[hot] Take off your clothes [Aedan & Kathleen]



 
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[hot] Take off your clothes [Aedan & Kathleen]
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Sam 28 Jan - 16:34
Take off
your clothes

 
Une colère sourde, perfide, incontrôlable te fait bouillonner depuis quelques minutes. Pas depuis si longtemps que ça à vrai dire, mais le temps semble s'éterniser et tu enrages. T'arrives pas à croire qu'il t'ait fait ça. T'es sûre qu'il l'a fait exprès en plus, pour te rendre jalouse, te mettre en rogne. Ça te frustre encore plus de savoir qu'il a réussi, à vrai dire t'as surtout envie de l'étriper. De les étriper. Pourtant, tu te retiens – c'est pas un jeu d'enfant, voilà qui est certain – et, au lieu de foncer chez lui telle une furie pour lui arracher les yeux, tu parcoures les dernières centaines de mètres qui te séparent de chez toi et gares ta voiture que tu quittes un instant après pour te diriger à pieds vers le bar à côté de l'immeuble où tu habites. Tu sais comment te venger, ne serait-ce que pour calmer ton esprit qui veut actuellement voir Wolgang brûler en Enfer. Tu sais ce qu'il est en train de faire, et ça te monte à la tête à tel point qu'une fureur inexplicable t'envahie et te fait accélérer le pas. Tu ne sais pas pourquoi tu te mets dans des états pareils simplement parce qu'il couche avec une autre. Ce n'est pas de la jalousie, tu en es certaine – ou alors, tu refuses de te l'avouer, ce qui n'est pas impossible. C'est peut-être parce qu'il a osé répondre à ton appel, et que tu l'as entendue elle. Elle et ses gémissements pitoyables, grotesques. Pathétique. Tu détestes l'idée d'imaginer une autre femme dans ses bras, et le fait de l'avoir eu au téléphone pendant quelques instants au même moment ne fait qu'accroître ta colère – ta jalousie. T'as bien l'intention de te venger, et tu sais comment t'y prendre. Connard, que tu songes en entrant dans la boîte de nuit.

Ce n'était pas la première fois que tu venais ici, mais c'était la première fois que tu le voyais. Tu ne pouvais nier qu'il était beau, d'autant plus dans sa tenue de barman qui créait mille et une idées dans ton esprit, quelques fantasmes aussi. Il t'avait servi un cocktail, puis deux. Il fallait reconnaître que les siens étaient vachement bons. Ou peut-être était-ce à cause de ses yeux, ou de son corps des plus désirables. Tu n'étais pas en colère ce soir-là, t'avais simplement envie d'un verre. Cette idée de jalousie viendrait plus tard, et quoiqu'étrange elle vous convenait à tous les deux. En tout cas, aucun ne s'était jamais plaint, sans doute parce que ni lui ni toi ne souhaitez que cela devienne sérieux. Lui parce qu'il était résolu à récupérer sa belle blonde, et toi parce que tu voulais rendre jaloux l'Allemand qui te collait à la peau. Mais ce fameux jour, ce n'était pas ton but. Tu désirais simplement le beau brun qui était de l'autre côté du comptoir. Tu n'avais pas hésité un seul instant avant de t'avancer pour t'accouder au bar, ton regard de braise braqué sur sa silhouette qui te faisait envie. Puis il s'était retourné, et ses yeux clairs avaient rencontré les tiens avant qu'il ne s'approche à son tour. Incroyablement sexy.

Tu te diriges naturellement vers le bar, et lorsque tu reconnais le barman tu esquisses un sourire. Pas vraiment de la joie, plutôt une satisfaction presque malsaine parce que tu vas pouvoir te venger. Tu veux lui faire payer. Alors tu t'approches de ta démarche féline, braquant un regard presque insistant sur lieu. Un regard qu'il n'aura aucun mal à comprendre une fois qu'il l'aura remarqué. Il n'a pas changé – toujours aussi sexy – mais le but de ta venue est différent ce soir. C'est cette jalousie intense, furieuse, possessive qui brûle chaque parcelle de ton corps qui t'a hurlé de venir. De finir dans ses bras pour montrer à Wolfgang qu'il n'est pas le seul à aller voir ailleurs. Qu'importe jusqu'où tu dois aller pour lui montrer qu'il n'est pas le seul à en profiter.

 
Fiche bye Ethna
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Jeu 2 Fév - 23:52
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with Kat & Aedan

Quelle soirée ! Le bar de Derek avait de plus en plus de succès, et cela voulait dire de plus en plus de travail pour toi… Mais aussi de plus en plus d’argent. Aussi, ces temps ci, tu allais directement de la fac au travail, sans passer par la case « maison ».
Aujourd’hui ne faisant pas exception à cette nouvelle règle, tu étais arrivé relativement tôt pour apprécier le nombre de soifards. Tu avais servi de l’alcool et des cocktails durant toute la soirée, et tu n’avais encore pris aucune pause. Tu n’en avais pas réellement besoin, c’était exaltant, en un sens, d’être le maître de cérémonie d’un bar comme celui-ci.. Préparant un mojito pour une jolie demoiselle, tu pensais en même temps à différentes méthodes afin de récupérer Emmy… car finalement, l’une des raisons pour lesquelles tu passais énormément de temps dans cette tenue était la blonde que tu aimais encore. La blonde qui pouvait obnubiler tes pensées si tu ne faisais rien.

Lorsque sonna la dixième heure de l’après midi, tu étais en train de réarranger les verres, lorsque tu entendis quelqu’un t’appeler. Tu te retournas, et la personne que tu vis ne fut pas l’homme qui voulait commander, mais la succube en arrière plan, avec son regard de braise. Tu la vis, et tu souris, soignant ton regard pour lui répondre immédiatement que tu étais à elle juste après cette commande. Tu t’avanças alors vers le client, et accédas à sa demande, lui servant une tequila. Ensuite, tu invitas Kathleen à s’asseoir à sa place, et d’une voix suave, tu demandas Besoin de te défouler ?
Bon, il n’était pas compliquer de comprendre ce à quoi tu pensais, et ce à quoi elle pensait. Kathleen et toi, c’était une histoire de sexe par intérêt. Elle couchait avec toi dans l’unique but de faire enrager son amoureux. Elle disait n’avoir rien à foutre de ce blond, mais tu savais que ce n’était pas totalement vrai. Et le seul intérêt que tu avais envers elle, était que tu souhaitais voir Emmy rouge de jalousie. Ainsi, chacun de vous considérait l’autre comme un jouet sexuel, et donc il n’était pas dans votre usage de parler de beau temps. C’était l’action, set seulement l’action entre vous…

Alors que tu t’étais retourné, tu avais pu voir une belle demoiselle, encore inconnue, accoudée sur le bar, avec une pensée et une seule te concernant. Intrigué, tu t’étais rapproché, et tu devais avouer que non seulement elle était d’un charme non négligeable, mais qu’en plus, elle te regardait de telle façon qu’elle te complimentait sur ton physique rien qu’avec ses yeux et ses lèvres. Amusé, tu avais demandé ce qu’elle voulait boire, mais elle t’avait dit quelque chose comme « surprenez moi ». Alors tu lui avais préparé ce que tu savais faire de mieux, et tu t’en étais servi un avec elle, la regardant se lécher les lèvres, et engloutir la boisson. Alors pour le second, tu lui en avais fait un autre, mais avant de le lui donner, tu avais déposé tes lèvres sur le rebord du verre et bu une gorgé, avant de le lui donner. Ton sourire en coin, tu avais bien envie de décompresser… Et puis après tout, cela faisait quelques temps que tu avais rompu… Enfin… Que vous aviez rompu… Enfin… Que vous vous étiez concertés, avec Emmy, pour dire… ehm… « Aedan, il faut qu’on parle ». mais c’était une décision commune, bien évidemment… Bien sûr… Pas du tout…
Ainsi, d’une certaine façon, tu reportais ton regard assez facilement sur les autres filles, désirant absolument attirer celui de celle de ton cœur. Mais au moment où cette demoiselle était entrée, tu avais su que tu n’étais pas le seul à vouloir du sexe…
Alors qu’elle buvait ton cocktail, tu lui avais demandé tout simplement « Puis-je savoir votre nom ? Après tout, on ne rencontre pas tous les jours une telle femme. ». Ta voix avait reflété ton intention dans toute sa splendeur…


Comme à son habitude, Kathleen prenait le cocktail de votre première rencontre, de votre première fois, et que tu réussissais le mieux. Celui qui avait permis à la jeune femme de goûter par-dessus tes lèvres.
Sans une once d’hésitation tu avais alors commencé à le faire, la regardant toujours dans les yeux, avant de dire QU’a-t-il fait cette fois ci ? Il en a prit une autre devant toi ?
Vous parliez, en faisant l’amour, Kat et toi. Vous parliez avant, vous parliez après, et surtout, vous agissiez par intérêt, mais connaissiez votre rôle pour l’autre. Ainsi, il te semblait tout à fait normal et humain de demander ce que son blondinet lui avait fait. Il arrivait bien entendu qu’elle ne soit de passage que pour le sexe, mais tu savais reconnaître les émotions sur son visage. Elle ne cachait jamais assez bien la jalousie depuis qu’elle l’éprouvait, aussi savais tu que cette fois ci, le sexe n’allait être que vengeance envers Wolgang…
Non pas que cela te déplaise… Après tout, Kat était vraiment bonne…


electric bird.



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Dim 5 Fév - 13:15
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T'as pas l'habitude d'être jalouse. A vrai dire, tu n'assumes même pas ce que tu es en train de ressentir à cet instant précis. Tu refuses de te dire que tu peux éprouver quelque chose d'aussi... stupide. Tu rends les autres jaloux – femmes comme hommes, tous t'envient, te désirent, ou voudraient être dans tes bras à la place de ceux qui ont cet honneur –, mais tu ne peux pas l'être. C'est inconcevable. Pourtant, si tu étais moins narcissique et si tu acceptais de voir la réalité en face, tu te rendrais compte que c'était bel et bien le cas. Et que si tu venais voir Aedan, c'était simplement pour oublier ce sentiment que tu haïssais dans ses bras brûlants, contre son corps qui était pour toi un jouet. Un échappatoire face à cette colère qui te donnait envie de briser chaque os du corps de Wolfgang pour lui faire comprendre qu'il n'avait pas intérêt à recommencer. Pourtant, tu ne t'y abaisserais jamais par pur orgueil. Après tout, vous vous étiez tous les deux dits que vous étiez libres d'aller voir ailleurs. Alors pourquoi une telle rage t'envahissait à chaque fois que tu songeais à cette traînée qui était dans ses bras ? Bonne question, néanmoins tu n'as pas envie d'y répondre. Simplement de te venger. Alors lorsque le bon barman brun te fait comprendre qu'il est à toi dans un instant, tu savoures son regard qui prouve qu'il te désire lui aussi. Puis tu s'assieds face à lui et le regardes dans les yeux, observant le désir qui les dévore. « Tu n'imagines même à quel point, » que tu souffles d'une voix tout aussi sensuelle.

S'il n'y avait eu que ses beaux yeux, peut-être aurais-tu été en mesure de résister. Mais tout chez ce barman était incroyablement attirant, de ses lèvres qui ne te donnaient qu'une envie – l'embrasser – à son corps sculpté auquel aucune femme sensée ne pourrait dire non. Et puis, tu avais bien vu à son regard que c'était réciproque, et que lui non plus ne dirait pas non à une soirée avec toi. Alors tu lui intimas de te servir ce qu'il souhaitait, lui donnant pour seule consigne de te surprendre. Ce qu'il fit, et encore aujourd'hui tu reconnais que ses cocktails sont parmi les meilleurs que tu as pu goûter dans ta vie – et en vingt-six ans, on peut dire que tu en as bus pas mal. Il t'en fit ensuite un deuxième, et lorsque tu le vis y goûter pour laisser la marque de ses lèvres sur le verre, tu esquissas un sourire plein de mille et un sous-entendus. Alors tu t'en saisis et déposas sur celle qu'il avait laissée la marque de ton rouge à lèvres, et tandis que tu buvais doucement ce qu'il t'avait préparé, ton regard empli de gourmandise restait braqué sur lui. Il te demanda alors ton nom, ajoutant à son interrogation un compliment, de quoi flatter ton ego déjà bien suffisant. Tes lèvres s'étaient étirées un peu plus face au ton qu'il employait, sa voix pleine de luxure ne pouvait que te faire cet effet. Alors tu reposas ton verre vide – tu avais soif, oui – sur le comptoir et répondit, les yeux pétillants. « Kathleen. » Il ne t'avait pas fallu longtemps pour comprendre que cette soirée serait pour vous un véritable jeu, un jeu des plus séduisants, attrayants, sensuels. Un jeu auquel tu ne souhaitait pas mettre fin de si tôt. « Et puis-je connaître le nom du barman préparant de si bons cocktails ? » l'interrogeas-tu ensuite sans cesser de sourire. Lorsqu'il te donna enfin son nom, tu fis le tour du comptoir de ta démarche féline pour t'approcher de lui, avant te placer derrière lui pour chuchoter à son oreille. « Dis-moi, Aedan... » Ta voix était une véritable invitation à la luxure, tout comme la sienne. « Je peux te tutoyer ? » que tu demandas innocemment malgré ton sourire et tes yeux qui le dévoraient. Ce petit jeu t'amusait de plus en plus tandis que tes mains se posaient sur ses épaules. « Et si tu m'apprenais à faire d'aussi bons cocktails ? » Murmure suave aussi léger qu'une brise pour l'inviter à tourner la tête vers toi. Et dès qu'il le fit, tu pris possession de ses lèvres sans une once d'hésitation, appréciant le goût sucré de la boisson que vous aviez bue tous les deux, et leur chaleur qui t'invitait à ne pas les quitter tout de suite. A voir comment il allait réagir.

Tu n'attends pas longtemps avant de lui demander le même cocktail que d'habitude, comme une tradition. A tel point que tu n'as pas forcément besoin de parler pour qu'il comprenne ce que tu veux. Alors qu'il commence à le préparer, il te demande ce qu'il a fait. « Presque, » que tu lâches avec un certain agacement. T'as encore du mal à te dire qu'il l'a vraiment fait à vrai dire. « Au téléphone. » Ton regard reste ancré dans le sien, et tu sens une colère non négligeable t'envahir. « Tu as bientôt fini ton service ? » que tu demandes avec une certaine impatience, comme s'il devait être disponible pour toi immédiatement. C'était un peu le cas en fin de compte. Tu avais envie de lui, maintenant, tout de suite, et tu ne pouvais pas attendre.

 
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Dim 5 Fév - 14:48
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with Kat & Aedan

Comme toujours, Kathleen était là dans le seul but de te prendre, ton corps étant un objet sexuel pour ses fantasmes, comme le sien l’était pour toi. Même si vos corps servaient des buts un peu plus grands et égoïstes, pour repousser ou créer la jalousie, tu devais avouer qu’elle te faisait autant de bien que tu semblais lui en faire. Elle était douée, tu l’étais aussi, et vous pratiquiez tellement que vous deveniez de plus en plus expérimentés. Il vous arrivait alors de tenter d’autres positions, d’autres formes, d’autres lieux pour pimenter cette liaison sinon trop objective. Alors qu’elle t’avait dit à quel point elle avait besoin de se défouler, elle précisa ensuite, à tes futures questions, pourquoi et comment son mec – pardon, son « mec » – l’avait énervée. Tu sifflas, avant de dire Il a pas compris que c’était toi qui devait le rendre jaloux ?
Oh, tu connaissais ses pensées. Elle connaissait les tiennes. Si elle savait que tu voulais récupérer Emmy, que tu voulais la rendre jalouse et que la voir avec un autre te faisait tout le temps l’effet d’une bombe, même si l’autre en question ne faisait rien d’autre que discuter avec elle, toi, tu savais que Kathleen désirait la jalousie autour d’elle mais pas en elle. Elle voulait voir les autres la jalouser, ou jalouser l’homme – ou la femme – avec qui elle était. Bonne, elle n’avait aucun mal à procurer ce genre de jalousie. Mais tu savais aussi plus que ce qu’elle assumait, car tu savais, tu voyais dans son regard ce qu’elle ressentait. Mais tu n’allais pas gâcher votre liaison en lui montrant combien elle était jalouse, ou qu’elle commençait à être amoureuse. Après tout, si elle ne l’assumait pas, elle refuserait que tu le dises. Il fallait d’abord qu’elle en prenne conscience…

La demoiselle répondant au nom de Kathleen, que tu allais ensuite appeler Kat, comme tout le monde, sûrement, ne t’avait pas tant surpris que cela au final, en posant ses lèvres sur la marque tu avais laissée sur le verre. Après tout, rien qu’à écouter sa voix, tu avais su ce qu’elle voulait.
Ensuite, tandis qu’elle vidait inlassablement son verre, tu lui appris ton prénom, et elle finit par passer derrière toi. Là, elle te surprit, mais ce n’était pas pour te déplaire, aussi, lorsqu’elle passa ses main sur tes épaules pour te retourner, afin de t’embrasser, tu avais failli laisser tomber le verre. Seuls tes réflexes surnaturels t’avaient sauvé la mise, et tes doigts avaient rattrapé le verre avant de le poser sur le comptoir. Et tu avais attrapé la demoiselle pour répondre au baiser, finissant par lui mordre la lèvre, amusé. Cette soirée promettait de grandes choses.


Terminant de préparer le cocktail, tradition, signature de votre liaison, symbole d’une amitié spéciale, avec un supplément pour chacun des membres, tu versas le liquide dans un verre, avant de faire comme d’habitude. Tu goûtas le cocktail et le lui tendis, la laissant apposer sa marque. Puis elle te demanda quand ton service terminait. Tu souris, regardant alors derrière toi, la grande horloge. Dans dix minutes. Mais je suis déjà tout à toi.
Tu souris avant de lui dire un petit « attends deux secondes », puis tu sortis de derrière le comptoir pour aller voir ton superviseur. Tu lui expliquas que tu avais un problème et qu’il fallait que tu t’en occupes en urgence. Il sourit et te demanda si tu devais vraiment t’en occuper toi-même et dans l’immédiat, et tu jetas un œil sur Kathleen, en train de terminer son verre. Tu répondis alors que oui, tu allais t’en occuper. Bien t’en occuper. Il ne comprit pas la référence, et te donna son accord. Tu lui déposas alors ton tablier, avant de te rapprocher de Kathleen par derrière, et de lui souffler dans l’oreille, sensuellement. Et maintenant je suis prêt à te remettre de bonne humeur…
Tu attendis qu’elle finisse son verre avant de l’accompagner sur le parking, là où ta moto était garée. Tu attrapas alors ton casque et le lui tendis. Tu n’en avais pas d’autres et elle le savait, mais ce n’était pas la première fois qu’elle prenait le casque.
Une fois prête, tu lui demandas On va chez toi ?
Dans ta voix, on pouvait entendre ce sous entendu : « ou on le fait ici ? ». Pour t’amuser, tu aimais bien lui proposer deux lieux complètement différents. Souvent il y avait la chambre et le lieu public. Le nombre de fois où vous l’aviez fait dans les deux lieux d’affilés était assez impressionnant d’ailleurs.
Tu attendis sa réponse sans te gêner pour mater son corps.

electric bird.



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Dim 5 Fév - 16:31
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Beaucoup de personnes voient d'un très mauvais œil les relations purement sexuelles, dépourvues de tout autre sentiment qu'un désir physique n'ayant rien de romantique. Ce n'est pas ton cas, tout comme ce n'est pas celui d'Aedan. Au contraire, vous appréciez ce que vous vivez sans vous poser d'autres questions de la manière dont vous allez profitez l'un de l'autre ce soir. Le lieu, la position, mais aucune autre prise de tête dont vous ne souhaitez pas entendre parler. Simplement du sexe, du plaisir, et un besoin de rendre jaloux quelqu'un – ou, dans tout cas, de refouler une jalousie impossible à assumer. Parce que c'est exactement ce que tu fais tandis que ton regard de braise dévore le beau brun servant des cocktails, puis lorsque tu lui confies ce qu'a fait l'Allemand qui te met dans tous tes états. Tu refuses de l'admettre, mais le barman s'en rend compte sans grande difficulté, quoiqu'il n'en dit rien pour ne pas attirer tes foudres. Pour ne pas tout gâcher connement, oui. « C'est ce qu'on appelle un abruti, ou un connard, à toi de voir, » fit-elle, un certain agacement perçant dans sa voix. Ce même agacement qui l'agaçait elle-même, parce qu'elle ne comprenait pas pourquoi ce que faisait le blond avec une traînée en ce moment l'agaçait à ce point. Exaspérée – vous vous attendiez à relire le mot agacée, avouez – par ses propres pensées, la jeune femme leva les yeux au ciel tout en l'observant préparer cette fameuse boisson qu'ils buvaient à chaque fois qu'ils se voyaient. Ridicule tradition.

Ses lèvres étaient exquises, tu ne pouvais le nier. Plus que le goût sucré du cocktail dont il avait bu une gorgée, leur chaleur était tout aussi agréable que ses mains qui se glissèrent dans ton dos avant de descendre doucement pour prolonger votre baiser passionné tandis que tes paupières se fermaient un instant. Ce n'était pas de l'amour, mais un désir réciproque de plaisir, qui ne serait que le début de votre relation basé sur ce principe. Ça, et la jalousie. C'est ce qui vous rapproche l'un de l'autre encore aujourd'hui. Alors tu te collas un peu plus à lui tandis qu'il mordait ta lèvre, ouvrant les yeux pour lire dans les siens un certain amusement. Ta bouche toujours contre la sienne s'étira un peu plus en un sourire très suggestif, et tes doigts parcoururent son dos avant de se glisser sous son vêtement. Puis ils passèrent à l'avant et se saisirent du bouton le plus bas de sa chemise pour le défaire, passant ensuite au suivant sans que vos lèvres ne se quittent. Plus ta main remontait doucement sur son torse musclé et brûlant et plus tu souriais, lisant dans ses yeux la même luxure que celle brillant dans les tiens. Cette envie de le faire tien pour une nuit, si ce n'est plusieurs. Mais pour l'instant, tu te contenterais d'une, parce que tu savais qu'avec lui tu ne serais pas déçue. Comme un pressentiment qui ne t'abandonna pas lorsque tu eus fini de déboutonner sa chemise pour te rapprocher un peu plus de sa peau bouillonnante. Tu écartas alors légèrement ton visage du sien, mettant un terme à votre baiser tout en le regardant dans les yeux. Tu voulais voir ce qu'il allait faire.

Tu n'hésites pas lorsque tu lui demandes combien de temps encore tu dois attendre, parce que ce soir tu n'es pas patiente. Ta colère est trop grande, trop dévorante pour que tu puisses rester sur le côté encore longtemps à l'observer servir des verres à d'autres alors que tu n'as qu'une envie : coucher avec lui. Cela n'a rien de glamour, de romantique, mais c'est la vérité. Alors lorsqu'il te dit qu'il est déjà « tout à toi », un sourire terriblement pervers illumine tes lèvres tandis qu'il te sourit. Tu l'écoutes alors qu'il te demande d'attendre un peu, croisant les bras tout en récupérant ton cocktail pour en boire une gorgée, puis deux. Il ne faut pas longtemps au beau brun pour revenir, se plaçant derrière toi en te faisant légèrement sursauter. Un sourire étire à nouveau tes lèvres tandis qu'il souffle à ton oreille quelques mots emplis de sous-entendus. Tu lèves doucement ton verre pour lui faire comprendre que tu le finis rapidement avant d'y aller. Tu lui en offres même une gorgée. Deux minutes – et encore – plus tard, vous êtes, vous rapprochant de sa moto. Tu attrapes le casque qu'il te tend, le mettant sur ta tête alors qu'il te demande si vous allez chez toi. Tu sais ce que ses paroles veulent dire, et tandis qu'il dévore du regard ton corps des plus alléchants, tu réfléchis. Finalement, tu retires le casque aussi vite que tu l'as enfilé, le poses sur la moto et te saisis de sa main. « Je n'ai pas envie d'attendre, » murmures-tu avec un sous-entendu plus que sexuel dans la voix. Tu le guides alors vers un coin un peu plus tranquille du parking, prenant rapidement possession de ses lèvres dans un rapide baiser passionné. Puis tu recules d'un pas et, doucement, tu défais les boutons de ta chemise sans manches sous son regard qui te détaille, te mate, te dévore. Ton sourire pervers revient bien vite sur ton visage tandis que ton soutien-gorge apparaît, ton vêtement enfin ouvert.

 
Fiche bye Ethna
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Dim 5 Mar - 15:09
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with Kat & Aedan

Ouvrant ta chemise, la sublime créature eut tout le loisir de voir ton corps forgé, musclé, magnifique, que tu avais créé à partir d’un ventre rondouillet ; Il t’en avait fallu du travail, sur toi, pour parvenir à transformer la graisse en abdos, mais tu étais fier du résultat. Et elle avait l’air d’en être heureuse.
Vous étiez toujours à la vue de tous, mais tu n’en avais que faire, et une fois qu’elle t’eut dévoilé, tu ne pensas qu’à faire de même, mais en plus subtil… ou non. Tu l’attrapas, tes mains passant sur ses joues pour l’attirer à toi, et en un baiser, tes mains descendirent dans son dos, de nouveau, avant de se glisser entre son pantalon et sa culotte. Et tu n’eus aucune gêne, à ton tour, baissant la pantalon, avant de fesser la beauté en face de toi. La plupart des clients ou barmans présents regardaient. Certains s’en fichaient, d’autres adoraient, et d’autres, encore, ne pouvaient pas regarder. Tu éclatas de rire, la p^révenant que
Je ne suis pas du genre pudique, Beauté. Alors si tu joues à « je dévoile ton corps aux autres », pas sûr que tu gagnes.
Et comme pour confirmer tes dires, tu fis mines de passer sous sa culotte, mais plutôt que de gâcher directement la surprise, tu jouas, retirant ta chemise, laissant ton corps torse nu, attirant les regards autour de toi. D’un sourire ravageur, tu la défias de faire de même, et d’enlever son haut, son pantalon n’étant pas totalement enlevé – on voyait juste la culotte –. C’était un jeu. Ce désir que vous vooyiez l’un dans l’autre était plus que suffisant pour comprendre ce que vous vouliez. Du sexe, et de l’excitation. Etant celle qui avait commencé à te déshabiller devant tout le monde, tu avais suivi son jeu, ses règles, et désormais, tu voulais voir jusqu’où allait son cran. S’il n’allait pas aussi loin, tu l’emmènerais dans la réserve, afin d’être cachés.


Kathleen était vraiment remontée, cela se voyait. Mais plus que cela, ou plutôt, dans le but de surpasser cela, elle mettait toute son attention sur le désir de ton corps, chose qui fonctionnait assez bien vu le sien. Evidemment, une fois sur le parking, toi, tu ne voulais que t’envoyer en l’air, et ne pouvait pas réellement attendre. Ton pantalon déjà dur, tu avais espéré qu’elle choisisse de le faire sur le parking. Ainsi, une fois à l’abri des regards indiscrets, elle dévoila son buste, et tu entrepris de dévoiler ton torse, tes pectoraux. Mais pendant que tu enlevais chaque bouton, ton regard bifurqua sur sa peau, sur son corps, qui pouvait rendre fou n’importe qui. Elle était d’une beauté presque sans équivalents, une beauté avec tant d’inhibitions sexuelles, si bien qu’elle pouvait être considérée comme parfaite dans une relation comme celle que vous entreteniez. Elle couchait, où elle voulait, quand elle voulait. Tu couchais, où tu voulais, quand tu voulais. EN soit, vous aviez une relation saine, dénuée de dispute, de combat, ou d’amour. C’était bien plus simple. Bien que vous faisiez cela, chacun, pour rendre un tiers jaloux, il était aussi agréable d’avoir ces parties de jambes-en-l ’air. Et vous ne manquiez jamais de dormir, le soir, après le sexe, l’un avec l’autre. Non pas comme un couple, mais comme un compagnon de lit. De plus, par moment, il vous arrivait de parler de l’autre. Tu la conseillais, face à Wolfgang. Tu adorais lui proposer des punitions pour ce dernier, de lui montrer à quel point tu t’éclatais sans lui, et d’attiser sa jalousie. En tant qu’objet sexuel destiné à ce but, il était en effet intéressant de l’aider de plusieurs façons…

Ainsi, lorsque le succube, assoiffée tout autant que toi de sexe, finit en soutien gorge dans le parking, tes muscles étaient déjà dévoilés, et tu vins reprendre ses lèvres, comme pour lui montrer que son corps t’attirait toujours autant, avant de passer tes mains derrière son dos, pour retirer, dégrafer cette ouverture de sous vêtement, libérant sa belle poitrine. Un sourire sur le visage, tu lui montras avec quelle attention – comme d’habitude – tu adorais arborer les préliminaires, et tes baisers âssèrent de ses lèvres à son cou, descendant, encore et encore jusqu’à sa paire de seins, les caressant du bout des doigts, les embrassant du bout des lèvres, et faisant pointer les tétons du bout de la langue. Tu étais plutôt doué, mais surtout, à force d’être avec elle, tu savais ce qui faisait plaisir à Kat. Ainsi, tu finis par mordiller un de ces petits boutons roses, avant de poser tes mains sur ses fesses. Puis tu remontas, pour l’embrasser de nouveau, avant d’aller chercher son oreille, et de lui dire combien elle était belle. Flatter son égo était toujours un bon moyen de la mettre en chaleur. Puis tu la laissas jouer à son tour, tes pectoraux, tes abdominaux, ton torse, tes bras, et même ton entre jambe, bien dure, qu’elle pouvait prendre dès qu’elle le voulait… Tu la laissas jouer de ton corps, tandis que tu glissais une main entre ses fesses et ses vêtement, déclamant que Tu n’as pas vraiment besoin d’être habillée je crois… Un sourire pervers sur les lèvres, tu commenças à baisser son pantalon, te demandant qui serait nu sur le parking en premier. Elle, ou toi ?
Que la fête commence…

electric bird.



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Dim 5 Mar - 17:44
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Tu avais rarement vu un barman aussi sexy, peut-être même jamais. Tu ne pouvais dire non à un tel corps, d'autant plus que tu l'avais ouvertement provoqué pour qu'il réponde à tes avances à peine sous-entendues. Tu n'hésitas même pas lorsque tu déboutonnas sa chemise pour laisser apparaître ses abdominaux parfaitement sculptés, t'écartant ensuite de son visage avec un sourire éloquent. Tu avais presque hâte de voir comment il allait réagir, à tel point que tu avais complètement oublié que vous étiez dans un club, à la vue de tous. Mais aucun doute que nombre d'intéressés ne rataient pas une miette de ce spectacle sensuel.

Le beau jeune homme t'embrassa alors, te rapprochant de lui dans un baiser enflammé tandis que ses mains se glisser au niveau de ton postérieur. Ton pantalon fut rapidement descendu, ce qui ne sembla même pas te gêner, puis il claqua l'une de tes fesses et se mit à rire. Son manque de pudeur, tu n'en avais cure, et la mauvaise perdante en toi d'autant plus. Tes yeux lui hurlaient de te montrer à quel point il ne l'était pas, à quel point il pouvait être attirant, à quel point il voulait jouer avec toi. Parce qu'aucun doute qu'à tes yeux tout cela n'était qu'un jeu, mais un seul des plus agréables, ce qui se confirma lorsqu'il laissa tomber sa chemise entièrement pour te sourire de plus belle. Tu arquas un sourcil d'un air provoqua-t-elle avant d'approcher ta tête de son visage.  « Je n'ai jamais aimé perdre, » que tu susurras à son oreille avant de déposer quelques baisers sulfureux dans son cou. Puis tu t'écartas, et retiras sans la moindre hésitation le débardeur dentelé que tu portais, un sourire immensément pervers sur les lèvres. Il rejoignit le sol en un rien de temps, offrant au sublime brun et aux autres personnes présentes une superbe vision de ton soutien-gorge et de ta poitrine. Tu étais magnifique, et tu le savais, alors pourquoi te cacher. Puis, joueuse, tu finis de retirer ton pantalon, pas le moins du monde gênée d'être en sous-vêtements devant tout ce petit monde, et glissas l'une de tes mains au niveau de sa nuque pour le rapprocher de toi. « J'espère que toi non plus, » soufflas-tu avant de déposer tes lèvres sur les siennes dans un baiser ardent tandis que ton autre main, plus baladeuse, se glisser jusqu'à sa ceinture pour la défaire et la jeter au sol. Tes yeux grands ouverts détaillaient ceux du jeune homme, brillant toujours de cette incroyable luxure qui n'était pas prête de te quitter.


Tu sais qu'Aedan ne te dit jamais non, après tout pourquoi le ferait-il ? Vous êtes aussi doués l'un que l'autre, et ce avec chaque partie de votre corps, alors pourquoi ne pas assouvir vos désirs mutuels en vous envoyant en l'air ? Ainsi, lorsque tu lui murmures que tu n'as pas envie d'attendre ce soir, tu vois dans ses yeux que cela ne lui pose aucun problème, bien au contraire. Tu l'amènes jusqu'à un coin un peu plus tranquille du parking et ouvres ta chemise sans hésiter, comme pour lui montrer que tu es très sérieuse – et excessivement jalouse, mais ça tu ne veux pas y croire. Il ne lui faut pas longtemps pour faire de même avec la sienne, déboutonnant un à un ses boutons tout en détaillant ton corps qui lui hurle de te mettre de bonne humeur maintenant. Finalement, vous vous retrouvez tous deux ainsi, et le jeune homme ne tarde pas à récupérer tes lèvres dans un baiser passionné, glissant ses mains dans ton dos pour te retirer ton sous-vêtement. Il sait comment te combler, d'autant plus lorsque tu es dans un tel état. Ses lèvres glissent le long de ton cou, puis sur le haut de ton corps brûlant. Chaque caresse qu'il offre à ta poitrine est de feu, à te point que ta tête bascule automatiquement en arrière tandis que tes mains se glissent dans ses cheveux. Tu gémis une première fois alors qu'il joue avec ton corps offert et retrouve le contact de tes fesses, reprenant bien vite possession de ses lèvres. Il te délaisse seulement pour te murmurer à quel point il est magnifique, parce qu'il sait à quel point c'est efficace de te parler ainsi. Il ne s'est jamais trompé.

Il te laisse alors faire, et tes doigts se glissent sur son torse puis sur ses abdominaux pour finalement descendre plus bas, le délestant de sa ceinture tandis que tu embrasses son cou et ses pectoraux sans hésitation. Son corps est aussi ardent que le tien, preuve du désir que vous ressentez l'un pour l'autre. Tu passes doucement ta main sous son sous-vêtement, et lorsque tu vois – ou plutôt sens – à quel point il te veut, tu ne peux que sourire. Tu n'as pas le temps de faire la moindre remarque qu'il en fait déjà une, commençant à te dévêtir sans que tu ne protestes. C'est ce que tu veux après tout. Alors tu le laisses faire, sentant ton postérieur rejoindre l'air libre tandis que ta main provoque son entre-jambe avec amusement. « Je pense que c'est réciproque, » que tu réponds d'une voix perverse. Alors tu commences à ton tour à lui retirer son pantalon, sans pour autant cesser tes mouvements visant à l'exciter de plus belle, le regardant droit dans les yeux avec cet air qui veut tout dire. Une provocation démesurée pour l'inviter à prendre les devants, maintenant, parce que tu ne peux décemment pas attendre.

 
Fiche bye Ethna
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Lun 6 Mar - 13:01
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Cette femme… Quelle femme ! Ce désir, cette passion, cette luxure qu’elle semblait exhaler inhibait tout les sentiments, toutes les émotions liées à la pudeur, et dans un bar où chacun pouvait admirer ce qu’il se passait, elle finit bientôt totalement en sous vêtement, faisant claquer ses mains sur ta ceinture, la retirant avec élégance… mais une élégance sexy, chaude, brûlante. Aussi, tu descendis ton pantalon, laissant tes jambes quelque peu viriles nues, laissant ton boxer marqué d’une bosse parvenir aux yeux de la plupart, et d’un sourire, tu retrouvas les lèvres de Kathleen, tout en caressant son corps, d’une main, enfouissant ta seconde main entre son tissu couvrant un petit peu son entre jambe, venant alors sentir à quel point elle était mouillée d’une excitation, d’une envie sublime, digne de la succube qu’elle semblait être. Un sourire carnassier sur ton visage, tu la sentais venir faire de même, la chaleur de ta verge aussi dure que le bois devant probablement lui faire le même effet que son humidité sur ta main. Alors tes lèvres quittèrent les siennes, se glissant vers sa joue, puis son oreille, et d’une voix virile, d’une voix sensuelle, tu parvins à lui susurrer Perdre ? Je ne connais pas de mot… Puis tu revins la provoquer du regard, la percer, la transpercer de ton regard brûlant de désir. Autour de vous, certains étaient rouges, d’autres regardaient. Personne n’osait rien dire, ils étaient comme attirés par ce qu’il se passait, aussi, d’un rictus pervers, l’une de tes mains tenta, seule, de dégrafer son soutien gorge. Mais la fermeture résistant un peu, il fallut que ton corps d’ours dévoile une force peu commune, passant sans doute inaperçue pour la plupart des gens… Mais tu ne savais pas que Kathleen était de la race capable de discerner les auras, et qu’elle allait peut être diriger son regard surnaturel sur ta peau afin de voir que des créatures de la nuit, tu étais un métamorphe. Quand bien même, tes doigts écrasèrent avec passion son ouverture, pour permettre à sa poitrine de se révéler, le sous vêtement glissant, tombant parmi les autre vêtement, tandis que tu la bloquais contre le mur, la même main qui l’avait dévoilé plaquer contre le mur, à ses côtés, pour lui montrer que tu la voulais. Bon, l’étagère possédant quelques verres faillit casser sous la force de l’impact de ta main, mais rien ne vint vous déranger, et ta main dans sa culotte attrapa le vêtement, avant de sourire.

Tout n’était plus que Luxure. Elle avait voulu jouer à cela, tu avais voulus jouer avec elle. Vous n’aviez aucune pudeur, et étiez certainement capable de vous envoyer en l’air devant le public, un jeu de chaleur et de sexe s’imposant entre vous. Aussi, le tissu ne résista pas, et se déchira, pour finalement la mettre complètement nue. Désormais, seuls les plus pervers restaient. Certains filmaient. Mais il ne devait en rester plus que cinq ou six… Bien que les textos envoyés à leurs amis rameutaient ces derniers. Il fallait dire qu’une cliente embrassant fougueusement un barman avant de finir nue avec lui, c’était quelque chose que l’on ne voyait pas souvent.

N’ayant aucune honte, et prévoyant que ta force n’était pas égale à la sienne, tu déchiras aussi ton boxer, pour être à égalité avec elle, et lui laisser le champ libre pour jouer de ton sexe, tandis que son intimité trempée venait couleur sur tes doigts, et que ton regard empli d’envie se colla au sien empli de désir… Et bientôt, un nouveau baiser.


Sa poitrine était toujours aussi belle, et parfaite. Deux globes de chair parfaitement agencées, des petits boutons roses venant pointer de désir face à ton torse musclé et sculpté. Et sa main dans ton sous-vêtement vient te combler de mille désirs ardents qui te consumaient depuis sonn arrivée dans le bar, à la recherche du sexe venant combler son mal-être de jalousie non avoué. Tu savais ce que c’était, tu savais ce que la jalousie faisait, et aussi, tu la comprenais parfaitement. Aujourd’hui, c’était elle qui était venue en manque de sexe, et en besoin d’affection… et de perversité. Mais par moments, tu arrivais chez elle, ou même dans son lieu de travail, avec un besoin équivalent. Probablement quand tu voyais Emmy avec n’importe quel autre mec.

Ainsi, jouant avec la queue de l’ours, la belle Kathleen descendait ton pantalon, tandis que tu baissais le sien, la mettant en sous vêtements rapidement… Malheureusement, sans ta force, à cause du dôme, tu ne pouvais pas être aussi sauvage que parfois, lorsque tu lui arrachais ses vêtements.
Une fois que chacun d’entre vous était en sous vêtement, tu la collas contre le mur, et l’embrassas, avant de descendre lentement dans son cou, brûlant ce dernier de passion, et descendant encore et encore, passant son magnifique balcon pour atteindre son ventre, et le caresser tout en descendant encore et encore, pour atteindre son pubis, y déposant de chaleureux baiser, pour finalement écarter ses lèvres inférieures afin d’aller trouver de ta langue ce petit bout de chair qui la faisait souvent hurler de désir, récolant par la même occasion son fluide vaginal, semblant de lui-même indiquer à quel point elle était excitée. Stimulant cette zone, tu continuais, tout en la laissant gémir, voire hurler, ton prénom par moment, ou de simples voyelles, montrant la perfection que tu lui donnais, montrant ton expérience et ton talent dans cet acte sensuel.
Jouant avec ta langue, avec tes dents par moment, avec tes doigts, tu lui offrais un avant goût du plaisir qu’elle allait tâter, du septième ciel dans lequel elle allait entrer, de l’orgasme, de la jouissance qu’elle allait effleurer, qu’elle allait adorer, qu’elle allait subir. Tu lui montrais la douceur d’avant la fougue, car une fois les préliminaires terminés, tu allais la prendre, tu allais lui donner toute l’action qu’elle voulait…
En attendant, qu’elle était bonne…
Comme toujours.


electric bird.



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Lun 6 Mar - 16:44
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Il n'y a rien de plus exaltant qu'un défi, rien de plus excitant qu'un jeu aussi sensuel que le vôtre, rien de plus sexy qu'un si bel homme retirant un à un ses vêtements – et les tiens – pour le plaisir de tes yeux – et des siens. Ainsi tu n'avais pas hésité à détacher sa chemise avec un regard brillant de gourmandise, le provoquant sans mal pour lui faire comprendre quelles étaient tes intentions – quoique tes iris parlaient à ta place à n'en douter. A présent, tu étais en sous-vêtements, dans un bar où seuls quelques clients restaient encore – ainsi qu'un autre barman qui louchait sur ta poitrine depuis deux bonnes minutes –, face à ce sublime mâle qui ne tarda pas à retirer son pantalon devenu trop encombrant sans doute. Vos lèvres se retrouvèrent ensuite dans un baiser brûlant, et tu sentis l'une de ses mains se glissait sous ta culotte, provoquant dans tout ton corps une myriade de frissons irrépressibles et étrangement agréables. Approfondissant votre baiser en entrouvrant tes lèvres pour goûter à la saveur sucrée de sa langue, tu laissas tes doigts parcourir son ventre et rejoindre la preuve même que tu lui plaisais. Qu'il te désirait. Rien n'était plus plaisant – à cet instant tout du moins – que de savoir à quel point il avait envie de toi. De ton corps, de tes formes, de ta splendeur. Il brûlait de désir, toi de même, et tous ces regards braqués sur vous vous importaient peu. Vous vous en moquiez, en fait.

Ses lèvres finirent par quitter les tiennes et, sans t'en rendre compte, tu lâchas un gémissement de déception lorsque la chaleur de sa bouche te délaissa. Pourtant, tu le laissas murmurer à ton oreille quelques mots, d'une voix si sensuelle qu'à nouveau des frissons te parcourent. Son regard pervers te provoquant sans retenue, tu repris possession de ses lèvres tout en caressant de plus belle son intimité, comme pour te venger. Il fallait qu'il te désire, quoique ses doigts brûlants parcourant ton dos pour aller dégrafer ton soutien-gorge prouvaient que c'était déjà le cas. « Tiens donc, cela nous fait un point commun, » que tu lâchas avec un sourire pervers, amusée par tes propres sous-entendues des plus explicites tandis qu'il tentait de te retirer ton sous-vêtement. Te rendant compte qu'il n'y parvenait pas, tu le provoquas à nouveau, cherchant à attiser une quelconque flamme brûlant en lui. Tes lèvres glissèrent le long de sa mâchoire, rejoignant son oreille pour y souffler : « J'espère ne pas avoir à te l'apprendre. » Provocation ultime alors que tes doigts jouaient toujours sous son dessous. Trop occupée à savourer le contact de ses lèvres, de sa peau contre la tienne, de sa chaleur contre la tienne, tu ne te rendis pas compte qu'il tricha par la suite pour t'en défaire. Tu ne savais pas ce qu'il était, mais tu n'en avais cure, te contentant de lâcher un petit rire moqueur lorsque ta poitrine fut enfin libérée. « Bravo, » lâchas-tu avant qu'il ne te plaque contre le mur, l'une de ses mains à côté de ton visage, l'autre toujours se saisissant du fin vêtement qui te séparait encore d'un état de parfaite nudité. Une barrière, une seule, qui n'allait pas tarder à céder, et ce pour ton plus grand plaisir.

Il ne lui fallut que quelques secondes pour déchirer ton sous-vêtement qui rejoignit lui aussi le seul. Tu étais désormais complètement nue, ne te souciant même pas des quelques regards curieux braqués sur ta beauté. Un seul t'intéressait, celui du beau barman que tu embrassas fougueusement suite à cela, tes mains plaquées dans son dos, juste avant qu'il ne mette à mal son propre dessous qui rejoignit le tien et tous vos autres habits. Vous n'aviez plus rien pour vous cacher, mais cela ne vous dérangeait guère. Pas du tout, en fait. Il captura à nouveau tes lèvres dans un baiser enflammé et tes doigts glissèrent jusqu'à cette peau dure à en rendre jalouses certaines, voire à les faire pâlir. Tu étais douée, mais décidément il l'était aussi, tout autant peut-être. Alors tu lui offris quelques caresses, avant de te défaire de sa bouche pour glisser à son oreille d'une voix provocante, sensuelle. « Tu comptes t'arrêter en si bon chemin ? » Et tu laissas tes lèvres glisser le long de son cou pour l'embrasser encore et encore, y déposant des marques brûlantes, comme pour le narguer. Tu savais qu'il ne pourrait te résister bien longtemps.


Tu te sais magnifique, personne ne peut te faire douter d'une telle évidence. Mais tu te vois d'autant plus ainsi avec Aedan, parce qu'il a cette facilité à te montrer à quel point tu es désirable, à quel point il a envie de toi, à quel point tu es mille fois plus séduisante et parfaite que l'autre imbécile que tu as entendue au téléphone un peu plus tôt dans la soirée. Et le fait de penser à elle te met encore plus en rage, tant et si bien que tes caresses se font plus excitantes encore et que tu le délestes de son pantalon sans la moindre gêne. Vous êtes sur un parking, et alors ? Vous l'avez bien fait dans un bar, devant certains curieux. Et dans une ruelle. Peut-être même plusieurs. Et tant d'autres lieux qu'il vaut mieux éviter de compter, de peur d'en faire rougir certaines. Tu le laisses donc te plaquer contre le mur, tout comme lui en sous-vêtements, et profites de la saveur de ses lèvres sucrées lorsqu'il t'embrasse fougueusement. Puis il descend, doucement, le long de ton cou, puis sur ta poitrine, ton ventre, toujours plus bas, sans s'arrêter. Ses caresses te font trembler, tu n'as jamais rien pu faire contre cela. Ni contre ce que tu allais faire ensuite.

Il sait comment te rendre folle, et ce depuis un moment déjà. Il n'hésite jamais à en profiter d'ailleurs, jouant avec ton intimité alors que des frissons te parcourent sans cesse. Tu peines à retenir tes gémissements sous sa langue experte, pourtant tu y tiens. Mais bien vite, tu n'en es plus capable, et nul doute qu'on t'entend hurler dans tout le parking. Tu le sens contre ta peau ardente, et tu sais à quel point il est fier lorsqu'il te voit ainsi. Tu aimerais bien le priver de cette satisfaction pour le contraindre à aller plus loin, mais il est bien trop doué pour que tu en sois capable, et les vagues de plaisir qui te submergent t'arrachent de petits cris, comme des supplications pour qu'il cesse de te faire languir. Mais ce n'est qu'un plaisir brûlant qu'il t'offre, qui te fait geindre d'envie et trembler chaque seconde un peu plus de par la perfection de ses gestes. Tu as l'impression qu'il te torture en te procurant un tel bonheur, preuve que tu commences à perdre la tête alors que vous n'en êtes qu'au début, et qu'il s'amuse quant à lui comme un fou. Tes gémissements se font plus pressants, intenses, et tu finis haletante, contre le mur. Après avoir une fois encore hurler son prénom, tu te saisis de ses épaules et le force à revenir à ta hauteur, d'emparant de ses lèvres avant de te plaquer toi-même contre le mur, sa peau ardente contre la tienne. « Prends-moi, » que tu lui ordonnes en te saisissant de sa verge pour lui offrir quelques caresses de sorte à ce que lui aussi gémisse comme un diable. « Maintenant, » que tu ajoutes avec une fermeté sensuelle, rapprochant ton intimité de la sienne dans une invitation terriblement tentatrice. Tu en as tellement envie, tu deviens folle.

 
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Lun 3 Avr - 7:41
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Alors que tu la regardais avec une certaine satisfaction, qu’elle te renvoyait avec malice, tu t’emparas de nouveau de ce calice, arpentant les ruelles du vice. Ses lèvres contre ta peau te faisaient perdre les mots, si bien que tu ne lui répondis pas, retenant un souffle de plaisir. Elle était décidément peu commune, ses prouesses te plaisaient sûrement autant que tes caresses sur sa peau. Tes mains revenues sur ses épaules, caressant ses bras, finirent par lentement appuyer, l’incitant à s’agenouiller, tandis que d’une voix embrasée par le désir, tu lui fis ce compliment sorti de nulle part Une vraie déesse, hein ? Un sourire aux lèvres alors qu’elle rougissait sans s’en rendre compte, tes mains finirent par venir troubler la peau de son cou, puis de ses joues, et sans qu’elle ne puisse rien faire, tu l’amenais rapidement à déverser sa langue  entre tes lèvres, l’embrassant fougueusement, passionnément, lui montrant que tu pouvais être bien plus qu’un dieu vivant pour elle… Tu pouvais être l’incarnation de l’orgasme, tandis que tu espérais d’elle qu’elle avait assez joué de ses mains, de sa bouche, de ses lèvres, tant au visage qu’en bas, pour te faire ressentir plus que ce que les coups d’un soir savaient te faire. Car prendre une fille, une femme, une demoiselle ou une cougar – c’était arrivé une fois, ce n’était pas si génial que cela – qui ne savait rien faire d’autre que subir tes prouesses sexuelles, sensuelles, charnières et érotiques ne t’intéressait point. Ce que tu voulais, c’était une femme d’expérience, capable de rivaliser avec tes dons, avec ton talent, capable de t’élever comme tu allais lui faire.

Tes lèvres, aussi chaudes que le brasier qui consumait ta verge, comme son intimité, finirent par attaquer son cou, par le mordre, par créer cette marque rouge, cette marque de territoire, cet emblème rien qu’à toi, ce suçon aussi doux que chaud, aussi désireux qu’attirant, aussi sinueux qu’intrépide. Et dans un sourire, et dans une caresse, et dans le péché de la Luxure, tu vins lui croquer l’oreille, ajoutant un beau, un simple, et un excitant Et si tu me montrais ce dont tes lèvres à toi sont capables ?
Un sourire, un souffle chaleureux, une oreille bercée, et tu l’amenais lentement, doucement, avec envie, et désir, vers l’instrument de son plaisir, ce qui allait par la suite entrer en elle, qui allait la combler de bien des façons. Cette queue que l’ours blanc ne pouvait espérer avoir aussi enflammées, ce bijou que seul l’humain, seul toi, Aedan, pouvait offrir. Et aussi solide d’envie qu’il l’était, ç’aurait été un crime de l’abandonner, alors que la langue, que la bouche, que les lèvres de la succube semblaient le désirer autant que tu le voulais en elle…

Bientôt, tes mains se retrouvèrent sur sa tête, tandis qu’agenouillée, elle n’avait plus qu’à te prouver que tu en valais la peine…


Son goût équivalent au nectar que l’on devait servir au banquet des dieux, tu t’abreuvais de sa mouille et de son excitation, adorant récolter contre ta langue la preuve de son excitation grandissant, de son envie et de sa servitude à ton corps, lorsqu’elle était dans un tel état. Sans oublier de l’armer d’un massage aussi langoureux que délectable, tes mains passaient sur sa cuisse, alors que le bouton servant à son plaisir se retrouvait entre tes dents émérites, ta langue insatiable, tes talents indubitablement reconnus, par les cris qu’elle poussait dans ce parking pour le moment désert. Et lorsqu’enfin tu parvins à créer la frustration de ton membre, lorsqu’enfin tu la poussas à agir, elle te releva, avant de t’embrasser, se collant à toi, voulant plus que tout que tu la prennes, vouant un véritable culte à ton cinquième membre…

Ses désirs devenant tant des ordres que la façon de lui obtenir un moment de folie, qu’elle ne pourrait avoir, en ce moment, avec personne d’autre, pas même son idiot de copain/pas-copain préférant une pute à la luxure qu’elle dégageait, tes mains agrippèrent chacune de ses cuisses, la levant, la soulevant et la collant contre le mur, t’assurant d’un regard sensuel qu’elle était prête. Et enfin, pour son – ton – plus grand plaisir, ton membre entra en elle avec une force à en faire pâlir l’ours que tu ne devenais plus, et les mouvements se firent au début simples, doux, et doucereux, profitant qu’elle en veuille toujours plus pour finalement lui offrir ton plus beau sourire Rendons le jaloux, veux tu ? Clin d’œil et tu repartais à l’attaque, accélérant la cadence, la laissant hurler son désir, son envie, et surtout son plaisir assurément intense – comme le tien – en même temps que tes lèvres soufflaient ou gémissaient son prénom… Un acte d’une telle ampleur sexuelle commençait à créer moult bruits et bruitages, permettant sans doute aux plus curieux de venir observer votre ébat, mais tu ne les voyais pas. Tout ce que tu pouvais voir était le visage ravi de ton amante, et la fougue dans son corps. Alors tu attrapas ses lèvres avec les tiennes, et intensifia encore les mouvements, alternant de façon à lui créer le plus beau moment de sa vie… n’était-ce pas comme ceci que tu faisais ? A chaque fois, tu t’efforçais de faire mieux que la fois précédente, et il devenait ainsi plus dur pour elle de se passer de toi, ou pour toi d’elle… Vous étiez les amants parfaits, sans aucun sentiment, si ce n’était une amitié sexuelle. Et aucun de vous ne voulait détruire cela… Quelle relation pouvait être plus bénéfique que la vôtre, finalement ?
D’un sourire, tu lâchas ses lèvres, tandis que tu la laissais s’accrocher d’autant plus à toi, tandis que tu lui offrais quelque chose que même les autres femmes n’avaient encore jamais ressenties, alors que l’assurance et l’expérience de Kathleen lui avait déjà valu de subir un tel déversement de passion, de plaisir…

electric bird.



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Lun 3 Avr - 7:47
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Tu te moquais bien de votre soudaine nudité, tout comme tu n'avais que faire des regards braqués sur vous. Vous étiez des dieux vivants tous les deux, et les vêtements ne servaient qu'à cacher la beauté parfaite de vos corps si désirables. Tes formes et ses muscles, ta peau et la sienne, tout cela ne faisait plus qu'un tandis que vous vous embrassiez longuement, animés par cette flamme ardente d'un désir incommensurable. Tes lèvres brûlaient son cou à découvert avec une certaine malice, puis s'emparaient de sa bouche pour y rechercher ce goût sucré que lui seul posséder, avant de glisser à nouveau le long de sa mâchoire pour le provoquer un peu plus. Et ta main continuait de jouer avec lui, comme pour t'assurer qu'il te désirait suffisamment, ce qui était plus que certain. Rougissant sans le vouloir alors qu'il t'appelait déesse, vous vous embrassâtes une nouvelle fois plus fougueusement encore, vos langues dansant sensuellement tandis que tes doigts ne cessaient de s'amuser. Tu le sentais brûler d'envie contre toi, tout comme tu te consumais toi aussi de l'intérieur à force de le désirer. Tu étais terriblement douée à ce jeu-là, mais lui l'était tout autant, et chacun de ses baisers te faisaient languir un peu plus.

Tu le sentis contre la peau de ton cou, marquant ton coup d'une belle marque rouge qui, tu le savais, resterait encore un moment, mais désirant plus. Toujours plus, c'est ainsi que vous fonctionnerez par la suite. Il se saisit alors de ton oreille et un gémissement t'échappa avant qu'il n'y murmure quelques mots. Tu lui rendis son sourire, comme pour lui faire comprendre qu'il ne serait pas déçu par tes prouesses. Tu descendis donc doucement, en profitant pour laisser tes lèvres glisser sensuellement le long de son ventre jusqu'à son intimité. Une fois à genoux, tu souris un peu plus, laissant tes doigts glisser le long de ses cuisses tandis que ta langue lui offrait quelques caresses érotiques, comme pour te faire désirer. Tu n'avais aucun mal à voir qu'il en mourait d'envie tant il était tendu, pourtant tu passas de longues secondes à le faire languir en l'effleurant délicatement pour qu'il le veuille encore plus. Tu voulais sentir ce désir ardent sur chaque parcelle de sa peau, chaque membre de son corps, et finalement tu glissas le plus proche de toi dans ta bouche de succube, savourant le râle de plaisir qu'il t'offrit en te sentant agir ainsi. Tu commenças alors de doux va-et-vient, l'entendant à nouveau gémir tandis que des frissons te parcouraient, accélérant petit à petit tout en le mordillant de temps à autre. Te languissant du moindre de ses gestes prouvant le bonheur qu'il ressentait, la satisfaction que tu tirais de cet acte sensuel était indéniable. Vous étiez tellement parfaits ensemble, d'autant plus dans des moments aussi érotiques, que vous faisiez sans doute des jaloux, et c'en était plus agréable encore.


Le plaisir qu'il t'offre est une vraie torture, comme un avant-goût bien trop désirable pour que tu n'en veuilles pas plus. Tu ne peux retenir tes gémissements malgré toute la volonté du monde que tu y mets, et finalement tu te rends compte que c'est vain et laisses tes cris retentir dans tout le parking avec bonheur. Tu sais qu'il adore quand tu es ainsi, parce que c'est la preuve qu'il est doué. Il l'est, tu ne peux dire le contraire, à tel point que tes hurlements se font de plus en plus pressants. Tu as envie de lui, et pas seulement de cette manière. Tu veux le sentir en toi de toutes les manières possibles, qu'il t'offre cette jouissance que tu es venue chercher et dont lui seul a le secret. Ce plaisir sans sentiment mais si intense que l'on ne peut qu'envier vos soirées – quoique ce ne sont pas toujours des soirées – ayant pour seul but de combler un manque. Il sait calmer tes colères en t'offrant ce plaisir indescriptible, et ce soir c'est exactement ce que tu souhaites. Tu veux en profiter à en faire pâlir Wolfgang, pour qu'il regrette d'être avec cette salope qu'il a osé te faire écouter au téléphone. Pour qu'il sache que tu peux tout autant t'amuser sans lui, et qu'il n'est pas si indispensable qu'il le croit dans ta vie – qu'importe si tu te leurres complètement, là n'est pas le problème pour l'instant.

Alors tu forces Aedan à se redresser malgré toute cette jouissance qu'il te procure, l'attirant vers toi en l'embrassant fougueusement tandis que tes yeux et tes gestes suintent la luxure et l'envie passionné que tu as de lui, de son corps, de son membre. Et tu lui ordonnes de te prendre, parce que c'est tout ce que tu veux à cet instant précis. Ses mains glissent sur tes cuisses et s'y agrippent tandis qu'il te soulève et te plaque contre le mur. La flamme brûlant dans tes yeux est comme une invitation, et tu réponds à son regard en rapprochant sensuellement ton bassin du sien. Et tu le sens qui rentre en toi avec cette fermeté qui te fait gémir dès le premier mouvement qu'il fait. C'est doux, c'est calme, mais tu sais que ça ne va pas durer. Il sourit alors et, avec un clin d’œil plein de sous-entendus, te propose de rendre jaloux le blond qui – sans que tu ne veuilles l'admettre – te hante et te rend complètement dingue. « Avec plaisir, » que tu réponds avec un sourire libidineux juste avant qu'il s'enflamme enfin. Il ne lui faut pas longtemps pour te faire hurler, d'abord son prénom puis seulement des syllabes parce que tu n'arrives plus à réfléchir convenablement, submergée par cette vague de plaisir intense qu'il t'offre. Tu l'entends gémir contre toi, ta bouche rejoignant alors son cou pour le mordre afin de ne pas crier à nouveau. Cela fonctionne guère et bien vite tu rejettes ta tête en arrière en laissant ton plaisir s'échapper de tes lèvres dans des gémissements dignes d'une vrai succube. Vous faites tant de bruit que vous attirez certains curieux, mais ni l'un ni l'autre ne bouge ni ne se sent gêné. Au contraire, il récupère tes lèvres dans un baiser qui les rougit bien vite, et tes mains glissent jusqu'à son derrière si bien formé pour t'y agripper et lui faire comprendre que tu en veux encore plus. Ses mouvements se font plus vigoureux encore, et tes cris plus intenses, preuve de ce désir que vous partagez, de ce plaisir immense que tu ressens. A chaque fois il s'avère plus doué, à chaque fois il te fait jouir plus passionnément, à chaque fois il t'offre la plus belle chose que tu pourrais attendre de votre relation : l'orgasme, l'extase.
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Lun 3 Avr - 8:29
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Mar 4 Avr - 6:08
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