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Invité | | Dim 1 Jan - 11:24 Tu ne sais pas vraiment ce que tu faisais là, dans ce bar, à commander un verre. Sans doute as-tu besoin de boire, ou alors c'est simplement pour passer le temps. Il n'y a pas beaucoup d'affaires intéressantes en ce moment, et s'il t'arrive de travailler tard le soir pour les enlèvements, les meurtres ne te demandent pas le même effort. T'y réfléchis, certes, mais pour l'instant tu disposes de trop peu d'informations. Et puis, en toute honnêteté, tu n'as pas envie de penser à ça ce soir. T'as songé à aller voir Wolfgang, mais tu t'es rappelée qu'il a une colocataire – Zara si tu te souviens bien – et donc que tu ne peux pas aller chez lui. Tu aurais pu l'inviter à venir chez toi, oui, mais t'y as pas pensé. Qu'importe, maintenant c'est trop tard, et aucun doute que vous vous verrez dans la semaine, quel que soit le prétexte que l'un de vous deux trouvera.
Alors que tu récupères ton deuxième verre de whisky en remerciant à demi-mots le serveur, une voix se fait entendre dans le bar et tu fronces les sourcils. Puis plus rien, et t'hausses les épaules, tu te dis que c'est rien. Jusqu'à ce que cela reprenne, et si tout à l'heure cela ressemblait plus à un test de micro, à présent c'est véritablement une chanson que tu entends. T'es dos à la personne qui chante, et pourtant la voix te dit quelque chose. Une, deux, trois secondes s'écoulent et tu te retournes, cette impression étant trop forte pour que tu puisses l'ignorer. Tes yeux s'écarquillent instantanément, ta bouche s'entrouvrent, ton poing se serre, et si tu tenais à ce moment là ton verre tu l'aurais sans nul doute fait tomber. Puis ta mâchoire se crispe, ton visage se ferme et tu sens une flamme irrépressible naître en toi. T'attrapes ton verre, le bois si vite qu'il passe mal et t'arrache littéralement la gorge, sort un billet de ta poche et le pose sur le bar avant de disparaître. Dix secondes, grand maximum, et tu es dehors, manquant cruellement d'air. T'arrives pas à respirer, et l'alcool n'a rien à voir avec ça. C'est lui, tu le sais, tu l'as reconnu.
Son visage te revient même six ans après, et la haine n'est que plus grande, comme si le temps l'avait attisée à mesure qu'il s'écoulait. T'as pas le temps de rentrer chez toi chercher la bague, pourtant tu voudrais la récupérer dans le seul but de la lui faire avaler. Qu'il s'étouffe avec, et qu'il aille brûler en enfer ! Tu pourrais y aller, mais t'as trop peur de le manquer. Tu ne veux pas qu'il t'échappe, la colère est trop importante. T'as envie de lui bondir dessus et de le griffer jusqu'au sang comme un loup enragé, de le rouer des coups, de lui arracher le cœur pour te venger. T'es tellement furieuse que t'entends le sang battre au niveau de tes tempes, mais t'en as rien à faire. Il va payer.
Alors t'attends. Une dizaine de minutes grand maximum s'écoulent alors que tu restes là, dehors, ta veste en cuir sur le dos. Il est tard, mais la colère t'empêche d'avoir froid malgré ton pantalon noir assez fin et ton débardeur pourpre qui laisse apparaître tes épaules. T'en as rien à faire, tu pourrais même tomber malade que ça n'aurait aucune importance. Et lorsque tu le vois enfin apparaître, tu fais disparaître de ton visage toute trace de rage, laissant seulement une moquerie évidente l'imprégnait tandis que deux flammes brûlent dans tes yeux. « Alors comme ça tu es vivant ? » Tu parles assez fort pour qu'il t'entende, et tu sais que c'est le cas. « Première nouvelle, je suis ravie de l'apprendre de ta bouche, » lâches, sarcastique sans pour autant montrer la sourde fureur qui bout en toi. « T'as toujours été assez lent, mais là tu bats des records. » Tu te moques de lui, oui, ouvertement. T'espères le rabaisser plus bas que terre, parce qu'il ne mérite pas mieux, parce qu'il mériterait de souffrir autant que tu as souffert, et que tu as bien l'intention de te faire justice. « Ça fait quoi... six ans ? Même un escargot aurait été plus rapide que toi, c'est dire. » Tu le provoques encore et encore, et ton sourire moqueur ne te quitte pas alors que tu le dénigres à nouveau, presque dédaigneuse. Tu le méprises, il n'est qu'un lâche, un lâche qui s'est enfui et qui t'a abandonnée. Tu te moques bien qu'il soit un loup-garou, t'en as rien à faire qu'il soit encore un alpha – mais ça t'en sais rien – parce que de toute manière le dôme l'empêche de se transformer désormais, et tu le sais. Qu'il soit un homme et qu'il t'affronte sans fuir, ça changerait ! Fiche bye Ethna | | | | |
Invité | | Dim 1 Jan - 20:06 After all these years Mihael Hannigan & Kathleen A. Jane
Ce soir, c'est jour de représentation... Ma première depuis que je suis de retour a Beacon Hills. Ce soir c'est le bar Triskellion Club qui serais mon employeur. Le bar me fournissais les musciens, alors que j'aurais rien a faire hormis posé ma voix et chanté. Le plan parfait en soit. J'avais bien écris mon propre répertoire de chanson, mais jamais je ne me suis réellement renseigner pour les sortir, les gardant dans mon esprit la ou est leur place. Beaucoup de ces chansons sont des traces de mon passé, des souvenirs relaté dans un texte qui jamais ne sortira de ce carnet ou elle sont écrits.
J'avoue ne les avoirs jamais fais lire a Quinn ou lui en avoir réellement parler. Ma seul qui en avait eu connaissance était la première pour qui j'avais écris il y a dix ans. Elle aurait pu devenir ma femme, celle qui aurait partager ma vie pour le meilleur et pour le pire. Au final, elle ne fut rien de moins que ma plus belle désillusion. Le genre de douleur qui nous attaque en plein cœur, un coeur déjà brisé qu'elle n'avait que finir de mettre en pièce. Je me souviens qu'une larme avait glisser de mon œil froid, une unique larme qui me fit comprendre quel genre de personne la seule part humaine en moi était.
J'avais fais un trait sur ce passé, cette femme était mon passé. Bien que notre relation soit étrange, je me sens bien avec Quinn et elle est la seule femme pour qui vont mes pensées aujourd'hui. Je n'avais jamais su ou voulu savoir ce que cette femme était devenu et a vrai dire je n'ai fais que lui rendre sa liberté. Quinn était celle avec qui je voulais passé mes nuits, c'était la seule que je désirais avec pour moi et pour moi seul, qu'elle soit mienne de la même façon que mes nuits sont siens.
J'étais arrivais au club, alors que je buvais un whisky avant de commencé accordé ma guitare et de tester le micro. Pour le premier morceau je jouerais moi-même quelque chose de calme, dans un programme crescendo comme demandé par le patron.
Je commençais doucement a jouer de la guitare alors que venais enfin a moi la première chanson:
Les musiciens accompagné ma voix a des moments donner, mais rapidement nous réussissions a compté l'attention du public. Je restais calme comme a mon habitude continuant ma chanson jusqu'à la dernière note... Au dernière Accord, nous accueillons quelques applaudissements, alors que nous passions a la chanson suivante, cette fois un peu plus dynamique ou cette fois je n'avais plus d'instruments dans les mains. Accompagner encore une fois par les musiciens je prenais en parole la seconde musique avant de partir a ma pause cigarette.
Inconsciemment, j'étais toujours plus expressif lorsque je chantais, quelques chose ou a vrai dire je n'avais pas vraiment de contrôle... Mais d'un côté, cette part de moi est la seule qu'on ne m'a pas imposer, le seule choix que j'ai eu le droit d'avoir pour ma propre vie. Peut-être que c'est pour une raison aussi ridicule... Mais peut-être que cela ne l'est pas autant. Pour le moment la représentation avait un accueil assez satisfaisant, Il me restait encore deux chanson a chanté, j'avais étais pris pour chauffer un peu la salle avant l'arriver d'une star local, mais qui sais peut-être qu'un jour c'est lui qui chaufferais la salle pour moi.
Même si je ne me ment pas, Un seul combat me rapporte plus a lui seul que dix représentation... Mes poings reste un bien meilleur moyen de gagné ma vie que ma voix. Je décidais de sortir prendre l'air, fumé un peu... Je m'allumais ma cigarette alors qu'une voix retentit a mes oreilles. Cette vois, je ne l’oublierais jamais et jamais je n'aurais cru l'entendre a nouveau. Kathleen... Mon ex-fiancée qui venait rugir dans ma vie au moment ou je m'y attendais le moins.
Elle commençait a m'insulter chose a laquelle a vrai dire m'attendais a la seconde ou j'ai entendu sa voix. Je restais silencieux, elle me connaissait bien... Jamais des mots de la sorte ne m'atteindrais et elle devait le savoir, je supposais que cela devais soulager sa conscience. Je restais silencieux, Continuant ma cigarette calmement, d'un calme qui me fut toujours propre mais qu'elle n'avais jamais supporter. Je finissais ma cigarette alors que je l'écrasé contre le sol:
- C'est tout? Ou tu a d'autre chose a me dire?
Je gardais mon air calme, je ne me laisserais pas troublé par son retour éphémère de quelques minutes dans ma vie.
FICHE PAR STILLNOTGINGER. | | | | |
Invité | | Lun 2 Jan - 9:53 Tu ne t'attendais pas à le trouver ici. T'aurais voulu que ce soit n'importe qui d'autre, mais pas lui. Pourtant tu ne pouvais nier l'évidence, reconnaissant entre mille cette voix qui à l'époque te chantait des chansons. Il en avait écrites pour toi à l'époque, et c'était l'une des seules manières qu'il avait de te dire qu'il t'aimait. Aujourd'hui tu sais que ce n'était qu'un tissu de mensonges, et pourtant tu ne peux pas le supporter. Tu sors du bar, et tu l'attends. Dehors, dans le froid que tu ne ressens pas, tu bouges à peine, occupée à contenir toute la rage que tu ressens. Et lorsqu'enfin tu l'aperçois qui vient fumer, une cigarette qu'il s'apprête à allumer entre les doigts. Cela ne t'empêche pas de lui parler, de te moquer de lui, de le rabaisser. Tu ne penses pas que ça a un réel effet sur lui, parce qu'au fond tu le connais mieux que ce que tu voudrais, mais tu en as besoin, c'est indéniable. De vider ton sac, de l'humilier, de l'insulter à demi-mots grâce à des sous-entendus fourbes et sarcastiques. Malgré cela il garde le silence, impassible, indifférent. Il fume toujours, paraît serein, porte à ses lèvres le petit tube de tabac pour cracher de la fumée sans broncher. Comme si tu n'étais pas là. Et son calme te donne encore plus envie de lui arracher les yeux, le foie, le cœur. T'as envie de lui faire mal, et si pour l'instant ce ne sont que des mots l'idée de le frapper tourne en boucle dans ta tête. C'est stupide, inconscient qui plus est puisque même ramené à sa condition d'humain il a plus de forces que toi, mais tu t'en moques. Tu veux qu'il souffre, qu'il souffre comme t'as souffert, et qu'il ressente toute la violence de ta colère. Et il reste impassible, bougeant à peine alors qu'il fume tranquillement sa cigarette et que tu continues de lui lancer des remarques acerbes. Lorsque tu t'arrêtes et qu'il transforme le tube empoissé en simple mégot, t'es à deux doigts de lui sauter dessus pour le rouer de coups, pourtant tu ne laisses rien paraître si ce n'est de la moquerie, du sarcasme, et deux flammes qui te servent d'iris. Alors il prend enfin la peine de te répondre, mais tu n'obtiens ni explication ni excuse, seulement de l'indifférence et... ce calme que tu as toujours détesté. Tu sens la rage en toi se faire plus intense, crépiter à tel point que tu ne sais pas combien de temps tu vas tenir avant d'exploser. Avant de briser ton masque supérieur et goguenard pour qu'il voit toute la haine que tu éprouves à son encontre, cette colère et cette rancune trop longtemps enfouies. « D'autre choses ? » Tu lâches un rire moqueur hypocrite, forcé, mauvais présage. « Mais j'ai des tas de choses à te dire Mihael, ne t'inquiète pas pour cela. » Ton ton est froid, tes mots claquent l'air férocement, tu ressembles à un tigresse prête à bondir sur sa victime, même si pour l'instant tu n'es que dédain et sarcasme.
« Tu te rends compte de ce que tu as fait ? » Tu t'avances d'un pas, parce que tu n'as pas peur de lui malgré tout. Il t'a trop fait souffrir pour que tu le craignes, et si tu dois mourir aujourd'hui alors autant lui jeter à la figure tout ce que tu as sur le cœur – ça risque de faire beaucoup. « Tu as tué un homme, bordel est-ce que tu t'en rends compte ? » Ton masque de glace fond petit à petit, disparaît pour lui laisser entrevoir ta fureur. Tu hausses le ton à mesure que tes phrases progressent, mourant toujours envie de l'étrangler ou de le gifler sans pour autant le faire. « J'en ai rien à foutre que tu sois un Bad Alpha ou toutes ces conneries, merde c'était un humain, de quel droit tu l'as tué ? » T'exultes de rage, véritable furie aux yeux de flammes, animée seulement par la haine et la rancœur. T'as besoin de lui balancer tout ce qu'il mérite maintenant. « Et ensuite tu t'es barré. On a pas vu plus courageux tiens. Pas un mot, rien. Même pas le courage de m'affronter. C'est pitoyable. » On parle souvent de paroles qui viennent du cœur, et bien là c'est purement et simplement le cas. « T'es capable de tuer quelqu'un, mais affronter celle que tu prétendais aimer, ça, c'était trop dur ? Tu es pathétique. » Et tu craches ces mots que tu penses, parce qu'il n'est qu'un lâche et qu'il ne mérite rien de mieux. « Est-ce que je dois aussi parler des trois ans et demi que j'ai passés à attendre en vain, tout ça parce que t'es un putain d'abruti, et un lâche ! Trois ans et demi de mensonges, est-ce que tu en es fier au moins ? » Tu le provoques, tu veux qu'il réagisse, et même si t'es pas certaine que cela fonctionne tu le fais quand même. T'as besoin de le faire, de tout lui dire, de vider ton sac qui contient bien trop de haine, d'amertume et de désillusions pour une seule personne, sinon tu vas imploser, et ça va te détruire. Tu refuses qu'il te gâche la vie plus longtemps, mais t'as bien l'intention de détruire la sienne. Fiche bye Ethna | | | | |
Invité | | Lun 2 Jan - 11:41 After all these years Mihael Hannigan & Kathleen A. Jane
Elle disait qu'elle avait encore une tonne de chose de me dire, alors que malgré qu'elle tente de le dissimuler sa fureur aurait pu se faire ressentir a des kilomètres tant l'aura qu'elle dégagé était palpable. Elle me blâmer pour avoir tuer son amant, me demander si je me rendais compte de ce que j'avais fais... Elle savait que j'étais un Bad Alpha avant, elle savait que j'avais déjà du sang sur les mains avant même de la connaitre. Elle me traiter de lâche, d'idiot...
Je restais calme, je savais qu'elle essayer de me faire réagir mais quoi qu'elle puisse dire n'y changera rien. Elle pourrait me blâmer, m'insulter, tenter par tout les moyens de me blesser, jamais elle ne pourrais a nouveau me faire autant mal que le seconde ou j'ai senti l'odeur d'un autre sur elle. Elle n'avais pas eu besoin de me le dire, je savais qu'elle m'avais trahi. Elle disait que j'avais prétendu l'aimer.... Je décidais d'enfin prendre la parole:
- N'a tu pas toi même prétendu m'aimer?... Est-ce qu'a lui aussi tu lui avait dis la même chose avant de t'offrir a lui?... Tu a toujours su ce que j'étais... Qui j'étais... En te demandant ta main, je t'ai offert le droit de faire ce qu'il te plairais de mon cœur. Tu disais m'aimer, mais n'a tu jamais eu que l'ombre d'un sentiment pour moi? Lorsque je t'ai demander de m'épouser tu sais que c’était par amour, j'étais même prêt a quitté la meute d'alpha pour toi, j'aurais trahi Deucalion qui fut le seul a m'accepter pour qui j'étais uniquement parce que je t'aimais... Mais toi? A tu accepter par amour ou par pitié?
Je marquais en temps d'arrêt, je restais calme... Elle ne m'avais jamais cru, elle me voyais comme un monstre dont elle n'avait pas peur. Au fond, en la voyant aujourd'hui, en voyant la personne qu'elle était... Ce qu'elle pensait de moi, de l'avis qu'elle porter a mon égard je n'avais qu'encore moins de regret sur notre relation. Elle me demander si j’étais fier, alors que la vrai question est-ce qu'elle était fier elle d'avoir la première personne que j'avais aimer? D'avoir eu les sentiments d'un Bad Alpha que les loups redouté pour son manque d'humanité.
Oui je l'avais aimer, oui j'aurais tout sacrifier pour elle... Mais désormais tout ça appartenais au passé. Je restais silencieux, j'avais déjà suffisamment parler. Elle pouvait me haïr et me maudire, mais jamais elle n'aura l'ombre d'une idée de ce que je peux moi même ressentir a mon égard depuis toujours et je pense qu'au final cela est la plus grande différence entre elle et moi. Je suis parti sans me retourner en lui rendant sa liberté. Elle ne m'aimais pas, elle n'étais juste pas contente d'avoir celui qu'elle considéré comme un jouet, et jamais je ne lui ferais le plaisir de savoir combien j'ai souffert pour elle.
Mon regard calme restait plonger dans le siens, ce même regard que je le sais elle n'avais jamais oublier.
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Invité | | Lun 2 Jan - 13:04 Il y a six ans, lorsque tu es rentrée chez toi, chez vous puisque vous viviez dans le même appartement qui, bien que petit, vous convenez parfaitement, et que tu ne l'as pas trouvé, tu n'as pas compris. T'as attendu une heure, puis deux, en vain : il n'est jamais revenu. T'as eu tellement mal, tu te souviens encore de toutes les larmes de rage qui ont coulées sur tes joues ce jour-là, et le lendemain. De la colère que tu as ressenti, de l'amertume, de ce sentiment d'abandon qui t'a détruite. Tu n'as jamais pu oublier cette souffrance que tu as ressentie, et tu as l'intention de le faire payer pour tout le mal qu'il t'a fait. Et même si tes mots ne lui font rien, qu'importe, alors tu te contenteras de vider ton sac. Ce que tu fais d'ailleurs, lui crachant c'est quatre vérité, le traitant de lâche, d'abruti, à demi-mots de monstre. Tu lui dis à quel point il est pathétique, parce qu'il n'a pas été capable de t'affronter, qu'il s'est contenté de tuer ton amant avant de disparaître, preuve d'un courage que tu critiques sans relâche. Ton masque se fissure petit à petit, mais tu t'en fiches, ta rage est trop importante pour que tu la contiennes. De toute manière il sait que tu le haïs, alors à quoi bon faire comme si de rien n'était.
Lorsque monsieur prend enfin la peine de te répondre, c'est toi qu'il accuse. Il t'accuse d'avoir menti sur tes sentiments, d'avoir fait de même avec ton amant, d'avoir prétendu en aimer deux, ce qui est complètement faux. Si tu as couché avec un autre c'est simplement par colère, parce que tu lui en voulais de te délaisser à ce point, parce que tu voulais te venger. Le faire souffrir parce qu'il ne t'accordait pas l'attention que tu méritais, et que tu ne supportais plus son indifférence. Et il continue, parlant de vos fiançailles, de ce jour où il a demandé ta main. Mais ça ne fait qu'amplifier ta rage, t'es furieuse parce qu'il t'accuse alors que tout est de sa faute. Parce qu'il te ment, il te ment encore et encore, et tu détestes ça. « Mais toi ? As-tu accepté par amour ou par pitié ? » Tu connais la réponse, mais tu ne la lui diras pas. Tu préfères rétorquer face au reste de ces accusations, comme si tu n'avais rien entendu. « Moi je t'ai aimé, oui. Je n'aurais pas attendu trois ans et demi si ça n'avait pas été le cas. Et non, si c'est ce que tu veux savoir, je n'ai jamais prétendu l'aimer, et il le savait très bien. » T'es furieuse, parce que tu n'as jamais rien ressenti pour ton amant et qu'il prétend le contraire. « Tu savais que j'avais des sentiments pour toi, je te l'ai toujours montré. Mais toi, qu'est-ce qui me prouve que tu en avais ? Cette foutue bague qui n'a servi à rien ? Tu m'as demandé ma main pour que rien ne change, pour rester indifférent et m'ignorer comme tu le faisais avant ta demande. T'appelles ça un progrès toi ? Moi pas ! » Ta colère semble s'intensifier alors qu'il te parle de Deucalion, parce que lui tu ne l'as jamais apprécié, et qu'il est selon toi l'une des causes de la fin de ta relation avec Mihael. T'as beau ne plus rien ressentir pour le brun en face de toi à part de la haine, savoir que l'Alpha qui était à l'époque le sien soit l'un de ses arguments te met en rage. « Et arrête de mentir, je sais que tu n'aurais jamais quitté ta meute, même pour moi. Tout comme tu n'aurais pas trahi Deucalion, cesse de te moquer de moi. Il passait avant tout, alors ne prétends pas m'avoir aimée suffisamment pour le laisser. Parce que lorsque j'étais dans le lit d'un autre, toi tu étais avec lui, encore une fois. » Fiche bye Ethna | | | | |
Invité | | Mar 3 Jan - 20:36 After all these years Mihael Hannigan & Kathleen A. Jane Elle commençais sa phrase en disant qu'elle m'avais aimer.... Alors que je sentais une intense sensation de rage gronder en moi... Elle me traiter de menteur, que jamais je n'aurais été prêt a renoncé a Deucalion pour elle... Deucalion lui, n'avais jamais aimer Kathleen. Il savait qu'elle était ma seule faiblesse, la seul chose capable de faire naitre en moi des sentiments même muet... Savait-elle seulement qu'a chacun de mes départs je gardais une photo d'elle et moi précieusement... Savait-elle que renoncé a la meute d'alpha était mon cadeau de mariage?
Deucalion avais accepté que je me retire de ma meute a l'instant de mon mariage, il disait qu'a cette instant je n'aurais plus besoin de lui... Et que lui aurait enfin trouver la réponse au mystère me concernant. Elle disait m'avoir attendu pendant trois ans, elle remettais en doute les sentiments que j'avais pu ressentir pour elle... Elle ne me croyais pas capable d'aimer, voyant en moi un homme de glace. Comment pouvait-elle prétendre m'avoir aimer si tout ce que je suis l’exècre a ce point? Elle me reprochait d'être moi, ce même homme dont elle prétendait être tomber amoureuse.
Pour la première fois, elle me voyait me mettre en colère alors que je frapper d'un revers de la main dans le mur en criant:
- COMMENT OSE TU PRÉTENDRE M'AVOIR AIMER?! QUE CROIT TU SAVOIR DE CE QUE JE RESSENTAIS?! TU CROIS QUE J'AIMAIS ÊTRE UN ALPHA?! CENT FOIS JE SERAIS MORT POUR TOI PLUTÔT QUE DE TE PERDRE! MAIS TOI, TU A ACCEPTER! TU DISAIS VOULOIR ÊTRE CELLE QUI SERAIS MIENNE POUR TOUJOURS!
Mes yeux durant ma colère avait viré au bleu luisant, mais je m'en fichais... Je reprenais mon calme doucement, alors que mes yeux reprenais leurs couleur naturelle:
- Tu t'est offerte a lui... Et ce cœur que tu m'a arracher, c'est dans la poitrine de cette autre que j'ai été le récupérer. Méprise moi, maudit moi... Toute cette souffrance et cette amertume qui sont tiens depuis tout ces années ne sont rien. A tes côtes j'aurais pu devenir humain, ca aurais été long, mais je l'aurais fais... Uniquement parce que je t'aimais et j'aurais fais n'importe quoi pour que tu ressente ne serais-ce qu'un dixième de l'amour que j'avais pour toi.
J'avais taper tellement fort que le côté de ma main c’était mis a saigner, mais je m'en fichais... La douleur n'était plus rien a mes yeux, même si j'avais perdu mes pouvoirs d'alpha j'étais aujourd'hui plus fort qu'a l'époque. J'étais encore un gamin avec une lueur d'espoir perdu dans un silence qui portais un nom. Cette espoir n'existe plus, jamais je ne serais aimer, uniquement parce qu'on ne peux aimer celui qui ne s'aime pas. Il y a six ans cette espoir m'a trahi alors que j'avais accepté sans réserve la faiblesse qu'il m'avoir apporter, et il s’appeler Kathleen. A cette instant je pensais a Quinn... J'avais envie de la sentir dans mes bras...
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Invité | | Mer 4 Jan - 16:59 T'as beau être sûre de toi, tu ne pensais pas réussir à le mettre en colère aussi vite. Lui qui a toujours été glacial est en train de crier, sa main encastrée dans le mur à côté de lui et ses yeux brillants d'un bleu dont tu connais la signification. Il n'est plus un alpha. Pathétique. C'est le seul mot qui te vient à l'esprit tandis qu'il continue de vociférer, parce qu'il te ment, il se moque tout simplement de toi. Il te prend pour une idiote, et t'as envie de l'étriper rien que pour ça. « C'est tout ce que tu voulais alors ? Que je sois tienne pour toujours ? » Tu grognes presque alors qu'il a enfin arrête de hurler, parce que tu détestes cette idée. T'es libre, personne ne te possède, et tu ne sais même pas pourquoi tu l'as laissé mettre cette foutue bague autour de ton doigt. Enfin si, tu sais, mais tu ne lui diras pas pour ne pas perdre la face. Pitié.
Mais il continue, après avoir envoyé son poing dans le mur si fort qu'il saigne il recommence. Il est plus calme, et ça t'agace parce que même si c'est pour beaucoup immoral t'étais fière de l'avoir mis en colère. Il ne mérite pas mieux. Il parle à nouveau de ton amant, et une fois encore il trouve normal de l'avoir tué. Vous avez tous les deux votre propre conception de la justice, certes, néanmoins tu sais de par la loi que la sienne est la plus ignoble. Pourtant tu l'écoutes jusqu'au bout, même si t'as envie de le frapper parce que ses mensonges te brûlent les oreilles. Tu retiens tous les mots qu'il prononce, t'as bonne mémoire et de toute façon t'es pas prête d'oublier cette discussion. T'as bien l'intention de retourner tout ce qu'il t'a dit contre lui, et c'est ce que tu ne tardes pas à faire dès qu'il se tait – enfin. « T'as eu plus de trois ans pour ça Mihael, trois ans et demi que j'ai passés avec toi en attendant une preuve que tu m'aimais, parce que non, le peu que tu faisais n'était pas suffisant ! » T'as pas besoin de crier, et même si tu hausses la voix de par ton immense colère t'es loin du cri incontrôlé qu'il a poussé tout à l'heure. T'espères peut-être qu'il se sente idiot, et pourtant cela n'a pas la moindre importance. « Tu dis que tu serais mort pour moi ? Alors explique-moi pourquoi tu passais ton temps avec Deucalion ? Et si on m'avait tué parce que, justement, tu n'étais pas à mes côtés, qu'est-ce qu'il se serai passé ? » T'essaies de le faire culpabiliser sans doute, mais tu t'en moques de savoir si ça fonctionne ou non. T'es plus à ça près. « Et je m'en moque du fait que tu voulais ou non être un alpha, ce que je constate c'est que tu l'as parfaitement assumé, ton rôle. Que t'étais l'un de ces chiens et que tu le suivais partout, encore une incroyable preuve de l'amour que tu me portais. » Ton regard est noir et lui lance des éclairs, parce que tu ne crois pas un mot de tout ce qu'il raconte. Il te prend définitivement pour la pire des imbéciles, et une fois de plus tu regrettes de ne pas avoir la fameuse bague pour qu'il s'étouffe avant. Fiche bye Ethna | | | | |
Invité | | Jeu 5 Jan - 20:46 After all these years Mihael Hannigan & Kathleen A. Jane Elle revenait toujours au même argument, elle disait que je n'étais pas assez humain pourtant elle était bien placé pour comprendre que je n'avais pas demandé a devenir comme j'étais. Au fond je comprenais surtout que nous n'étions simplement peut-être pas fais pour vivre ensemble, et qu'il était étrange qu'il faille trois longues années, et une infidélité pour nous faire ouvrir les yeux. Elle voulait que je sois ce que je ne suis pas et que peut-être jamais je ne serais. Tout ce que j'avais pu faire en silence ne lui avait jamais suffit, alors je pense que notre relation était vouer a l'échec. Elle ne comprenais pas et ne pouvais pas comprendre le lien qui m'unissait a la meute d'alpha. Elle ne pouvait pas comprendre qu'a leur façon eux m'ont accepté et étaient comme ma famille. Eux, lorsqu'elle m'avait tourné le dos et brisé le coeur ont été les seuls a me tendre la main, comprenais dans mon silence les sentiments de tristesse et de colère qui m'animer.
Ennis... Kali... Je me souviens de mes discutions silencieuse avec Ennis, de notre concours de force physique et continuel. C'est souvent dans nos combat extrême, nos entrainement qu'il me réconforté a sa manière, m'aidant a évacué cette colère sourde et muette qui était la mienne. Kali elle... Elle se montrer a la fois tendre et forte, elle se montrais parfois aussi froide que moi, mais elle avait ce côté humain. C'est dans nos nuit chaste qu'elle m'apporter parfois cette douceur qu'elle avait compris le besoin que j'en avais... Nous étions des monstres parmis les monstre pourtant nous seul comprenions a quel point au fond nous étions humain. Nous étions froid, mais nous étions une famille... Deucalion, Ennis, Kali... Tous m'ont blâmer de m'être entiché d'une humaine, mais jamais aucun ne m'a demander de renoncé a elle comme elle voulait que je renonce a eux, quand je l'ai perdu eux m'ont soutenu alors qu'elle n'aurait pas eu l'ombre d'une pensée pour ce que j'aurais pu ressentir en renonçant a eux.
En entendant ces paroles, je comprenais que le destin n'avais que fais que me montrer a quel point j'avais eu tord. Je n'avais d'yeux que pour elle, je pensais ne pas mérité son amour alors qu'elle ne méritais pas le mien, elle qui n'en voulait que toujours plus. Elle qui ne savait se satisfaire de ce que j'étais capable de lui offrir, elle dont les trois années de vie commune ne furent qu'une longue torture. Nous n'étions pas fait l'un pour l'autre, au fond... Une part de moi été heureux, soulager... Le problème ne venait pas de moi... Ces moments ou je me demandais si j'avais commis une erreur... Cette femme était simplement encore plus égoïste que moi, et jamais elle ne serait heureuse de ce que pourrait lui offrir le plus doux des hommes.
Pour la première fois depuis des années... Je levais les yeux au ciel, sentant une fraiche goute de pluie sur mon visage. Son visage se terrais dans la haine, alors que le mien semblait apaiser. Je la regarder alors que disais:
- Merci...
Je pense qu'au fond cette discussion avait permis a cette part de mon passé qui n'avait jamais réellement connu de fin, de mettre un terme a cette relation une bonne fois pour toute:
- ... Je te quitte, je met fin a notre relation. Je te souhaite d'être heureuse, de trouver l'homme qui saura combler cette égoïste et faim insaisissable qui te fais défaut.
Je lui tournais le dos, l'heure de ma pause était fini.
FICHE PAR STILLNOTGINGER. - Spoiler:
Je te laisse une ouverture pour retenir mon personnage, sinon tu peux considérer qu'il retourne dans le bar finir sa représentation.
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Invité | | Mer 11 Jan - 10:11 Tu continues à parler, à l'accuser, à l'insulter presque, parce qu'au fond de toi tu attends simplement une réaction. Des regrets, de la peine, ou même de la colère, mais tu ne supportes pas le voir ainsi. Il est de marbre, il s'en moque, et ça te met en colère. Dans une colère si grande que tu pourrais hurler, pourtant tu ne le fais pas. Tu ne le fais pas, mais tu répliques face à ses accusations. Tu pestes, fulmines, enrages. T'hausses la voix mais tu ne cries pas, pourtant tu serais prête à la rouer de coups si cela pouvait le forcer à réagir. Pour qu'il perde ce calme que tu détestes tant. « Merci... » C'est le seul mot qu'il sort alors que tu en as sans doute prononcés des centaines avant cela, sans même qu'il ne t'interrompe. Ça aussi ça te met en colère. Tu comprends pas pourquoi il te dit ça ainsi, avec cet air apaisé que tu détestes. T'as envie de l'insulter de tous les noms pour qu'il se mette à nouveau en colère, à vrai dire tu serais même prête à parler de la nuit où tu l'as trompé simplement pour le foutre en rogne. Pourtant tu ne dis rien, pas même une question, continuant de le fusiller du regard alors que ta mâchoire se décrispe enfin un tant soit peu. Il lui faut quelques secondes pour reprendre – tu devrais pas t'attendre à mieux avec un abruti pareil – et quand il termine enfin de te dire ce qu'il souhaite, tu sens un désir ardent de le frapper l'envahir. De lui faire mal. Parce qu'il te traite d'égoïste alors qu'il est pire encore. Parce que t'as sacrifié trois années de ta vie pour lui, et qu'il te remercie ainsi. En se moquant de toi, littéralement. Se rend-il compte de tout ce que tu as fait à l'époque, de tout ce que tu as donné pour cette relation, de tout ce à quoi tu as renoncé pour lui ? Pendant trois ans tu as attendu, tu es restée malgré les déceptions qui s'enchaînaient, tu as pris sur toi pour ne pas craquer et disparaître en un tour de main. T'aurais pu aller voir ailleurs, déjà à l'époque des dizaines d'hommes rêvaient ne serait-ce que d'une nuit avec toi, et tu en avais tant à tes pieds que tu avais le choix. Pourtant tu ne l'as pas fait. T'en voulais plus parce que tu n'obtenais même pas un millième de ce que tu méritais, t'étais constamment sur ta faim et jamais satisfaite, et sans doute que d'autres auraient pu combler ce besoin irrassasiable d'être aimée qui te faisait tant souffrir avec lui. Alors pourquoi ne l'as-tu pas fait avant ? T'as été patiente, tellement patiente, tu ne sais pas comment tu as fait. T'as fini par comprendre pourquoi tu n'es pas partie alors, mais tu n'es sans doute pas prête à le reconnaître face à lui.
T'as besoin de répliquer, même s'il est désormais dos à toi et s'apprête à partir. Tu sais qu'il va t'entendre, alors tu parles. Juste pour lui cracher ses dernières vérités. « Tu peux toujours faire celui qui n'est responsable de rien, et remettre toute la faute sur moi, mais si je suis égoïste sache tu es loin d'être mieux. C'est bien beau de dire qu'on était prêt à tout, mais le mieux ça aurait été de faire quelque chose. T'as été lâche, et tu l'es toujours en me fuyant maintenant. Ce n'est pas plus compliqué que ça. » T'es froide, acerbe, furieuse. La colère se sent dans ta voix, pourtant tu n'hausses plus le ton. C'est inutile, il sait toute la haine que tu ressens à son encontre. « Tu peux te trouver toutes les excuses du monde, cela n'empêche que tu as tué quelqu'un, et que tu n'as pas eu le courage de m'affronter ensuite. Tu es lâche Mihael, c'est tout. » Ton ton est glacial l'espace d'une seconde, le temps que tu lui craches cette vérité pour qu'il l'assimile et qu'il cesse de la nier. « Et tu as toujours été ainsi. » Tu prononces ces derniers mots dans un soupir accusateur, mais t'es persuadée qu'il va rester de marbre. Comment pourrait-il en être autrement ? Alors tu recules, d'un pas, puis de deux. T'as plus envie de boire, d'autant plus en sachant qu'il va être à l'intérieur du bar et qu'il va y chanter comme autrefois il le faisait pour toi. Rien que d'y penser te fout en rage. Tu songes aux éclairs que tes yeux jettent en sa direction. T'aimerais que la foudre s'abatte sur lui, oui. Tu pourrais profiter de l'obscurité de la nuit pour te venger, ici et maintenant, mais tu sais que même s'il est privé de certaines de ses capacités, il n'en reste pas moins bien plus fort que toi. Égoïste, infâme et bête comme ses pieds, mais plus fort que toi. Tu regrettes de ne pas avoir d'arme sur toi, et tu envies de plus en plus Thalia. Tu voudrais une arme toi aussi, oui. Mais tu n'en as pas. Alors tu ne fais rien, et après quelques secondes tu disparais. T'entres dans ta voiture rapidement et fais tourner le moteur qui fait un bruit assourdissant dans la nuit. Et tu songes à Mihael. Il ne trouvera jamais quelqu'un qui était aussi dévouée et patiente que toi, voilà qui est certain. Rien que cela, au fond, cela devrait te suffire comme vengeance. Mais non, tu as besoin de plus. De beaucoup plus. Tu veux qu'il souffre comme tu as souffert, qu'il sente le peu de cœur qu'il possède se briser en mille morceaux, qu'il ait mal encore et encore sans que cela ne cesse. Tu veux le détruire. Il a gâché trois ans de ta vie et il s'en moque ? Soit. Dans ce cas tu gâcheras le restant de la sienne.
« La haine n'est pas l'envers de l'amour, elle en est le renoncement. Ne plus pouvoir aimer, glisser lentement vers l'indifférence... Seule, la volonté de puissance peut combler ce vide. » Cette puissance tu l'obtiendras, et sur son corps en larmes tu te montreras triomphante. Qu'importe les moyens qu'il te faudra employer, il paiera pour ce qu'il t'a fait.
The endFiche bye Ethna | | | | |
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