eut attrapée et embrasser, tu sentis la passion couler dans ta bouche, alors que sa langue venait entrelacer la tienne, alors que tes bras la serraient contre toi, alors que tes jambes se refermaient derrière la sienne, alors que tes yeux se plongeaient en elle, en son regard de braise aussi clair que le ciel d’un été fabuleux, alors que son toucher venait de couvrir de merveilles… Ton cœur battait si vite, et elle était collée à toi, elle pouvait le sentir, elle pouvait s’en rendre compte, avant que toi-même tu ne le saches… Cette univers de sentiments, d’émotions qui pouvaient s’accumuler, te traverser, elle pouvait le voir. Et rien que l’effet qu’avait son baiser pouvait lui mettre la puce à l’oreille, tandis que tes ongles appuyaient contre ses omoplates, tandis que ton regard l’implorait de ne point se retirer, tandis que tes dents prenaient en otage ses lèvres, sa langue, sa bouche. Tu ne voulais pas mettre fin à cet échange passionné, tu ne voulais que continuer, que partageais ce que tu ressentais. Et alors que tu entendais, et sentais son cœur s’accélérer comme le tien, tu finis par te faire du mal, terminant ce baiser avec contrecœur juste pour la regarder dans les yeux un moment, sourire, puis le refaire, collant tes lèvres avec passion et envie, descendant tes mains sur son dos, serrant vos deux corps l’un contre l’autre, attrapant ses fesses fermement, crispant tes doigts sur les deux lunes avant de t’attaquer à la vallée des merveilles, glissant un doigt entre les belles fesses de ta compagne avant de titiller son entrée, avant de frétiller avec envie, avant de sentir son intimité déborder d’un liquide affectueux, coulant sur ta fente déjà trop humide…

Lorsque ton second baiser prit fin, tu lui assuras tendrement que Je compte bien être si convaincante que tu tomberais amoureuse…Tu souris, en te demandant si ton cœur t’avait poussé à dire cela ainsi afin de voir si elle ressentait quelque chose, ou si c’était juste pour démontrer l’envie qui te prenait lorsque l’on venait à ton sujet favori, elle. Alors tu attaquas, glissant tes lèvres jusqu’à sa joue, que tu parsemas de délicats, et pourtant embrasés baisers, aussi sulfureux que l’envie qui grouillait en toi, qui bouillait de toutes ses forces, et alors que tu massais de tes lèvres, de tes dents, de ta langue, le futur endroit de ta marque, même signature que tu lui avais déjà fait, la première fois, qui signifiait quelque chose d’important, quelque chose que tu n’aurais jamais réellement cru accomplir la première fois, une appartenance… Le simple fait qu’elle ait voulu épargner les autres du regard sur ton corps t’avait tellement touché que désormais, cette marque, ce suçon représentait celle à qui tu voulais te donner, t’offrir, de tout ton être, de tout ton corps, de tout ton cœur, même si tu n’arrivais pas encore à voir… Ou plutôt à reconnaître. Car tu voyais, n’était-il pas ? Tu savais, au fond de toi que tu aimais cette femme, que tu pensais à elle, que tu rêvais d’elle, que tu la voulais, que tu la désirais plus que n’importe qui d’autre. Tu savais, mais tu redoutais ? Oui, tu craignais. Tu avais déjà aimé, dans ta vie. Cela n’avait jamais été aussi passionné qu’avec Quinn, mais cela avait été un véritable amour, et elle t’avait trahie. Tu ne t’en étais que difficilement remise, et la peur d’aimer à nouveau t’avait envahie… Tu avais eu du mal, et ce n’était que quelques temps, quelques semaines avant de rencontrer la blonde désormais nue contre toi que tu avais finalement surpassé ton mal-être… mais désormais, tu craignais d’aimer. Et tu craignais de ne pas faire le même effet à l’élue de ton cœur, alors tu le refermais, oubliant ce qu’il pouvait ressentir, ne te con centrant que sur le moment…
Et quel moment !

Doucement, l’une de tes mains se glissa entre ton ventre et le sien, avant d’avancer vers vos intimité, pour finalement écarter ses lèvres intimes, entrant un doigts puis deux, jouant avec sa pulpe, avec son vagin, avec son petit bouton de plaisir, tandis que son cou se faisait attaquer de nouveau, après cette première marque, par une avalanche de baisers, baisers qui se dirigeaient vers son menton, revenant à son visage, lançant l’offensive sur ses lèvres, les attrapant pour un nouveau baiser, doux et délicat, tendre et sucré, armé d’une pointe d’envie plus féroce que les précédents…
Puis ta tête se plaça en arrière, et ton cou se dévoila, prêt à être assailli de ses lèvres, à ressentir l’attaque de ses baisers, de ses suçon, ou de tout ce qu’elle voulait te faire.
Soy todo tuyo, mi Diosa. Hacer lo que quiera con mi cuerpo. (Je suis toute à toi, ma Déesse. Fais ce que tu veux de mon corps.)laissas tu échapper, alors que toute la douceur du monde venait de s’installer entre toi et elle, alors que tes doigts jouaient en elle, alors que ta main libre glissait sur son dos, alors que ton désir s’embrasait d’autant plus que tu savais qu’elle avait accepté ta proposition, alors que tu sentais que chaque nuit allait désormais ressembler à ce paradis qu’elle t’offrait, rien qu’avec ses baisers, avec ses touchers, avec ses caresses, en ajoutant ce qu’elle t’avait déjà donner, il y a longtemps, lors de cette nuit magique.
Tu la voulais tellement, c’était comme un rêve devenu réalité, la sensation de s’endormir, chaque soir, contre son corps incroyable, de faire des merveilles entre vous et de te blottir entre ses bras pour fermer les yeux en paix, te sentant alors protégée, te sentant heureuse, plus encore que n’importe quand dans ta vie…
Et tu t’offrais tellement, complètement, et absolument à elle, ce qui signifiait qu’elle avait le droit de tout te faire, de jouer avec ton corps comme elle l’entendait, pouvant abreuver chacun de ses désirs, de ses fantasmes avec toi, y compris celui qu’elle avait voulu te faire quelques temps plus tôt, en observant inlassablement la vallée d’entre tes seins, et ton ventre plat…
Mais laisse moi faire ce que je veux du tien ensuite…
Ta voix, toujours plus sensuelle, chauffée par le désir, l’envie, l’excitation et la luxure qui allait bientôt s’installer entre toi et son corps, entre elle et ta peau, entre vous deux, venait de faire un bond dans l’érotisme grâce à ton accent toujours prononcé, par ton accent que tu ne prenais plus la peine de tenter de corriger lorsque tu ressentais toutes ces émotions, lorsque ta fente se retrouvait aussi mouillée qu’elle l’était actuellement…
Te qu… Je te veux. (Je t’ai… Je te veux)
Heureusement que ton visage était penché vers l’arrière, vu la rougeur inscrit sur ce dernier… Tu venais de le dire. Tu venais tout juste, presque, de dire « Je t’aime », dans ta langue natale, et les tremblements de ton corps, ajoutés à ceux de l’excitation, du plaisir, et des gémissements entretenant les services que tu faisaient Quinn, venaient également de la peur que tu avais, au fond de toi. De la crainte qu’elle ne relève l’espagnol dans cette dernière phrase, qu’elle ne comprenne et ne renie ton sentiment… c’était toujours la même terreur qui s’emparait de toi, et c’était à cause d’elle que tu crispas tes doigts, à la fois en elle et sur son dos. L’avait-elle senti ? Avait-elle reconnu l’anxiété dans tes gestes, ajoutée à tous les bienfaits qu’elle te faisait ressentir, à tout le plaisir que tu avais ?

electric bird.




Comme d'hab, narration italique = flashback
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Anonymous
Sam 7 Oct - 9:39
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
« Si, me gusta mucho, tentas-tu de répondre dans ton espagnol approximatif. »

Ton regard était assombri par le plaisir, par le désir, par tout ce que t'inspirais cette délicieuse succube latine. Un sourire teinté de la satisfaction de l'orgasme se glissa sur tes lèvres gonflées, rougies par vos baisers. Tu aimais plus que tu ne l'aurais dû. Tu tenais à elle plus qu'à une simple conquête. Tu ne voulais pas creuser plus loin, mais tu ne pouvais t'en empêcher. Et d'une certaine manière, ça te faisais peur. Tu ne l'avouerais pas, bien sûr, mais l'idée que quelque chose de plus profond s'immisce entre vous, ça te terrifiais.

Une pétillement dans tes prunelles, et tu l'enlaces doucement, avant de retourner la situation, de laisser ton corps venir reposer sur le sien. Ton poids retenu seulement par tes avants-bras, tu viens l'embrasser à nouveau, laissant vos jambes entremêlées.

« Chaque minute de cette nuit est un délice, Alejandra. Et j'ai bien l'intention d'en profiter, de chaque petite seconde, de chaque souffle, de chaque caresse... »

Comme pour appuyer tes dires, tes lèvres glissent contre les siennes, venant chatouiller son menton, puis son cou et continuèrent leur descente sensuelle, embrassant, mordillant, jouant contre la douceur satinée de la peau de ton amante.


Un soupçon de malice se glissa dans ton regard embrasé. Tu souriais, tu l'observais, tu subissais avec un plaisir certains les caresses dont elle te gratifiais. Ton corps se frottait contre le sien, partageant ta chaleur, partageant ton désir, alors que ses doigts dansaient au creux de ton corps. Tu soupiras doucement, un souffle tremblant, empli de cette envie qu'elle ne cessait de t'inspirer.

« Ton argumentaire sera sûrement très bien construit, glisses-tu avec un sourire malicieux. »

Et ça ne te déplairais pas. Tu n'as pas envie d'explorer les sentiments profonds qu'elle t'évoque, mais tu le sais, ce n'est pas juste une partenaire. Ce n'est pas juste une partie de jambe-en-l'air. Pourtant, tu te voiles la face, tu ne creuses pas plus loin. Tu préfères ressentir votre désir mutuel. Tu préfères la voir se tordre de plaisir sous tes caresses, ou la voir arborer ce regard de braise lorsqu'elle te donnais un aperçu de sa douceur, de sa passion. Oh oui, tu préfères les gestes à l'introspection. Même si tu sais que ton attachement est plus profond.

Un baiser, et tu ne penses plus. Un baiser, et ton corps s'agite, se frottant contre elle, contre ses doigts de fée. Une étreinte, légère mais conséquente, un soupir, un gémissement. Tu comprends mieux l'espagnol, maintenant, et tu te mordilles les lèvres quand elle te parles. Faire ce que tu veux d'elle ? Oh mais tu en as bien l'intention. Avant que l'aube ne pointe le bout de son nez, vous serez toutes les deux en nage, comblées, prêtes à vous laisser aller à un sommeil réparateur. Vous serez enlacées, au chaud, prêtes à vous endormir l'une contre l'autre.

« Mon corps est tien, mi espléndida belleza latina, lui souffles-tu en caressant ses lèvres des tiennes. (ma splendide beauté latine) »

Si tu as surpris la soudaine raideur des gestes de ton amante, tu n'en n'a pas tenu compte. Tu n'as pas voulu t'enhardir au-delà de vos corps, et tu laisses passer bien volontiers ce qu'elle aurait voulu dire avant de se reprendre. Tu n'es pas prête à l'entendre. Tu n'es pas prête à l'admettre. Et d'un côté, tu te sens coupable aussi.

Tes lèvres viennent flatter sa gorge, comme pour te faire pardonner de ne pas vouloir creuser plus loin dans tes sentiments, ta langue vient caresser sa peau aussi douce que la soie, aussi brûlante que des braises. Tu ondules tes hanches contre elle, et tes doigts parcourent son corps comme si c'était une merveille fragile, hors de prix, qu'il fallait déguster, apprécier, et non pas vandaliser.

Une main glisse toutefois en dehors du canapé, et fouilles dans un tiroir à côté. Elle en ressort avec un instrument qu'Alejandra reconnaîtra sûrement, puisqu'il s'agissait d'un présent qu'elle t'avais fait. Il s'agissait de ce gode merveilleux qui vous permettait des plaisirs indicibles. Mais ta main ne s'arrête pas là. Pendant que sa jumelle continue d'honorer le corps de ta déesse brune, pendant que tes lèvres continuent de la goûter, de la déguster, elle ressort un autre instrument de ce tiroir. Un petit instrument qui ressemblait vaguement à une brosse à dent électrique. Mais le bout plus fin n'était pas conçu pour nettoyer l'émail blanc de la dentition. Avec un sourire de plaisir anticipé, tu te relèves doucement, t'appuyant sur tes avants-bras, pour glisser plus bas. Tes lèvres tracent un sillon de baisers enflammés contre sa peau, et tu finis par laisser une main revenir contre l'intimité trempée de ton amante. Le petit accessoire que tu as sorti du tiroir bien en main, tu laisses un doigt le mettre en route, et la petite boule commença alors à vibrer. Tu caressais sa perle, autour d'abord, sans cesser de l'embrasser. Tu l'explorais, laissant les vibrations légères faire leur effet, et tu relevas le regard, observant les réactions de ta belle.

« Cómo es ?, lui demandes-tu alors, un sourire malicieux aux lèvres. »

(Le petit appareil qui ressemble à une brosse à dent électrique)
Couleur des paroles de Quinn : #cc33ff
917 mots.
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