Nous n'avions rien fais d'autre que de marcher l'un contre l'autre dans la direction de chez moi, alors que des pensées traversées mon esprit. Je me disais qu'au final j'avais de la chance que son appartement soit dans état qui ne permet pas d'y entrer, elle ne me demanderais pas de sortir de Beacon Hills, je n'aurais donc pas a lui mentir. Je ne lui avais jamais mentis, j'avais parfois caché la vérité... Je l'avais parfois interprété, mais jamais en réfléchissant au fond de mes paroles, quelqu'un avec les connaissance sur le monde surnaturelle ne pourra dire que j'ai déjà menti a Quinn. Je dirais que les plus grand mensonge a son sujet sont ceux que je me fais a moi-même, une vérité que je ne voulais pas entendre, que je ne voulais pas ressentir. Ni les ressentir, ni sentir le poids de l'illusion brisé... Une fois une femme avait réussi a brisé mon cœur qui pourtant était fait de glace, et plus jamais je ne voulais vivre ça.  

Nous étions tout les deux pensif, alors qu'une part de moi voulait savoir ce dont elle était en train de pensé, alors qu'une autre ne voulait pas l'entendre. Le savoir silencieux est toujours plus facile a entendre et a accepté qu'une vérité hurlante. Enfin arrivé a mon appartement, j'ouvrais pour nous deux, alors qu'elle se posait contre la porte alors qu'elle prenait un air que je connaissais et qui toujours m'avait fais de l'effet. Je sentais le poids de la luxure envahir mes envies, la voyant déboutonner son chemisier plongeant sur sa poitrine parfaite. Elle me faisait signe de m’avancer jusqu'à la chambre ôtant un a un ses habits avec sensualité. Elle m'invitait par ses paroles alors que j'avais moi m'étais moi-même débarrasser de mon blouson.

Désormais en sous vêtement, Elle se retournait vers moi dans un appareil qui véritablement me plaisait. Elle m’invitai a la la séparé de son soutient gorge, en échange de son aide pour me défaire de mes vêtements. Je me détacher de ma chemise par moi-même alors que je m'approchais doucement d'elle, cherchant ses lèvres des miennes, mes mains s'envolant délicatement la défaire de son vêtement avec habilité.

Je mourais d'envie de la pousser contre ce lit qui serait le notre afin de lui faire parcourir le jardin des plaisirs, mais une autre partie de moi plus patiente... Joueuse, mourrait d'envie de jouer un peu avec elle avant d'en venir a l'acte. J'étais curieux de connaitre toutes les surprises qu'elle me réserver. C'est donc avec patience que je libéré ces lèvres que mes sens m'ordonner de dévorer jusqu'à ce que mon appétit soit a son comble. Je la regarder dans les yeux, n'attendant qu'une seule chose... Qu'elle remplisse a son tours sa part du marché.      
   

Quinn me nourrissais de jeu provocateur, cherchant a attiré l'envie qui sommeillais dans mon être, c'est ainsi que durant plusieurs heures nous continuions de jouer ensemble dans une harmonie que l'on pouvais ressentir tout les deux, alors que nous finissions par nous endormir tout les deux.

J'ouvrais un œil avant elle, la regardais avec calme... Je ne faisais rien d'autre que de regarder son visage dormir, alors que je réalisais que j'étais fou si je me mettais a espérer, si je me mettais a changer pour une femme qui jamais ne ressentais quoi que ce soit. Elle disait que je lui avait manqué, alors qu'avec même la plus grosse volonté du monde je ne parvenais pas a y croire, c'étais plus fort que moi. L'on ne peux m'aimer, la seule chose que l'on sais faire c'est jouer avec moi comme si je n'étais rien d'autre qu'un pion. Ce genre de chose ne changerais jamais, et Quinn n'étais pas différente des autres.

Je regardais le plafond, repensant a tout cas moments ou j'ai eu la bêtise de croire que quoi que ce soit pouvait changer, de ce que j'aurais été prêt a offrir pour que cela change... Pour que je sois quelqu'un d'autre, ou pour que je cesse simplement d'existé, de toute façon qu'importe, personne ne verrais la différence et c'est avec cette cruel vérité que j'ouvrais chaque jour les yeux, a attendre que les jours passe avec une patience qui ne connaissais aucune limite.

Je la laissais dormir, la laissait au songe dans une paix qui jamais ne serais la mienne... Qui jamais ne serais la notre. Lorsque notre peau danse avec celle d'une autre, je pense que c'est a ce moment la que l'on sais... Et la revoir au final m'avais fais prendre conscience de la stupidité de mes pensées.

Je filais sous la douche, laissant l'eau couler sur mon corps... Ce même corps qui encore une fois avait servi de jouet, ce corps qui était condamner a ne jamais connaitre d'autre chaleur qu'un feu infernal qui ne laisse jamais faire ressentir une légère brise glacé.

Je ne savais combien de temps s'écouler, alors que je sortais finalement et qu'encore a moitié nue je filais dans le salon après m'être sécher.... J'attendais, restait patient, attendant une chose qui jamais ne viendrais. Je fermais les yeux un instant, cherchant une autre vision lorsque je les ouvrirais... Sachant qu'au fond cela était ridicule, mais c'étais dans ce silence que je poursuivais mon attente futile.