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Tu te balades tranquillement sur le chemin du retour. La journée de cours a été plutôt rapide. A vrai dire tu ne l’as pas vraiment vu passer. Les quelques cours que tu avais eu avait été plutôt instructif, tant mieux pour toi d’ailleurs. Tu aimais beaucoup tes cours, tu savais que tu avais bien fait de choisir de partir en journalisme. Ta curiosité t’aidait toujours un peu pour ce genre de chose. De plus tu pouvais enfin profiter un peu de ton frère et ta cousine que tu n’avais que rarement vu. Bien qu’avec ta cousine cela était compliqué, tu l’aimais quand même. Elle avait beau être la fille de Peter, elle ne lui ressemblait sur aucuns points. C’était mieux d’ailleurs car tu le détestais après tout ce qu’il avait fait subir à votre famille. Tu ne le considérais plus vraiment comme l’un de tes oncles, tu étais toujours méfiante dans ses actes, tu savais que lorsqu’il faisait quelques choses ce n’était pas pour rien. Il était égoïste, bien qu’il lui arrivait de faire passer sa fille en avant.
Cela faisait maintenant quelques temps que tu étais arrivée, tu avais d’ailleurs revu Isaac. Toujours aussi compliqué entre vous. Tu l’aimes mais tu ne veux pas te l’avouer ayant peur qu’il soit une faiblesse. Tu ne veux pas qu’il soit mis en danger, et de plus tu ne voudrais en aucun cas perdre votre amitié, si précieuse à tes yeux. Le peu de temps passé auprès de lui, t’avait fait découvrir une partie de toi que tu n’avais pas vraiment connu. Tu n’étais pas le genre de personne à tomber amoureuse dès le premier regard. Tout ce faisait avec le temps. L’amour est une faiblesse, et tu ne veux pas de cette faiblesse, bien que tu n’aies pas vraiment le choix. Tu avances doucement avant de regarder ton téléphone, une tasse de café à la main. Ton petit rituel du soir après les cours, était de passer te chercher un café pour le boire sur le chemin. Tu n’avais pas encore de voiture et devais prendre le bus ou rentrer à pied. Puis soudain sans vraiment faire attention tu heurtes quelqu’un tu lèves la tête prête à râler, puis un sourire apparait sur ton visage. Jared, un vieil ami que tu avais connu lorsqu’il travaillait au Mexique, tu l’adorais vraiment. Mais comme la plupart de tes amis, il avait choisi de reprendre la route. « Jared ! Je ne pensais pas te revoir un jour. » dis-tu heureuse de le voir.
Je vagabondais dans les rues. C'était presque un rituel quand j'y pense : Dans chaque nouvelle ville où je reste plus de 3 jours, je fais un peu le tour avec mon casque ou mes écouteurs dans les oreilles, écoutant des sons passant du rock glorieux comme ACDC ou Dire Straits à des trucs plus modernes, comme de la soul. Je n'ai pas de style musical favori en particulier, j'écoute presque de tout. Aujourd'hui, j'ai passé ma journée à me balader, voguant d'un bar à un magasin de musique, puis dérivant vers un petit terrain de musculation extérieure, comme celui sur la plage de Los Angeles. J'avais passé pas moins de 3 bonnes heures sur ce terrain, pour ça qu'il était assez tard au moment où j'ai retrouvé cette grande amie...
Il était bien... Peut-être 18-19h ? Je n'avais pas fait attention à l'heure, concentré sur ma playlist d'Eminem que j'écoutais avec mes écouteurs, complètement cachés par ma longue chevelure et mon chapeau feutre noir. J'avais enfilé un débardeur anthracite et une veste en faux cuir noir sombre. Je n'avais pas renfilé mes lunettes de soleil, qui pendait le long de mon col. Je dois dire que ça fait un bail que je ne me suis pas rasé... J'ai une grosse barbe. Pas une barbe qui dépasse mon cou, j'suis pas malpropre. Mais bon si je laissais pousser, ça allait ressembler à Dumbledore...
Je me disais qu'en rentrant, je réglerais ça en m'affalant sur le canapé de ma chambre de motel en regardant une émission et peut-être en sortant me dégourdir avant d'aller pioncer. Mais alors que j'étais... Plutôt à fond dans Rap God, je sentais quelque chose me heurter le bras. Je me retourne alors, enlevant mes écouteurs et voulant m'adresser d'un ton assez rude envers... Cora ? Comme c'est bien de la revoir !
Elle fut la première à parler, en fait si elle l'aurait pas fait, je ne l'aurais pas reconnue tout de suite. "Jared ! Je ne pensais pas te revoir un jour." "C'est bien gentil ça. Mais ça me fait plaisir de te revoir Cora. Tu ne m'avais pas encore dit que tu vivais à Beacon Hills ?" Je m'approchais légèrement, car j'étais à 1 mètres d'elle, et je lui faisais un check et lui prit la main avec ma main droite et la serrait contre mon bras. Cette louve qui faisait bien une vingtaine de centimètres de moins que moi était chère à mes yeux. Et pourtant on ne s'est pas connus longtemps. Je l'avais rencontré au Mexique, à l'époque j'étais déjà là-bas depuis 3 mois j'crois...
"Qu'est-ce que vous devenez, toi et ta meute ?" J'engageais la conversation. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas revu.
Invité
Cora Hale
Messages : 238
Ven 30 Mar - 16:21
Une vieille retrouvaille.
Cora ♡ Jared
Tu ne voyais pas le temps passer. Déjà plus d’un mois que tu étais ici pour aider ton frère à combattre. Quelques personnes de ta meute avait décidées de rester en Amérique du Sud ne préférant pas mettre les pieds ici, elles n’avaient pas vraiment tort. Tu savais que cette ville était signe de malheur pour toi, pourtant tu ne pouvais abandonner ton grand frère. Tu aurais voulu éviter venir, tu aurais préférée ne plus jamais entendre parler de cette ville, ville qui a détruit ta famille. Même exterminée. Il n’y avait plus que Derek, Malia et Peter, bien que tu ne considérais plus ton oncle comme un membre de ta famille. Il vous avait trahit, tuant ta grande sœur que tu aimais par-dessus tout. Cela avait été dur d’apprendre que sa sœur était morte des mains de son oncle, pourtant c’était bel et bien la vérité. Comme on peut l’entendre, la vérité n’est pas toujours bonne à dire, ou même à entendre.
Tu regardais ton ancien ami que tu venais d’heurter, à la fois choquée et heureuse de le revoir. Vous ne vous étiez pas connu longtemps c’était vrai, pourtant lorsque tu avais été avec lui, tu croyais l’avoir toujours connu. Vous étiez proches, il était comme un meilleur ami, de plus il aimait beaucoup la meute. « Ce n’était pas vraiment dans mes plans de retourner à Beacon Hills. Mais bon quand mon frère a besoin de moi, je ne peux que venir l’aider. Il est la seule famille qu’il me reste. » dis-tu simplement avant que celui-ci ne s’avance vers toi et te check. Ce côté géant t’offrait une aura de sécurité. Tu savais que lorsqu’il était là, personne ne pourrait te faire du mal, étant plus fort que toi alors qu’il n’était même pas alpha. « Eh bien, quelques personnes de la meute ont voulus rester en Amérique du nord craignant les dangers de la ville, et je les comprends. J’aurais préférée ne jamais remettre les pieds ici, mais bon le destin en a décidé autrement. Et toi ? Qu’est-ce que tu deviens. » dis-tu en donnant un légère tape amicale sur son épaule. Tu avais l’impression de ne l’avoir quitté que quelques jours, alors que cela faisait un sacré bout de temps. Vous aviez cette complicité que tu ne pouvais décrire et que tu adorais par-dessus tout.
J'avais bravé beaucoup de choses dans ma vie, de bonnes comme mauvaises choses. Retrouver des personnes chères à mes yeux m'aidait à rester debout. Surtout des gens aussi sincères que Cora. On ne s'est pas rencontrés très longtemps, pas non plus pendant 4 pauvres semaines. Mais ce laps de temps nous a permis de étrangement nous rapprocher. On est presque des meilleurs amis, et bien que l'un comme l'autre on n'en sache pas tant sur l'autre, on a l'impression de s'être toujours connus. Cora est un peu comme une petite sœur... Si une petite sœur peut avoir un "supposé" rang supérieur au vôtre, vu que vous n'en avez pas.
J'ai beau avoir 5 ans de plus qu'elle, on a quand même des délires de gens dans la vingtaine. Quand je la voyais, je repensais à la période du lycée. Elle remonte à loin pour moi... C'était vers 2010, à l'époque je n'en savais pas autant sur le monde. J'ai encore du progrès à faire, mais ça va venir. Si je continue à persévérer comme je le fais, je pourrais toujours pousser plus loin mes limites. Déjà que je pouvais aisément tenir tête à un loup-garou Alpha au lycée, à l'heure actuelle je dois encore avoir dépassé cette limite... Je ne préférerais pas devoir le savoir dans les temps qui courent en fait : Il y a tellement de choses qui se passent, et pas de bonnes choses... Mon instinct doit primer sur ma puissance, ou ma bestialité. Puis, je mesure aux alentours d'1m85, j'attire peu de vagabonds affranchis de la loi.
Lorsque je regardais Cora, je pouvais voir à quel point elle était heureuse de me revoir. Cela faisait plaisir de déceler cela je dois dire ! Elle me répondait donc : "Ce n’était pas vraiment dans mes plans de retourner à Beacon Hills. Mais bon quand mon frère a besoin de moi, je ne peux que venir l’aider. Il est la seule famille qu’il me reste." "Aaah je vois, des histoires de familles tout ça... Je peux comprendre. Personnellement, j'essaye de savoir si mon père bosse en Californie en ce moment. Cela fait un moment qu'il n'a pas donné de nouvelles, j'espère qu'il va bien." Après quelques instants, elle me répondit pour sa meute. "Eh bien, quelques personnes de la meute ont voulus rester en Amérique du nord craignant les dangers de la ville, et je les comprends. J’aurais préférée ne jamais remettre les pieds ici, mais bon le destin en a décidé autrement. Et toi ? Qu’est-ce que tu deviens." "Aaah je vois. J'aurais bien aimé revoir certaines têtes ! De mon côté, pas grand chose. Je suis venu ici pour savoir ce qui pouvait bien m'attirer ici... Il y a quelque chose, un truc qui fait que je me sens comme attiré par un aimant surnaturel. Et je veux découvrir ce qu'il en retourne. Puis la ville n'est pas mal, je pensais m'installer ici un moment." Je souriais à la petite tape qu'elle me faisait sur mon épaule. Je la taquinais un peu en disant qu'elle avait l'air d'avoir pris du poids depuis la dernière fois. Evidemment je plaisantais, et malgré ma nature de garou, je n'avais pas le don de prédire le poids des gens. On marchait un peu, on empruntait les petites ruelles, qui constituaient de petits raccourcies.
Je commençais à avoir une petite faim. Je vérifiais une des poches de ma veste et en sortait un twix. J'ouvrais l'emballage et demandait à Cora en relevant les yeux vers elle : "T'en veux un ?" Nous étions arrivés près de la sortie d'une ruelle, nous étions carrément à l'opposé de notre point de départ. Comme quoi, ces petites ruelles étaient bien des raccourcies pratiques. Mais j'entendais quelque chose approcher de derrière nous, derrière moi... Je n'eut le temps de jeter un regard que je vis une silhouette me foncer dessus, yeux jaunes et qui semblait bien agressive. J'esquivais la charge et j'évitais à Cora de la subir en donnant un coup de pied dans la chose qui me chargeait. C'est là que je reconnus Elliot McKenzie. "Elliot ?!" "Espèce d'ordure ! Je t'avais dit que la prochaine fois que je te verrais je te saignerais !" Il tenta de m'asséner un second coup, je parais le coup de genou avec mon bras gauche. Je tentais de le raisonner. "Elliot, mec, calmes-toi. C'était un accident !" "Tu parles d'un accident ! Elle est morte par ta faute !" Il m'empêchait de pleinement agir. Mais lorsque il réussit à me mettre une belle mandale au visage, je sentais que ma colère bouillonnait. Elle remontait en même temps que je relevais la tête vers Elliot. Mes yeux se verdirent en une fraction de secondes. Je sentais la pilosité poussant sur mon visage et mes griffes sortirent. Je renvoyais à Elliot tout ce qu'il ne réussit pas à me faire. Il était de plus en plus affecté, tant il était recouvert de griffures, de blessures et que plus je le frappais, plus je m'énervais.
Je finis par l'envoyer valser dans le mur d'un grand coup de pied, mais c'est à ce moment-là que je sentis une vive douleur dans mon épaule droite. Je passais ma main gauche dessus par réflexe en retirait... un carreau d'arbalète ?! Putain... Je sentais mes forces partirent... Je voyais trouble... Puis je me souviens que je me suis effondré au sol, me tenant sur mes genoux avant de tituber...
Invité
Cora Hale
Messages : 238
Mar 3 Avr - 15:24
Une vieille retrouvaille.
Cora ♡ Jared
Les histoires de familles avec toi c’était assez compliqué. Les Hales n’étaient pas vraiment apprécié depuis ce que Peter avait fait. Il était un monstre, d’ailleurs tu ne le considérais plus comme un membre de ta famille. Il était égoïste et cruel, tuant toutes personnes sur son passage qu’elles soient de sa famille ou non. Il t’avait rapidement parlé de son père lorsque vous vous étiez rencontrés. Il tenait beaucoup à lui, tu pouvais l’entendre dans sa voix, à quel point il le bénissait. Tu pouvais comprendre son inquiétude, depuis que Derek était revenu ici tu prenais régulièrement ne voulant pas le perdre une seconde fois. C’était d’ailleurs pour ça que tu étais là, dans la ville de tes tourments. Tu souris lorsqu’il parle qu’il aurait aimé revoir quelques têtes. Etant sur les lignes de forces, Beacon Hills attirait beaucoup de surnaturels ce qui posaient de nombreux problèmes pour les humains s’y trouvant. « Après ils ne sont pas beaucoup à être resté en Amérique du Sud, seulement les plus peureux. » glisses-tu doucement comme s’ils pouvaient t’entendre. Puis tu exclamais un petit rire, tu étais redevenue sérieuse lorsqu’il te parlait de ton poids. Tu n’étais pas vraiment ravie, mais tu ne faisais comme si de rien n’était, au fond tu savais que ça n’était pas méchant et qu’il voulait simplement te taquiner.
Vous avanciez tout en parlant, toujours ton café à la main, tandis qu’il ouvrait un emballage de twix. Surement l’une des gourmandises que tu préférerais, celle que tu avais toujours dans un de tes placards. « Je ne peux pas te refuser un twix, j’aime tellement ça. » dis-tu avant qu’il ne te donne un morceau. Une petite ruelle que tu connaissais, tu l’empruntais parfois pour aller plus vite, mais tu n’aimais pas y passer seule. Tu dégustais ton twix tranquillement alors qu’un homme vous attaquait. Ton ami avait eu à peine eu le temps de lui donner un coup de pied qu’il t’évitait de peu. Tu le regardais incompréhensive tu ne comprenais rien de la situation, tu regardais autour de toi, tu ne voulais pas que l’attention soit attirée vers vous. Tu voyais qu’il s’énervait, tu devais trouver une solution rapidement avant quelqu’un ne vous aperçoivent. Tu attrapais rapidement un bâton de bois qui se trouvait derrière toi avant d’assommer l’agresseur. Jared te regardait tu levais les épaules avant de lâcher le bâton. Tu attrapais l’homme assommé avant de le tirer jusqu’à une benne non loin. « Bon il va falloir qu'on te soigne ça, je pense qu'on pourra s'occuper de toi chez moi. » dis-tu tout en galérant avant de réussir à benner l'homme dans la poubelle. Tu avais beau être assez forte tu n’arrivais pas à le faire seule. ATu regardais ton ami espérant qu’il se calme rapidement pour retrouver sa forme humaine et que vous puissiez partir pour le soigner.
Tout est flou dans ma tête... J'ai encore ce mal de crâne qui me donne envie d'arracher des trucs en deux. Je me souviens que j'avais revu Cora, et qu'on avait fait un bout de route ensemble, on avait parlés de "tout et de rien", ou plutôt de notre quotidien de créature-garou.
Elle me disait que les autres de sa meute étaient restés en Amérique du Sud, elle lâchait même une petite vanne qui me fit sourire, me rappelant un peu comment étaient les bêtas de Cora. Cela me faisait penser à la complicité que je pouvais avoir avec les miens... Je ne devrais pas y repenser, j'avais encore un arrière-goût amer... Puis je me souviens d'Eliott, il m'avait foncé dessus et mit vraiment en rogne. Et puis une vive douleur dans mon épaule, je délogeais à la seconde près le carreau qui s'était logé dans mon bras. Puis le trou noir...
J'ai du tomber inconscient, mais le plus étrange, c'est que je me souviens parfaitement de ce que je rêvais dans mon inconscience. Premièrement, je re-visualisais le massacre... Je me voyais en train de forcer inutilement la porte du bâtiment abandonné. Je me retournais vers une fenêtre en hauteur et voyait Joshua escalader une espèce d'amas de caisses, ou de choses. Il venait d'effacer le sorbier derrière la porte, et on sortait en trombes dans la forêt. On courait à pleine vitesse, c'était flou... Puis je voyais Cara... Et les autres... Puis les assassins, plus d'une dizaine de ces connards, comme dans mes souvenirs... Je ne veux pas revivre ça, mais je ne pouvais pas faire autrement. Je me revoyais, cédant à la rage meurtrière, massacrant comme de la vermine les assassins... Je fermais les yeux, entendant Joshua tenter de me ramener...
Mais quand je rouvris mes yeux, je n'étais plus du tout au même endroit. J'étais dans une espèce de plateau gelé, avec des falaises de glaces, et un amas étrange de glace, formant une espèce de structure en forme de tour géante. Ce qui me fit sentir bizarre, c'est le fait que je n'avais nullement froid, alors que visiblement je ne portais qu'un pantalon de jute, comme au Moyen-Âge, avec pour ceinture une corde extrêmement nouée et serrée, me serrant presque la taille. J'avançais sur ce plateau de glace, autour de moi que de la glace, et l'océan à l'horizon... Je sentais que je devais être dans le Pacifique... Je marchais, et marchais, jusqu'à arriver à cette étrange tour de glace. Je pénétrais à l'intérieur, et je scrutais autour de moi, fasciné par ce qui se trouvait autour de moi... Et je me retrouvais devant une colonne géante de glace, avec des rebords pour l'escalader jusqu'à son sommet. Je m'attelais donc à la tâche, et escaladais prudemment la colonne, jusqu'à me servir de mes dons d'homme-jaguar afin de me propulser et escalader plus vite. Une fois arrivé au sommet de la colonne, je me retrouvais au sommet de la tour, à l'air libre. Devant moi, sur le bord de la tour, se trouvait un piédestal de glace, renfermant une sublime épée viking, avec un bandeau accroché au pommeau. J'approchais doucement du piédestal, et retira l'épée. Lorsque je la manipulais dans ma main, elle commençait à scintiller. Et une vive secousse me propulsa en arrière...
Je me réveillais, dans ce qui semblait être l'appartement de Cora. Je la vis, devant moi, à moitié endormie. Je m'approchais d'elle, bien que j'avais encore mal à mon épaule. Je lui fit une tape sur l'épaule et lui dit avec un grand sourire : "Je suis toujours vivant."
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