Après les études, ce sont mes relations avec ma famille qui ont évolué. L’autre soir, mon père m’a pris à part pour me parler du petit Milo. Officiellement, nous ne sommes que sa famille d'accueille mais dans le fond, mon père et moi considérons Milo comme un membre de la famille. Le fait qu’il soit loup et membre de la même meute que moi ne fait qu’accentuer mon attachement. J’aime beaucoup Milo et quand mon père m’a proposé de l’adopter, j’ai failli sauter de joie. Il est seule et sans enfants alors je ne sais pas si ce sera possible, mais étant sa famille depuis plusieurs mois maintenant, nous espérons qu’il pourra rester avec nous. Mon père étant assez maladroit et ne savant pas comment lui demander s’il voulait devenir un Tate ou non, alors je devais m’en occuper. Ca ne me dérangeait pas, au contraire, mais il faut que je trouve comment introduire tout ça. Nous sommes donc partis nous promener en ville sans but précis pour ma part mais Milo devait se racheter des vêtements. Nous sommes donc en train de passer une après-midi normale comme deux frères et soeurs. Ca fait du bien de passer du temps avec quelqu’un aussi apaisant que Milo, il faut dire que récemment entre Théo qui vient chez moi blessé, Scott qui n’apprécie pas notre rapprochement et Kira qui été mal et que j’avais plus ou moins abandonné, je n’avais pas eu le droit à des discussions très joyeuse sans parler des cours bien sûr… Je glisse ma maine dans les cheveux de Milo et les ébouriffe en riant.
- Mais pourquoi est-ce que tu trous toujours tes vêtements?- Mais c’est pas ma faute si je tombe toujours, c’est pas facile avec un skate ! Ça me déstresse d’essayer de nouvelle figure ! Il faudra que j’te montre ma dernière ! Je lui souris tandis que nous entrons dans un magasin tout en regardant les vêtements qui nous entourent je souris au petit Milo et lui montre où sont les gilets.
- Je te le prends si tu me promets de faire attention à tes affaires à présents… Mais ne dis rien à Henry !Je lui souris et ajoute tandis que nous nous déplaçons vers les caisses.
- Tu pourras bientôt l’appeler papa si tu le veux...