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Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [Evènement LIBRE] Une soirée festive, un bon festin.
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [Evènement LIBRE] Une soirée festive, un bon festin.    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyMar 31 Oct - 8:25
  • Quinn L. Avery
  • Everyone (and Alejandra)
Une soirée festive, un bon festin
Oh, tu ne t'en lassais pas d'admirer l'anneau qui ornait le doigt de ta copine. De ta fiancée, plus exactement. Rien qu'à la voir, sublime perle latine qui avait bouleversé sa vie, Tu as les yeux qui brillent. Amour, tendresse, désir... Toutes ces émotions, pour une seule et même personne. Pour Alejandra. Tu la tiens contre toi, et Alejandra fait de même. Fermement. Pour ne pas qu'elle s'échappe, qu'elle se brise, pour la protéger, pour rester noyée dans la douce fragrance qui s'échappait d'elle. Un sourire comblé orne tes lèvres, pour l'occasion nappées d'un rouge à lèvre profond. De la couleur de l'amour qui vous lient, toutes les deux. Tu admires sa silhouette svelte, féline, et tu en baves presque d'envie. Mais tu sais te contenir, à peu près. Et tu sais que tu es la seule à avoir le droit d'ouvrir ce ravissant écrin écarlate qui enveloppe ton âme sœur. Alors tu vas patienter. Tu vous observe dans un miroir, avant d'entrer dans l'immeuble. Vous êtes magnifiquement assorties. Ta robe est aussi dans les tons carmin, mais elle est plus sombre. Une langue de dentelle découvre même ta peau, au niveau de ton décolleté, si bien que même si la robe remonte jusqu'à tes clavicules, on aperçoit quand même la naissance de tes seins. Rien de provoquant, rien de vulgaire. C'est décent, mais c'est sexy. Et tu sais que ta tenue plaît à Alejandra. Tu l'as vue te dévorer des yeux quand tu lui as montré. Un sourire amusé se glisse alors sur tes lèvres.

« Affirmatif, querida, lui souffles-tu alors que vous faites votre entrée. »

Devant tes yeux s'étale une vraie soirée comme tu en as rarement vue. Distinguée, et pour l'instant sans tension. Tu observes les gens, saluant d'un sourire et d'un signe de tête ce que tu connaissais, observant les autres avec curiosité. Tu as beau t'être installée à Beacon Hills depuis un moment, tu ne connais pas tout le monde. Oh, tu as quelques dossiers sur certains, selon leur implication dans ta vie, dans celle d'Alejandra ou dans tes enquêtes, mais ce n'est pas pareil que de se lier avec eux. Tu as toujours eu tendance à être trop prudente, à ce niveau-là. Depuis que l'on t'as trahie, alors que tu étais gamine, tu évalue soigneusement tout ceux qui croisent ton chemin. Et puis, c'est peut-être aussi une déformation professionnelle. En tant que détective privé, faire des recherches sur les gens c'est la base.

Acceptant la coupe que te tendais Alejandra, tu ne peux t'empêcher de laisser tes doigts glisser contre les siens avant de prendre la coupe. Comme si vous en étiez toujours à vous draguer. Tu lui souris, et tu l'embrasse doucement également, prenant garde à ne pas défaire votre maquillage. Tu n'aurais rien contre, bien entendu, mais ça attendrait la fin de cette soirée, quand vous serez en privé.

« Il faut croire que nos bagages étaient trop lourds pour s'en défaire aussi facilement, réponds-tu doucement. Je t'aime aussi ma douce. Plus que je n'aurais jamais pensé pouvoir le faire. Tu m'as guérie, tu sais ? »

Tu l'embrasses à nouveau, ravie de savoir que tu étais la seule à pouvoir le faire, et encore plus ravie de susciter la jalousie des hommes qui la convoitait. Le son de sa voix était précieux, à tes yeux, et tu ne t'en lassais pas, écoutant avec attention tout ce qu'elle te disait.

« Vraiment ? Elle en a de la chance alors, j'imagine. Moins que nous, mais quand même, glisses-tu avec un petit sourire taquin. »

Tu n'en tiendrais pas moins ce Reed à l'oeil. Déformation professionnelle ou protection féroce de ceux qui gravitaient autour de vous ? Tu n'en savais rien, mais le résultat était le même.

« Et tu ne va pas le regretter, je te le promet, mi amor. »

Tes yeux s'égaraient sur le reste de la salle alors que tu serrais les doigts d'Alejandra entre les tiens. Tu repères Woflgang, un peu plus lui, mais avant que tu n'aies décidé si vous alliez le saluer ou pas, avec sa ravissante compagne, le maître des lieux apparu enfin. Le fameux Reed, donc. Il était plutôt bel homme, ça tu ne pouvais pas le lui enlever. Ton instinct te disait cependant de te méfier, mais pour une fois, tu ne l'écoutas pas. Tu préfère largement te concentrer sur ta belle compagne. D'ailleurs, sitôt que le maître des lieux eu prononcé quelques mots, tu te tournes vers la belle latine.

« Que dirais-tu d'aller danser ? Montrons à tous combien nous sommes bien assorties... Et entraînons-nous pour notre mariage ? »

Tes yeux brillaient de malice, comme souvent, mais de tendresse aussi, alors que tu portais sur Alejandra un regard plein d'amour. Ta main se glissa dans la sienne, et tu l'entraînes alors sur la piste de danse, délaissant vos coupe de champagne pour mieux l'enlacer.

« Si, un jour, j'avais imaginé ça... Eh bien ça aurait été bien en-deçà de mes espérances les plus folles... Lui souffles-tu à l'oreille en te rapprochant d'elle. »
Couleur des paroles de Quinn : {#}cc33ff{/#}
893 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySam 7 Oct - 9:39
Le petit appareil qui ressemble à une brosse à dent électrique)
Couleur des paroles de Quinn : {#}cc33ff{/#}
917 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 2 Avr - 13:06
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Non, en effet, tu n'avais pas l'habitude des réactions des gens face à l'homosexualité. Pour toi, c'était normal, c'était naturel. Que tu soi avec un homme ou avec une femme, tu n'avais pas à en avoir honte. Et tu ne comprenais pas l'étroitesse d'esprit de certaines personnes. Tu ne comprenais pas qu'ils ne se contentent pas de passer leur chemin, sans rien dire, laissant deux adultes consentants faire ce qu'ils désiraient de leurs corps, de leurs coeurs. Ces gens-là, tu voulais leur casser la gueule, leur hurler de laisser les autres vivre comme ils l'entendaient. Mais tu voulais aussi protéger ta belle latine de ces commentaires malveillants. Tu voulais protéger son corps souple et magnifique du regard hautain et mauvais de certains, ou lubrique et concupiscent des autres. Tu voulais son corps pour toi, rien que pour toi. Un tel trésor ne devait pas être mis entre les mains de n'importe qui. Un tel filon de beauté devait rester caché pour n'être apprécié que de ceux qui le pouvaient. Comme toi, par exemple. Mais, étais-tu jalouse ? Non, quand même pas. Si ? Un peu peut-être. Bon oui, tu étais un peu jalouse, et tu n'en comprenais pas encore la raison. Alors tu refoulais cette aigreur au fond de ton être pour te concentrer sur le moment présent.

Et tandis que tu appréciais la fermeté de ses seins, la douceur de sa peau, elle souriait, resplendissant dans la faible lueur du lampadaire. Et elle jouait avec toi, glissant ses doigts agiles entre ta peau et le satin de ton sous-vêtement, taquinant ta fleur humide, récoltant ton nectar pour ensuite venir l'y goûter en suçotant la pulpe de son doigt. Un sourire coquin barrait ton visage, et tes prunelles glacées pétillaient de ce plaisir qu'elle te faisait ressentir.

Vous avez ensuite repris votre route, complices, et tu ne pouvais empêcher ton regard de loucher sur sa peau satinée. Son chemisier ouvert ne cachait que les tétons, que la pudeur réprimait, et te laissais voir l'arrondi de sa poitrine généreuse, et son ventre plat, délicatement ciselé par les muscles abdominaux. Tu brûlais d'envie de l'embrasser, de l'embraser. Tu t'imaginais déjà faire couler le pétillant d'une bouteille de champagne entre ses seins, et de venir lécher le liquide en commençant par son nombril. Ton esprit s'échauffait, et tes joues prirent cette délicate teinte rosée que l'excitation faisait naître.

Non loin de l'agence, une petite ruelle fort opportune se présenta à vous. Alejandra ne manqua évidemment pas de la remarquer, et elle t'y entraîna avec une lueur coquine au fond de son regard de braise. La brune ne perdit pas de temps pour commencer le jeu qu'elle imaginait, et elle découvrit ses longues et adorables jambes en enlevant son pantalon, la laissant avec un chemisier presque indécemment ouvert, une petite culotte de dentelle noire, et une paire de talons qui galbait encore ses jambes magnifiques. Qui rehaussait la beauté de son postérieur rebondi. Qui t'excitais terriblement. Et ce petit tatouage, qui ornait son pied, était la cerise sur le gâteau. A moins que ça ne soit la tâche plus sombre qui indiquait le désir de la latine ? Tu ne savais pas trop que choisir.

Tu n'hésites pas un instant quand elle te demande d'enlever sa culotte, et avec les dents s'il te plaît. Ton sourire s'agrandit, et tu viens t'agenouiller face à elle, laissant tes genoux se poser sur le macadam. Tes mains se crochetèrent sur ses hanches, comme pour résister à l'envie de glisser le long de ses jambes de déesse, et tes lèvres s'approchèrent du bas de son ventre. Tu embrasse doucement sa peau délicieusement douce, partant de son nombril (où tu laisse la langue effleurer sensuellement les contours), et descendant peu à peu vers la dentelle humide. Tu  colle tes lèvres impatientes sur le tissu, léchant la tâche plus sombre, aspirant délicatement la chair à travers, avant de dévier sur le côté. Tes mains englobent les lunes jumelles de ses fesses, encore emprisonnées par le sous-vêtement, avant de remonter contre ses reins, pour la tenir contre toi. Tes dents trouvent le bord droit de la culotte, et tu tire doucement, dévoilant une partie de la chair dorée de ta compagne, avant de t'intéresser à l'autre côté. Tu y répètes ton petit manège, serrant la taille fine d'Alejandra entre tes doigts impatients, imprimant de petits cercles sur sa peau douce. Peu à peu, tu fais descendre la culotte le long de ses jambes de mannequin, jusqu'à ce qu'elle glisse toute seule jusqu'au sol. Tu pousses même le vice à creuser ton bassin, remontant ta croupe moulée dans ce fabuleux short en jean qui mettait tes jambes en valeur.

Te redressant, une fois ta tâche accomplie, tu as du mal à lâcher sa peau chaude et délicieuse, mais tu t'écartes légèrement, renouant rapidement ton chemisier sur ton ventre découvert, et réajustant le perfecto noir sur tes épaules. Alejandra vient s'accrocher à toi, nouant ses longues jambes dans ton dos, pour que tu la porte jusqu'à l'agence. En souriant, tu places tes mains sur ses fesses galbées pour les cacher aux regards impudiques (elle est à toi !), et tu la serres contre toi. Sa fleur trempée est en contact étroit avec ton ventre dénudé, et ses cuisses fermes se glissent à merveille sous le cuir noir que tu portes par-dessus ton petit chemisier.

« A vos ordres, ma déesse... Susurres-tu en réponse. »

Tu arrivais à l'agence, vingt-deux mètres plus loin, et tu déverrouillais la porte assez simplement. Porter Alejandra ne t'empêchais pas de pouvoir atteindre la poche et de prendre tes clés. Tu pénétrais dans ton sanctuaire, refermant la porte derrière vous d'une simple pression de tes pieds chaussés de bottines à talons aiguilles. Les rideaux étaient déjà tirés, et de ton coude, tu allumais la lumière tamisée que tu mettais en soirée, quand l'agence avait fermé ses portes. Ensuite seulement, tu consentis à relâcher ton étreinte sur le corps gracieux de tz compagne. Qui vint aussitôt se coller à toi. Tu souriais, appréciant sa beauté latine dénouer et soulever ton chemisier pour libérer ta poitrine, emprisonnée dans un carcan de satin. Quand cette barrière fut aussi tombée, la belle te poussa sur ton canapé, s'installant sur toi, contre toi, une fois que tu t'y sois allongée. Tu appréciais grandement cette situation, et ton sourire faisait pétiller tes prunelles d'un bleu glacé qui s'assombrissaient avec le désir.

La proposition suivante que fit Alejandra te laissa d'abord surprise. Sans voix. Tu ne t'y attendais pas du tout. Mais, une fois que ton esprit eut enregistré la scène, une fois que la belle eut exposé ses raisons (de très bonnes raisons, selon toi), tu ne pus que lui sourire tendrement, levant une main pour caresser sa joue, l'embrassant avec autant de passion qu'elle. Tu souriais de plus belle, incapable de comprendre pourquoi sa proposition avait le don de t'émouvoir à ce point, incapable de faire autre chose que de l'observer quitter son chemisier et ses talons. Tu répondais avec ardeur à son baiser, glissant tes mains dans sa crinière sombre pour mieux la coller contre toi. Tes jambes nues, à l'exception des bottines qui enveloppaient tes pieds et du short qui moulait tes fesses, s'enroulèrent autour de la belle créature qui se pressait contre toi. De quelques gestes adroits, tu te débarrassais des chaussures, qui rejoignirent celles d'Alejandra sur le sol.

« C'est une proposition inattendue, ma belle Alejandra, mais tellement tentante... Ton sourire s'élargit, avec que tu parsemais son visages de légers baisers. Je crois que je vais accepter... Mais il va falloir m'en convaincre plus... Intimement... »

Bien sûr que tu allais accepter. Tu ne voulais pas perdre cette opportunité de retrouver ta belle amante, et sa délicieuse fille. Tu ne voulais pas manquer cette occasion de te sentir à nouveau bien entourée dans ta vie, heureuse et comblée. Pourquoi ressentais-tu cela, d'ailleurs ? Tu n'avais jamais cherché à creuser plus loin pour le savoir. Tu ne voulais pas le savoir, peut-être. Tu craignais de le savoir. Non ?

Chassant ces questions indésirables de ta tête pour le moment, tu te concentrais que la femme terriblement sexy qui te chevauchait. Nue et incroyablement désirable. Tu la redressais un peu pour venir attraper la pointe de ses tétons entre les lèvres, les suçotant, les mordillant, les traitant avec la même douceur, la même passion, sans en oublier un seul, sans te montrer égoïste. Tes mains caressaient son dos, retraçant ses vertèbres, descendant peu à peu vers ses reins, vers ses fesses, que tu agrippais soudainement. D'un geste fluide, tu inversais vos positions, te retrouvant bien calée entre ses jambes délicieuses. Mais ton short en jean vous séparaient encore. Il t'empêchait de sentir la douceur trempée de son intimité quand tu te frottais contre elle. Avec un sourire, un petit rire, tu te redressais alors, te mettant à quelques distances de la tentatrice pour ôter cette dernière barrière de tissu qui empêchait vos corps de se reconnaître. De se retrouver.

Tu ne restais pas longtemps loin d'elle. Sitôt ton short sur le sol, tu revins prendre ta place, glissant l'une de tes cuisses entre les siennes, entourant l'une des siennes entre les tiennes. Tu t'allongeais sur elle, laissant ta poitrine se presser contre la sienne, ton ventre se frotter contre le sien. Tes mains entourèrent son visage, de part et d'autres, et tu posais tes coudes sur le canapé, t'appuyant sur tes avants-bras. Tu te penchais contre elle, l'embrassant d'abord à la manière égyptienne, en frottant tendrement ton nez contre le sien, puis à la manière des amantes que vous étiez, que vous êtes toujours, en capturant ses lèvres entre les tiennes, en les mordillant, en quémandant l'entrée en les caressant de ta langue.

Ta langue humidifiait tes lèvres, alors que la belle latine te chevauchait. L'instrument de plaisir, entre vous deux, te comblait autant que ce contact entre vous. Tu étais plus que trempée, plus qu'excitée. Et le plaisir qui venait enfler en toi, qui gonflait au creux de tes reins, était autant dû à la pénétration qu'à ce frottement entre vos fleurs épanouies. Tu bougeais les hanches contre les siennes, répondant à chacun de ses déhanché par un autre, appréciant l'escalade des plaisirs. Tes lèvres laissaient échapper des sons divins, des gémissements qui, lentement, se transformaient en cris. Tes doigts, d'abord taquin, venant agripper, câliner et masser la poitrine haute et ferme de ta compagne, glissèrent lentement contre son corps. Tes cheveux s'étalaient en corolle autour de ta tête, sur l'oreiller, alors que la marque des dents d'Alejandra sur ta cuisse -pour étouffer ses cris un peu plus tôt- se frottait contre elle, absorbant la sensation toujours vive de la sentir te mordre. Tu étais belle, mais ce n'était rien face à la déesse qui te chevauchait, qui dansait sur toi. Les mouvements lascifs de la belle n'en finissaient pas de t'exciter toujours plus, et tu sentais ce brasier en toi devenir presque insupportable, lancinant.

Tes mains vinrent finalement agripper ses hanches, accompagnant ses mouvements de balancier alors que le sextoy entre vous, en vous, remuaient, et frottaient vos parois cannelées. Tu soupirais de plus belle, ne voulant pas faire trop de bruits, mais tu étais incapable de te réprimer. A mesure que le plaisir grandissait, le niveau sonore s'élevait. Et pour finir, tu attirais la brune vers toi pour étouffer tes cris dans un baiser, collant vos corps encore plus intimement, épousant chaque courbe de ton amante. L'une de tes mains emprisonnait sa nuque, glissée dans sa crinière sombre, tandis que l'autre caressaient son dos en descendants, et venait s'agripper à ses reins, comme pour vous coller encore plus.

Tu ne pouvais plus faire retarder cette vague de plaisir qui déferlait en toi. Emprisonnant ses jambes entre les tiennes, tu gémissais contre ses lèvres alors que ton bassin s'arquait vers le sien. Tu tremblais de plaisir, de ferveur, alors que tes terminaisons nerveuses étaient comme parcourues par un choc électrique. L'orgasme tendit ton corps contre le sien, et tu retrouvais ton goût sur ses lèvres, se mêlant au sien qui était sur les tiennes.

« Oh, Alejandra, parvins-tu à peine à prononcer, quelques instants plus tard. »

Tu avais le souffle court et précipité, mais tes yeux -dont la pupille était élargie par le plaisir- évoquaient bien plus que des mots combien cette expérience avait été intense et inédite pour toi.
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2156 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 5 Mar - 15:09
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Tu souris, en la tenant tout contre toi, alors qu'elle affirme être sûre que tu ne tiendras pas jusqu'à l'agence. Et elle a raison. Tu as tellement envie d'elle que ça en devient douloureux. Retrouver sa peau satinée, hâlée par le soleil, son odeur féminine et sucrée, tout ça te met en joie, vas-t-on dire. La sentir tout contre toi, ses forme se pressant contre les tiennes... Tu te sens déjà devenir humide, ici, en pleine rue. Et ses baisers, ses caresses, son audace ! Tu souris, complice, alors qu'elle descend se mettre à genoux, qu'elle use d'ingéniosité pour retirer ton sous-vêtement sous ton jean. Tes yeux scintillent de leur formidable lueur bleue lorsqu'elle hume ton odeur intime (fort heureusement assez fraîche). Amusée et franchement excitée, tu attrapes les vestiges de ton sous-vêtement alors qu'elle s'enhardit plus encore, et c'est un petit gémissement surpris qui s'échappe de tes lèvres. Surpris, mais ravi. Et tes yeux se ferment presque instinctivement pour mieux profiter des sensations qu'elle t'offre.

Quand elle remonte contre toi, c'est presque trop tôt. Ton souffle est précipité, et tu laisses tes mains glisser de sa crinière à ses épaules, la serrant contre toi alors qu'elle t'embrasse et que tu y réponds, échauffée et sans complexes. Tu souris sous les mots qu'elle te murmure. Sa voix, et ses paroles ! Tes sens sont en ébullition. Mais tu n'es pas au bout de tes surprises, ou de tes peines, selon l'angle par lequel on prend cette situation. Parce que la tentatrice déboutonne son chemisier, exposant presque sa poitrine, encore prisonnière d'un carcan de tissu. Carcan qu'elle retire malicieusement sous ton regard étonné, sous tes oeillades soudain plus chaudes, plus affamées. Tes lèvres se serrent brièvement pour réprimer ce gloussement de désir qui monte, et elle se colle à nouveau à toi avant que tu n'ai pu englober sa poitrine parfaite entre tes mains si blanches. Les mots qui suivent n'évoquent rien pour toi, littéralement, mais tu crois en deviner le sens grâce au regard de la splendide latine. Un sourire étire tes lèvres alors qu'elle traduit peu après. Tu étais pas trop loin de la vérité avec tes suppositions.

Et tu ris avec elle, face au double-sens qu'elle a laissé échapper. Tu hausses les sourcils d'un air évocateur, approbateur, en te rappelant cette nuit si marquante entre vous.

Tu étais en nage, sous ses caresses. Ta jouissance avait été totale, et tu avais du mal à reprendre ton souffle. Tu sentais toujours la chaleur de son corps, et tu en étais comblée. Tu n'as pas peur des nouvelles expériences, et ce soir, c'en est une totalement inédite pour toi. Faire l'amour à une femme. Jamais tu n'aurais pensé apprécier autant. Et ses doigts joueurs, malicieux, ses lèvres pleines et sensuelles qui parcourent ton corps. Ça aussi tu apprécies plus que de raison.

Essayer de nouvelles positions, avec une femme, était totalement différent de tes précédentes relations. Mais c'était très bon. Aussi, quand Alejandra se retourna, te présentent sa fleur trempée, tu n'hésites pas. Souriante, taquine, ta langue commence à laper ce délicieux nectar qui coule, qui suinte si près de toi, et tes doigts se font aventureux, comme les siens, et caresses ses fesses, exerçant une tendre pression sur son anneau de velours. Tu t'amusais de ses soupirs, de ses gémissements, mais tu le lui rendais bien, soufflant contre sa peau, gémissant à ton tour en arquant le bassin sous son toucher ardent, brûlant, délicieux. Et qu'est-ce que tu adores l'entendre prononcer ainsi ton nom, le gémir... Tu pourrais presque t'y habituer .

Quand elle t'indiqua son tiroir, tu hésitas un instant. Mais bien vite, ta main se tendit, délaissant momentanément sa chair en feu pour ouvrir la commode et en tirer un très beau specimen de dildo, d'un rose éclatant, et de le présenter aux yeux de la belle brune. Ton sourire s'élargit, et plus encore en voyant l'expression de ton amante. Elle en avait envie, autant que toi. C'est dans un petit rire que tu hoches la tête. Un dernier baiser à ton intimité, et tes lèvres s'écartent. Tu frottes alors d'abord doucement le sextoy contre sa fente, laissant son lubrifiant naturel le faire luire, avant de poster le gland rose vif contre son intimité, repoussant presque délicatement les chairs pour l'insinuer en elle, écartant les parois cannelés avec une tendresse que tu ne te connaissais pas. Tu ne la lâchais pas du regard alors que l'objet pénétrait encore, plus loin, avant que tu ne le stoppe. Tu te dégageait légèrement, pour être plus à l'aise, et tu entrepris alors de le retirer.

« Te gusta eso ? demandas-tu dans ton espagnol le plus approximatif. »

Toi, en tout cas, tu adorais. Et tu faisais glisser l'objet encore et encore, d'un mouvement d'abord doux, puis ferme et décidé. Sensuel. Tu embrassais ses fesses en même temps, savourant leur douceur satinée.


Mais ce soir était une autre nuit encore, et tu ne doutes pas d'en garder des souvenirs très précis. Tu ne pus rien répondre, quand elle avoua avoir envie de toi. Tu étais suspendue à ses lèvres, si proches, avant qu'elle ne t'embrasse avec toute la fougue dont elle était capable. Tu lui répondit avec autant d'ardeur, autant de passion. Tu laissais sa main guider la tienne vers son intimité. Tu retrouvais la chaleur torride qui t'avais manqué ces dernières années. Tu retrouvais cette humidité abondante avec plaisir, et ton index et ton majeur ne se firent pas prier pour venir caresser ses lèvres intimes, s'insinuant rapidement entre les replis de chair. Tu la laissais commencer à baisser son pantalon, appréciant de la voir soupirer sous ton toucher, quand des bruits te tirèrent de ta transe sexuelle. Personne d'autre que toi ne verraient le corps exposé de ta déesse. D'un geste sûr, ferme et doux à la fois, tu attirais son corps contre le sien, délaissant momentanément sa fleur intime pour protéger sa pudeur des yeux inconnus. Elle réponds à ton étreinte avec autant de chaleur que toi, et ton cœur manque un battement. Mais tu tournes alors la tête pour voir arriver un couple de retraités qui prennent l'air, revenant sans doute d'un mariage étant donné leurs tenues distinguées. Alors tu pousse un peu plus Alejandra contre le mur, gardant tes bras derrière son dos pour lui éviter la fraîcheur du mur.

Tu entends l'homme murmurer un commentaire désapprobateur à sa compagne, sur les amours libérées d'aujourd'hui, sur les relations homosexuelles, et tu te retiens de tourner la tête pour lui répondre. Parce que tu le sais, tu le sens, tes prunelles de glace luisent face au mur, alors que tu as niché ta tête dans le creux du cou de ton amante. Heureusement, elle ne peux pas le voir. Et tu attends d'être certaine que le couple est loin, avant de t'écarter, tes yeux étant redevenus normaux. Tu esquisses un sourire malicieux, avant de retirer tes bras, doucement, venant enfin caresser les globes de chair si tentateur que la brune exhibe à ton regard impudique.

« J'ai aussi tellement envie de toi... Mais je crois qu'on ferait mieux de faire encore quelques mètres, jusqu'à l'agence... A moins de trouver une ruelle sombre entre temps... »
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1267 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann
Invité

Réponses: 11
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 5 Mar - 12:23
  • Quinn L. Avery
  • Kaylann Morino
Cuz nothin' good comes after midnight
RP se déroulant le 20 août 2016

Bon, à vrai dire, si tu disais que l'histoire avec les ouvriers dans ta maison était terriblement ennuyante, c'était surtout parce qu'il n'y avait pas d'histoire. Et tu n'aimais pas mentir. Mais l'intérêt de la jeune femme faisait plaisir à voir malgré tout, alors tu ne peux t'empêcher de répondre gentiment :

« Disons que j'ai eu quelques soucis avec des cafards, et un dégât des eaux en plus. J'ai engagé une équipe d'ouvrier pour me débarrasser des nuisibles, après avoir nettoyé le loft, mais ces derniers ont merd- mh, t'interromps-tu brusquement. Même si la jeune fille semble être d'un âge où les jurons sont monnaie courante, il se dégage d'elle une telle impression d'innocence que tu ne veux pas en user. Alors tu te reprends. Ils ont mal fait leur travail en fait. Du coup, je dois voir avec leur entreprise pour qu'il reviennent faire les travaux pour lequel je les ai payé, mais l'entreprise nie sa responsabilité. Et donc je dois remonter plus haut, au niveau des cours de justice. »

Tu lui souris de plus belle, caressant son épaule d'un air absent, presque maternel. Puis elle demande si tu as rénové toi-même le loft. Tu laisses échapper un petit rire. Tu aurais certes pu le faire, mais ça aurait pris du temps.

« Non, je ne l'ai pas fait moi-même. J'ai engagé un maître d'oeuvre, qui a évalué les travaux à faire, et qui a engagé des personnes pour les faire, des entreprises du coin en général, une fois que les plans qu'il m'avait fourni aient été validés. Comme ça, j'avais une certaine garanti. En cas de problèmes, je pouvais m'adresser au maître d'oeuvre en le menaçant de ne pas le payer si tout n'était pas fait comme prévu. Ce qui fait qu'il a insisté auprès des ouvriers en leur affirmant qu'ils ne seraient pas payés si tout n'était pas fait et bien fait. »

Une fois à l'agence, tu te félicitais en voyant l'intérêt que Kaylann portait aux photos que tu lui montrais. Tu étais contente qu'elle les trouve réussi. Parce qu'il faut dire que ce n'est pas évident, sous ta forme d'ourse, de prendre de bonnes photos. Heureusement qu'il existe des modes rafales et des retardateurs, aujourd'hui.

La discussion s'orienta ensuite sur les animaux, et particulièrement sur les chats et les chiens.Tu étais ravie de parler de Georges, et de Georges le second. Et d'autant plus que ton histoire intéressait la jeune fille. Tu te rendais comptes que tu parlais beaucoup, mais si ça pouvait faire sourire Kaylann, alors ça en valait le coup. Et d'ailleurs, parler d'animaux ne te déplaisait pas. Chaleureuse, tu revins frotter doucement le dos de ton invité alors qu'elle te disait que sa soeur pensait que ce n'était pas prudent d'avoir un chat en appartement. Tiens, d'ailleurs. Sa soeur sortie de nulle part, et sa mère absente. Devais-tu l'interroger à ce sujet ? Bien entendu. Maintenant ? Tu n'en étais pas tellement sûre. Après cette agression dont elle avait été victime, la dernière chose dont avait besoin l'étudiante c'était que quelqu'un qu'elle croyait chaleureux et réconfortant (autant que tu pouvais l'être) vienne la questionner sur des sujets aussi personnels. Tu décides alors de garder ce sujet pour plus tard, pour un autre jour. Tu trouveras bien un prétexte pour cela.

Pour le moment, du coup, tu préfères rester dans le domaine des animaux. C'est plus sûr, et ça à le mérite de faire sortir la jeune fille de sa coquille.

« Oh, tu sais, je crois que certains chats sont très contents en appartement. Ma mère me disait que, quand elle était plus jeune, quand elle faisait ses études, elle a eu un chat dans son petit studio. Un mâle, nommé Kiwi. Il se plaisait bien dans l'appartement, et n'a jamais cherché à aller plus loin que le balcon, où il paressait l'été, comme un pacha. De temps à autres, des oiseaux venaient le narguer, mais il n'a jamais essayé de leur courir après. Je crois que c'est parce que, dans les débuts où elle l'avait, ma mère ne le laissait pas sortir. Comme ça, il a appris qu'il était en sécurité à l'intérieur. »

Tu bois à nouveau du chocolat, appréciant le sucre sur tes papilles, et tu trouves qu'il manque un truc. Du miel, par exemple. Oui, c'est une bonne idée.

« J'aime bien rajouter du miel dans mon chocolat. Tu en veux ? Ou tu voudras goûter dans ma tasse ? »
Couleur des paroles de Quinn : {#}cc33ff{/#}
802 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Trouble, trouble, drink it down + Raven
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Trouble, trouble, drink it down + Raven    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 5 Mar - 10:00
  • Quinn L. Avery
  • Raven Collins
Trouble, trouble, drink it down
Raven te rassura quant à une possible maladie. Tant mieux. Avec ce dôme en place, vous étiez devenues aussi vulnérables que les humains aux diverses maladies qui traînaient. Et ça aurait été vraiment un comble qu'une créature garou attrape un rhume, une gastro ou une grippe. Pire, un cancer ou quoi que ce soit d'autre de violent et incurable. Mais du coup, tu t'interrogeais encore. Avait-elle décidé de ralentir sur l'alcool depuis que vous y étiez devenues sensibles avec ce dôme ? Ce serait le contraire de toi, qui était bien loin de lever le pied. Après tout, tu avais confiance, tu savais que tôt ou tard, le dôme serait anéanti. Mieux valait tôt que tard d'ailleurs, et sans devoir livrer un hellhound (peu importe ce que c'était) à ce psychopathe qui vous retenait en otage, en quelques sortes.

Secouant la tête, tu souriais de toutes tes dents quand elle refusa une pointe d'alcool dans son cocktail sans. Puis, bien vite, le rire de Raven se communiqua à toi, et tu ne voulais pas avoir la possibilité de lire dans les esprits pour savoir ce que le serveur pensait de toi. Et tu n'étais même pas ivre, c'est dire.

Tu retrouvais cependant ton sérieux quand ton amie te fit promettre de ne rien dire à personne. La main sur le coeur, tu lèves une main en soufflant Je le jure. Et tu attends avec, oui, avec impatience, qu'elle te révèle ce grand mystère de sa conversion aux cocktails sans alcool. Tu fronçais légèrement les sourcils quand elle t'avoua que tu avais eu la bonne réponse un peu plus tôt, et repassais rapidement tes paroles dans ta tête. Mais tu n'eus pas besoin de le faire longtemps qu'elle ajouta, en murmurant, qu'elle était bien enceinte.

Incrédule, tu écarquillais un instant les yeux. Puis, bien vite, un sourire naquit sur tes lèvres alors que Raven t'implorait de n'en rien dire à personne, que c'était une situation compliquée. Les yeux pétillants, tu te rapprochais d'elle en bougeant ta chaise, et tu pris l'une de ses mains entre les tiennes.

« Hé, ne t'en fais pas, ton secret est bien gardé avec moi. Et puis, qui suis-je pour te juger ? Je te rappelles que la semaine dernière, j'ai couru à poil vers les bois pour essayer de percer le dôme. J'étais bourrée, mais bon... Au contraire, je trouve que c'est une merveilleuse nouvelle, même si c'est une situation compliquée. »

Tu levais les yeux à l'arrivée du serveur, que tu remerciais avant qu'il ne s'éloigne. Reportant tes prunelles de glace sur Raven, tu lui serres la main avec tendresse.

« D'ailleurs, pourquoi est-ce compliqué ? Et qui est l'heureux papa ? Je présume, si tu veux que je garde ça secret, qu'il ne le sait pas encore ? »

Quoiqu'il en soit, qui que soit le père de ce bébé, tu étais sincèrement contente pour ton amie. Mais un éclair de doute te traversa l'esprit, même si tu n'y croyais pas vraiment.

« A moins que tu ne comptes pas le garder ? Je ne te jugerais pas hein, je suis loin de là. Au contraire, quoi que tu fasses, tu pourras compter sur moi, ma chérie. Bon, si tu le gardes, et que tu as besoin de le faire garder alors qu'il est malade, j'aime autant te dire que ça te coûteras cher en alcool, mais sinon, tout roule. »

Une de tes mains lâcha celle de Raven pour aller attraper un shot de tequila, le ramenant vers toi, jouant a dessiner des volutes sur la condensation qui s'était installée.
Couleur des paroles de Quinn : {#}cc33ff{/#}
625 mots.
T'es un amour <3
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 5 Mar - 9:43
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Le cri de jouissance de cette magnifique succube brésilienne te faisais perdre la tête. Le rouge au joue, excitée à un point que tu ne pouvais pas décrire, tu adorais sentir sa respiration précipité, tu aimais à te glisser contre son corps chaud et encore tremblant, embrassant chaque millimètre de sa peau soyeuse pendant que tu revenais à sa hauteur. Mais les surprises que te réservaient la belle audacieuse ne s'arrêtaient pas là. Après avoir été douce et torride sous tes doigts, sous ta langue et tes lèvres, elle devenait féline et encore plus caliente que précédemment.

C'est elle, cette fois-ci, qui te tirait des gémissements de plaisir, qui faisait se tordre ton corps sous l'insidieux désir qu'elle faisait naître au creux de tes reins. C'est ses doigts qui faisaient monter la température, qui s'insinuaient entre tes cuisses avec agilité. Sa bouche n'était pas en reste. Même si tu étais à présent étendue sur le ventre, présentant ton postérieur rebondi à la déesse brune, tu arrivais à ressentir encore, pour le moment, et différencier chaque toucher. Le velours de ses lèvres glissaient contre ton dos creusé avec délicatesse, avec fougue aussi. Ton cœur s'emballait, battant aussi rapidement qu'il le pouvait, accélérant la circulation du sang dans tes veines. Tes doigts se resserraient sur les draps alors que le brasier entre tes cuisses flambaient plus fort encore, à chaque caresse, à chaque attention.

Ton esprit perdait de sa clarté à mesure que l'orgasme approchait. Tu ne pouvais plus penser de façon cohérente et, pour une fois, tu t'en fichais. Tu te laissais aller à la douce et brûlante symphonie de vos corps enfiévrés. Tes lèvres rougies, autant par ses baisers que par tes dents, s'écartaient pour laisser passer des soupirs qui se transformaient en gémissements, en halètements, puis en cris. Fermant les yeux, creusant de plus belle le dos, tu laissais s'exprimer ton plaisir, surfant sur la vague que la jouissance avait déclenché. La sulfureuse latine devait être aux anges, en te voyant ainsi, désarmée, emportée par le tumulte de ton plaisir, par le sublime chaos qu'elle avait fait naître en toi. Mordant les draps, alors que les dernières vagues de jouissance balayaient ton corps offert, tu te cambres une dernière fois, affolée par toutes ces sensations.


Oh, cet accent, cette voix... Sans que tu puisses te l'avouer, ça t'avais manqué. La tête encore pleine des folies nocturnes de ta virée au Brésil, tu souriais plus largement et ton regard pétillait. Tu ressentais toujours ce désir brûlant pour la terriblement sexy Alejandra. Et tu étais contente de voir que tu n'étais pas la seule. Son impatience t'électrisais, et quand elle prononça ces quatre mots que tu avais tant retourné dans ta tête depuis qu'elle te les avais appris, tu capitulas. Son baiser reflétait à merveille les tourments qui agitaient ton corps dès lors qu'il s'agissait d'elle. Tu y répondit avec autant d'ardeur qu'elle, et tu mordillais même ses lèvres, taquine et impatiente.

T'écartant à regret de la belle brune, tu sortis quelques billets de ta poche pour les poser sur le comptoir. Puis tu attrapes la main de ta compagne, les yeux brillants d'une convoitise impossible à assouvir, et l'entraîna avec toi.

« Lo quiero también, Alejandra, souffles-tu dans un espagnol approximatif. »

Après ton départ, tu avais voulu tenter d'apprendre quelques mots en espagnol, sans même savoir si tu reverrais Alejandra. Mais tu as bien fait. Et même si ton accent reste profondément américain, tu ne te débrouilles pas si mal que ça, pour une débutante.

Le sourire malicieux et aguicheur que tu avais s'élargit alors que tu prends, à pied, la direction de l'agence. Tu n'es pas très loin, et tu es certaine qu'une balade au clair de lune dans les rues de Beacon Hills pourrait plaire à ta déesse. Surtout si vous vous arrêtiez à chaque coin pour vous embrasser, comme tu le fais en la tirant par la main que tu avais attrapé en sortant. Tu la plaques alors contre le mur, sous le lampadaire, pour venir capturer ses lèvres gourmandes, les goûtant avec frénésie presque, enroulant tes bras autour du corps souple de ta partenaire.

« On n'est pas très loin de mon agence. Mais je ne sais pas si je saurais tenir jusque là, guapa... »
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742 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 26 Fév - 12:11
  • Quinn L. Avery
  • Kaylann Morino
Cuz nothin' good comes after midnight
RP se déroulant le 20 août 2016

« Oh, tu sais, elle est non loin de la forêt. C'est un loft que j'ai rénové. J'espère aussi y retourner rapidement, mais il y a eu certains problèmes avec les ouvriers chargés de l'assainissement, alors avec les procédures de recours... Ceci dit, c'est terriblement ennuyant, alors je ne vais pas t'embêter avec ça plus longtemps, avais-tu glissé à la jeune fille, sur le chemin de l'agence. »

Une fois la porte fermée derrière vous, tu avais commencé à tout prendre en main, préparant les chocolats, et allant chercher les photos. Tu lui avais même fait visiter rapidement (vu qu'il n'y avait que trois pièces), avant de l'inviter à s'asseoir.

« Oui, ça fait un petit moment déjà. Comme je l'ai évoqué tout à l'heure, j'ai eu quelques soucis avec les ouvriers. Mais j'espère que ça se réglera rapidement. »

Puis, Kaylann s'intéressa aux photographies. Tu souriais, fière de réussir à lui changer les idées, et aussi des compliments qu'elle t'adressais.

« Oui, c'est moi. Tu sais, si on ne le menace pas, on n'a rien à craindre d'un ours. Il faut juste savoir se montrer... Disons, soumis, en quelques sortes. Montrer que l'on a confiance en lui, et qu'on ne lui veut pas de mal. »

Enfin, tu sortis ta botte secrète, la photo où tu jouais avec un saumon. L'appareil avait prit des clichés en rafale, mais peu étaient utilisables. Celle-là était l'une des seules.

« Hé, ne t'en fais pas ma puce, j'aime bien que tu me poses des questions, glisses-tu en la voyant s'interrompre au milieu de sa phrase, rougissant rapidement. Et pour te répondre, oui, j'ai eu un chien. Mais avant ça, j'ai voulu rendre les dernières heures d'un homard plus douces, alors je l'ai sorti du frigo, et je l'ai mit dans de l'eau. Je l'avais appelé Georges, et je lui parlait. Mais je ne savais pas, alors, que l'eau du robinet tuait instantanément les homards et rendaient leur chair impropre à la consommation. Et laisses-moi te dire que j'ai été super triste. C'était pour noël, et l'ambiance était bizarre du coup, avec moi qui était inconsolable. Puis, le matin de noël, c'est là que mes parents m'ont offert un chien. Un superbe chiot de la race des Husky. Mais comme j'étais toujours triste pour Georges, je l'ai baptisé en son honneur. Georges le second ! Qu'est-ce que je l'aimais, lui aussi. Il nous a quitté de sa belle mort, un peu après que je sois partie faire mes études. »

Un peu nostalgique, tu laissais un moment de silence avant de boire une gorgée de ton chocolat. Puis le sourire revint sur tes lèvres, et tu repoussais gentiment l'une des mèches de la jeune fille derrière son oreille.

« Les chats, c'est sympa aussi. Plus indépendant, mais tout aussi affectueux. Tu en as eu, toi ? »
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514 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 26 Fév - 11:56
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Tu déguisais la gêne soudaine ressentie lorsqu'elle te questionnas sur ton lieu de vie par un baiser délicat, aérien, contre la pulpe délicate de ses lèvres. Tes doigts se glissaient contre la peau satinée de la latine, la caressant doucement, comme lorsque vous restiez à parler après l'amour.

« A vrai dire, je n'habite pas à Beacon Hills en soi. J'ai un loft, non loin des bois, mais... J'ai eu des problèmes de nuisibles, et elle est en cours d'assainissement. Alors je squatte mon agence de détective, dans le centre, en ce moment. »

Tu bois rapidement une gorgée de ton verre avant de tourner à nouveau tes prunelles glacées vers celles d'Alejandra.

« Mais je ne suis pas opposée à ce que tu y viennes me rendre visite. J'ai aménagé une petite chambre, tranquille... »

Dans un rire, tu remontais ta main contre son dos, glissant sur son épaule, vers son cou, avec délicatesse. Tu adorais la sensation de sa peau aussi douce que de la soie, avec ce subtil parfum de soleil qui s'en dégageait. Tu te rappelais aussi de ces rainures incandescentes qu'elle avait, la première fois que tu l'avais vue, des flammes qui léchaient son corps sans lui faire le moindre mal, et du terrible érotisme qu'elle dégageait avec ses prunelles de braise. Tu ne lui en avais pas encore parlé. Tu ne savais pas trop comment aborder le sujet. Et tu ne savais pas vraiment ce qu'elle était. Mais même sans ça, même sans le brasier qu'elle pouvait devenir sans en être consciente, elle était vraiment chaude.

« Je suis ravie que tu te sois sentie attirée ici, que ce soir pour moi, ou autre chose, souffles-tu en mêlant tes doigts à sa longue chevelure sombre, enroulant quelques mèches autour de ton index. »

Cette nuit avait été ardente. Tu aimais le contact de la soie de ses cheveux sur ton corps, de ses doigts de fées qui te faisaient ressentir milles et une choses délicieuses. Tu adorais la voir te chevaucher de la sorte, dressée telle une amazone redoutable (et redoutablement sexy). Tu aimais le contact de ses seins entre tes mains, la sensation de la faire s'envoler en agaçant leur pointe érigée. Tu n'avais jamais pensé ressentir de telles choses pour une femme. Mais Alejandra n'était pas n'importe quelle femme. Sous tes yeux troublés par vos jeux, tu revoyais parfois celle que tu avais aperçue en premier, cette femme de feu, littéralement, qui avait porté le criminel que tu venais d'achever sous ta forme d'ours. Tu revoyais son déhanché naturellement sensuel alors qu'elle se dirigeait Dieu sait où dans les bois, et son délicat froncement de sourcil quand elle avait fini sa tâche. Ce même froncement qu'elle avait quand tu inversais les rôles, quand tu la renversais sur son lit pour ses cheveux s'étalent en corolle sous sa tête, sur l'oreiller.

Et sa voix, son accent, te remuaient les entrailles comme jamais, faisant naître ce brasier liquide qui te dévastait alors que tu venais l'embrasser partout, que ta langue traçais un sillon de feu sur son corps de déesse. Tu aimais les gémissements qu'elle laissait échapper, les halètements, lorsque tu venais t'enfouir entre ses cuisses fermes, que tu venais l'embrasser, la mordiller, la taquiner en léchant et en aspirant sa petite perle, ces soupirs qu'elle poussait quand la pointe de ta langue s'insinuait entre les replis tendre de sa féminité. Avais-tu déjà ressenti quelque chose de semblable ? Non, jamais. S'en approchant, peut-être, mais jamais semblable. Faire ce trajet jusqu'au Brésil revenait, à ce moment, à te découvrir plus complètement que tu ne l'avais jamais fait. Pour une fois, tu baissais la garde, priant pour ne pas le regretter, et tu te laissais aller à ce que tu ressentais.


Croisant les jambes en finissant ton verre, tu le fis glisser sur le comptoir avant de te tourner vers la sublime créature à tes côtés. Un sourire charmeur aux lèvres, tu fis glisser l'une de tes mains sur sa joue, la rapprochant de toi pour l'embrasser à nouveau, avec cette touche de vodka qui restait sur tes lippes. Puis, après ce baiser passionné, devant le regard interloqué de certains de vos voisins, tu vins lui chuchoter quelques mots à l'oreille.

« Si tu veux, je peux aller te faire visiter mon agence dès ce soir... »
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752 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Vengeance is a cold thing, baby + Malia
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Vengeance is a cold thing, baby + Malia    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 19 Fév - 7:40
  • Quinn L. Avery
  • Malia Tate
Vengeance is a cold thing, baby
Ce saumon était quand même vachement bon ! Tu ne t'étais pas rendue compte, en lisant le dossier, que tu avais finis ton assiette. Légèrement contrariée par ce fait, tu sauce rapidement la porcelaine, appréciant les dernières gouttes de sauce, avant de boire ton verre d'au d'un trait. Tu allais le reposer quand une jeune femme se cogna à ta table, avant de s'écrouler par terre. Occupée à boire, tu n'avais pas vu ce qui s'était passé avant. Mais ton premier réflexe est de reculer ta chaise, pour voir si tu peux aider la jeune femme.

Elle s'excuse d'ailleurs, affirmant avoir été bousculée. Et elle commence à ramasser les feuillets tombés des dossiers. Tu l'aides un peu, et finalement, elle les reposes tous sur la table. Tu devrais trier tout ça, après, mais c'est pas grave. Tu lui souris, et allais t'enquérir de sa santé, si elle ne s'était pas fait mal en tombant, quand elle reprit la parole. Ton sourire s'élargissant, tu t'adosses à ton siège en croisant les bras, l'écoutant se présenter et t'interroger sur le sujet d'un de tes dossiers. Celui de Corinne, la Desert Wolf.

Dans les faits, ce n'est pas vraiment une enquête en cours que tu as sur elle. Mais tu surveilles tous les individus potentiellement dangereux, en ville. Tu veux t'assurer qu'ils ne seront pas un danger pour tes proches. Alors non, ça ne te déranges pas trop de voir qu'elle s'y intéresse.

« Enchantée, Malia. Je suis Quinn Avery, détective privé, comme vous avez pu vus en rendre compte avec les dossiers tombés. »

Chaque dossier portait en effet la mention Avery, Private Investigator. Tu glisses alors le dossier dont vous parliez sur le dessus de la pile, une fois que le serveur -venu enlever ton assiette- soit reparti.

« Je ne doute pas de votre bonne foi, mais puis-je connaître les motifs de votre investigation ? The Desert Wolf est quand même l'un des dangers les plus proches, ici. Ce n'est pas une enfant de cœur. S'en est-elle prise à vous, ou à vos proche ? »

Oui, tu étais curieuse de connaître les motivations de Malia. Tu ne savais pas encore qu'il s'agissait de sa fille, et étant donné le personnage dressé à partir de tes investigations, tu ne voyais pas Corinne comme une mère particulièrement attentionnée. Tu repenses notamment aux victimes avérées de cette mercenaire, et tu serres les dents, oubliant la présence du dôme qui t'empêche de te transformer. Tu n'as pas besoin de contrôler tes émotions avec ça, ça ne portera pas à conséquence. Mais c'est un mécanisme. Tu te contrôles depuis que tu as appris ta nature.

« Pardonnez-moi, si ma question est impolie. Mais étant donné la dangerosité de l'individu, je préfères m'assurer que ça ne porteras pas à conséquence. Je ne voudrais pas que vous vous retrouviez sous le feu nourri de ses armes juste parce que je vous ai partagé certaines informations. »

Tu parles en connaissance de cause, sur ce coup. L'un de tes informateurs avait été retrouvé sans vie, le corps criblé de balle et à moitié brûlé par un lance-flamme. A cette pensée, tu ne peux contrôler la lueur saphir qui orne tes prunelles. Mais elle s'efface aussitôt, et tu tousse pour reprendre contenance, affichant un sourire poli.

« Vous voulez devenir inspecteur de police ? Ou détective ? Ou bien c'est juste pour rendre service à quelques proches ? »

Non, tu n'essaies pas de changer de sujet. Tu veux juste connaître un peu plus les motivations de la jeune femme. Après tout, c'est rare que des civils viennent pour te demander de "partager" des informations entre vous. Et si c'était une envoyée de Corinne ? Si ton informateur avait révélé ton nom ? Peu importe en fait. Tu l'attends de pieds ferme. Tu n'as peut-être pas toutes tes capacités de werebear, pour l'instant, mais tu n'es pas du genre à te terrer dans un coin.
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688 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: In the midst of confusion, follow the intuition ☼ Quinn
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: In the midst of confusion, follow the intuition ☼ Quinn    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 19 Fév - 7:16
  • Quinn L. Avery
  • Mairead E. Cassidy
In the midst of confusion, follow the intuition
Tu t'es relevée, doucement, comme pour ne pas troubler le sommeil éternel de Greg. Tu aurais voulu être avec lui, pour ses derniers instants, mais tu es arrivée trop tard. Plus tôt, cependant, que ça n'aurait pu l'être, si cette jeune femme ne t'avais pas interrompue ce soir. Si elle n'était pas venue à ton agence, tu aurais sûrement été au courant en même temps que le reste de la ville, c'est-à-dire Dieu seul savait quand.

D'ailleurs, Mairead ne tarde pas à s'approcher, demandant si tu allais bien. Tu hausses discrètement les épaules. Tu ne parviens pas à détacher ton regard du corps face à toi. L'étreinte de Mairead te sors un peu de ton mutisme, de ton manque de réaction, et tu resserres tes bras autour d'elle. Oui, tu as besoin d'un peu de réconfort. Tu es forte, tu es intelligente et tu es débrouillarde. Tu es une ourse garou. Mais tu as aussi une part humaine en toi, une part d'innocence, qui a besoin de ne pas être toujours la grande et forte Quinn Avery, la redoutable et imbattable détective privé, la féroce et sauvage ourse... Tu n'as pas honte alors, de ces larmes qui perlent au coin de tes yeux. De tes lèvres qui tremblent. De ton corps qui se raccroche à Mairead pour ne pas flancher.

« Ce... Ce n'est pas de ta faute, souffles-tu en oubliant que tu la vouvoyais poliment jusqu'à présent. Il. Greg avait des problèmes cardiaques. A en juger par l'environnement direct de son corps... Je crois qu'il a juste eu une crise de trop. Et seul, il n'a pas pu appeler les urgences. Je crois qu'il n'a pas souffert. Que sa mort a été foudroyante. »

Tu parles presque par automatisme, d'une voix basse mais ferme, comme si tu allais sur une scène de crime. Mais ton cœur se serre, et tes glandes lacrymales sont sur le point de déborder.  Tu trembles légèrement, en retenant tout ça. En t'agrippant à Mairead.

« Je crois... Je crois que tu as bien fait de venir me trouver. Qui sait quand les autorités l'aurait découvert, autrement ? Il n'avait pas beaucoup de contact humains. Même moi, je ne le voyais qu'une fois de temps en temps. »

Tu finis par détourner le regard, et tu carres les épaules, repoussant au loin cette faiblesse qui te poussais à t'effondrer.

« Je... Je vais appeler la police. Je crois qu'ils sauront qui envoyer. Tu... Tu veux bien rester avec moi pendant ce temps ? »

Engourdie par la peine, tu ne songes même pas à l'interroger sur ses rêves, pour le moment. Mais ça viendra plus tard, tu n'en doutes pas. Tu es, et tu resteras, la détective Quinn Avery, indécrottable jusqu'à la mort. Tu es juste, momentanément, en pause.
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489 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Trouble, trouble, drink it down + Raven
Invité

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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Trouble, trouble, drink it down + Raven    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 19 Fév - 7:16
  • Quinn L. Avery
  • Raven Collins
Trouble, trouble, drink it down
Tu adorais ces moments passés avec Raven. Tu t'évadais complètement de ton quotidien, et ça faisais un bien fou. Tu n'échangerais ça pour rien au monde. Même pas pour lever les contraintes du dôme, en fait. Les priorités, hein...

Un éclat de rire salue la sortie de Raven, qui te dis de choisir ce que tu veux, sans la mettre sur la paille pour autant. Avec un petit rire, tu regardes à nouveau la carte. Mais non, décidément, ce shot de tequila te tentes bien. Peut-être même en prendras-tu plusieurs, en fait. Oui, cinq, ça te paraît raisonnable. Avec un peu de sel et de citron, évidemment.

Tu lances un regard interrogateur à la louve quand elle songe à prendre un cocktail sans alcool. Tu réprimes l'envie de rire qui te viens, mais tes yeux pétillent de malice alors que tu te penches sur la table, te rapprochant de Raven avec un air de conspiratrice.

« Sans alcool, hein ? Tu es malade ? Enceinte ? Ou tu veux juste me faire marcher ? »

Un petit rire t'échappes malgré tout, alors que tu es loin de te douter que tu es dans le vrai, avec tes questions.

« Pour ma part, j'vais me prendre cinq shots de tequila du coup, avec sel et citron. »

Tu regardes à nouveau la carte, avant de relever la tête.

« Si tu tiens vraiment à prendre un sans alcool, ma belle, je te conseillerais le Homemade Raspberry Limonade, avec framboise, citron pressé, sucre de canne et limonade. C'est super bon. »

Ton sourire est amusé, mais sans jugement cependant. Tout le monde à le droit de changer ses habitudes. Même si tu avoues que voir Raven prendre du sans alcool, c'est quand même sacrément inédit.

« Allez, avoues-moi tout. Tu es sûre de ne pas vouloir une pointe de rhum dans ton sans alcool ? »
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311 mots.
Je suis désolée, c'est pas très grand, et je suis un peu en retard huhu. Tu me pardonnes ? <3
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann
Invité

Réponses: 11
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 19 Fév - 7:15
  • Quinn L. Avery
  • Kaylann Morino
Cuz nothin' good comes after midnight
RP se déroulant le 20 août 2016

Tirer un sourire à la jeune Kaylann n'avait pas été une mince affaire, après l'agression dont elle venait d'être victime. Mais tu avais réussi, et tu en étais fière. Plus encore, même, lorsqu'elle évoqua l'envie d'un chocolat chaud. Tu souris également, et revint près d'elle, t'accroupissant à ses côtés. La jeune fille parla alors des photos d'ours que tu avais, et c'est avec un petit rire que tu hochais la tête. Ce que tu ne lui dirais pas, en revanche, c'était que l'ours sur les photographies, l'ourse à vrai dire, c'était toi. Tu avais un jour disposé des appareils photos dans un coin de forêt avant de te transformer, et tu t'étais amusée à déclencher les prises de vue en faisant diverses actions. En résultait des photos incroyables d'une ourse en train de s'ébattre dans l'eau, en train de rouler en boule sur le sol ou même en train de se gratter contre le tronc d'un arbre.

« Oui, j'en ai quelques unes. Je veux bien te les montrer, si tu le désires. Et puis, je pourrais te préparer un chocolat chaud comme ça, histoire de faire d'une pierre deux coups. Qu'en dis-tu ? »

Après un petit temps de réflexion, tu décidas de ne pas attendre sa réponse. Avec un air enjoué, tu te relèves, et tu l'aides à en faire de même.

« Je... Mh. J'habite en quelques sortes à l'agence en ce moment, alors si tu veux venir avec moi, je te montrerais les quelques photos qui y sont. Le reste est chez moi, mais techniquement, je ne peux pas y entrer. Je crois qu'ils assainissent la maison à cause des nuisibles, et le gaz est nocif donc... Allez viens, je vais te montrer ce que j'ai sous la main. »

Tu lui fais signe de te suivre, et tu n'as que quelques rues à parcourir avant d'arriver en vue de l'agence de détective que tu as ouverte en ville. Après avoir déverrouillé la porte, tu la laisse passer devant toi, et te laisse le battant se refermer tout seul.

« Voilà mon humble lieu de travail. Ce n'est pas le Wall Trade Center, mais ça fait l'affaire. »

Ton agence n'était pas grande, en effet. Une pièce "de vie" qui servait de salle d'attente, où vous étiez pour le moment. Une pièce qui te servait de bureau, et une dernière pièce, communicante avec le bureau, qui te servait pour entreposer tes dossiers. Et accessoirement, pour dormir, pour l'instant. Tu fais donc rapidement visiter les lieux à Kaylann, avant de revenir dans la salle d'attente. Il y avait tout ce qu'il fallait pour faire patienter les clients. Des petits fauteuils, une machine à café, une théière et de quoi se faire un chocolat chaud. Tu t'affairais d'ailleurs à vous en préparer deux, indiquant à la jeune fille qu'elle pouvait s'installer où elle le désirait. Puis, quand vos boissons furent prêtes, tu l'abandonnas un court instant pour aller piocher les quelques photographies que tu gardais dans ton bureau. En revenant, tu t'installes non loin d'elle, et tu disposes les photos sur une petite table.

« Voilà mes trésors. Elles ont été prises dans une forêt, à la frontière entre les États-Unis et le Canada. C'est là où j'ai grandi. »

Et c'était également là où tu t'étais faite griffer. Là où tu t'étais transformée pour la première fois. Là où tu revenais quand tu avais besoin de te ressourcer. Tes parents y habitaient toujours, et tu communiquaient avec eux par téléphone ou e-mail, principalement.

« Tiens, regarde celle-ci, lui dis-tu en montrant une photo où, sous ta forme d'ourse, tu jouais avec un saumon. C'est l'une de mes préférées. Tu as vu, on dirait un chien qui joue à la balle... »
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670 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 19 Fév - 7:15
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room
Entendre à nouveau cet accent si reconnaissable te fis du bien. Tu n'avais jamais vraiment cessé de penser à Alejandra. Ne serait-ce que parce que c'était la seule femme à te faire ressentir ce que tu ressentais habituellement avec un homme. Excitation, tendresse, admiration, lubricité. Tu souris plus largement, en haussant les sourcils d'un air équivoque quand elle demande si tu la suis, avant de rire avec elle quand elle avoue n'être pas sobre, elle. Et soudain, les papillons reviennent danser dans ton ventre. Tu ne réalises que quelques milli-secondes après qu'elle est venue t'embrasser. Ton corps lui réponds, et tu glisses une main derrière sa nuque, pour approfondir l'étreinte de vos lèvres. Ta langue vient caresser la sienne, joueuse, alors que tu retrouves les sensations agréables de son corps contre le tien. De ses formes pulpeuses pressées contre les tiennes.

Tu te souviens de cette soirée où tu l'as rencontrée. Une beauté fatale, nue, auréolée de flammes, qui est venue prendre le corps sans vie de ta cible. Ce sale meurtrier d'enfant que tu avais traqué depuis Beacon Hills. Tu l'avais suivi jusqu'ici, au Brésil, et tu l'avais tué sans remords. Ce n'était pas un homme innocent, et il méritait son sort. Il avait abattu de sang froid deux enfants, et il en avait torturé des dizaines d'autres. Tu ne regrettais rien.

Curieuse, tu avais décidé de suivre la créature de rêve qui emportait son corps. Tu avais découvert un lieu inédit, où elle avait déposé le cadavre. Tu ne sais pas trop où c'était, et tu serais bien incapable de le retrouver après. Puis tu avais suivi à nouveau cette apparition flamboyante, jusqu'à connaître son identité.

Et ce n'était donc pas un hasard si tu étais présente dans le même bar qu'elle, ce soir-là. Tu désirais absolument faire sa connaissance. Comprendre ce qu'elle était, puisqu'elle avait l'air de l'ignorer. T'en faire une amie, peut-être. Mais cette soirée t'as apporté bien plus que ça, en réalité. Tu l'avais accompagné chez elle, entre deux baisers. Tu ne pensais pas être un jour attirée par une femme, mais ce soir-là, c'était le cas. Et quelle femme !

Chez elle, tu l'avais caressée, tu l'avais embrassée. Tu avais découvert chaque centimètre de son corps, et la fièvre qui t'animait semblait inextinguible. Tu avais aimé embrasser sa poitrine nue, pointant fièrement vers toi. Tu avais adoré sentir sa langue caresser ta peau sensible. C'était chaud. C'était incroyablement chaud. Plus encore, même, que lorsque tu avais suivie la beauté enflammée aux prunelles d'ambre.


Un rire accueillit sa réplique. Tu trinque rapidement, avalant une grande gorgée de vodka en frissonnant, et tu reposes ton verre.

« Oh, mais ne t'en fais pas pour ça, sexy, lui susurres-tu en te penchant vers elle. Si tu ne m'avais pas embrassé, j'aurais pris les devants. »

Et comme pour prouver ce que tu avançais, tu laisses ta main glisser sur la cuisse d'Alejandra, remontant doucement pour venir se glisser dans son dos et la rapprocher de toi. Tes lèvres vinrent taquiner les siennes, s'égarant un peu sur sa joue, coulant jusqu'à son oreille dont tu mordillas le lobe avec un soupir satisfait.

« Alors, que viens-tu faire dans ma charmante petite ville ? Non que je ne m'en plaignes, hein. J'ai déjà plein d'idées pour combler la distance qu'il y a eu ces derniers temps. »

Ton sourire taquin étires tes lippes alors que tu te redresses, gardant toutefois ta main contre sa taille pour résister à l'envie de plonger tes doigts dans sa crinière sombre.
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632 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [+18] And last night you were in my room + Alejandra    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySam 18 Fév - 14:32
  • Quinn L. Avery
  • Alejandra K. Ferreira
And last night you were in my room

Tu as entendu dire qu'il y avait une sacrée soirée en préparation, au Triskellion. Comme tu avais bouclé toutes tes affaires, tu t'es dit que tu passerais bien y faire un tour. Enfin, ça, c'était avant l'appel qui a ruiné ta nuit. Une jeune femme, seule, et riche aussi, appelait pour lui demander de venir enquêter sur un cambriolage. Apparemment, le voleur avait prit quelque chose de précieux. De sensible. Quelque chose que la jeune femme ne voulait pas qu'on apprenne par les médias. Que la jeune femme voulait garder secret, y compris pour ses proches.

Même si le MO employé, décrit par la victime, semblait désigner ton cambrioleur invisible, tu as tenu à te rendre sur place. Le quartier était huppé, et tranquille. Tu avais alors garé ta voiture dans l'allée, avant qu'une jeune femme sorte de la maison en t'indiquant de passer derrière la maison. Elle ne voulait pas que les voisins sachent qu'elle faisait appel à un détective. Elle voulait garder sa mésaventure aussi secrète que possible.

Tu as passé presque deux heures là-bas, à arpenter la propriété, relevant des indices, consolidant ton impression. C'était bien ton insaisissable cambrioleur qui était passé par ici, tu en étais presque sûre. Disons, à 95%. Tu ne trouvais, de ce fait, pas grand-chose. Alors tu as commencé à interroger la jeune femme. Mais elle refusait obstinément de te dire ce qui avait été dérobé. Une heure durant, tu avais persévéré, sans rien obtenir de plus que ce que tu avais pu récolter jusqu'ici : C'est-à-dire pas grand chose. Presque rien. Tu savais juste par où le cambrioleur était entré, par où il était ressortit, et quelle pièce il avait visité. Les caméras de surveillances de l'extérieur ne montraient rien d'utile ou d'exploitable. Et la propriétaire était muette comme une tombe concernant son butin.

Super soirée. Tu n'as pas pris de gants, quand tu as livré tes premières conclusions. Tu pouvais, certes, continuer l'enquête, mais tu doutais de découvrir quoi que ce soit d'autres. Tu lui as parlé de ce cambrioleur que tu ne parvenais jamais à saisir, jamais à suivre ou à trouver. Tu lui as dis que, si elle ne disait pas ce qu'il avait dérobé, il y avait moins de 1% de chance de découvrir de nouveaux résultats, parce que tu ne pourrais pas guetter les revendeurs habituels pour voir si la came qu'ils vendaient provenaient de vols ou pas. Mais, et tu devais bien lui reconnaître ça, la femme fit preuve d'obstination dans son refus de t'en dévoiler plus.

Un coup d'oeil à ta montre t'appris qu'il était plus de trois heures du matin. En face de toi, la femme gardait son air impassible. D'accord. Avec un soupir agacé, tu te lèves, et tu la salues. Tu n'as plus rien à faire ici, et tu doutes de pouvoir un jour conclure cette enquête. Tu le lui dis sans ambages. Puis tu lui demande si elle souhaite poursuivre les investigations malgré tout. Elle t'assures que oui. Alors, avec un sourire presque mesquin, tu lui annonces tes honoraires. Payée à l'heure, évidemment, et avec une prime substantielle à l'arrestation qui ne surviendra sûrement jamais. Elle accepte. Sans broncher, en plus. Et pourtant, tu as gonflé tes tarifs tant son refus de dire quoi que ce soit te tapais sur les nerfs. Mais soit. Au moins, ça te feras une rentrée d'argent régulière, jusqu'à ce qu'elle se lasse de n'avoir aucun résultat. Ça tombe bien, tu devais aller faire une séance de shopping urgente.

Tu quittes la propriété après lui avoir assuré que tu lui enverras la facture dès le lendemain, pour le déplacement et les trois heures de cette nuit. Puis, rincée, tu retournes à l'agence. Tu fais les papiers en vitesse, n'ayant pas envie d'y retourner demain. Quand tu as fini, tu es surprise de voir qu'il n'est pas encore cinq heures. Tu as peut-être le temps d'aller à cette fameuse soirée au Triskellion.

Tu te prépares rapidement, du coup. Un short en jean, un chemisier échancré et noué sur l'avant, style années 90, et ton éternel perfecto de cuir noir, avec les clous mats sur les épaules. Une trace de rouge à lèvre, un coup de crayon et un coup de brosse plus tard, et tu es presque prête. Avant de sortir, tu te glisses dans une paire de bottines style motarde, à talons aiguilles, et tu boit un grand verre d'eau.

+ + +

Tu as de la chance. La boîte n'est pas encore fermée. Après avoir acheté ton entrée, tu te glisses parmi la foule, cherchant l'accès au bar. Peut-être Raven travaillait-elle ce soir. Ce serait bien. Et après son service, tu pourrais lui proposer d'aller manger un truc dehors.

Mais tes plans changent aussi rapidement que tes yeux s'écarquillent lorsque tu arrives au comptoir. Devant toi, aussi magnifique que la dernière fois que tu l'as vue, se tenait Alejandra. La sublime brune brésilienne, avec qui tu as partagé plus qu'un verre. La seule et unique femme à avoir jamais éveillé de l'attirance en toi. La glorieuse créature, auréolée de flammes, que tu as suivi un soir, intriguée.

Bouche bée pendant quelques minutes, tu l'observes. Au début, tu as douté, mais lorsqu'elle s'est tournée de profil, tu n'as plus eu aucun doute. C'était bien elle.

Te reprenant, tu sens un sourire malicieux étirer tes lippes assombries de ton rouge à lèvre, et tu décides de t'approcher, l'air de rien. Tu te glisses à ses côtés, commandant une vodka au barman, avant de lui effleurer l'épaule d'un geste négligent.

« Eh bien, Alejandra ! Toi, ici ? Je n'ai pourtant rien bu encore, sinon de l'eau, et pris aucune substance bizarre... »

Avec un rire, tu lèves ton verre, comme pour trinquer. Tu ne sais pas au juste ce que tu ressens pour cette déesse aux cheveux sombres, mais tu sais que tu l'apprécies beaucoup, de même que sa mini-elle attendrissante et blonde comme les blés.
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1051 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 22 Jan - 9:29
  • Quinn L. Avery
  • Kaylann Morino
Cuz nothin' good comes after midnight
RP se déroulant le 20 août 2016

« Chut, chuchotes-tu contre la chevelure de Kaylann. Ce n'est pas grave, ne t'en fais pas. Il va s'en remettre, et la police va le mettre au frais quelques temps. Il est juste inconscient, tu sais ? Ne t'en fais pas ma chérie, tout ira bien. »

Tu la serres de plus belle dans tes bras. Elle se sent tellement coupable que tu ne sais pas quoi faire pour lui remontrer le moral. Alors tu restes là, remontant doucement une main pour caresser sa chevelure, comme une mère le ferait avec sa fille. Tu n'as jamais vraiment eu d'instinct maternel avant, mais tu ne peux pas laisser la jeune fille ainsi.

« Je suis là, ne t'en fais pas ma chérie. Tu as envie de quelque chose ? Un chocolat chaud ? Il paraît que le chocolat c'est un remède universel. Tu pourras mettre des idées au clair comme ça. Ou bien un café ? Un thé ? Je t'offres ce que tu veux. On pourras en parler plus au calme, si tu le désires, ou bien on pourras parler d'autre chose. J'ai une collection de photo en noir et blanc d'ours, chez moi, si ça t'intéresse. Ou bien, je collectionne aussi les éditions limitées des canettes de Monster Energy. Ou sinon, on peut aussi aller au cinéma, si tu veux. »

Tu essaies de faire ce que tu peux pour lui tirer un sourire, même un regard lassé te ferait plaisir. Tu ne veux juste plus la voir aussi triste alors que le voyou qu'elle a envoyé valser n'en vaut pas la peine. Tu déposes un baiser sur ses cheveux, doucement, avant de te relever, libérant la jeune fille de ton étreinte.

« Mais, dis moi, tu es photographe, du coup ? Tu crois que tu pourrais me prendre en photo ? Je n'en ai jamais vraiment fait, avant. Mais je peux prendre plusieurs rôles si tu veux. Regardes. J'peux faire la mendiante, dis-tu en mimant quelqu'un mendiant de l'argent. Ou le grand méchant loup. Ou encore, je peux aussi faire la ninja. Wataaaa ! »

A chaque mime, tu lui souris, essayant de lui faire oublier sa désagréable mésaventure. Tu mimes aussi le singe, après le pseudo-ninja. Tu ne sais plus trop quoi faire, alors finalement, tu t'accroupis devant la jeune fille, posant tes mains sur ses bras, l'invitant à te dire ce qu'elle désirait faire, si elle préférait que tu la ramènes chez elle, ou que vous fassiez autre chose.
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428 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [SUJET SENSIBLE] Please mama forgive me, cause i'm breaking all the rules tonight + Mihael
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [SUJET SENSIBLE] Please mama forgive me, cause i'm breaking all the rules tonight + Mihael    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 22 Jan - 8:26
  • Quinn L. Avery
  • Mihael Hannigan
Please mama forgive me, cause i'm breaking all the rules tonight
Tes lèvres se mêlent aux siennes alors que ses mains dansent dans ton dos, défaisant délicatement l'agrafe de ton soutien-gorge. Tu souris contre ses lèvres, quand le baiser prend fin, et tes mains repoussent doucement ton compagnon afin de laisser le sous-vêtement glisser le long de tes bras, rejoignant le sol. Puis tes doigts viennent glisser contre son torse, appréciant les aspérités de ses muscles, jusqu'à se saisirent de la ceinture de son pantalon. D'un geste, tu l'attires vers toi, et tu le fais se retourner, dos au lit. Puis tu défais la boucle de ceinture, et celle du pantalon, avant de le faire glisser contre ses jambes, venant plaquer ta poitrine contre lui, partageant la chaleur de vos peaux nues. Laissant le vêtement se couler à vos pieds, tes doigts se glissent sur le sous-vêtement qu'il garde, le dernier rempart de vêtement qu'il possède. Un sourire taquin aux lèvres, tu tires sur l'élastique, jouant avec, en le faisant glisser millimètres par millimètres, jusqu'à dévoiler ses organes mâles.

Tu t'écartes légèrement, admirant le renflement de sa virilité, remontant le regard sur son torse et, finalement, jusqu'à ses yeux. Jouons, disaient les tiens. Et tu le pousses pour qu'il tombe en arrière sur le lit, un rictus amusé étirant tes lippes rougies par vos baisers. Tu le laisses là, un instant, le temps de faire glisser à ton tour la dernière barrière de vêtement qui ceint tes hanches. Puis, nue, tu le rejoints sur le lit, avançant à quatre pattes, les jambes de chaque côté des siennes, féline. Tu penches la tête, tes cheveux tombant autour de son visage comme un rideau pour vous cacher, et tu l'embrasses du bout des lèvres, joueuse. Tu l'effleures, taquinant la moindre parcelle de peau de son visage, descendant vers son cou que tu mordilles doucement. Tu relèves le regard, de temps en temps, lui jetant des œillades enflammées, alors que tu continues ta descente sensuelle. Ta bouche est la seule partie de ton corps qui le touche, si on omet tes cheveux. Et tu prends bien garde à ce que ça reste ainsi un instant, amusée, électrisée.

Tu lui octroies quelques caresses plus bas encore, plus intimes, comme tu sais le faire, afin de le rendre fou. Tu ne lâches pas son regard, tout ce temps, attendant de voir la suite, s'il était capable de contenir ses envies plus longtemps, s'il était joueur ou affamé.
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419 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Trouble, trouble, drink it down + Raven
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Trouble, trouble, drink it down + Raven    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 22 Jan - 7:59
  • Quinn L. Avery
  • Raven Collins
Trouble, trouble, drink it down
« Parfaitement, parfaites ! »

Un rire t'échappas alors que tu retrouvais Raven devant le bar. Tu avais vraiment besoin d'un break, et une soirée avec Raven était ce qui était de mieux. Tu n'avais pas à cacher ta nature, même si le dôme l'entravait, et tu pouvais parler de tout. Un sourire barrait ton visage alors que tu prenais le bras de ton ami pendant que vous entriez. Une fois installées, en retrait comme d'habitude, tu retires ta veste. Raven prends la carte après t'avoir posée une question. Mimant un soupir éreinté, tu t'affales moitié sur ta chaise dans une posture peu glamour.

« Oh ouais, t'imagines même pas. Ça ne me réussis pas de vivre à l'agence. Je suis incapable de m'arrêter de bosser quand j'y suis. C'est horrible. Je n'ai même plus rien à faire, tout est trié, en ordre alphabétique et selon si l'affaire est terminée ou non. Le ménage est fait deux fois par jour. Bref, j'en peux plus. J'ai vraiment hâte qu'on puisses se débarrasser du dôme pour retrouver ma maison. D'ailleurs, heureusement que je n'ai pas d'animaux, sinon, les pauvres, ils seraient abandonnés. »

Un sourire se glisse malgré tout sur tes lèvres.

« Et toi ? Tu vas bien ? Ah, tu as choisis ce que tu allais prendre aussi ? Un cocktail comme d'habitude ? »

Un petit gloussement t'échappes. Il est vrai que, si vous commenciez par des cocktails, ça se terminait bien souvent avec des alcools plus fort. Votre immunité à l'alcool, grâce à votre nature de were, était autant un problème qu'un avantage. Un problème dans le sens où vous ne pouviez pas vous mettre misérables, mais un avantage dans le sens où vous pouviez mettre leur raclée à des petits branleurs qui se prenaient pour des durs.

« Je pense que je vais prendre un shot de tequila pour commencer, pour ma part. Tu en veux aussi ? »

Tu avais envie de boire jusqu'à en oublier tous les soucis. Le dôme, le boulot, tout. Tu avais besoin d'un break, et tu savais qu'une soirée avec Raven ressemblait à un oasis de gaieté dans un désert de stress et de routine. Même si, au départ, tu ne pensais pas que vous pourriez être amies, il s'est avéré que tu avais tort. Vos différences étaient ce qui faisaient que votre amitié était forte. Vos ressemblances aussi. Et puis, qui a dit qu'un loup et qu'un ours ne pouvaient pas être amis, hein ? Vous avez chacune une part animale, mais aussi une part humaine, et c'était sûrement le plus important, là-dedans.
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450 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: You can't raise hell with a saint + Peter
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: You can't raise hell with a saint + Peter    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 22 Jan - 7:32
  • Quinn L. Avery
  • Peter Hale
You can't raise hell with a saint
Tu ne t'attendais pas à ce qu'il réponde d'aussi bonne grâce à tes questions. En omettant bien entendu cette pression sur ton épaule, avant de livrer l'histoire de Malia et de sa mère. Et à nouveau, il resserre l'emprise de ses doigts, à t'en faire mal, comme pour marquer son territoire, pour marquer sa domination. Un rictus étire tes lèvres, brièvement, alors que tu songes que tu es bien contente qu'il ne te pisse pas dessus pour cela. Ton rictus s'efface bien vite cependant, alors que le loup ressuscité fait basculer le siège avant de l'enjamber.

Tu fais moins la fière, d'un coup. Tu sais pertinemment que, sans tes pouvoirs, tu n'as pas plus de force qu'une femme normale. Même si tu sais te défendre, tu ne ferais pas le poids contre Peter. Peter qui te nargue, de son perchoir, faisant glisser ses doigts sur ton cou comme pour te rappeler ta faiblesse humaine.

Néanmoins, tu ne peux pas t'empêcher de le provoquer. Par orgueil ? Parce que tu aimes faire tourner les gens en bourrique ? Ou juste parce que tu déteste admettre ta faiblesse ? Sans doute un mix des trois. Alors tu souris de nouveau, ignorant de ton mieux la prise qu'il garde sur ton épaule et ta posture précaire. Tu souris, un éclat de malice au fond des yeux, alors qu'il te retournait la question de ta nature.

« Une renarde, moi ? Peuh. »

Tu es une ourse. Une grande et belle ourse aux yeux d'une lueur bleue pas naturelle du tout. D'ailleurs, sans que tu ne puisses vraiment l'en empêcher, tu sens que tes prunelles se colorent à nouveau de ce cercle saphir. Fort heureusement, il ne le vit pas, car c'est à cet instant qu'il ferma les yeux. Ça aurait été carrément la honte s'il s'était rendu compte que tu ne maîtrisais plus vraiment tes yeux, si tu ne pouvais pas t'empêcher de réagir sous la nervosité.

Le sujet revint sur la mère de Malia. Bien que tu n'étais pas certaine de pouvoir faire confiance à Peter (et sa petite démonstration de force ne servait en rien ses intérêts), tu étais encore moins certaine des intentions de The Desert Wolf. Ou, plus communément, Corinne. Levant les yeux au ciel, tu secoues la tête pour dégager une mèche rebelle venue chatouiller ton nez.

« Il se pourrait que j'ai connaissance de quelques planques en ville, qu'une certaine Corinne, utiliserait. Il se pourrait que j'ai des informations sur ses allées et venues du mois dernier. Il se pourrait aussi que j'ai un informateur dans son collimateur. »

Ton sourire s'élargit, comme si tu n'étais pas le moins du monde impressionnée par le Grand Méchant Loup. Comme si ton coeur ne battait pas plus vite que la normale. Tu sais qu'il le sent. Mais tu t'en fiches. Tu ne vas pas laisser la crainte -non, pardon, la nervosité- dicter ton comportement. Tes pieds prennent appuis sur le tableau de bord, et tu replies les genoux. La posture qu'il a adoptée te plaît, finalement. Il te laisse la latitude voulue pour te débattre. Mais tu ne cherches pas vraiment à échapper à ses griffes. Non. Tu cherches surtout à le désarçonner. A lui montrer qu'il était peut-être un alpha, autrefois, mais qu'il ne l'était plus maintenant. Et que, de toute façon, tu n'as pas l'intention de plier sous ses ordres. Ce n'est pas pour rien que tu reste une ourse solitaire. Tu a toujours repoussé fermement l'idée de faire partie d'une meute. En plus, tu n'as pas rencontré beaucoup de tes congénères.

Grâce à ton appui sur le tableau de bord, tu relèves les hanches, pour le faire basculer en avant. Tu n'as pas milles solutions, non plus. Ta main droite se lève, pour emprisonner sa nuque. Il te croit peut-être en position de faiblesse, mais c'est loin d'être le cas. Tes lèvres esquissent toujours le même rictus provoquant, alors que ton corps se soulève, comme pour venir à sa rencontre.

« Tout ce que je veux, en échange de ses informations, c'est de n'être pas mise de côté au moment de passer aux choses sérieuses. Je sais qu'elle est devenue une pro des armes après la naissance de Malia. Mais je comprends à présent pourquoi. Je comprends aussi que Malia est plus en danger que ce que j'aurais cru. Cette femme serait prête à tout pour récupérer ses pouvoirs, et je n'ai pas l'intention de la laisser s'en prendre à ta fille sans rien faire, susurres-tu alors que tes lèvres effleurent la joue du loup, près de son oreille. »

Par ailleurs, tu supportes mal de rester de côté, sur le banc de touche. Tu veux agir, au mieux, pour ceux que tu apprécies.

Tes doigts, crochetés sur la nuque de Peter, ne relâchent pas leur emprise. Il croyait t'avoir à sa merci ? Il ne te connais pas. Comme pour t'en amuser, tu fais claquer tes dents près de son oreille, avant de te laisser retomber sur le siège de la Porsche. Tu relâches lentement l'étreinte de tes doigts, te rendant compte que tes ongles s'étaient un peu enfoncés dans la peau du loup. Oups ? Mais il ne saigne pas. Du moins, tu n'aperçois pas de trace de sang sur tes ongles. Alors ça va. Non ?

« Sinon, tu peux toujours essayer de me menacer pour les obtenir, ces informations, mais tu n'arriveras à rien, chéri. »
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949 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: You can't raise hell with a saint + Peter
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: You can't raise hell with a saint + Peter    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 8 Jan - 13:38
  • Quinn L. Avery
  • Peter Hale
You can't raise hell with a saint
Était-ce vraiment une bonne idée de s'entêter dans ce petit jeu de rôle que tu avais commencé ? Non. Non, ça ne l'était certainement pas. Mais allais-tu arrêter pour autant ? Oh non. Non, absolument pas. Certains diraient que tu aimes flirter avec le danger. Que tu n'es pas satisfaite tant que tu ne récoltes pas quelques griffures ou quelques bleus dans une affaire. Certains se trompent, n'est-ce pas ?

Ouais, en fait, tu n'en es pas si sûre que ça. Mais, le côté positif de ton entêtement, c'est qu'il lâche des bribes de renseignement. A dessein, sûrement. Tu n'es pas idiote non plus. Tu sais reconnaître les informations lâchées au compte-goutte, pour appâter les indics, les clients ou tout simplement les pigeons. Malheureusement, tu n'es peut-être pas idiote, mais tu es toujours aussi têtue. Déterminée à savoir le fin mot de l'histoire. Coûte que coûte.

Tu ne savais peut-être pas encore ce que cette histoire allait te coûter, mais tu étais certaine d'une chose, désormais. Ton fan un peu tordu, aka ton collègue de planque, était bien lié à Malia d'une manière ou d'une autre. Mais comment connaissait-il The Desert Wolf ? Est-il en contact avec ? Est-ce que tu aurais tout faux de présumer qu'il voulait protéger Malia, alors qu'en réalité il veut la tuer ? Oh, tu ne sais pas trop quoi en penser pour l'instant. Tu décides alors de garder ce sujet dans un coin de ton esprit. Tu comptais l'asticoter là-dessus un peu plus tard.

Ton changement de sujet est loin de passer inaperçu, de même que le fait que tu lui piques son ordinateur, sois-disant pour regarder un truc. En vérité, t'essaies de voir -peu discrètement- s'il détiens quelque chose sur le PC. On n'sait jamais, après tout. C'est débile, comme technique, mais ça peut marcher. Comme on dit, l'inattendu marche toujours. Ou bien, le monde appartiens aux gens ayant du culot, ou un truc comme ça.

Trop heureuse d'avoir subtilisé l'ordi sans soucis, mis à part le rire du propriétaire du bien, tu te concentre pour chercher, l'air de rien, l'emplacement de ses dossiers. Enfin, à supposer qu'il gardait des données là-dessus, en dehors de ses films pornographiques. Tiens, ça existe, des trucs avec des animaux sauvages ? Beark. ... Ah non, c'est juste un documentaire animalier. Ouf, tu as eu peur.

Et en parlant de peur, justement. Ton coeur manque un battement quand tu sens une main étreindre ton épaule. Oui, tu ne t'attendais pas à ce qu'il te touches. Qu'il se rapproche. Et qu'il te grille. Oui, enfin ça, c'était déjà fait depuis que tes yeux se sont également illuminés comme une guirlande de Noël bleue. Mais c'est pour l'exemple.

Donc, tu t'efforces de garder un air neutre alors qu'il te susurre la raison pour laquelle tu te détruis le dos à dormir dans un sofa défoncé. Tu serres les dents, tandis que ses doigts meurtrissent ton épaule, tandis qu'il récupère son ordinateur -où tu as laissé le pseudo-documentaire continuer à jouer- pour le reposer devant lui. Tu ne quittes pas non plus son regard, et tu as même l'audace de lui sourire en réponse. Parce qu'il ne servirait à rien de nier. Tu ne dis rien, donc, alors qu'il reprend l'ordi, mais tu restes les jambes étendues sur le tableau de bord, confortablement. Monsieur n'aime pas qu'on touche à ses affaires ? Dommage, tu étais typiquement le genre de personne à toucher à tout pour agacer le monde. Pas pour rien que t'avais voulu devenir détective.

Ton petit air suffisant s'évanouit cependant pour laisser place à la perplexité, au début, puis à un air songeur, alors qu'il éclairait ta lanterne. Tu te doutais que Malia avait un lien particulier avec The Desert Wolf. Normal, en même temps. Tu ne t'intéresses pas ainsi à un parfait inconnu si tu n'as pas de lien avec. Mais de là à se douter qu'il s'agissait de sa mère biologique. Intéressant.

Hé, minute. Il vient bien de verrouiller les portières, là ? Tu hausses un sourcil. Cette scène sonnait étrangement comme l'un de ces pseudo-films d'horreur que tu avais regardé, de temps à autres. Mais là, ce n'est pa comme si tu étais sans défe-

Attends, rembobine. Ça va trop vite d'un coup. Sa fille ? Ton deuxième sourcil dessine lui aussi un arc. Oui, tu ne l'avais pas vue venir celle-là. D'accord, il a gagné le point. Tu en oublies même qu'il vient de verrouiller la voiture. Parce qu'il pense que la menace te fera céder ? Le novice. Tu es une ourse, tu n'as pas peur de... Oh, Peter Hale. Le grand brûlé dans le coma, donc tu avais lu l'article il y a quelques années. Celui qui avait vu sa famille brûler avec le manoir, deux ans après ton arrivée en ville. D'accord. N'empêche que tu n'as pas peur. Pas vraiment. Tu es plus curieuse qu'autre chose, en fait.

« Eh bien mon pote, t'es plutôt en forme pour un type resté dans le coma pendant plusieurs années. »

Un rictus amusé éclaire ton visage. Tu te mets à ton aise, sur le siège passager. Tes prunelles observent sans broncher le Hale à tes côtés. On ne dirait pas qu'il a été brûlé lors de l'incendie. Les capacités de régénération d'un garou sont vraiment impressionnantes. C'était la première fois que tu voyais à quel point tu avais finalement de la chance, dans ton malheur, d'être devenue une werebear.

« Je ne vois aucun inconvénient à partager mes découvertes sur la mère de Malia, si c'est dans son intérêt. Je l'aime beaucoup, cette petite. Mais j'pense qu'elle tiens de sa mère. J'avoue que je n'ai pas du tout vu le lien de parenté entre vous deux. »

C'est plus fort que toi, hein ? Tu ne peux pas t'empêcher de chatouiller le dragon qui dort. Enfin, le garou, en l'occurrence. Quoique... Est-ce que ça existait, un dragon garou ?

Oui, non, peu importe.

« Sinon, dans un tout autre registre. Je suis peut-être effectivement coincée en ville. Mais tu crois vraiment qu'un verrou sur une portière pourra me retenir si j'ai envie de dégager, Peter ? »

Tu souriais franchement, à présent. Mais tu parlais beaucoup trop. Sans doute pour évacuer la nervosité qui t'avais quand même habitée, malgré les apparences. Et qui te titille encore. N'avais-tu pas lu, quelque part, que Peter Hale aurait été responsable présumé de plusieurs meurtre en ville ? Ou alors tu as juste envie de l'associer à un sociopathe. Il est trop sexy pour être sain, c'est ça ?

« Tout à fait entre nous, puisque je n'ai que des liens très ténus avec la communauté surnaturelle... Tu es quoi, au juste ? Coyote, loup, renard ? Ours ? Non, tu n'es quand même pas un jaguar, hein ? Honnêtement, tu me fais penser à un renard. Rusé comme un renard, tout ça. »

Tu es atteinte, on dirait, d'une diarrhée verbale. Tu n'arrives pas à t'arrêter. C'est plus fort que toi. C'est ton mode de fonctionnement. Parce que pendant que tu déblatères toutes ces conneries, ton esprit fonctionne furieusement, reconstituant le tableau dont il t'as donné les dernières pièces, mais essayant aussi d'envisager le futur. Tes prochains mouvements, les siens, ceux de Malia ou de la Desert Wolf. Est-ce que tu vas vraiment lui dire ce qu'il veut entendre sur cette dernière, d'ailleurs ? Probablement. S'il ne dit pas de connerie, et que Malia est bien en danger. Même si tu ne la connais pas plus que ça, tu admires sa volonté de fer. Et encore plus maintenant que tu connais la vérité.
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1354 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: [SUJET SENSIBLE] Please mama forgive me, cause i'm breaking all the rules tonight + Mihael
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: [SUJET SENSIBLE] Please mama forgive me, cause i'm breaking all the rules tonight + Mihael    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 8 Jan - 12:46
  • Quinn L. Avery
  • Mihael Hannigan
Please mama forgive me, cause i'm breaking all the rules tonight
Tu n'avais rien dit de plus dans le parc. Tu t'étais contentée de marcher à ses côtés, profitant de sa chaleur contre ton corps, alors que vous vous rendiez chez lui. Oui, chez lui. Encore heureux qu'il n'ait pas discuté. Tu ne te voyais pas lui dire la vérité à ton sujet. Il n'aurait sûrement pas compris. Ton petit mensonge, un pieux mensonge, était donc passé crème.

Pendant le trajet, tu t'es remémorée vos petits instants privés. C'était bon, il faut l'avouer. Mais ça ne restait qu'un rencard régulier, n'est-ce pas ? Tu ne voulais pas trop t'attacher, et tu ne voulais pas qu'il tombe dan le piège de ce que certains nomment l'amour. Oh non, ce n'était plus pour toi ces conneries. N'était-ce pas normal, après ce qui t'étais arrivée ? Enfin. Quand le tour que prenaient tes pensées ne te satisfis plus, tu secouas la tête. Heureusement, vous étiez arrivés. Tu le laisses déverrouiller sa porte, avant de le suivre à l'intérieur. Tu souris doucement en t'adossant à la porte pour la refermer. Tes prunelles pétillaient de malice, et d'un sentiment plus profond, plus physique. De la luxure ? Bien sûr que oui. Une tendre luxure, aux accents sauvages cependant. Et, rien qu'à ton sourire, il pouvait deviner la suite des opérations.

« Allons faire cette sieste, mh ? »

D'un geste tout sauf pressé, tu déboutonnes le chemisier sous ton perfecto. Achevant la descente de tes doigts agiles, sans le quitter du regard, tu écartes à peine les pans du tissu. Juste assez pour qu'il devine l'armature du soutien-gorge noire sur ta peau dorée. Puis tu t'écartes de la porte, et tu lui fais signe de te suivre dans la chambre. En chemin, alors que tes talons claquent sur le sol, tu laisses tomber la veste, puis le chemisier. Enfin, dos à lui, tu fermes les yeux, et le bouton de ton jean ne tarde pas à sauter.

« J'espère que tu es toujours une véritable chaudière, la nuit. Parce que je suis toujours frileuse... »

Le ton de ta voix est coquin. Comme tu avais l'habitude d'être, en privé. Tout, sauf sérieuse. Tout, sauf amoureuse, n'est-ce pas ?

Tu te déhanches doucement pour que le jean glisse sur tes cuisses fuselées, et tu éjectes tes bottines d'un geste si familier, si négligent. Ton jean suit le chemin, et il se retrouve sur le sol, non loin.

A présent en sous-vêtement, tu te tournes vers lui, aguicheuse.

« Si tu m'aides à ôter le soutien-gorge, terriblement compliqué à défaire, je t'aiderais à te déshabiller. Deal ? »

Oui, le déshabiller. Entre autres choses.
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461 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: You can't raise hell with a saint + Peter
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: You can't raise hell with a saint + Peter    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 8 Jan - 9:22
  • Quinn L. Avery
  • Peter Hale
You can't raise hell with a saint


Que tu t'incrustes dans sa voiture, comme ça, ne sembla pas perturber l'individu plus que nécessaire. Par contre, toi, il te perturbas. C'était ses yeux. Ses iris qui, d'un coup, avaient luis de cette couleur si particulière, si reconnaissable. La même que celle que tes yeux prenaient. Qu'ils prirent d'ailleurs, sans que tu ne puisses vraiment contrôler ça. Bleue. La couleur des omégas, selon ce que t'avais expliqué ton pote le druide. Mais était-ce vraiment ça ? Tu te souviens qu'il avait l'air hésitant à continuer, et qu'il avait finalement embrayé sur un autre sujet.

Quoiqu'il en soit, ce n'était pas la question, à cet instant. Tu l'observais rentrer dans ton jeu. Un sourire sans joie, narquois, tordit tes lèvres purpurines alors que tu l'écoutais. Il avait même sortit son ordinateur. Qu'est-ce qu'il comptait regarder ? Un film classé X ?

En bonne novice dans le monde surnaturel, même si ça faisait déjà quelques années que tu avais été attaquée par un ours, tu ne tins pas compte des signaux qu'il t'envoyait. Ignorais-tu vraiment à quel point il était dangereux ? Ou faisais-tu exprès de ne pas écouter ton instinct ? Peut-être un peu des deux. Mais qu'il te suive ainsi depuis un moment, plus de quelques jours selon lui, t'agaçais prodigieusement. Ou, disons, le fait de ne l'avoir découvert que récemment t'agaçais prodigieusement.

Haussant les épaules en continuant ce petit jeu que tu avais instauré, tu t'installes confortablement dans le siège, snobant presque son effet voulu dramatique, dangereux.

« Oh si, carrément. Rien de tel qu'un p'tit cul bien rebondi pour changer la saveur d'une filature... »

Un sourire amusé prit place sur tes lippes, découvrant tes dents.

« Et tu as pu découvrir ce qu'elle trafiquait, avec Malia Tate ? »

Tu croyais commencer à comprendre pourquoi il te suivais, celui-là. Tu t'étais renseignée, bien évidemment, sur Malia, avant d'accepter de faire quoi que ce soit pour elle. Et, même si ça n'avait pas été coton, tu avais réussi à dénicher l'extrait d'acte de naissance de la jeune fille. Que le type ici présent sache aussi que son nom de naissance était Hale, ça ne voulait dire qu'une chose : Il était sûrement de la famille. Non ? Peut-être un oncle... Ou un père ? Il faudrait que tu creuses ça. Tu étais certaines d'avoir vu son visage quelque part, en plus. Serait-il apparu dans une de tes enquêtes ? Serait-ce un criminel ?

« Parce que j'ai entendu dire que cette détective -si peu douée et fauchée comme les blés- la rancardait sur un certain Desert Wolf. T'y crois toi ? Quelle idée de choisir un nom si ringard. The Desert Wolf, je n'appellerais même pas mon chien comme ça... »

Un ricanement t'échappa alors que tu étendais tes jambes, les plaçant sur le tableau de bord, comme si tu étais dans ta voiture. Allait-il apprécier de voir que le talon aiguille de tes bottines pouvait rayer l'impeccable tableau de bord ?

« Tu crois que la rumeur est vraie ? Embrayes-tu finalement d'un air songeur. Comme quoi il y aurait parmi nous des créatures du diable ? Et qu'il y aurait une sorte de bouclier divin pour les coincer en ville afin de les exterminer ? »

Tant que tu y étais, après tout, autant glaner des renseignements. Tu voulais bien jouer le jeu encore un moment, mais il fallait que ça en vailles la peine. Et puis, c'était injuste qu'il ait découvert des trucs sur toi sans que tu ne sache pas grand chose en retour. Sur lui ou sur la situation en général.

« Oh, un instant, files-moi ton PC, vieux, faut que je vérifie un truc. »

Tu étais vraiment sans gêne, oui. Et puis, après tout, c'était lui qui étais entré dans ton jeu le premier. Il ne pouvait s'en plaindre qu'à toi si tu prenais ton rôle à coeur. D'ailleurs, tu le prenais tellement à coeur que tu avais saisi ledit ordinateur sans attendre son consentement. Étais-tu à ce point inconsciente, à flirter ainsi avec le danger ? Oui. Probablement. C'était tout toi ça. Agir, et réfléchir ensuite. Bon, ça n'arrivait pas si souvent que ça, en fait, mais c'est ce qui est souvent le plus retenu.
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742 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: In the midst of confusion, follow the intuition ☼ Quinn
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: In the midst of confusion, follow the intuition ☼ Quinn    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 8 Jan - 8:58
  • Quinn L. Avery
  • Mairead E. Cassidy
In the midst of confusion, follow the intuition


Oui, ce n'était pas qu'une impression. Ton invitée nocturne était également peu à son aise, en ce qui concernait la situation. Tu lui souris doucement, alors que vous approchiez de l'adresse indiquée.

« Vous savez, je penses de plus en plus que la ville cherche à attirer un certain type de personnes. Peut-être que ça va vous paraître fou, mais je suis petit à petit persuadée qu'il y a ici quelque chose de... Disons... Quelque chose que la science ne peut pas encore expliquer, et qui brille comme un phare dans la nuit pour attirer l'attention, ou l'instinct, de quelques personnes spéciales. »

Tu es bien placée pour le savoir, en tant que werebear. N'est-ce pas cette étrange vibration au fond de toi, cette intuition -à défaut d'un autre mot- qui t'as attirée ici ? Après tout, tu aurais pu t'installer n'importe où. Les villes n'étaient pas ce qui manquaient, en Amérique. Mais non, tu t'es spécifiquement arrêtée à Beacon Hills. Ce n'était pas une coïncidence, si d'autres créatures en avait fait autant.

Cette jeune femme, à tes côtés, n'était-elle d'ailleurs pas l'une d'entre elles ? L'une d'entre vous ?

Un coup d'oeil à son endroit te fit froncer les sourcils. Elle semblait souffrir, en proie à une migraine.

« Tout vas bien ? Vous voulez qu'on s'arrêtes à une pharmacie de nuit pour acheter quelque chose ? »

Ce serait bête de s'arrêter maintenant, puisque vous y étiez presque, mais sait-on jamais. Mairead avait peut-être un besoin urgent de médicaments.

Ouais, mais en fait, vous n'étiez proche d'aucune pharmacie ouverte de nuit. Tu savais qu'il y en avait dans un quartier spécifique, mais vous étiez à quelques kilomètres de là. Alors que, cinq cent mètres plus loin, quand tu pris la route à droite, vous arriviez chez Greg.

« Vous savez quoi ? Vous allez rester dans la voiture le temps que je vérifie si tout va bien. Je ne voudrais pas que vous fassiez un malaise... »

Sans lui laisser le temps de répondre, tu sortis de la voiture et tu t'engageas sur l'allée menant à la maison de Greg. Tu ne vérifiais pas si Mairead suivais tes conseils ou pas. Tu étais malgré tout inquiète. Nerveuse. Et si quelque chose de grave était arrivé à Greg ? Tu ne pouvais pas t'enlever de l'esprit que la jeune Cassidy était en quelque sorte une messagère.

Voyant que ça ne répondait pas, même après plusieurs essais sur la sonnette, tu te décidas à piocher sous le paillasson. Greg y gardait toujours une clé de secours. Restait à espérer qu'il n'ait pas laissé l'autre jeu dans la serrure.

Si la clé s'inséra facilement dans le verrou, tu ne pouvais en revanche pas la tourner. Il avait sans doute laissé l'autre jeu de clé sure la porte. Découragée, dépitée à l'idée de devoir forcer la serrure de ton ami, tu tournes machinalement la poignée, pour tester.

A ta grande surprise, la porte n'étais pas verrouillée. Tu pousses le battants, et tu entres, à pas prudents.

« Greg ? Appelles-tu doucement. Greg, tout va bien ? »

Pas de réponses. Tu fais quelques pas en plus, et tu restes quelques secondes figée par ce que tu vois. Ton ami, ton propriétaire, est étendu sur son canapé. Inerte. Les yeux encore grand ouverts. Après cet instant de flottement, tu fonces vers lui en l'appelant d'un air désespéré.

« Greg ! Oh putain, faites qu'il ne soit pas mort... »

Tu prends son pouls, mais tu ne sens rien. En revanche, sa peau est froide. Comme si ça faisait un petit moment déjà qu'il était mort. Mort. Tu n'arrives pas à accepter que ce soit le cas.

Derrière toi, la télé est allumé, à volume réduit. Un livre gisait sur le côté, renversé. Un verre de vin rouge avait éclaboussé le beau tapis blanc sous le canapé, et les éclats de verres parsemaient la table basse. Ça avait été brutal, soudain. Mais était-ce naturel ? Tu aurais tendance à penser que oui. Greg avait des problèmes cardiaques. Aurait-il succombé à une crise ?
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709 mots.
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: My lips gonna make you die + Mihael
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: My lips gonna make you die + Mihael    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 8 Jan - 8:39
  • Quinn L. Avery
  • Mihael Hannigan
My lips gonna make you die
Un an qu'il n'avait pas bien dormi ? Est-ce que tu lui manquais ? Tu n'osais pas y croire. C'était, tout bêtement, peut-être uniquement la situation de ses amis qui l'empêchait de trouver le sommeil. Après tout, ce qui était arrivé était tragique. Oui, très tragique. C'était sûrement ça, il fallait que tu arrêtes de te faire des idées. De toutes façons, tu te fichais pas mal de savoir si tu lui avais manqué ou pas, hein ? Puisque tu ne t'attaches pas...

« Un an ? Eh bien, si on allait arranger ça ? Je peux faire une pause pour l'après-midi, dans mes affaires. Je n'ai rien d'important sur le feu. Tu veux aller chez toi ? On va faire une sieste. »

Un sourire étira tes lèvres alors que tu poussais machinalement ta joue contre sa main, comme pour mieux apprécier les caresses qu'il y dispensait. Tu finis par te dégager, mais juste pour mieux venir te coller contre lui, passant un bras dans son dos pour t'appuyer contre lui.

« Qu'est-ce que tu en penses ? Une petite sieste, tous les deux, chez toi... ? »

Tu haussais les sourcils d'un air suggestif. Malicieux, coquin, séducteur.

« Je te proposerais bien d'aller chez moi mais... J'ai un petit soucis en  ce moment. Un problème... De nuisibles. Il a fallu désinfecter. Et c'est invivable pour le moment. »

Tu ne savais pas si tu étais convaincante dans ton mensonge -un tout petit, rien de bien méchant- mais il fallait bien que tu inventes quelque chose. Tu ne pouvais pas dire qu'une espèce de barrière magique entourait Beacon Hills et empêchait les créatures surnaturelles de quitter la ville. Elles pouvaient parfaitement y entrer, cela dit, et c'était ça le plus injuste.
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301 mots.
Et sinon, j'ai fait plus court parce que je pensais qu'on pourrait clore ce sujet et en ouvrir un autre ? Et p'tet mettre un avertissement ou deux si tu veux qu'on explore leur relation ? Ou alors, carrément commencer l'autre sujet après la sieste ? Ou un autre jour ? :D
Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF 1533514866-nooonewSujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann
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Rechercher dans: Sujets Terminés   Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptySujet: Cuz nothin' good comes after midnight + Kaylann    Tag cc33ff sur EVERY MONSTER - TEEN WOLF EmptyDim 8 Jan - 8:23
  • Quinn L. Avery
  • Kaylann Morino
Cuz nothin' good comes after midnight
RP se déroulant le 20 août 2016

Tu n'as même pas eu le temps de quitter ton point d'observation en fait. Avant que tu ne puisses réagir, le voyou avait pointé une arme sur la jeune fille. Et elle avait réagi, à l'instinct, en le repoussant. Ce qui, en soit, n'était pas vraiment étonnant. Non. Par contre, ce qui l'était plus, c'était la force qu'elle y avait mis. Assez de force pour que l'homme cagoulé soit propulsé à quelques mètres de sa position. Il s'assomma d'ailleurs contre la paroi en pierre qu'il heurta, et s'écroula juste à tes pieds. K.O pour le compte. Joli tir, songeais-tu machinalement. La silhouette fluette de la jeune fille passa ensuite devant toi, et elle disparu au coin de la rue, plus loin. Inquiète quant à son sort, et curieuse aussi, encore plus qu'avant, tu sors une paire de menotte de ton sac pour accrocher le poignet du voyou à la gouttière qui bordait le mur. Tu appelles ensuite rapidement le 911, pour leur signaler un voleur neutralisé, avant de t'engager à la suite de Kaylann.

Tu n'as pas loin à aller. La petite s'était réfugiée non loin, et elle s'était écroulée elle-aussi. Tu entendais ses pleurs discrets avant même d'arriver près d'elle. Impossible qu'elle soit une psychopathe, pensais-tu. Mais tu restes malgré tout sur tes gardes.

Tu t'agenouilles doucement près d'elle, et pose une main délicate sur son épaule. Son chagrin t'émeus, et tu n'y peux rien.

« Hé, ma chérie, tu vas bien ? »

Puis, avant même qu'elle n'ait eu le temps de te répondre, d'avoir peur ou de s'enfuir, tu décides de t'asseoir à ses côtés, déposant ton sac devant toi.

« Tu sais, ce n'est jamais facile de vivre une agression. Quelle qu'elle soit. J'ai vu ce qu'il s'apprêtait à faire, et tu as bien fait de te défendre. »

Tu n'allais pas aborder tout de suite la question de sa force peu naturelle, ou même de sa situation familiale qui n'était pas très claire. Tu voulais d'abord, et avant tout, la réconforter. La voir ainsi te serrais le coeur.

« Quand on est une femme, on n'a pas l'air très impressionnante. Les hommes nous croient fragiles, sans défense. Ils pensent pouvoir agir en toute impunité. Certains, en tout cas. Pas tous. Il y en a de très bons, dans le lot. Mais à vrai dire, c'est surtout des moins bons que l'on entends parler. Malheureusement. Mais je digresse. Ce que je voulais dire, c'est qu'il ne faut surtout pas se laisser faire. Réagir comme tu l'as fait, c'est très bien. »

Tu pousses un soupir à fendre l'âme alors que tu as l'impression de partir dans tous les sens pour essayer de la réconforter. C'est vrai que tu n'es pas très douée dans ce domaine. Mais tu fais ce que tu peux, et tu essaies. N'est-ce pas là le plus important ?

« Tu as l'air d'y tenir beaucoup, à ton appareil photo. Et il m'a l'air précieux. Il a dû coûter assez cher, non ? »

Tu ne sais pas quoi faire de plus, en fait, alors tu te tais finalement, et tu passes un bras autour de ses épaules. Si ça se trouves, tu l'effrayes encore plus que le voyou. Mais tu es animée d'une bonne volonté, non ?

Tu frottes doucement son bras, pour la réchauffer un peu. Tu as entendu dire qu'après de fortes émotions, quand l'adrénaline déferle dans le corps, les individus ont souvent froid quand leurs nerfs lâchent. Qu'ils se sentent faibles, impuissants. Alors tu essaies de contrer ces effets, mais tu n'es pas sûre d'être très efficace.
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651 mots.
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