I'll burn for you - Hellejandra



 
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I'll burn for you - Hellejandra
Invité
Anonymous
Lun 16 Jan - 18:44
Top 5 des situations mère-fille impossibles :

1) Alors que la tête brésilienne de ce chien de l’Enfer flamboyant triait ses dossiers, sur la table de la salle à manger, aux côtés de la fillette de six ans et à la voix aussi douce qu’une mélodie, et aussi tranchante qu’un couteau malgré son jeune âge, par un temps pluvieux, une éclaircie projeta par la fenêtre l’image d’un chat contre la vitre. L’enfant, éblouie par la beauté de l’animal s’approcha en criant « Maman ! Maman ! Regarde ! Reagaaaarde, un chaaaat. »
Amusée par la réaction de sa fille, Alejandra sourit, avant de se lever, et de s’approcher de son enfant pour s’accroupir à ses côtés, lui caressant sa tête blonde. « Ce doit être celui d’un voisin… Il est joli, tu ne trouves pas ? »
La fillette sourit, avant dire, tout simplement « Ben comme moi maman. Moi aussi je suis jolie. »
La brune laissa échapper un petit rire, avant d’hocher la tête « Bien sûr que tu es jolie mon cœur. »
Alors la petite ajouta « Je peux avoir un chat aussi ? Comme ça, je lui apprendrais à être joli comme moi. »
Alors la policière, les yeux écarquillés, surprise par la logique de sa fille, lui dit « Tu sais, Alycia, c’est du boulot un animal. Tu dois t’occuper de lui, lui donner à manger, nettoyer s’il fait ses besoins ailleurs que dans sa litière – pour un chat – et toujours t’assurer qu’elle est propre. Tu dois aussi le laver, le câliner… Tu penses que tu en serais capable ? ». Et là, Alycia Ferreira assura, fière d’elle : « Bien sûr. Je le fais déjà avec toi, Maman. »
Et Alejandra éclata de rire… Cette enfant, décidément… Quelle femme, à son âge…

2) C’était le soir. Alycia était rentrée dans sa nouvelle école le jour même, aussi, à table, sa mère lui demanda tout naturellement si elle s’était faite de nouveaux amis… Le dialogue fut celui-ci :
« - Ben oui, Maman. J’ai plein de nouveaux amis et trois larbins.
- Trois… Larbins ?
- Oui. Un pour faire mes devoirs, un pour porter mon sac, et un pour me donner son goûter.
- Parce que le goûter que je mets dans ton sac chaque matin ne te convient pas ?
- Si si… Mais comme ça je peux en avoir un autre, dit la fillette avec un grand sourire.
- Eh bien… Ma fille, tu seras une femme influente toi, plus tard.
- Influente ? ça veut dire quoi ?
- Cela veut dire que les personnes autour de toi feront ce que tu leur diras parce que tu seras forte.
- Comme toi ?
- Comment ça  ‘’comme moi’’ ?
- Ben… Tu es dans la police, donc tu es forte. Et quand les policiers ils disent des choses, les gens ils font toujours ces choses.
- Haha, tu as raison. Du coup, finis tes brocolis.
- Nan.
- Nan ? Tu as oublié que je suis influente ?
- Nan mais c’est pas pareil. T’es ma maman, donc j’ai le droit de te désobéir, assura l’enfant en tirant la langue. »
Cette fille avait décidément un caractère bien trempé, ce qui fit sourire sa mère…

3) Un jour, en ouvrant la porte de la chambre de sa mère, l’enfant aux cheveux d’or vit quelque chose d’assez spécial : sa mère, nue, chevauchée par une belle blonde qu’elle connaissait bien, nue aussi. Evidemment, dès lors que le petit « Maman ? » surprit les deux actrices de cet acte autant sensuel qu’indécent en face d’une fillette, Alejandra tira la couverture sur les deux corps d’elle et Quinn, avant de demander, faisant semblant que tout allait bien : « O… oui mon ange ? »
L’enfant, étonnée de voir la grande amie de sa mère, Quinn, partageant son lit avec Alejandra, demanda : « Quinn ? Tu fais quoi dans le lit de maman ? »
La question piège. La question impossible. La question qu'évidemment Alejandra et son amante ne pouvaient évite.
Alors Quinn répondit : « Je m'amuse avec un petit bourgeon dans un beau jardin humide... » Aussitôt, la Hellhound, comprenant parfaitement l'allusion sexuelle que sa fille ne pouvait – fort heureusement – pas comprendre, frappa de son genou la hanche de sa belle et téméraire partenaire, lui faisant comprendre qu'elle ne la laisserait pas pervertir l'esprit d'Alycia. Quinn éclata de rire, avant de crier sur la fillette « Et depuis quand on dit pas bonjour à Tante Quinn ? »
Alycia, tout sourire, et semblant avoir oublié l'incident, cria à son tour « BONJOUR TANTE QUINN ! », tandis qu'Alejandra grommela « Tu n'es pas sa tante, Quinn... »
Alycia se précipita alors dans le lit de sa mère, sur la couverture, marchant sans s’en rendre compte sur les corps des deux femmes, avant de faire un câlin à l’ours qu’elle croyait humaine. Alycia aimait bien Quinn… Alycia aimait vraiment s’amuser avec elle, mais elle ne se rendait pas compte que les deux femmes étaient… sur le bord de l’orgasme. Alejandra regarda sa partenaire avant de soupirer, et d’attraper les joues de sa fille.

4) Que faire, lorsque les pleurs de son enfant nous parviennent et nous transperce le cœur ? C’est une question bien facile, mais une situation bien compliquée. Bien évidemment, on console la chair de sa chair, mais lorsque cela nous fait mal, qui peut nous consoler ?
C’était un soir. Alors qu’Alejandra avait fait la total pour plaire à Alycia – elle était allé la chercher à l’école au volant de sa voiture de police, gyrophares allumés, ce qui avait le don de faire rire sa gosse, elle lui avait payé une glace vanille noisette, seul goût toléré par la blondinette sur les crèmes glacées, elles avaient regardé, pour la dixième fois en une semaine, Frozen, elle avait même chanté avec elle Let it go –, et l’avait ensuite bordée, avant de lui faire un gros bisou et de lui dire bonne nuit, elle avait remarqué des larmes coulant sur ses belles petites joues. Alors elle s’était approchée et avait demandé, d’un ton doux, calme, et rassurant : « Que se passe-t-il mon trésor ? », et la réponse lui avait fendu le cœur : « Pourquoi j’ai pas de papa ? »
Les yeux d’Alejandra s’étaient alors écarquillés. De fines larmes s’étaient logées en coins, tandis qu’elle se souvenait de la « conception » de son enfant… c’était il y avait quelques années maintenant. Elle avait rencontré cet américain en voyage, blond aux yeux bleus, magnifique, attrayant, charmant. A peine plus jeune qu’elle, et au nom si original, à connotation allemande. Wolfgang Hohenmacht. Ils n’avaient passé qu’une nuit ensemble, pourtant, cette simple nuit avait donné forme à la plus sublime des petites filles. Seulement, parti depuis longtemps au moment où elle avait appris sa grossesse, Alejandra avait volontairement omis de l’avertir, et avait pris la charge de son enfant. Elle le désirait, elle voulait à tout prix aimer cette future forme de vie, même si elle allait grandir sans forme paternelle… Alors à la naissance d’Alycia, elle avait fait en sorte que cette dernière prenne son nom de famille, et non celui de son père. Alycia Ferreira.
Par la suite, Alejandra n’avait jamais donné de figure paternelle à son enfant. Au contraire, bisexuelle, elle avait commencé à passer plusieurs nuits en compagnie d’une certaine Quinn Avery, qui s’était finalement imposé en « tante Quinn » pour l’enfant.
Alors quand son petit ange posa cette question en pleurs, Alejandra sentit son propre cœur se briser en mille morceaux, comprenant qu’elle avait peut-être blessé sa fille indirectement. Elle s’empressa de lui caresser la tête, la joue, et d’essuyer ses larmes, avant de poser son front contre le sien, et de faire face à la douleur en lui disant tout doucement « Mon cœur… Tu as un père. Mais il est juste… loin… Mais ne t’inquiètes pas… Il t’aime fort. » Elle pleurait. Non pas Alycia, mais Alejandra. Elle pleurait, car elle mentait à sa fille. Alors elle se força à sourire, tandis que l’enfant posait ses petites mains sur les joues de sa mère pour, à son tour, essuyer les larmes coulantes. « Tu sais… tu fais bien le papa en plus de la maman. »
Et ce fut à ce moment qu’Alejandra comprit la force de sa fille. Sa fille qui semblait la protéger. C’était comme si Alycia consolait sa mère alors que ce devait être le contraire…
Finalement, l’enfant et le parent restèrent l’une contre l’autre toute la nuit, se serrant tendrement…

5) Alors que l’enfant à la tête encore plus blonde que celle de son père jouait chez son amie, Alejandra prenait un café avec la mère de cette dernière.
«- Alors vous êtes sur Beacon Hills depuis combien de temps ?
- Deux semaines. Nous venons d’arriver, et j’avoue que je suis très contente de savoir qu’Alycia n’est pas isolée.
- Oui, ma petite Mary semble s’être accrochée à elle. Et donc, que faîtes vous dans la vie ?, demanda la mère curieuse nommée Ester.
- Je travaille avec le shérif Stillinski. Et moi-même, en deux semaines, ai eu le temps de trouver mes repères. Sans doute est-ce un trait de famille. Et vous ?, répondit Alejandra, qui repensait alors à Jordan Parrish et Tobias Hassan, deux individus qu’elle considérait déjà, étrangement, comme des frères.
- Je suis psychologue. Je note un léger accent. C’est, si je puis me permettre, assez doux de vous écouter.
- Haha… Généralement, lorsque l’on fait remarquer un accent, c’est pour demander de le corriger. Effectivement, je m’en rends compte moi-même, le Brésil reste attaché à moi, et mon anglais est marqué. Je ne savais pas que c’était doux en revanche.
- Eh bien… Disons que l’on a l’impression d’être au bord d’une plage espagnole… Vous parlez quelles langues, si je puis me permettre ?
- Oh ? Ravie de vous faire penser à une plage. C’est un  compliment que je ne reçois jamais haha. Sinon, je parle le portugais et l’espagnol couramment, et je maîtrise du mieux possible l’anglais et le français. Et j’en suis bien contente, ça me permet de faire d’Alycia une quadrilingue.
- Oh ? Vous lui parlez les quatre langues chez vous ?
- Absolument. Même si elle aime moins le français, avec toutes les règles grammaticales à n’en plus finir. D’ailleurs…
- MAMAAAAAAAAN !, cria Alycia, déboulant soudainement dans le salon, une poupée à la main. Mary, son amie, suivait de peu.
- Oui mon ange ?
- Mary elle dit que les mamans elles doivent être toutes nues devant les garçons. Pourquoi t’es jamais toute nue avec un garçon et toujours toute nue avec Quinn ? »
Alejandra rougit instantanément, et précipita sa main sur la bouche de son enfant.
« Alycia ! Ce n’est pas quelque chose que l’on dit n’importe comment enfin. »
La fillette fut assez surprise, et commença à poser d’autres questions gênantes, aussi Ester proposa aux filles de regarder un disney, et finalement, la journée se termina ainsi. En revanche, le soir, une fois rentrées chez elles, Alycia recommença à poser des questions.
« Ecoute ma puce… C’est vrai qu’on voit plus souvent les filles tomber amoureuses des garçons, mais certaines préfèrent tomber amoureuses des filles. Et dans mon cas, ça dépend. »
Alycia, écoutant attentivement, demanda alors « Maman ? Tu es amoureuse de Quinn ? »
Alejandra rougit, avant de réfléchir un instant. « Hmmm… Non… pas encore. Mais ce ne sont pas tes affaires jeune fille. Maintenant arrête avec tes questions et va te brosser les dents. »
L’enfant acquiesça, tout en grommelant, et se dirigea vers la salle de bains, tandis qu’Alejandra se laissa tomber sur le canapé. Sa fille allait la tuer à force de poser tant de questions aussi gênantes…


Alejandra Kida Ferreira
  • Quel est ton sentiment au sujet de Beacon Hills ?
  • Je m'y sens attirée, pour une raison que j'ignore. Comme pour ma précédente habitation, j'ai cette envie irrésistible avec Beacon Hills... Il s'y passe des choses. Des choses que je ne pourrais expliquer... Mais c'est toujours pareil...
    Et les rencontres sont toutes très... spéciales. Tobias et Jordan par exemple. Je ne sais pourquoi, mais il m'a fallu une seule rencontre avec eux pour me sentir vraiment proche... je vous l'ai dit, Beacon Hills est étrange...

    D'un autre côté, Alycia est ravie. Il semblerait qu'elle s'y plaise...

  • Comment vis-tu le fait d'être différent des simples humains ?
  • Différente ? je ne suis pas différente ? Bon, d'accord, je me sens attirée par les lieux étranges, mais cela ne fait pas de moi quelqu'un de différent. Et oui, c'est vrai, je ne sais toujours pas ce qu'il s'est vraiment passé lors de l'incident de la voiture. Mais est-ce vraiment un signe que je suis différente ? Suis-je vraiment différente ?

  • Tu n'as plus ou presque plus de pouvoirs, comment te sent-tu face à cette situation ? Comment comptes-tu agir afin de rétablir la situation ?
  • Euh... Pouvoirs ? Il est vrai que les Forces de l'ordre ont un certain pouvoir, mais bon... Vous êtes étrange. En plus, je ne me souviens pas que les forces de l'ordre ait perdu du pouvoir... A moins que vous parliez de ces incidents invraisemblables... mais là, nous mobilisons nos forces pour résoudre les problèmes et assurer la sécurité de Beacon Hills, alors ne vous en faîtes pas. Nous garderons le contrôle.

  • Gabriel McCullough demande un Hellhound en échange de la liberté des habitants de Beacon Hills. Quelle est ton opinion à ce sujet ?
  • Euh... Un quoi ? Un Hellhound ? Je... Ah ouiiii... je me souviens de ce rêve. Mais je ne peux pas vous aider. Ce n'était qu'un rêve après tout. D'ailleurs, je trouve ça plutôt étrange que vous soyez au courant... C'est bizarre... C'était une expérience ? Un rêve commun avec une technologie du futur ou quoi ? En plus je ne crois pas me souvenir qu'Alycia m'aie parlé d'un rêve étrange alors... Non, j'ai dû vous en parler sans m'en rendre compte... C'est forcément cela...
    N'est-ce pas ?

  • Âge
  • 30 ans

  • Lieu de naissance
  • Sante Clara (Cuba)

  • Nationalité
  • Brésilienne/Cubaine

  • Travail/Études
  • Forces de l'Ordre

  • Qualités
  • Protectrice/Impartiale/Intelligente

  • Défauts
  • Impatiente/Directe/Curieuse

  • Connais la vérité sur le surnaturel?
  • Non/A des doutes

  • Groupe
  • Myths

  • Race
  • Hellhound

  • Niveau de pouvoir
  • 2

  • Célébrité
  • Adriana Lima

  • Autre
  • Mère d'une petite fille de 6 ans nommée Alycia

  • Code de validation
  • Validé par Sib'

We are all puppeteers.

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Ton pseudo/Prénom: Raph Ton âge: 20
Comment as-tu connu le forum?: Elijiah et Malia
As-tu déjà été sur le forum? Si oui, qui étais-tu?: Envy/Aed/Peter
Quest-ce qui t'as convaincu de t'inscrire sur Every monster?: Elijiah et Malia m'ont torturé pour que je vienne /out
Le mot de la fin ? : euh... "END" ?

Gyrophares allumés, les pneus crissaient contre la route, tandis que tu tournais frénétiquement le volant, ton coéquipier pointant son arme par la fenêtre, tirant sur les roues du bolide des criminels, ces dealers que vous tentiez d’avoir depuis trois mois déjà. Jusque-là, aucune piste sûre, mais vous  aviez enfin pu les coincer après utilisation d’un infiltré qui s’était pris une balle dans le poumon pour vous livrer les informations. Ainsi, trois voitures coursaient celle des malfrats, tandis que l’hélicoptère arrivait. Les bandits avaient déjà tué un policier, et blesser trois hommes. Ils étaient plus dangereux que les dealers habituels, et pour une flic de la brigade des stups, il était hors de question de les laisser filer.

Alors qu’ils s’engageaient sur le pont, tu filas entre les voitures, même si la plupart s’écartaient en entendant le son de la course-poursuite. Mais ces types continuaient. « Alejandra, ils se dirigent tout droit vers le barrage de Viktor. On peut les avoir. » te dit James, ton ami et partenaire dans cette course endiablée. « On VA les avoir ! »
Malheureusement, alors qu’ils étaient en plein milieu du pont, ils heurtèrent une voiture civile de plein fouet, et leur véhicule se mit à faire quelques tonneaux, avant de s’arrêter, sur le dos. Des flammes commençaient à apparaître, et tu stoppas ta voiture en urgence, avant de crier à James de s’occuper d’eux, tandis que tu fonças, tête baissée, vers la voiture familiale malchanceuse.

Une fois arrivée, tu ouvris la portière et tes yeux s’écarquillèrent. Trois enfants, deux adultes. Le conducteur semblait gravement atteint, mais en regardant la femme, tu compris ses pensées, toi-même étant mère. Tu tentas d’ouvrir la portière arrière des gosses, mais sans succès. Alors tu brisas la vitre avec ton poing, te saignant par la même occasion, et tu parvins à débloquer la porte, afin de l’ouvrir et de laisser les enfants sortir en pleurs. Tu leur demandas d’aller rejoindre tes collègues qui arrivaient au volant de leur voiture, tandis que tu crias à la femme de sortir aussi. Mais elle ne pouvait pas. Elle était en état de choc, répétant « I… Il est… Il est mort… Il est mort… Il est… mort… »
Tu lui pris la tête dans tes mains, avant de lui crier « Sortez ! », puis tu reculas, pour prendre appui sur le toit du véhicule, et passer rapidement de l’autre côté, afin de sauver le conducteur. Seulement la femme avait raison. Il était mort. Et elle était toujours là. Tu crias, mais tu vis rapidement que sa ceinture était bloquée, et qu’elle ne pouvait sortir. Tu serras les dents, et elle pleurait, elle paniquait. Tu attrapas ton canif, toujours sur toi, et tu t’avanças par-dessus le corps de son mari mort pour atteindre la ceinture et la couper. La femme sortit alors en trombe, tandis que tu entendis la voix de James « ALEJANDRA ! SORS ! LA VOITURE VA EXPLOSER ! »
Mais tu ne pouvais pas. Au moment où tu tentas de sortir de là, au moment où tu allais t’éloigner, tu pus toi-même découvrir ce que cela faisait d’être coincée dans une voiture qui allait être dévastée par les flammes. EN t’avançant pour sauver la mère des trois enfants, ta veste s’était accrochée dans un bout de la ceinture du mort, et avant que ton réflexe d’enlever ta veste ne te parvienne, tu sentis le souffle de l’explosion t’arracher, et le feu te déchiqueter la poitrine. Au cœur de la catastrophe, tu finis par mourir, ton corps brûlant. Et ta vie défila devant tes yeux…

Tu étais née à Cuba, dans la petite ville de Santa Clara, ville natale de ta mère. Née d’un père brésilien et d’une cubaine, tu fus finalement appelée Alejandra Kida Ferreira.
Ta famille n’était pas riche, néanmoins, elle n’était pas sur la paille, et tu étais promise à une belle enfance, mais ta génitrice, toxicomane, finit par mourir quelques mois après t’avoir donné naissance. Cela dévasta ton paternel, qui rentra dans son pays pour faire le deuil et t’élever. Ton père, Fernando Ferreira, était un plombier qui gagnait assez pour sa famille. Vivant avec son père et sa mère pendant un temps à São Paulo, il déménagea lorsque tu eus trois ans à Rio de Janeiro.

La perte de ta mère était en soit une tragédie, mais petite lorsque cela arriva, tu ne fus pas touchée par celle-ci pendant la majeure partie de ton enfance. A chaque fois que tu demandais à ton père où était ta mère, il te répondait « Dans un endroit meilleur Kida. »
Kida, ton deuxième prénom, était aussi ton surnom. Soit on t’appelait Alejandra, soit on allait plus vite avec un Kida. Evidemment, le fait de voir une princesse nommée Kida dans Atlantis, le disney, te rendit fière de ce prénom, et fit que tu t’en vantas souvent à l’école…

A l’école, tu étais l’archétype de la fille populaire et douée. Tu avais beaucoup d’amis, essentiellement masculins, car ils te trouvaient jolie, et tu récoltais de bonnes notes ce qui ravissait ton père, une fois qu’il rentrait. Malheureusement, au fil des années, ton père subit une dépression. Lentement, mais sûrement, la mort de sa femme finit par l’atteindre bien plus qu’il ne l’aurait cru. Tu étais encore trop jeune pour comprendre, mais il faisait un effort surhumain depuis très longtemps pour ne pas te blesser. Il cachait la tristesse et la sensation de perte derrière un beau sourire, mais celui-ci se fada… Et finalement, lorsque tu eus onze ans, ton père dut aller voir un psychologue. Il t’emmenait avec lui, et tu devais attendre dans la salle d’attente, inquiète à chaque fois.

Un jour, alors qu’il s’était mis à pleurer sans que tu ne saches vraiment pourquoi, sur le canapé familial, tu t’approchas de lui, te blottissant dans ses bras, et alors qu’il avait toujours refusé de t’en parler, lorsque tu lui posas la question, il te révéla la vérité sur ta mère. Il te confia que tu étais assez grande – tu avais douze ans – pour comprendre, et il te dit que ta mère était morte de la drogue. Ce fut tant un choc pour toi que tu compris instantanément tout. Tu compris que ta mère était « dans un endroit meilleur » car elle était morte et plus blessée ou malade ou droguée, tu compris que ton père se retenait de craquer devant toi depuis des années, et tu compris également ton destin. Car lorsqu’il te révéla ceci, tu lui assuras, avec tes mots aussi tranchants que doux, que tu allais le rendre fier. Tu lui assuras que tu voulais devenir policière pour t’occuper des problèmes de drogues. Après tout, Rio était certes une belle ville, mais c’était aussi le repère du cartel des Pirhanas, des dealers dangereux, et d’autres gangs de dealers. Ainsi, tu promis à ton père que tu mettrais fin à la drogue pour lui et ta mère, et il finit par sourire, avant de te prendre dans ses bras.

Et cette promesse resta gravée en toi durant toute ta vie.

Lorsque tu eus quinze ans, ton père finit au chômage, incapable d’aller au travail, trop préoccupé, aussi mentis tu sur ton âge pour te faire embaucher en tant que jeune serveuse dans un bar, après les cours, afin d’aider, la paie du chômeur n’étant pas assez élevée pour vous deux. Tes notes en pâtirent, évidemment, car tu travaillais moins sur tes leçons, et plus pour la paie, mais au moins, vous n’étiez pas au fond du trou.
Cela continua jusqu’à tes dix-huit ans. Lorsque tu fus une belle jeune femme, et que tu fus en âge d’entrer à l’école de police.
Malheureusement, durant ta formation, l’argent manquait. Ainsi ton père  emprunta de l’argent à un cartel pour t’aider, et le pire arriva… Alors que tu étais récompensée de tes efforts et devenais agent de police, ton père fut enlevé car il n’avait pas remboursé le prêt.

Ton père disparut alors.

Et durant deux mois tu le cherchas, réunissant des informations. Grâce aux forces de l’ordre, tu avais plus de moyens pour le retrouver. Malheureusement, un soir, en rentrant chez toi, tu trouvas une boîte en carton devant ta porte. Tu l’attrapas, et entras, avant de l’ouvrir… Et tous les voisins entendirent ton cri de stupeur et de frayeur. La boite contenait un doigt avec une photographie de ton père, sans son doigt, et tabassé. Et une demande de rançon…
Bien évidemment, tu voulus tout de suite payer, mais tes collègues te conseillèrent d’attendre. Effectivement, la somme demandée était conséquente, et il était déjà difficile de réunir le quart. D’autant qu’il était impossible de savoir si on allait vraiment te rendre ton père si tu obéissais…

Finalement, la crim, la partie de la police s’occupant des crimes majeurs, lâcha la plupart de ses enquêteurs sur l’affaire de ton père, et lorsqu’ils le retrouvèrent, il n’était plus qu’une épave. Il lui manquait trois doigts et une oreille, ces parties de son corps disposées dans différentes boîtes pour toi.
Mais il fut sauvé.
Et lorsque tu rentras, soulagée, tu trouvas ta porte enfoncée. Alors tu sortis ton flingue, prête à te défendre, mais une fois entrée, on t’agressa. Ils étaient trois. Tu tiras dans le cou du premier, et ton pied alla se jeter sur le genou du deuxième, tandis que le troisième t’attrapait la gorge avec bras pas derrière. Il commença à t’étouffer, mais ta main attrapa le canif à ta ceinture, que tu plantas alors sauvagement dans sa cuisse. Une fois qu’ils furent tous mis hors d’état de nuire, tu appelas ton commissariat, et il fut jugé par les affaires internes que tu avais agi en légitime défense, étant donné que l’un d’eux était mort ; mais grâce aux deux autres encore vivant, vous parvîntes à trouver le chef de l’opération, le chef du gang associé, probablement au cartel des Pirhanas.
Cette mauvaise expérience te conduisit à monter en grade.

Néanmoins, ton père était gravement touché. Il n’était pas mort, ni en train de mourir, mais son mental semblait détruit, aussi l’envoyas tu chez ton grand-père et ta grand-mère, à São Paulo, tandis que tu te promis une nouvelle fois d’éradiquer les cartels qui avaient osé faire ceci à ton paternel.
Ainsi, au fil des années, entre les visites chez ton grand-père pour voir ton père, tu augmentas encore et encore en hiérarchie au sein de la police, jusqu’à devenir très influente. Tu réussis même à faire en sorte que les plus importants cartels, dont celui des Pirhanas, soient ton affaire.

A côté, cependant tu découvris le plaisir du sexe, et celui d’être maman. Lorsque tu eus 23 ans, tu rencontras un bel américain au nom allemand, qui te donna une petite vie en toi, qui grandit durant neuf mois, et donna naissance à la plus belle de toutes les petites filles. L’américain reparti, tu n’entras jamais en contact pour le prévenir de sa paternité, et tu gardas ton enfant pour toi toute seule… Et elle devint rapidement ton seul réconfort ta seule source de bonheur. Tu la nommas Alycia, et fis en sorte qu’elle obtienne le nom de famille de ton père comme toi. Alycia Ferreira devint également une source de bonheur pour ton grand-père et ton père, quand tu leur rendais visite. La dépression et le traumatisme subit par Fernando Ferreira sembla disparaître peu à peu, en  jouant avec sa petite-fille blondinette…

Un an après la naissance d’Alycia, alors que tu l’avais laissée pour la semaine chez ton grand-père et ton père, tu obtins enfin une information capitale sur le cartel des Pirhanas, même si ton infiltré finit à l’hôpital après avoir transmis les données. Ce fut à ce moment-là que tu lanças la course-poursuite, que tu sauvas la famille heurtée par la voiture, et que finalement tout explosa…


Ta vie parcourut devant tes yeux à toute allure, si bien que lorsque tout fut fini, tu ne pensas qu’à une seule chose, une seule personne : Alycia. Et les larmes qui parcoururent tes joues au moment de ta mort furent celles qui t’annonçaient qu’elle allait être orpheline…


Alejandra K. Ferreira – morte à 25 ans


Etrangement, la mort ne ressemblait pas à ce que tu aurais cru. Tu entendais des voix, et tu n’avais pas mal, mais aucune lumière. Tu sentis des mains sur toi, et tu ne te réveillas pas. Normal, tu étais morte. Peut-être que chaque mort avait conscience de ce que son corps vivait durant les quelques minutes ou heures après sa mort… Tout devait finir quand tu allais être emmenée au crématorium, n’est-ce pas ?

Finalement, tu finis par ouvrir les yeux. Le décor avait changé, tout était blanc… En baissant les yeux et remontant la tête, tu vis que tu étais dans une chambre d’hôpital. Ecarquillant les yeux, tu te demandas si ton cerveau avait une façon de te représenter la mort avec cette chambre, mais lorsque tu vis James s’approcher, tu sus que quelque chose n’allait pas. Tu tentas de parler, mais il mit le doigt sur ta bouche, t’intimant de ne rien dire, les médecins pensant que la fumée avait peut-être abîmer tes cordes vocales, et qu’il te faudrait un peu de temps et des examens approfondis pour que tu puisses parler. Tu le regardas, abasourdie.
Il te dit alors que tu avais pus sortir de la voiture in extremis, et que tu étais ensuite tombée dans les vapes. Tes sourcils se froncèrent. Ce n’était pas ce dont tu te rappelais. Mais tu ne sus jamais qu’en réalité, tu avais été trouvée, inconsciente et près de la voiture détruite, tes vêtements brûlés et donc totalement nue et noircie par le feu. Tu n’appris jamais que tu avais survécu à quelque chose de mortel. Tu n’appris jamais que tu étais morte puis ressuscitée. Tout ce que l’on pensait, tout ce que tu pensais, étais que tu étais une miraculée. Après tout, ce fut ce que l’on te dit, dit, et redit, et tu finis par l’accepter.
Et puis… tu allais revoir ta fille. C’était le principal…

Tu restas quelques jours à l’hôpital, et ton père et ton grand-père vinrent te rendre visite, ta fille dans leur bras. Aussitôt que tu les vis, tu attrapas ton enfant et la serras doucement contre ton corps.
Une fois que tu leur annonças ce qu’il s’était, officiellement, passé, ils eurent des sueurs froides, mais furent fiers de toi. Tu avais sauvé une famille, et tu avais réussi à coincer des membres importants du cartel des Pirhanas.

Quelques temps plus tard, lorsque tu sortis de l’hôpital, quelque chose sembla arriver. Ton cœur n’appartenait plus à Rio de Janeiro, aussi demandas-tu subitement ta mutation dans une petite ville. Une ville qui possédait un ancien autel sacrificiel devenu lieu de pèlerinage pour les touristes. Toi-même tu ne sus jamais pourquoi tu demandas une telle mutation, mais elle fut acceptée, et la petite et toi finîtes par vous installer dans cette ville…

Cette ville était étrange. Il se passait constamment des évènements inexplicables, des attaques d’animaux très sauvages, des personnes semblant boostées avec une drogue inconnue tant ils étaient forts. Durant la première année, alors que ta fille grandissait et commençait à marcher, à prononcer quelques mots – tu lui parlais tant en portugais qu’en espagnol ou en anglais ou en français, aussi parla-t-elle tard –, tu fus occupée par une affaire d’un animal sauvage apparemment impossible à tuer, et qui semait la terreur. La seconde année, on entendit plus parler de ce monstre, et cette même année, tu rencontras Quinn Lisbeth Avery, une détective privée. Tu ne sus jamais que ce monstre était en réalité la proie de Quinn, et que sous ta forme surnaturelle – qui t’était (et est toujours) évidemment inconnue –, tu avais brûlé son corps sous les yeux de l’ourse.
Cette femme fut la première à avancer vers toi, et de fil en aiguille, vous finîtes à boire ensemble, puis dans le même lit. Tu savais que tu étais bisexuelle, mais apparemment, elle pensait être hétérosexuelle… Tu te souvins pourtant du plaisir qu’elle ressentit avec toi, et par la suite, vous devîntes ce que l’on appelle « sexfriends ». Vous gardâtes contact, et vous vous revîtes de nombreuses fois pour finir nues, toutes les deux, sous une couverture.
Quinn devint aussi une grande amie – faut dire qu’avec ses 22 ans de plus qu’Alycia, c’était vraiment une grande amie – d’Alycia. Avec le temps, tu commenças à t’interroger sur tes sentiments pour Quinn, mais étrangement, tu ne conclus jamais être amoureuse. Et durant ce même temps, ton amie sexuelle prit plaisir à se faire appeler « Tante Quinn » par Alycia, bien que celle-ci n’était pas trop d’accord…

Durant de nombreuses années, tu restas dans cette petite ville. Sans jamais savoir que cette dernière était un nid à créatures surnaturelles, sans même savoir que celles-ci existaient, ou même que tu en étais une. Souvent, tu te réveillais sans aucun souvenir, sans aucun vêtement – oui oui, les flammes sur un corps ça brûle les vêtements… tous les vêtements (n’est-ce pas Parrish qui a toujours un caleçon résistant au feu ?) –, dans ton appartement. Cependant jamais Alycia ou toi découvrîtes la vérité…

Cette petite ville était en réalité ce que l’on appelait un Néméton. Il en existait trois sur Terre, un au Bresil, un en Irlande et un en Californie, tout comme il en existait trois comme toi, des Hellhounds.

Bien entendu, au fil des ans, tu commenças à avoir des doutes. Les évènements étranges ne cessaient d’arriver, il était tout à fait normal de se poser des questions. Seulement, à chaque fois, la raison te demandait de trouver une explication rationnelle…

Durant ces mêmes années, Alycia grandit, et sa bouille devint aussi mignonne que sa langue pendue et tranchante. Elle avait une belle voix, maitrisait de plus en plus facilement les quatre langues avec lesquelles tu lui parlais, mais sa nature curieuse et son tempérament de feu, ainsi que son manque de gêne total fit d’elle une petite fripouille bien trop éprouvante.
De plus, en grandissant, Alycia ressemblait de plus en plus à son père et à toi.
Alycia devenait vraiment mignonne.
Enjouée, amusée, forte, elle te rendait fière, comme elle te mettait la honte.

Cinq ans après ta « mort », le Nemeton brésilien perdit de sa puissance, et s’endormit. Bien que tu ne connaissais pas l’aspect surnaturel du lieu, cet évènement te poussa à te sentir de trop dans la ville. Ainsi, dans l’année de tes 30 ans tu demandas une nouvelle mutation. Etrangement, la ville qui t’attirait désormais était une petite ville de Californie nommée Beacon Hills. Ne sachant pas vraiment pourquoi c’était celle-ci que tu voulais, tu décidas de faire quelques recherches, et tu compris qu’il y avait quelque chose d’étrange avec toi : chaque ville qui t’attirait avait les mêmes évènement étranges, les attaques d’animaux sauvages, les hommes surpuissants. Intriguée par cette ville, et attirée par elle, sans savoir que son Nemeton était à l’origine de ton attirance, tu finis par contacter toi-même le shérif Stillinski.
Une fois que tout fut arrangé, tant avec ton commissariat au Brésil qu’avec celui de Beacon Hills, tu déménageas avec ta fille.

Tu trouvas rapidement un logement, et une école pour Alycia, qui se fit pas mal d’amis. Quant à toi, quelque chose de surprenant t’arriva. Le premier jour dans ton nouvel uniforme, tu rentras sans le vouloir dans un homme, et tu faillis renverser ton café sur lui. T’excusant et te présentant, tu découvris que pour une raison que tu ignorais, tu l’appréciais déjà énormément. Ce n’était pas le « coup de foudre au premier regard », mais plutôt une sensation de fraternité. De son côté aussi, ce fut exactement pareil. Cet homme s’appelait Jordan Parrish, et tu ne le savais pas, mais il était comme toi, un Hellhound. De par sa nature identique, il était en réalité du domaine du surnaturel d’expliquer cette sensation de fraternité rapide entre vous deux...

Quelques temps plus tard, tu rencontras un deuxième homme te faisant ressentir ce sentiment, et qui ressentit la même chose. Un autre Hellhound. Tobias Hassan…

Ne connaissant pas le surnaturel, tu pensais juste que c’était un coup du destin, que vous vous appréciiez naturellement parce que vos caractères concordaient…

Ces deux-là devinrent rapidement équivalents à tes meilleurs amis – tu les appelles toujours tes meilleurs amis d’ailleurs –, et ce fut la première fois dans l’histoire que les trois têtes du Cerberus, les Hellhounds, étaient rassemblées au même endroit…
Très vite, Alycia adopta Jordan et Tobias comme d’autres amis comme Quinn, et te fit honte devant eux en révélant sans ménagement les choses les plus embarrassantes sur toi.
Mais vous vous entendiez merveilleusement bien…

Malheureusement, un jour, tu découvris autre chose. Tu n’avais jamais réellement cédé au doute avant, concernant le surnaturel. Mais alors que tu voulais rendre visite à ton père avec Alycia, tu te rendis compte de quelque chose : Alycia pouvait sortir de la ville, mais pas toi. Tu remarquas quelque chose d’étrange, comme un mur invisible, aux limites de la ville. Alycia semblait pouvoir le traverser sans problèmes, mais toi tu restais bloquée…
A ce moment, tu commenças à douter de ce que tu étais. Tu commenças à comprendre que tu étais différente… Ne sachant pas encore ce que tu étais, et ne sachant pas vers qui te tourner, tu gardas cet incident pour toi, et tu finis par rentrer chez toi avec ta fille au bout de ta main…

Ainsi recommença ta vie de gardienne du surnaturel ignorante. Parfois, la nuit, ton corps bougeait seul, sortait, et se mettait à brûler de ses flammes brûlantes, pour aller brûler un cadavre près du Néméton… Un cadavre surnaturel… Evidemment, n’étant plus seule Hellhound de la ville, il arrivait souvent que seul l’un des chiens de l’enfer brûle à la fois, ou, dans des cas rares, que les trois brûlent en même temps…

Tu ne savais alors pas encore que ta nature allait t’apporter de gros problèmes.
En effet, un jour, tu entendis, en rêves, les paroles d’un homme. Il demandait un Hellhound pour libérer les individus piégés dans la ville. Bien que ne sachant pas ce que c’était, bien que ne sachant pas que tu en étais toi-même un, cet homme était une véritable menace pour toi et tes « frères ».
Ajouté à cela la menace d’un ennemi tout aussi dangereux, une famille de chasseurs extrêmement sanguinaire et chassant les Hellhounds, les Steels, et les différents problèmes liés au surnaturel qui t’étaient inconnus – l’armée de la Reine et du Prince, le Grand Méchant loup, le Tyran, et tous les autres tueurs aux capacités extraordinaires –, et ta simple existence allait devenir un calvaire…

La partie de chasse était lancée, et sans le savoir, tu étais une des proies, Alejandra…
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Lun 16 Jan - 18:56
Re bienvenue parmi nous :happy:
Tu sais ce que je pense de cette nouvelle tête !
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Lun 16 Jan - 19:20
Heyyyyyy :coeur:

Blablabla 7 jours blablabla ! cafe

Bye :coeur:
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Violet B. Dawson
Violet B. Dawson
Messages : 359
Lun 16 Jan - 19:57
Mdr Sibel qui fait son devoir de staff à l'arrache, tu m'as faite rire xD

Adriana Lima ♡
Re-bienvenue parmi nous ! Bon courage pour la nouvelle fichette
Violet B. Dawson
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Invité
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Mar 17 Jan - 12:57
Owiiiiiii rebienvenue parmi nous :**:
Bon courage pour ta fifiche :coeur:
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Mar 17 Jan - 12:59
Rebeinvenue parmi nous
Bon courage pour ta fiche
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Invité
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Mar 17 Jan - 15:14
Violet B. Dawson a écrit:
Mdr Sibel qui fait son devoir de staff à l'arrache, tu m'as faite rire xD

C'est quand même son quatrième compte ! Il connait la routine hahahaha
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Mer 18 Jan - 11:21
Adriana I'll burn for you - Hellejandra 3252140980
Rebienvenue ici :mdr:
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Mer 18 Jan - 14:46
Merci merci ^^
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Mer 18 Jan - 16:39
Re-bienvenue officiellement du coup :fuck: Va brûler en Enfer, mocheté /out
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Dim 22 Jan - 3:10
Re bienvenue superbe choix d'avatar. Bon courage pour la suite.
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Lun 23 Jan - 20:51
Merci merci ^^

fiche finie ^^
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Invité
Anonymous
Mar 24 Jan - 14:05

Tu es officiellement Validé(e)

cafe

Et oui, l’étape cruciale de la présentation est terminée pour toi mon petit loup ! Tu as respecté les différentes demandes et nous trouvons que ton histoire est franchement géniale ! Évidemment, nous ne pouvons pas te laisser aller sans quelques recommandations. Il est important pour toi de recenser ton avatar puisque sinon, n’importe qui pourrait le croire libre. Ensuite, les demandes diverses sont obligatoires – du genre demande de logement et de communications. La création de ta fiche de Rp et de lien est également nécessaire pour le bon fonctionnement du rp. Il serait préférable que tu crées ta fiche avant d’aller demander des liens aux autres. Il est fortement recommandé de participer au concours du membres du mois. Des liens sont mis à ta disposition pour faciliter ton intégration. Tu as une semaine pour faire ton premier sujet ! Sur ce, bon jeu !
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Invité
Anonymous
Mar 24 Jan - 15:21
Merci beaucoup ^^
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