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Nous n'avions vraiment pas eu de chance, il fallait que nous retrouvions notre mère dans une ville aussi dangereuse que Beacons Hill. Depuis notre arrivée, j'ai très vite remarqué un problème chez mes frères, rapidement ils sont venus me voir en m'expliquant qu'ils ne pouvaient plus se transformer et qu'ils ne guérissaient plus comme avant. C'était sans compter ce fichu dôme qui les empêchait de sortir de la ville. Ils étaient piégés comme des rats, je ne savais pas quoi faire pour les aider. J'ai tourné toute la nuit dans mon lit a la recherche d'une piste ou d'une solution, mais en vain. C'est donc à l'aube que je me suis levée pour enfiler une tenue de sport afin d'aller faire un footing. J'avais un grand besoin de me défouler et d'évacuer mon stress. J'avais attrapé mes écouteurs et mon téléphone portable afin d'avoir ma musique lorsque je faisais mon sport. Je ne faisais rien sans musique, enfin presque rien. J'ai quitté l'appartement l'aube venait juste de pointer son nez, il faisait frais, mais comme j'étais partie courir j'allais rapidement me réchauffer. Je prends toujours la même direction, la forêt, c'était l'endroit idéal pour être tranquille. Je n'y allais que la journée, la nuit ce n'était pas aussi calme et sans danger que pendant la journée. Je dois avouer qu'elle n'est plus aussi dangereuse en ce moment avec les créatures qui ont perdu la plupart de leurs pouvoirs, pour ainsi dire la totalité. J'étais arrivée dans la forêt, je n'avais pas vu le trajet passer, en même temps je le connaissais par coeur et j'étais rodé niveau course. J'étais au coeur de cette dernière quand soudainement je me sens suivi. Je glisse une main dans ma poche pour saisir mon couteau que j'ai toujours avec moi et je me tourne sans sortir ma main. Un chien, c'était un animal tout simplement, cette brave bête me regarde en remuant la queue, visiblement elle n'était pas très farouche. Je m'accroupis en retirant mes écouteurs. Je l'observe et j'en conclus que tout moi c'est une demoiselle. " Et bien alors ma belle, où est ton maitre?" Je tends la main pour tenter une caresse en espérant ne pas me faire mordre.
Ce matin-là, lorsque tu ouvris la fenêtre de ta chambre, tu remarquas que l’air était assez doux malgré la saison bien avancée. Idéal pour un petit footing en forêt. Aussitôt que tu sortis de ta chambre avec tes chaussures de sport à la main, Milka s’empressa de te faire la fête, trouvant que tu ne les mettais pas assez vite à son goût. Elle était toujours prête pour un tour en forêt.
Quelques minutes plus tard, elle trottinait à tes côtés, s’arrêtant ici et là sur une odeur dont je ne pouvais plus partager la senteur avec elle à cause du dôme. Y penser te fit penser à l’ultimatum lancer par la voix. Un Hellhound. Jusqu’à ce qu’il en fasse mention, tu ignorais leur existence. Etaient-ils nombreux ? Quels étaient leurs pouvoirs ? Il fallait penser à tout cela avant même de commencer à penser en attraper un. Et puis, de toute façon, il était hors de question pour toi de céder à un tel chantage.
Tu pensais à tout ça lorsque tu remarquas l’absence de ta chienne. Aussitôt, les battements de ton cœur accélérèrent. Pourquoi n’avais-tu pas gardé tes sens de renard ? A cet instant, tu le regrettais. Surtout que si les garous ne pouvaient plus se transformer, il restait bien d’autres créatures qui pourraient faire du mal à ton amie à quatre pattes si sa route venait à croiser la leur. « Milka ! Milka, ma belle, reviens ! »
Finalement, au détour d’un arbre, tu la vis en train de lécher les doigts d’une inconnue. Dès que tu prononças son nom, elle posa son regard ambré sur toi et revint en trottinant. « Bonjour. Je suis désolé si elle vous a dérangé dans votre footing. Elle est curieuse et parfois un peu trop sociable avec tout le monde à mon goût. » Tu caressas ta chienne en lui offrant une friandise. « Oh, je ne me suis pas présenté. Caleb Woodbury. Et vous ? Vous venez souvent courir dans les bois ? J’espère que vous savez qu’ils ne sont pas vraiment sûrs. »
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Dim 1 Jan - 14:49
Une balade en fôret.
feat. Caleb & Thalia
La brave bête me léchait les doigts, elle semblait vraiment amicale et adorable, je me risque à lui faire une caresse, de toute manière j'avais affronté des créatures bien pire qu'un simple chien. Une voix se fait entendre, certainement son propriétaire. Un jeune homme, un brun assez grand et son visage me rappelle quelqu'un. Le souvenir me revient, c'était il y a quelques semaines quand j'avais débarqué en ville avec mes frères, avant même de mettre les pieds à Beacons Hill nous avions essuyé une attaque de loups-garous. J'avais été salement amoché et c'était cet homme qui c'était occupé de moi. Un peu trop curieux certes, je pense même qu'il avait compris que l'origine de ma blessure n'était pas naturelle, mais j'avais gardé le silence. Ce n'était pas contre lui, mais j'ignorais tout ce cet homme et il fallait protéger le secret du surnaturel au plus de monde possible. Il me salue, visiblement il ne m'a pas encore reconnu. Instinctivement je pose ma main sur mon bras, une cicatrice y était à présent, mais elle était cachée par mon haut. " Bonjour, non ne vous en faites pas, elle m'a un peu surprise, mais rien de méchant." La chienne retourne vers son maitre tout joyeux. Un sourire s'échappe de mes lèvres. J'aurais vraiment aimé avoir un chien moins aussi, mais avec mon style de vie avec mes frères la pauvre bête ne serait certainement pas heureuse, je préférais donc attendre d'avoir une vie plus stable, si un jour elle le devient. Le jeune homme se présente, oui je me souviens de ce prénom, effectivement je l'ai déjà croisé, mais le pauvre doit avoir tellement de patient qu'il a certainement dû m'oublier, ce qui est tout à fait normal et d'un coter ce n'était pas plus mal, au moins il oublie de me questionner sur l'origine de ma blessure. " Je m'appelle Thalia Cooper." Je lui tends la main pour le saluer convenablement. J'esquisse un léger sourire et une fois les présentations faites Caleb me questionnent un peu. Je passe une main dès mes cheveux en souriant. " Oui j'aime bien venir courir ici, c'est assez calme en journée." J'étais bien consciente que la nuit il ne valait mieux par venir trainer dans ses lieux, cependant la journée il était rare de voir des attaques, de plus la plupart des créatures étaient limites devenues inoffensives, enfin ceux que je connaissais, c'est-à-dire pas beaucoup. " Je sais, enfin la journée je ne pense pas risquer grand-chose." Je range doucement mes écouteurs dans ma poche et j'attrape ma bouteille d'eau pour en boire une bonne gorgée. " Et vous que faites vous ici si l'endroit n'est pas sécurisé?" J'ai un léger sourire en coin, si ce dernier prend le temps de me tenir en garde pour une question de sécurité, pourquoi était-il là? " Vous êtes infirmier non pas garde chassé." Je n'aurais peut-être pas dû dire que je connaissais son métier, mais il m'aurait probablement reconnu au fil de la conversation.
Tu ne la reconnus pas tout de suite. Ce fut son nom qui réveilla ta mémoire. Mais c’était seulement un doute, une possibilité parmi tant d’autres. Après tout, ce nom n’était pas si rare que cela. Tu lui serras la main qu’elle te tendit avec un sourire. Elle avait une attitude militaire et cela voulait dire qu’elle était soit fille de militaire, soit qu’elle appartenait elle-même à l’un des corps de l’armée. Tu acquiesças à sa remarque. « Oui, j’aime aussi le calme de cet endroit et les petits bruits discrets de la nature environnante. Et vous avez raison, la journée, vous avez assez peu de chances qu’il vous arrive quelque chose. » C’était vrai, la plupart des créatures étaient nocturnes et, de plus, le dôme en avait rendu une grande partie toutes aussi inoffensives que des humains. Ce qui n’était peut-être pas une si mauvaise chose pour certains d’entre vous.
Tu souris devant sa question. Que faisais-tu là si l’endroit n’était pas sûr ? « J’ai le goût du risque. Et puis, je me fie à l’instinct de Milka. Si elle ne le sent pas, je fais demi-tour. Jusqu’à maintenant, je m’en sors bien. Qui sait de combien de danger elle a bien pu me sauver depuis que nous courons ensemble ? » conclus-tu avec une caresse pour l’intéressée. Cela ne faisait qu’une poignée d’années qu’elle était à tes côtés et tu n’arrivais plus à te souvenir de ce qu’avait été ta vie sans elle. Et tu n’imaginais pas ce qu’elle pourrait être dans quelques années, lorsqu'elle serait partie pour toujours.
Tu eus un instant d’hésitation en entendant qu’elle savait que tu appartenais au corps médical. C’était bien elle. « Eh bien, disons que j’ai beau aimé mon métier, je me porte mieux si les patients sont moins nombreux. Et je pense que vous êtes bien placée pour le savoir. D’ailleurs, je ne suis pas infirmier mais médecin urgentiste. Sinon vos points n’auraient pas été faits par mes soins. » En disant cela, tu avais désigné de ton index l’emplacement de la cicatrice qui devait courir sur la peau de son bras. Il n’y avait pas de reproches dans ton intonation, seulement de la bienveillance. Et tu t’étais souvenu que sa blessure n’avait rien de naturelle. « En plus, je suis certain que vous voyez ce que je veux dire quant à la sûreté de ses bois » dis-tu avec un poil d’espièglerie dans la voix. Voudrait-elle davantage en parler qu’à l’hôpital ? Tu ne risquais rien à essayer.
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Jeu 23 Fév - 5:48
Une balade en fôret.
feat. Caleb & Thalia
Je me souviens de la perspicacité de Caleb de l'origine de ma blessure. Il avait rapidement compris que ce n'était en aucun cas naturel, il avait tenté de me faire avouer, mais par protection envers lui et surtout mes frères j'ai gardé ma première version. Je n'aimais pas mentir, mais cet homme ne devait pas savoir, personne ne devait, la surnaturelle était bien trop compliqué à gérer et je sais de quoi je parle. Je me sentais souvent comme une pauvre fourmi coincée dans un feu qui devenait incontrôlable. Je lui adresse un sourire amusé. Il cherchait encore à me cuisiner. Je remarque rapidement que ce dernier était très attacher à cette boule de poils joyeux qui se tenait à ses côtés. J'aurais aimé eu un chien moins aussi, mais avec la vie que je mène, la pauvre bête serait certainement plus malheureuse qu'autre chose. " Vous en avez de la chance." Je soupire tranquillement en passant une main dans ma chevelure. " Je devrais peut-être penser à me prendre un chien moins aussi." J'avais encore mieux finalement, deux frères loups-garous, bien que ses derniers n'étaient plus aussi forts avec ce dôme. Caleb semble se souvenir également de moi, ce qui m'aurait clairement étonnée. " Désolée, monsieur le médecin." Je lui fais un salut militaire. Je me moquais, gentiment bien évidemment. Il tentait vraiment de savoir le fond de l'histoire, j'observe ma blessure et je soupire. " Et vous comment vous pouvez être certain du danger dans ses bois?" Je ne comptais pas dire quoi que ce soit avant que ce dernier ne parle en premier. Je m'installe sur une vieille souche d'arbre prête à l'écouter.
Passe la souris sur l'image, tu verras c'est magique…
Tu souris. On peut dire que ta tentative d’en savoir plus sur cette fameuse blessure a lamentablement échoué. Tu ne lui en veux pas. Elle n’est pas la seule à essayer de garder un secret. Et, d’ailleurs, elle ne tarde pas à t’avoir à ton propre jeu. Heureusement, tu as de la répartie et tu lui répondis presque aussitôt d’un air un peu désinvolte. « Oh, les gens parlent. Et puis il y a ces blessures qui ne s’expliquent pas chez certains de mes patients. » Tu passes sous silence le fait que tu es toi-même l’un de ces dangers qui planent sur les bois de Beacon Hills. Il est évident que son secret est en lien avec le surnaturel, il ne peut en être autrement, mais tu n’es pas prêt à t’exposer au grand jour, surtout avec ce dôme qui te rend vulnérable.
Milka pleure pour attirer l’attention. Tu baisses ton regard vers elle et tu comprends que quelque chose ne va pas. Ne voulant pas affoler la jeune femme, tu restes d’apparence calme. « Ça vous dit qu’on continue cette conversation en prenant le chemin du retour. Cette pause m’a coupé les jambes. » C’est plus ou moins vrai, ce qui facilite la dissimulation de ton appréhension. Suivant la chienne, Thalia juste derrière toi, vous vous éloignez de ce qui inquiète l’animal. Une fois en ville, tu te sens rassuré. « Alors, comme ça vous ne voulez toujours pas dire à votre médecin ce qui vous est arrivé ? Vous savez, je suis toujours tenu au secret médical étant donné que vous êtes ma patiente. » Tu lui adresses un clin d’œil un brin moqueur. Alors, parlera-t-elle ? Rien n’est moins sûr. Qui protège-t-elle donc ainsi ?