You're a cop and a friend but I need the cop right now |PV Alejandra|



 
Recherche de liens ?
Tu as l'idée parfaite d'un lien en tête
mais à la flemme de créer un scénario?
Le sujet de recherche de lien est pour toi !!!
C'est dans ce sujet que tu trouveras ton bonheur!
Scénario coup de ♥️

Rejoins-nous sur Discord
Le Deal du moment :
Cartes Pokémon EV6.5 : où trouver le ...
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
You're a cop and a friend but I need the cop right now |PV Alejandra|
Invité
Anonymous
Mer 8 Fév - 15:34
You’re a cop and a friend but I need the cop right now
Alejandra & Charlie
Passe la souris sur l'image, tu verras c'est magique…

21 janvier. Trois jours. Cela faisait trois jours que ton rédacteur-en-chef t’avait collé un stagiaire. Et il était trop gentil. Il souriait tout le temps, te tenait la porte, te portait tes affaires et tout ça sans jamais se plaindre. Mais ce trop-plein de gentillesse t’était insupportable. Tu étais bien plus téméraire qu’il ne se montrait l’être et tu t’imaginais mal le voir devenir journaliste un jour.

Ce matin-là, au bureau du journal, tu faillis faire demi-tour dès ton arrivée en le voyant. Mais ton supérieur te héla. Piégée, tu le suivis jusque dans son bureau. Il t’offrait une nouvelle enquête, des cambriolages en série. Rien de passionnant mais comme il savait que tu avais des contacts dans la police, il comptait sur toi pour faire cet article au plus vite. Et c’est bien ce que tu étais décidée à faire. En sortant de la pièce, tu lanças à ton ombre de ces derniers jours un « Va me chercher deux cafés serrés et un café latte. Puis rejoins-moi au commissariat. » Ta voix était à peine aimable. Tu lui souris cependant. C’était pour son bien, tu essayais de le rendre plus fort.

Quelques minutes plus tard, tu arrivais devant le commissariat. Par un heureux miracle, le stagiaire arriva quasiment en même temps que toi. « Merci pour les cafés. » Lui sur tes talons, tu entras dans le poste. Il portait toujours les cafés. Ton sourire réapparut et tu l’adressas à l’agent affecté à l’accueil. « Bonjour James. Comment vas-tu ? Dis-moi, qui est en charge de l’affaire sur les cambriolages ? » Pour le pousser à répondre, tu lui fourras un café dans les mains, un café serré comme il les aimait. Alejandra Ferreira. Tu souris, satisfaite. « Merci James, tu viens d’éclairer ma journée. » En effet, tu connaissais cette policière. Vous vous étiez rencontrées au bar de Sean et la discussion autour d’un verre qui avait suivi avait été des plus agréables. Tu la cherchas dans la pièce et tu la trouvas.

D’un pas décidé, tu te dirigeas vers elle. « Bonjour Alejandra, comment vas-tu ? Et Alycia ? » Tu te souvenais de votre conversation à propos de sa fille et tu avais regretté de devoir l’interrompre. Tu avais l’âge de penser à être mère mais pas de compagnon pour y penser avec toi. Pour l’instant, cela t’importait peu mais cela t’intéressait d’en parler avec quelqu’un qui pouvait le comprendre. « Sinon, je suis là pour un article sur les cambriolages. James m’a dit que c’était toi qui étais en charge sur cette affaire. Aurais-tu quelques trucs à me dire ? Sur ça ou sur autre chose. »




© Gasmask

Invité
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Dim 26 Mar - 8:25
Infos
with Charlie & Alejandra

Il y avait souvent de l’action à Beacon Hills, mais ce n’était pas le genre que tu appréciais forcément. Oh, tu ne t’en plaignais pas, mais tu avais cette habitude, depuis cet évènement étrange, cinq ans auparavant, que tu t’attirais les pires emmerdes possibles, arrivant toujours dans des villes aux phénomènes étranges. La première fois, c’était une petite ville – loin d’être – tranquille au Brésil. La seconde fois, ici, à Beacon Hills, en Californie. La seule différence entre ces deux villes était probablement que dans la première, tu étais dans ton pays, alors que dans la seconde, tu n’étais plus que dans un autre pays. Ton anglais était bon, certes, mais ton accent brésilien ne s’enlevait pas, et bien que pour le moment la plupart des personnes que tu croisais appréciaient, tu avais toujours cette impression que cela n’allait pas être le cas bien longtemps. Sans doute te faisais tu des idées…
Après tout, pour le moment, les remarques étaient plutôt positives.
L’autre point embêtant de cette nouvelle ville était que tu en étais coincée, sans savoir pourquoi, tandis que ta fille pouvait sortir comme bon lui semblait, ce qui t’effrayait un peu. Mais juste un peu… Tu étais une représentante des Forces de l’ordre, habituée à l’adrénaline et aux situations périlleuses, aussi être piégée dans une ville ne te gênait pas plus que cela, pour le moment…
De plus, tu t’étais faite quelques amies et amis, bien serviables, bien gentils. Dont par exemple Parrish et Tobias, qui, dès les premiers instants, t’avaient réchauffé le cœur sans que tu ne saches pourquoi. Il y avait aussi Lydia, qui avait l’air d’avoir un lien plus puissant que la simple amitié avec ton être, sans que tu t’en rendes compte. Mais ce n’était pas tout. Il y avait de nombreuses autres personnes, dont cette journaliste, Charlie. Celle-ci était très marrante – habituellement – et vous vous étiez rencontrées à un bar. Vous aviez discuté longuement, et elle semblait intéressée par les enfants ? Tu lui avais alors tout naturellement demandé si elle voulait en avoir, mais elle t’avait répondu qu’elle n’avait personne, ce qui t’avait en réalité étonnée, elle était pourtant très mignonne, et tu étais déjà sûre que pas mal de garçons, d’hommes, craquaient pour elle.
Néanmoins, lorsque tu le lui avouas, elle préféra bifurquer sur un autre thème… La soirée s’était tout de même très bien déroulée, et cela avait été un plaisir d’ajouter Charlie à la liste de tes amis.

Ce jour là, Beacon Hills était en proie à une série de cambriolages presque intempestifs et incessants, suivant presque toujours le même mode opératoire. Aussi, l’affaire t’avait été confiée, et tandis que tu réfléchissais à ce qui avait pu se passer, refaisant dans ta tête, grâce aux témoignages et aux lieux des vols, toutes les hypothèses qui avaient pu mener à un tel résultat…

Revenant au poste après avoir passé la première partie de ton matin, à partir de quatre heures du matin, à analyser les preuves dans une nouvelle demeure, tu ne devanças Charlie que de quelques minutes, et lorsqu’elle arriva, elle te fit sursauter, avant de te tirer un sourire.
Nous allons très bien toutes les deux, bien que je sois un peu fatiguée. Et toi ? Et… et lui ? Qui est-ce ? Répondis tu avant de montrer d’un mouvement de la tête le stagiaire. Tu t’empressas d’ailleurs de lui tendre la main, lui offrant ton plus beau sourire. Ravie de vous connaitre.
Voyant que Charlie était là pour le boulot, tu retournas t’asseoir, en face d’elle, avant de lui intimer de parler. EN l’entendant, tes yeux s’écarquillèrent presque. Wow, les rumeurs vont vites. Et dire que la police ne voulait pas que les cambriolages se sachent. Enfin bon… pour le moment, l’enquête est toujours en cours. Nous avons toujours le même mode opératoire : le voleur pénètre sans aucune effraction, laisse sa carte sur le sol avec une enigme, avant de repartir avec un objet volé de grande importance. L’enigme, si résolue dans l’heure, permet de récupérer ce que l’on a perdu. Ce qui nous a été volé… Il y a même un site internet où poster la réponse, mais comme toujours, les victimes perdent patience. Du coup, certains cherchent les réponses à ces dites énigmes… J’ai d’ailleurs peur que le voleur s’appelle désormais l’Enigme.
Tu n’avais pas peur de livrer ces informations à Charlie. Elle était une bonne amie en plus d’une bonne journaliste, et savait de quoi elle pouvait parler dans son journal.
Et comme ceci, si elle en avait besoin, elle avait tout, bien sûr, mais il fallait à tout prix éviter cela…
Elle comprenait sûrement.


electric bird.



Invité
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Jeu 11 Mai - 11:57
You’re a cop and a friend but I need the cop right now
Alejandra & Charlie
Passe la souris sur l'image, tu verras c'est magique…

Bien sûr, Alejandra remarqua ton nombre et t’interrogea sur lui. C’était normal puisqu’elle allait peut-être te parler de choses confidentielles. En désignant le jeune homme d’un signe de la main plein de lassitude, tu le présentas. « Un stagiaire que m’a collée mon patron. Tu sais comme il m’adore… Ignore-le, il ne fait que regarder de toute façon. » Et porter les cafés mais c’était un détail sans intérêt. « Pour moi, ça va si on oublie le fait que mon rédacteur me hait toujours autant. Ça lui passera bien un jour. » Tu n’étais pas sûre de ce que tu venais de dire mais un peu d’optimisme n’avait jamais tué personne. Enfin, à ta connaissance.

Après avoir offert une poignée de main amicale au stagiaire, Alejandra se rassit derrière son bureau. Ce n’était pas une visite de courtoisie et elle réagissait comme avec n’importe quel journaliste. Tu appréciais ce côté-là chez elle. Et tu savais que si tu l’invitais à boire un verre après le boulot, elle ne serait alors rien de plus qu’une amie. C’était sans doute ce qui avait fait naître si vite votre amitié. Elle te raconta tout. Evidemment, il était hors de question d’en dire autant dans ton article. Il fallait protéger le travail de la police pour permettre d’éviter de nouveaux cambriolages. « Eh bien ! On peut dire qu’il y en a qui ont de l’imagination. Et vous êtes sûr qu’il s’agit toujours de la même personne ? Cela ne pourrait pas être toute une bande ? Parce que, de ce que j’en sais, les cambriolages sont très rapides et sans véritables faiblesses jusqu’à maintenant ? » Tout en posant ces questions, tu pris les deux derniers cafés, un pour ton amie et un pour toi. Avais-tu oublié volontairement le stagiaire ou non resterait sans doute un mystère pour lui. Tu souris. « Ton boulot est plus passionnant que le mien. Si je n’avais pas ce foutu asthme… Bref, ça ne sert à rien de se lamenter sur le passé et les choses qu’on ne peut pas changer. » Tu souris, un brin mélancolique. Quelque part, tu n’avais jamais accepté ton échec au concours de l’école de police. Mais faire une crise d’asthme en pleine épreuve physique n’était pas une bonne idée pour être acceptée.




© Gasmask
Invité
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 1
Sauter vers: