Avec Thomas, nous n’avons plus eu de soirées tranquilles depuis ce fameux soir ou il à cuisiner pour moi. Il faut dire que j’ai été très prise avec mon père et de son côté, il a beaucoup bossé à la clinique, sans parler de sa famille. Résultat, on plus fait que se croisé que se parler. Or, il est temps que l’on prenne le temps de discuter des derniers évènements tout les deux. J’ai eu l’occasion de voir Scott, ce qui n’a pas été des plus facile d’autant plus que notre entrevu n’était pas du tout préméditer. Alors bonjours les silences gênants. C’est étrange de voir comme c’était plus facile de renouer un lien avec Isaac ou avec Lydia. J’imagine que d’une certaine façon, je m’en veux de ne pas me souvenir de ce que l’on a pu vivre. Mais de l’autre, j’en suis aussi soulagée, ce que je n’ai encore jamais avouer à personne. Je n’ai jamais avoué non plus que ça m’avait blessée de ne pas être convier à la réunion de groupe, mais je ne suis peut-être plus vraiment dans le coup. Pourtant, d’une certaine façon, je dois l’être, puisque l’on à demander notre aidé, à mon père et à moi. Il faut dire aussi que nous sommes les seuls chasseurs en ville à être du côté des créatures. Nous ne voulons pas leur mort, ce qui fait de nous des parias dans notre milieu. Nous sommes seuls, contre tous et ce n’est pas facile tous les jours. Je crois que l’on veut encore me mettre de côté par crainte que je ne face « encore » tuée. Sauf que l’on sait comment ça se passe, je n’en fais qu’à ma tête ! Je voudrais donc parler à Thomas de ce que j’ai découvert et de ce que lui à pu découvrir. De ma tante aussi, qui à fiat son grand retour et je ne sais vraiment comment le prendre. Je me souviens d’elle comme d’une personne dont j’étais très proche, un peut comme une sœur, mais pas de son côté obscur.