Nuit malsaine, mise en scène, ta haine conjuguée à cette irrépressible envie de l'annihiler, on disait qu'il était de retour, on disait qu'il était en ville, on l'appelait Vrai Alpha, tes poings se serraient, ton dégoût te hantait, tes crocs déchiraient presque tes lèvres et t'es yeux d'un bleu éclatant jalousaient l'écarlate des siens. Scott McCall. Mauvaise pioche une nuit noire, dans la forêt, caché au loin. Mauvaise pioche, tu aurais dû prendre son ami, lui aurait été plus influençable, du moins tu t'en persuadais...
Si seulement... Si seulement tes crocs avaient alors déchirés sa jugulaire, plutôt que son flanc...
Nuit malsaine. Terrible, noire et emplie de ces terreurs que l'on ne voyaient jamais. Dôme tombé, ton pouvoir était revenu, ta force était revenue, ton envie était revenue. Dans le creux de ton âme, dans le coeur de ton âme, tu rêvais d'arracher ses globes oculaires au prétentieux « vrai » alpha. Qu'avait il donc de plus que toi, si ce n'était un coeur tendre et des mains dénuées de sang ? Pourquoi lui ? Pourquoi pas toi ? Jaloux ? assurément, mais jamais tu ne pourrais te l'avouer...
Nuit malsaine, nuit sans gêne, tu poussais sa fenêtre, tu pénétrais dans en son lieu, en son antre, armé jusqu'aux dents, armé de tes dents.  
Nuit malsaine.

Au delà de ce point, au delà de ce lieu, il se tenait là, arme sans pitié, garantie infaillible, tendre goût de victoire tenu entre tes dents. Au delà de cette demeure, Wolfgang Hohenmacht, ou plutôt son double écailleux, en tes mains esclave, en ton esprit tueur, en son corps de Kanima, attendant les ordres de son maître, tes ordres, restait impassible, immobile, mais dangereux. Scott McCall ne devait jamais être sous estimé. Tu ne le supportais pas, mais il était alpha, et fort. Bien que ton intelligence dépassait de loin la graine qui lui servait de cerveau, tu ne pouvais espérer gagner par un simple concours de force brute, et ton lézard de compagnie, en dehors de la zone de détection d'un loup, attendait que tu l'utilises pour venir à bout des yeux incarnats.

Nuit malsaine, rencontre pas saine, il descendait chercher de quoi se nourrir la panse quand ta présence l'alerta, ton sourire plus que faux résonnant en ce visage écrasé par une beauté sans conteste, et une douleur profonde de ne pas avoir ses yeux et de ne point le contrôler... Il était ton bêta, pourtant. Il avait été ton bêta, et tu avais été la forme la plus aboutie d'un alpha. Un monstre de puissance pouvant l'amadouer d'un cri, un hurlement terrifiant pour stopper sa transformation, un pouvoir merveilleux exercé sur son être... Et pourtant...
Nuit malsaine, pleine de souvenirs, tu le revoyais t'affronter, perdre, mais être aidé. Ton neveu, ses amis, le feu et la mort. Tu avais dû renaître pour continuer tes plans, tu avais dû accomplir l'impossible une fois de plus, et tel un Jesus propre aux garou, tu avais atteint la renaissance divine. Mais peu puissant. Moins puissant. C'était une souffrance de te savoir impuissant, et une rage infinie exercée dans ton coeur, quand d'un regard tordu entre la jalousie, l'envie, la haine et l'humour, tu prononçais ces quelques mots : Alors comme ça un certain Scott serait de retour en ville ? Je devais venir vérifier…
Nuit malsaine, nuit de surprise, tu éclatais de rire lorsqu'il te sommait de partir. Allons allons... Tu sais bien que les rôles ne se sont pas échangés. J'étais ton alpha, mais tu n'es pas devenu le mien... Pourquoi donc t'obéir ?
Logique démesurée, logique incomprise, crocs affichés et rictus non délogé, tu soupires doucement Et ne songe pas à m'attaquer, Scott... Je n'ai peut être plus ma puissance d'antan, mais je te reste supérieur. Faux. Mais seulement en musculature.
Tu levas les mains doucement. Ruse. Neanmoins je ne suis pas là pour t'affronter, et j'ai depuis longtemps abandonné l'idée de te tuer. Faux. Mais qu'il te croit. Ou non. Apres tout... ma fille est membre de ta meute. Pourquoi voudrais-je lui enlever son alpha ? Pour la puissance. Et Malia deviendrait ta bêta, en plus d'être ta fille... Du moins tu l'espérais.
Et n'oublie pas que je t'ai donné le pouvoir des loups... Pourquoi te le reprendrais-je ? Parce que tu avais perdu ta belle puissance.
Mais tu avais raison sur un point. Sans toi, Scott ne serait qu'un pitoyable asthmatique. Il te devait tant. On pouvait bien dire qu'il t'étais endetté à vie...
Nuit malsaine...

Idiot. Tes pensées affluèrent, tes sens s'aiguisèrent, tes yeux s'illuminèrent, et le pauvre alpha, "faux" alpha dans ta tête, se vit à de nombreuses reprises tête arrachée... Ah, quel rêve. TU ne pouvais pas faire cela. Tu l'imaginais perdre la vie, tu l'imaginais mourir en tes bras, mais tu ne pouvais pas réellement le tuer, et l'illusion imposée par ton cerveau effaça ton sourire malsain lorsque tu repris conscience, et le vis devant toi. Vrai, tu n'avais que rêvé. Vrai, tu ne pouvais le tuer. Sans un bêta issu de sa morsure, l'éliminer était gâcher la prunelle de ses yeux,e t ce n'était point ton désir...

Idiot. Il attaque le loup de naissance, il t'attaque de ses mots tranchants, il s'offusque, il t'insulte, en ton âme, en ton coeur. Toi ? Inférieur ? Toi ? Un tueur ? - bon, c'était vrai, mais autant jouer l'offuscation - Toi ? Seul fautif de ta perte ? Seul à blâmer ? Tes dents se serrèrent, et le Kanima réagit, mais ne bougea pas. Seulement son corps devait avoir adopté une posture plus menaçante, car tes pensées filaient. Il devait bien le sentir.

Allons... La mor de Laura était nécessaire... Grâce à elle, j'ai pu atteindre l'apogée de la puissance d'un Alpha, et venger les assassins des Hale. Si tu me juges mal, Scott, je vais me mettre en colère, et tu ne veux pas de cela, n'est-ce pas ?

Ton ton était plus tranchant. Telle une lame, tes paroles étaient abominables, à cause du ton employé. Certes, la force était son atout. Certes, il pouvait toujours réussir à fuir la bête écailleuse. Mais en cette ville, en son statut, pour un alpha aussi peu doué dans l'art de tuer, aussi bon dans le social, résidait une faiblesse apparente, conséquente... Ses proches. Et, juras tu en toi, si ses paroles t'offusquaient, tu traquerais sa mère, tu traquerais son ami humain, tu traquerais sa meute, tu déchirerais la vie de tous ceux qui résidaient dans son coeur - à l'exception de malia -, afin de lui démontrer que tu restais le maître en ces lieux, le maître en Beacon hills.

Et dois je te rappeler que je ne peux pas te tuer et voler ton pouvoir ? Du moins, pas aussi facilement ? Tu es un Alpha spécial, seul un de tes bêtas peut te voler ton pouvoir. Aussi, si j'étais venu récupérer ce qui m'appartient de droit Ouille, tu aurais peut être dû garder cette partie là pour toi , j'aurais probablement attendu d'avoir ton petit Liam entre les mains.

La tension montait. Deux monstres. La nuit était noire. Deux monstres. L'un était fort, l'autre était malsain. Tu te plaisais dans le second rôle. Le regard était d'une noirceur, la pensée était meurtrière, la pulsion retenue. La colère montait.
Tu soufflas. Préserver la ruse, stratagème en place.
TU bougeas. Ton corps avança, et sans rien dire tu observas au delà de la nuit par sa fenêtre.
Une dernière chose... J'ai tué Laura, oui... mais je n'avais pas de fille à ce moment là. Pas de ma connaissance... Peut-être ne me croiras tu pas, mais savoir qu'on est père change un homme... Si c'était à refaire, peut être ne tuerais je pas Laura, et trouverais un autre moyen... Ne t'en fais pas... Tu te calmais. Tes dents desserrées. Il ne fallait pas exploser. Le malheur s'abattait sur celui qui flanchait en premier. Malia n'a rien à craindre. Jamais. Pas de moi.
Ton regard bleu revint à l'alpha. Tu étais de nouveau en état, ta colère maintenue, la créature maintenue. La manipulation pouvait reprendre.
Mais Scott paierait bientôt.

L'Alpha véritable et ses mots bien tranchants. Tu soupirais, le petit avait au moins appris à se défendre sur un autre domaine que l'habituel concours de force, et alors que sa sublime tirade t'accusait encore et encore, tu pointas doucement que Laisse moi te poser une simple question, Scott. Pour le bien de ta famille, serais-tu prêt à tuer des innocents ? Mets toi à ma place. Si ta mère et ta famille avait brûlé dans un feu allumé par des chasseurs mécréants, n'aurais tu pas cherché à les faire payer ? Si tuer un ou quelques innocents pouvait protéger ta mère, le ferais tu ? Vois tu, petit loup (un peu de mépris ne faisait pas de mal) j'estime que ma famille vaut largement plus que n'importe quelle âme en ce monde. Et c'est pourquoi pour leur bien, le sang d'innocents ne me gêne pas. Si tu n'es pas de cet avis, alors tu es naïf, stupide, ou simplement trop jeune. Un jour, dans ce cas, tu verras. Tu seras coincé et devras choisir entre inconnus et ta famille, ou ta meute. Et ce jour là si tu laisses périr ta meute, crois moi, Liam ou non à mes côtés, je te traquerais pour t'égorger. Parce que Malia faisait partie de sa meute.

Il rebondit sur son bêta, ton sourire fut retrouvé. Il n'était pas si idiot, mais il avait tout de même tord. Car s'assurer que son protégé savait que tu étais un monstre était une chose, mais se défendre contre les accusations sans preuves était une autre. Lorsque Liam sera persuadé par les dires de son alpha, ton don de manipulation deviendra alors la meilleure des armes pour le faire douter de son chef, voire même le retourner contre lui...
Tout du moins. C'était ton rêve. Une belle pensée. Malsaine pour lui, mais si agréable en ton esprit... Bien que malheureusement ce plan avait déjà été exécuté par ton propre protégé. Théo...

Je n'ai pas vraiment de pouvoir sur ma fille et tu le sais bien Scott. Je pourrais lui interdire de voir ce garçon qu'elle s'amuserait à se pavaner avec lui sous mon nez. Cela dit je suis assez surpris que toi tu ne fasses rien. Allons bon... le Vrai Alpha ne tiendrait il donc pas assez à sa meute pour la diriger et la conseiller ?

La faute n'était pas la tienne. La sienne. Et puis ainsi, personne, même pas lui, ne pourrait deviner que les chimères de Théo étaient sous tes ordres. Oh bien sûr, le loup aux yeux écarlates pourrait le deviner ou s'en douter, ou tout simplement douter de cette idée, mais tant que tu ne le confirmais pas, cela restait vague. De quoi lui faire peur. De quoi l'inquiéter. Sans pour autant lui laisser l'information avec la garantie d'être véritable. D'autant que tu n'étais pas venu pour cela... non... non tu étais là pour une toute autre raison. Rien à voir avec le pouvoir. Pas encore. Rien à voir avec le meurtre. Pas encore... Pour le moment tu étais le messager. Plusieurs messages.

Je suis là pour te dire de partir de la ville. Mais évidemment tu ne m'écourteras jamais. Tu parles d'alliances avec les différentes meutes, alors laisse moi te dire ceci : Cade Lewis est mon ancien protégé, un tyran que vous ne pourrez jamais vaincre. Alliez vous à lui si vous ne partez pas. De plus, la guerre est proche... il y a quelques mois j'ai été attaqué par un membre des Steels. Les connais tu ? Si oui, sache que tu ne pourras pas les vaincre seul. Si non, disons que... s'ils étaient Argent, Gérard serait inoffensif en comparaison...

Tu n'avais pas menti. Cade était un ami et ancien protégé que tu avais aidé et guidé. Les Steels t'avaient vraiment attaqué. Mais ce que tu n'avais pas dit était que tj avais une "fausse" alliance avec la Matriarche Steel, afin d'assurer ta protection le temps de les détruire. Elle finira par te trahir et toi aussi. Mais en attendant tu avais plus d'importance et de poids que ce pauvre Scott pouvait penser, et ton premier avertissement et ta première requête de le faire partie n'était pas si idiote... Heureusement pour tes plans tu savais que jamais il ne t'écouterait...
À ses risques et périls...

Si tu devais lui céder une chose, ce serait bien évidemment sa confiance en lui. Le louveteau, bien qu'ALpha - pour ton plus grand malheur - n'en restait pas moins un jeune loup, et sans l'expérience. Certes, il avait eu quelques ennemis, dont toi. Certes, ils les avait battu. Mais en ce monde empli de la noirceur, des créatures, et de globalement tous les dangers présents dans les légendes et contes humains, la confiance mal avisée était une erreur. Une parole que tu te gardas bien de lui envoyer à la figure telle une arme, mais qui devint, étrangement, un conseil, d'un loup à un autre, d'un Alpha - tu serais toujours l'ALpha - à un autre.

Tu m'as battu ? La belle affaire. Une fois seulement, mon petit, n'oublie pas de revoir tes comptes. Et j'étais seul. J'était un bestial, oui, un alpha dans sa forme la plus évoluée, certes, mais j'étais tout de même sans aucune meute derrière moi. Cade, lui, en a une. Et sache que ton peu de vécu en tant que loup ne pourra pas te sauver les miches à chaque fois...

Mais tu tiquas lorsqu'il parla de ces fois où il échouait à protéger les siens, mais "se rattrapait". A ces mots, le bras échappa à ton contrôle, et ta main s'écrasa dans le mur de sa maison, de son intérieur.

Ecoute moi bien, Scott...

TOn expression avait changé. TU n'avais plus le doux masque du manipulateur, ni le sourire du prétentieux. En cet instant, tu étais le dangereux père, qui protégeait sa fille, même si cette dernière ne voulait pas de lui.

Je me fous complètement que par le passé tu aies échoué à protéger les tiens, ou que tu te sois rattrapé envers eux. S'il arrive quoi que ce soit à ma fille, qu'elle m'apprécie ou non, je mettrais tout à disposition pour te le faire payer. Ce ne seront plus des menaces, mais la réalité. Je ferais tout pour que tu perdes ta famille. Oh, tu m'arrêteras, je le sais. Mais une mère enceinte peut si facilement perdre son enfant. Sache que même si tu m'empêchais de tuer ta chère mère, je pourrais effacer à jamais la vie qui germe en elle. Alors tu n'as pas intérêt à prendre à la légère la vie de ma fille. Tu as des contacts ? Bien. Alors contacte les. Assure la protection de ta meute. Surveille ma fille. Protège la. TU peux ne pas m'aimer, c'est normal. TU peux me voir comme un maniaque, un psychopathe, ou ce que tu veux. Mais je suis un père. Alors n'échoue pas.

La colère parlait. Jamais encore tu n'avais montré un tel aspect de ta personnalité. Même lors de ton combat "final" contre l'alliance de ton neveu et du Vrai Alpha, tu n'avais laissé jaillir cette rage. Qu'il ne veuille pas croire que ta fille passait au premier plan depuis que tu l'avais rencontré était son problème. Mais il allait vite comprendre sa douleur s'il sous estimait cet amour que tu lui portais. TU avais beau chercher le pouvoir, Malia était la priorité. Le pouvoir, tu l'avais déjà en partie.

Quant aux Steels, puisque tu ne veux pas partir, je te conseille d'envisager la guerre et la mort. Un vrai alpha ne peut pas tuer, mais crois moi... Ces chasseurs là ne sont pas comme la crème des Argents que tu as déjà pu rencontrer. Leur chef est... Il a tué son propre père ainsi que plus de deux cents humains afin d'exterminer une meute, lorsqu'il était jeune. Je ne sais pas si tu te rends compte.Tu me prends pour un monstre ? C'est lui le pire. Alors ravale ta confiance et trouve un putain de plan à la place. Trop de confiance mène à la perte, et tu devrais le savoir... C'est ce qui m'a mené sur le sentier des flammes lorsque ton ami Jackson m'a incendié...

Cette conversation te faisait froid dans le dos. Slade Steel était effectivement la pire menace que tu avais rencontré jusqu'ici, mais ce qui te gênait le plus dans tes paroles était cette abondance de conseils que tu transmettais à celui que tu avais mordu. Ton regard maintenu dans ses yeux, tu devais avouer que tu t'en remettais à lui pour ta fille...
Qu'il ne l'oublie pas...

Ton ancien bêta semblait avoir compris. Il protégerait Malia si le tout dégénérerait. Sa longue tirade t’avait convaincu. Pour le moment. Mais c’était déjà ça. Au moins tu savais ta fille en lieu sûr près de sa meute.

Bien. Je te fais confiance.

C’était dingue. Un tout autre monde. N’était-ce pas une chose insensée que de savoir que le Grand Mechant Loup, Peter Hale, faisait « confiance » en le Vrai Alpha ? Certes, l’inverse serait encore plus incroyable, mais l’on parlait tout de même de deux ennemis, un vil manipulateur et un cul-beni. Tu n’en revenais pas toi même, mais un sourire naquit sur tes lèvres. Comme quoi, tout pouvait arriver. Oh tu ne l’aimais pas moins, et oui tu ferais tout pour Malia. Néanmoins comme il le disait, tu ne changerais pas. Tu ferais tout pour Malia, et lui créerait un monde où avec toi elle serait maître. Sauf que pour le moment tu mettais ta confiance en
Scott. Qui allait la protéger.

Il parla aussi de Théo, et tu souris.

Oh ne t’en fais pas. Théo Raeken sait aussi que s’il blesse ma fille il n’aura plus son cœur dans sa poitrine. Et c’est également une promesse, non une futile menace.

Après tout, chacun était égal face à toi. Tous inférieurs. Mais égaux entre eux.

Enfin il aborda la guerre. Tu soupiras. Il était vrai que les créatures avaient un avantage non négligeable sur les humains, pourtant tu avais ce frisson quand tu pensais aux Steels.

Cela va te paraître étrange Scott, car tu sais que ta mort m’emplirai de joie. Mais ne meurs pas. Je veux la protéger aussi, mais sans toi Malia aura un bouclier vivant de moins.

Ok. C’était peut être pas une preuve d’amour. Mais c’était ce qu’il pouvait sans doute espérer de mieux de l’Alpha. Enfin de toi quoi. T alors que tu te dirigeais vers sa porte, tu te retournas un moment.

N’oublie pas. Ils sont bien plus dangereux que tu ne le penses.

Les Steels étaient un cancer. Et tu allais devoir trouver un moyen de t’en débarrasser. Un moyen de protéger ta fille contre leurs crocs d’acier.

Je compte sur toi.

Et tu ouvris la porte.
Au dehors la nuit était toujours criante, et tu sentais que ton Kanima était toujours en position. Il avait été une garantie bien suffisante bien qu’il n’ait rien eu d’autre à faire. Tu sentais néanmoins que dans les jours à venir, Wolfgang Homachin allait s’avérer très utile.

Et tu disparus dans la nuit, la porte se fermant.