Another brick in the wall ft. Alek



 
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Another brick in the wall ft. Alek
Invité
Anonymous
Ven 30 Sep - 18:44

Connaissez-vous la différence entre l'éducation et l'expérience ? L'éducation, c'est quand vous lisez tous les alinéas d'un contrat. L'expérience, c'est ce qui vous arrive quand vous ne le faites pas. Alek & Elijiah

We don't need no education

L'éducation... Un bien petit mot pour un si grand nombre d'éléments qu'il englobe. Il existe une éducation par personne, et cependant, on continue de dire "L'éducation" comme si c'était quelque chose d'immuable et de sacré. Les gens qui ont créé ce terme ne sont, soit jamais allés à l'école, soit jamais été professeur. Et le drame était bien là. Des gens donnaient des sens à des mots dont il en voyaien qu'un quart de l'infime superficie que la nature leur avait permi de voir. Cependant, c'était eux qui avaient le pouvoir, et poit final. "L'éducation" resterait "L'éducation" et tout le monde devait se mettre au pas. On pouvait mettre au pas de bons petits soldats. Mais il était beaucoup plus difficile de faire marcher en ryhtme un million délèves, d'un même pas, d'un même rythme. Allez-y, je vous en prie. Donnez le rythme. Simplement, il leur est impossible, en haut de leurs cabinets capitonés d'en faire la moindre parcelle. Il existait, dans les bas fonds des Etats Unis, des héros ordinaires. Des gens comme vous et moi sur qui reposent des responsabilités innomables et inconcevables. Et pourtant ils étaient plus de cent et plus de mille soldats anonymes à se battre pour donner un sens véritable et là immuable à ce mot aux divers aspect qu'est "Education". Simplement, ces soldats anonymes pour reprendre le terme fraîchement utilisés, il en existe de toutes formes, de toutes couleurs et de tous horizons. Et aussi étrange que cela puisse paraître, Elijiah en fait partie. Et ce n'est en aucun cas pour cela que je fais l'éloge non dissimulé de ces partisans de l'égalité et de la connaissance. Je pourrais même avancer qu'Elijiah ferait un peu honte à ses rangs... Mais enfin, ici il n'est absolument pas question de cela et je m'égare sur un sujet un peu ambigu. Bref. Elijiah est de ceux qui dirigent une classe d'ados en pleine puberté, avec les aléas de l'adolescence qui va dans le dream pack. C'est pas toujours évident et ces cocktails molotov d'hormones lui fichaient un peu la rate au court-bouillon. Il devrait peut être demander à la professeure e biologie si quelque chose n'était pas envisageable pour tout...tout cela. Elijiah ne savait même pas comment les désigner. Ils n'étaient ni des enfants, ni des adultes, et il ne voulait pas les appeler ados, de peur de passer pour le père un peu lourd des sitcoms des années quatre-vingt dix... Il avait été adolescent lui aussi, et à leur âge, il s'était fait la promesse de toujours se souvenir ce que cela faisait d'avoir seize ans. De penser que tout était injuste et que chacun voulait niquer la société. Il se souvenait surtout d'avoir pu penser que "L'éducation" n'était qu'un asservissement pour mieux formater les futurs citoyens afin de mieux pouvoir garder le contrôle. Il se souvenait de cette image de quasi-propagande d'un mouvement quasi-anarchique qui avait fait un dessin où fusionnait une usine et une école. D'un côté entraient des enfants dont la joie de vivre était indéniable et à la fin, il ne restait que des adultes gris et froids, en costume mal taillé, gris aussi. De toute façon, quand on a seize ans, Elijiah le sait, les adultes c'est le mal. Et, c'était seulement cela dont il était conscient à présent. Il n'était plus un adolescent. Si il avait pu l'être un jour. Il avait passé le cap de l'âge adulte, et par un mystère encore non éclairé pour moi, toutes ses idées pseudo-visionnaires avaient été occultées par le formatation. Etaitil devenu cet adulte froid en costume mal taillé ? Non. Elijiah n'avait pas de costuyme mal taillé gris sale. Tous ses costumes étaient bien taillés, et allaient du bleu nuit au gris anthracyte. Le gris sale ? Non désolée très peu pour lui. Bref. Il avait oublié ce qu'était être adolescent. Et il n'aurait pas pu comprendre de toute façon. Il n'avait pas cessé de bouger par toute la terre pour apprendre à être un chasseur et il avait pris très tôt ses responsabilités. Alors non, il ne pourrait pas comprendre. Et en soi, c'était bien dommage.

Elijiah faisiat face à la salle. Les tables étaient séparées de manière individuelle. Non, il n'y avait pas de devoir, mais Elijiah faisait régner la terreur sur les salles de physique chimie. Les tables auraient presque pu être disposées à la règle et à l'équerre. Haque élève avait un périmètre. Une parole qui le dépasse et qui n'était pas destinée au seul professeur et les sanctions tombaient. Non. En vérité, cela ne se passait absolument pas comme cela. Elijiah n'aimait pas le chahut mais jamais il n'avait mis en place un diktat incroyable. Il n'était pas un despote. Il aimait diriger, mais il n'aimait pas imposer. Ou simplement lorsqu'il était en cours. Après...il préférait imposer sa volonté au surnaturel. Mais la question n'était pas là. En chef d'orchestre, Elijiah fait face à ses élèves formant un prodigieux orchestre, grattant le papier en rythme. Si on écoutait bien, la mélodie de leurs pensées pouvaient presque étonner. Elijiah était toujours staisfait devant cette symphonie magnifique. C'était pour lui une reussite et étrangement, peut être que "L'éducation" était le seul endroit où il n'avait aucune arrière pensée. Pour une fois, il ne voyait pas que son profit, mais celui des humains en devenir qui étaient devant lui. Et c'est peut être pour cela que je le rangeais tout de même dans la catégorie des soldats anonymes du savoir. Je dis tuot de même, car cette profession reste pour lui encore une couverture. Au son de la cloche, la cacophonie prit place à la symphonie au grand dam d'Elijiah. C'était si beau... Mais tant pis. Elle reprendrait dans dix minutes. Le professeur regarda ses élèves sortir. Un grand filiforme bouttonneux avec un appareil dentaire passa devant lui en lui adressant un hochement de tête poli. Le pauvre... Elijiah le plaignait tellement, et inconsciemment, il adressa une prière au Seigneur pour le remercier de lui avoir fait le don d'échapper à cela. Mais...atenndez, que faisait-il ? Il n'était pas coryant. Alors il se remercia lui même. On n'est jamais mieux servi que par soi même. Une fille qui débordait d'oestrogènes (me diriez vous, si elle transpirait de testostérone, on auriat un peu de souci à se faire) la tira de ses pensées. La pauvre, cela ne devait pas être facile avec toujours sa taille d'enfant et sa poitrine d'adulte. Non pas que Elijiah reluquait les poitrines de ses élèves, mis lorsqu'on regradit la tendance générale, il était un peu compliqué de passer outre. Deiu merci qu'il était heureux d'être au lycée. Imaginez vous ceci avec quatre ans de moins. Et une bonne couche de bétise sédimentaire. Ouais non, des ados c'était mieux. Même si parfois il se croyait dans un sitcom.

Elijiah se rassit à son bureau et remplit quelques fiches au hasard. Le prochain DS, les devoirs, des mots aux parents... Même si il n'aurait préféré que transmettre, il avait des devoirs à remplir. Dans la Liberté, ce qui nous dérange, ce sont les contraintes qu'elle apporte. En parlant de porte. Elijiah entendit deux petits coups frappés sur celle ci. Il opsa ses mains sur son bureau et prit appui sur elles pour se lever de sa chaise qu'il poussa ainsi en arrière par laction du dos de ses cuisses. Il fit quelques pas sur l'estrade avant d'en descendre d'un bond presque invisible. Il defroissa son t-shirt noir. Qui venait le déranger pendant la pause ? D'habitude tous ses collègues prenaient leur habituel et despotique café de dix heures. Lui seul restait dans sa salle. Elijiah posa sa main sur la poignée avant d'effectuer un mouvement de pression vers le bas afin d'ouvrir la porte. Il entendit le petit cliquetis puis il tira le battant vers lui. Un homme brun lui faisait face. Un nouveau collègue ? Qui était-ce ? Ce n'était pas dans les habitudes de Elijiah de ne pas être au courant de ce qu'il se passait dans ce lycée étrange. Mais tant pis, il arrivait, surtout aux meilleurs, de ne pas toujours être à la page. Presque désinvolte pour cacher sa gêne liée à cette irruption spontanée et presque cavalière, il lui tendit la main.

- Elijiah Donovan. Que puis-je pour vous ?

Simple, rapide, concis. C'était beau, parfait

 
(c) crackle bones

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Anonymous
Mer 5 Oct - 15:06
Special Science!
We must learn to live together as brother or perish together as fools . Δ Martin Luther King Jr.



La guerre, l’horreur de cité détruite par des personnes qui ont simplement comme artefact de révolution une pensée, une idée, un savoir différent d’un autre. Une pensée, c’est simplement la pensée qui constitue un fléau. Une simple idée de base qui ne devrait être rien d’autre qu’une simple idée peut détruire un monde ou un peuple. Pourtant, elle est également le berceau de toute chose. Une idée, c’était ce que la religion avait amené la création de l’homme. L’idée était également la base de toute chose, dans l’ère du temps. Sans elle, pas d’innovation, pas de progrès, pas de changement. La pensée innovatrice c’était à la fois la plus belle des armes, mais également la plus mortelle. C’était une idée qui dans un cerveau pouvait résonner bonne, pouvait dans un autre résonner de façon si malsaine. Regardait, c’était l’idée qui avait créé des guerre mondiales, l’idée d’un idéal qui était devenue une obsession. L’obsession c’était quoi ? Une simple récurrence d’idée qui venait et revenait sans cesse dans l’esprit d’une personne et qui la rendait absolument dévastatrice. Dans le cadre d’Hitler c’était l’idée que la norme devait être celle Arienne et d’une race pure que le monde a failli s’écrouler pour de bon. Un autre exemple, c’était celui de la bombe atomique. En quoi l’idée d’une bombe qui pouvait tout ravager sur Terre était une bonne chose ? Une menace constante qui pesait sur le dos de tout le monde constamment. La menace qui engendre peur et panique. Au final, c’était la science cette chose que l’on considérait comme quelque chose de vital dans notre vie qui avait amené cette puissante menace sur nos épaules.

Tout ceci pour revenir sur un sujet qui m’était plus qu’important. L’éducation était une chose important dans notre société de tous les jours, elle amenait le savoir et le savoir était la clé de toute chose. J’étais de ces gens qui aimait l’élite créer par le savoir et j’étais un fervent adepte d’un dieu du savoir tel que Thot dans la mythologie Egyptienne ou bien Athéna dans celle grecque ou Minerve dans la Romaine. C’était dans cette optique que j’avais eu envie d’à la fois augmenter mon savoir dans le domaine des sciences telle que la physique et chimie et également aider les autres à augmenter leurs savoir. J’avais décidé de porter assistance au professeur de physique au lycée. Je m’approchais du lycée dans lequel j’avais déjà porté une lettre de motivation au directeur qui avait accepté mon offre, mais il m’avait clairement dit qu’il m’acceptait, mais que je devais maintenant convaincre le professeur de physique chimie, ce qui pourrait être plus compliqué.

J’avançais lentement dans les couloirs effleurant en marchant les divers meubles sur la route et j’arrivais devant la classe où on m’avait dit qu’il se trouvait. Je frappais à la porte et lorsqu’il vint ouvrir. Je fus assez décontenancé de le voir aussi sexy. J’avais plutôt pensée à un vieux, aux lunettes dignes d’Einstein. Au final il n’avait rien de ça. Je lui répondis à sa présentation :

« Alek Noé Richards, je suis votre nouvel assistant. Je venais me présenter à vous ! »


Je souriais et le relookais de loin sans être trop insistant et discret. Je ne comprenais pas vraiment ce que je faisais en cet instant, mais je ne sais pas pourquoi je sentais que ce petit boulot allait être plus qu’intéressant.

© GASMASK
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Invité
Anonymous
Dim 9 Oct - 10:54

Connaissez-vous la différence entre l'éducation et l'expérience ? L'éducation, c'est quand vous lisez tous les alinéas d'un contrat. L'expérience, c'est ce qui vous arrive quand vous ne le faites pas. Alek & Elijiah

We don't need no education

Education, peut être que paradoxalement, ce mot évoquait à Elijiah un magnifique poème que lui avait appris ses institutrices au primaire. Il n'avait pas du tout la même thèse et pourtant, il le trouvait tout à fait en adéquation avec ce qu'il faisait. Pour lui, être professeur, c'était être un soldat de la Liberté. Elijiah ferma les yeux après le départ de ses élèves et se répéta lentement ce joli poème plein d'espoir et de tristesse.

Sur mes cahiers d’écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable sur la neige
J’écris ton nom
[...]
Et par le pouvoir d’un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté.

Liberté, Paul Eluard

Pourquoi existait il dans chacun d'entre nous de tels paradoxes ? Elijiah James Donovan, fils de Peter Donovan, un homme plein de préjugés, qui était le premier à stigmatiser les personnes vivant sur cette planète, voulant exterminer la race surnaturelle pouvait faire preuve de poésie ? Il n'avait rien à voir avec un génie du mal. Il ne faisait que prendre le flambeau. La flamme de la violence et de la haine. Il reprenait un travail violent et odieux laissé en plan. Et pourtant, il prenait en même temps un beau travail plein d'espérance. Elijiah était pour lui même un paradoxe ambulant qu'il était plus facile de laisser dans l'incompréhension plutôt que de chercher à comprendre les rouages. Il aurait bien aimé comprendre, peut être aurait il mieux réussi sa mission, ou peut être l'aurait-elle abandonnée. Et c'était des pensée comme celles-ci qui le faisaient renoncer à essayer de se comprendre lui même. Il comprenait le monde, les autres. C'était déjà cela de fait. Son père était un homme incompréhensible, variant d'un extrême à l'autre, Elijiah avait suivi ce modèle, simplement... Il avait préféré être incompréhensible par de différents paradoxes, des paradoxes plus profonds qu'une simple bipolarité ridicule comme Peter Donovan avait pu faire preuve. C'était ridicule. Elijiah avait, selon lui, le mérite d'être incompréhensible dans le bon sens, dans le sens où on se poserait de vraies questions devant lui. Pas des questions du genre "pourquoi est ce que ce type est chiant ?" non. Et pourtant, Peter Donovan était toujours le plus grand modèle de Elijiah Donovan... Allez chercher à savoir pourquoi.

Pourquoi l'avait-on choisi pour former de nouveaux professeur rappelez-lui ? Il n'avait, en fait, même pas entendu parler d'un étudiant dans le lycée et encore moins qu'il serait avec lui. Cela ne l'embêtait pas vraiment même si il aurait aimé être plus contrit que cela. Il aurait aimé pouvoir lui dire de se barrer, et qu'il n'avait pas besoin d'un mioche dans ses pattes pour regarder comment il orchestrait ses cours, mais bon, maintenant qu'il était là, il n'allait pas non plus le virer à coups de pied aux fesse. Si ? Et bien non, bien entendu que non. Même si il aurait aimé. Et ce n'était pas comme si cela l'aurait dérangé. Combien de fois avait il trompé, menti sans aucun scrupule ? Alors franchement le virer, cela ne lui en toucherait pas une pour lui effleurer l'autre. Mais non, Elijiah resta là, planté devant l'homme qui lui attrapa la main et la secoua vivement. En le reluquant. Bon, Elijiah ne jetterait pas la pierre, il en faisait de même. Il n'était pas trop désagréable à regarder pour ne pas trop entamer sur le positif. A peine plus jeune que lui. Tout compte fait cela allait s'avérer intéressant. Elijiah se ressaisit vite. Alek, donc puisque c'était son nom, n'était pas là pour draguer et se faire draguer mais plutôt pour étudier, et Elijiah devait lui servir de guide, pas de partenaire de Monopoly, donc range tes idées perverses Elijah ! Sa conscience croisa les bras en boudant, elle, elle se serait fait un malin plaisir à regarder de plus près cet étudiant, mais le cerveau de notre cher professeur lui, avait un peu plus de morale. Oui, il est possible de discuter sur ce sujet et de déballer tout un tas d'argument pour prouver que non, le cerveau d'Elijiah n'a aucune once de morale mais là, ce n'est ni le moment ni le lieu, et de toute façon, le faire serait une offense, car il n'est pas plus aisé de montrer qu'Elijiah n'est pas quelqu'un de moral. Enfin bref glissons...

- Oui je sais, je vous attendais Monsieur Richards, je vous en prie entrez.

Le plus gros mensonge du monde. Elijiah ne l'attendait pas du tout. Jamais. Mais bon, des apparitions de la sorte, on ne les refusait pas. Si ? Il passa derrière son bureau et lui montra la chaise d'un signe de la main. Il pianota sur son clavier et un emploi du temps sortit. Il le lui tendit, ainsi que le plan du lycée, la liste des élèves, les cours et tout ce qui allait avec. Il fallait qu'il rentre dans un rôle. Et là, cela serait le rôle d'un maître de stage qui attendait son élève. Alors qu'en réalité...cela avait dû entrer par une oreille et ressortir par l'autre. Ouais, c'était un petit peu cela qui s'était passé dans la tetoune de ELijiah.

- Je vous ai préparé votre emploi du temps, tenez.
Faux.
- Voilà la liste des élèves, peut être faudrait il mieux que vous ne veniez pas à tous les cours et privilégier les cours en demi groupe ? J'y ai pensé l'autre jour...je ne sais pas pour vous en fonction de vos cours en dehors ?
Pipeau

Broder, broder, broder encore broder...c'était beau la vie d'Elijiah.

 
(c) crackle bones

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