Comme chaque jour, je faisais ma série exercices, avec ma mystérieuses perte de pouvoir qui je le pense n'étais que temporaire a mon humble avis cela n'était pas le moment de me relâcher. Je pensais que c'était le fais de faire a nouveau entrée Quinn dans ma tête qui me troublé... Au fond, je n'en avais pas la moindre idée et cela ne me préoccupé que réellement peu. Je pense que cela se saurais si les créatures comme moi perdaient leurs pouvoirs comme ça, du jour au lendemain.

Ces derniers temps, mes journées était assez occupé par cet enfant... Lydia. Cette fille est tout ce qu'il y a de plus différent de quelqu'un de calme comme moi, elle état très agité et toujours plein de vie, une tornade qui vient s'abattre dans votre vie au détours d'un café en tachant vos vêtement sorti du pressing il y a quelques heures de ce liquide brulant qu'est le moka. Elle s'excuser, a vrai dire je ne bronchais pas vraiment. Je restais calme, froid comme a mon habitude, je n'aurais plus qu'a aller me changer.

Elle insisté pour m'offrir un café, et m'amener au pressing... Enfin, je me laisser calmement emporté par cette furie un peu naturellement. Depuis, elle venait régulièrement me rendre visite dans réellement me demandé mon avis. J'avais l'impression qu'elle chercher a m'humaniser d'une certaine façon, je laisser faire, doutant fortement du résultat. Elle ne pouvais pas savoir le nombre d'années qu'il avait fallut pour me rendre aussi calme, et les méthodes qu'on avait employer. J'ai souvent cru que même mon corps lupin ne suffirait a enlever toutes les traces... Au fond elle ne pouvais pas savoir, et je n'avais pas réellement envie de lui parlé de mon passé.

Peu de personne de son age réussissent a simplement m'adresser la parole sans avoir peur de mon côté froid, d'un certain sens j'étais aussi curieux qu'elle... Et qui sais? Peut-être que Quinn aimerais me voir plus humain parfois... C'est peut-être ce que j'aurais du faire il y a dix ans.. Enfin, le passé est loin derrière moi maintenant.

C'était peut-être une façon pour moi de tourné la page sur mon passé de manière définitive, j'allais prendre une douche après ma série d'exercices. Je m'habiller et m'installer devant ma télévision n'ayant rien de plus passionnant a faire pour le moment. Soudainement, j'entendais quelqu'un frapper a la porte, alors que je compris rapidement qu'il devait certainement s'agir de Lydia.

J'ouvrais la porte alors qu'elle était a m'attendre avec un grand sourire, me disant que je pourrais faire un effort entre autres... Je restais calme, alors qu'elle décidait pour moi de me faire sortir une fois encore. Je prenais mon manteau de cuir, silencieux. J'avançais et fermer la porte, je me décidais a demander:

- Ou tu m’amène cette fois?

J'attendais de savoir quel genre de surprise la tornade me réserver cette fois.
   

Elle voulait se montré taquine et décidais de ne pas me répondre, elle m'expliquais que cela était une surprise. Je levais les yeux au ciel, alors qu'elle m'expliquais que nous allions nous amuser. Je restais silencieux alors qu'elle nous amener tout les deux vers la destination mystère qui ne le resterais plus très longtemps lorsque je ne vis ce grand bâtiment avec écrit "Patinoire". Je devais bien avouer que je n'étais jamais entré dans ce genre d'endroit, mais je supposais qu'il y avais une première fois a tout.

Elle me prenais par la main et m'entrainé. Je n'étais pas plus emballé que ça, mais elle semblait heureuse de se rendre dans cette endroit qu'elle semblait apprécié particulièrement. Comme souvent naissait ce sentiment de culpabilité de ne pouvoir lui rendre ses sourires qu'elle m'adressait avec une telle ferveur alors qu'elle semblait grandement amuser par l'air blanc que prenait le vendeur alors que je demander une paire de patin de ma taille.

Pour ma part je ne réagissais pas, j'avais l'habitude de faire peur aux gens sans réellement le vouloir. Comment leurs en vouloir? Tout ce qui est différent a de nous a tendance a nous faire peur, et différent... Oui, je pense que je l'étais. Qui aime passer du temps avec une personne sans jamais être capable de lui adresser un simple sourire sincère? Moi je l'étais... Et je pense que dans le font je n'avais même plus parfois le réflexe de m'en rendre compte sur le coup. Durant sept ans ce qui fut ma famille se jouer souvent du fais que je sois froid, que je ne comprenais pas toujours l'humour...

A l'époque, voir la peur sur le visage d'un inconnu était quelque chose qui faisait naitre en moi une colère silencieuse, maintenant cette colère je ne la ressentait même plus, et je n'étais même pas capable de dire si cela était pouvait être considérer comme une bonne chose. Parfois, je me demandais quel genre de vie j'aurais pu avoir si mon père ne m'avais pas arraché a ma mère biologique. Quel genre de personne elle pouvais être, quel genre de personne j'aurais pu devenir? Toute ma vie aurait pu être différente, et peut-être qu'elle ne me semblerait pas aussi amer.

J'enfilais mes patins, alors que Lydia était déjà prête a se lancé sur la piste. Elle y aller avant moi, m'expliquais un peu comment m'y prendre, alors que je me posais le premier pied sur la glace. Je faisais quel pas avant de me lancé, avec un peu de mal. Mais, cela n'étais pas très dur de prendre le coup. Il y avais de la musique, alors que d'un mouvement de main j’invitai Lydia a danser. Je supposais que la patinoire n'étais au fond qu'une piste de danse sur glace. Et puis cela me donnerais peut-être un peu de temps pour plus m'habituer.

Je restais silencieux, attendant sa main. Je devais avouer que d'un certain sens sa gentillesse ne me laissais pas complétement de marbre, même si je ne comprenais pas ses motivations. En la voyant je me disais que cela devait ressembler a ça d'avoir une petite sœur... Une sœur qui peut-être existe sans que je le sache... Une partie manquante de ma famille.    
   

Elle s'arretait, me racontais l'histoire maudite de sa grand mère dont le secret percé n'avait fais que lui apporté malheur et souffrance. Elle m'expliquait qu'elle n'avais pas perdu espoir et continuer a voir du bon dans ceux dont les âmes semblait aussi noir que la plus obscur des nuits, cependant ce qu'elle voyait n'étais que sa vision. Son interprétation d'une douce réalité qui peut-être n'avait lieu d'exister qu'uniquement dans ses rêves. Cette jeune fille était attachante de naïveté, de gentillesse a l'état brute. Au fond, pour quelqu'un comme moi, l'on ne peux avoir qu'une admiration pour la petite Lydia. J'étais bien plus fort qu'elle, j'étais capable de me battre contre le plus maléfique des démons, de me battre jusqu'à lui arracher le coeur, alors qu'elle avait certainement la plus grande des forces, celle du lui tendre la main et de chercher du bon en lui.

De ce point de vue, elle était bien plus forte que ce que je ne le serais jamais. Elle était une belle personne, et au fond celui qui dirait l'inverse ne serais que le plus dur des menteurs, c'est ce que j'avais me dire, néanmoins je me demander si elle me regarderait toujours avec les mêmes yeux innocent si elle savait que dans un accès de colère j'avais tué de mes mains toute ma famille. Les seuls moment d'humanité que je garde de mes souvenirs sont une colère, une rage que le sang seul n'avait pas réussi a apaiser.

Je n'étais pas comme elle, je n'étais pas une bonne personne. J'avais souffert et j'avais fais payer cette souffrance, j'avais aimé et j'avais fais payer celui qui m'avait pris celle que j'aimais, j'aimais une famille qui m'avais tendu les bras mais je n'avais pas hésité une seule seconde a les abandonner par égoïsme... Kali... Ennis, Aiden, j'aurais pu les sauver et pourtant ou était-je lorsque les miens se sont fait tuer les uns après les autres? Eux les monstres... Eux qui m'avais accepté, qui m'avais soutenu lorsque celle que j'aimais m'avais brisé le cœur une fois de plus car je ne savais rien faire d'autre que de resté silencieux.

De quel manière Lydia me regarderais, si elle savait a quel point je n'aimais pas ce que j'étais... Ce que j'étais prêt a faire pour une seule fois, un seul jour me lever sans plus que ce vide, ce mépris et cette haine de ma propre vie. Une douleur muette, des larmes invisibles qui ne cesse de couler, des larmes que pourtant je n'ai pas été capable de verser même au pire des moments. N'avait-elle jamais envisager qu'on puisse atteindre le non retour? Celui ou l'on deviens tellement un être maudit que l'on ne puisse simplement plus trouver la force d'être un humain?

Je la regardais, pleine d'une vie qui pour ma part m'avais quitté depuis bien longtemps. Elle faisait des figures avec agilités, et je savais que cette enfant deviendrais plus tard la plus merveilleuse des femmes. Je m'avançais doucement, restant conscient de mes limites sur la glace, je m'avançais jusqu'à poser ma main sur ses cheveux:

- Merci....

J'aurais pu lui dire tellement d'autres mots, lui dire de ne jamais perdre cette force... Pourtant, au fond je savais que le silence en dis parfois plus que le plus long des discours. Il ne fallait qu'un seul mot, certainement le plus simple d'entre eux mais l'un des plus purs et sincère, un simple merci.       
   

Elle disait qu'elle ne comprenais pas le remercient, qu'elle n'avait a ses yeux rien fais de particulier qui mérite un remerciement. Comment pouvait-elle comprendre cela en était la principal raison. Elle menait une quête futile désintéresser, elle n'attendait rien de moi, chose que même Deucalion n'avait pas fait. Il m'avait recueilli car il été intrigué par le Bad Alpha que j'étais, mais malgré tout je savais qu'il m'avais aussi recueilli pour ma force, pour ce que j'étais capable de lui apporté. Je pense que cela est toujours la différence entre un Alpha et un membre de la meute.

Au fond, tout les membres de la meute avait besoin de moi, pas de la même manière que Deucalion.... Les jumeaux avait besoin d'être guidé et malgré que je n'ai jamais réussi a les dompté, j'avais remarquer qu'ils avait cette solidarité que l'on ne peux retrouver nul part hormis dans une paire de frères. Kali... Notre relation avait toujours été spécial, elle chercher souvent a me taquiner alors que je restais silencieux, cependant derrière ce côté garçon manqué elle avait ce côté féminin et souvent me réconforté en dormant a mes côtés, elle n’hésitai pas a me frapper a des moments ou je me laisser aller. Ennis était mon plus grand rival, et un robuste adversaire... Nous étions semblable, je pense que c'est dans nos combats qu'était né ce lien que nous avions, au fond je n'ai jamais su s'il avait découvert qu'une seule nuit moi et Kali avions coucher ensemble.... Il ne le saura jamais, Kali ne saura jamais que c’était moi qui avait casser sa voiture...

Tant de chose qu'ils ne sauront jamais, était-je dans ma tête coupable?... Bien sur que oui. Parce que tout comme avec Lydia, avec eux j'en venais parfois a oublier que j'étais un monstre. L'enfant quitté la glace afin d'aller nous chercher une gourmandise a dégusté. Elle me demandais ensuite qu'est-ce parfum est-ce que je préférais alors que je répondais simplement:

- Le même que le tiens.

Elle m'avais trainé comme a son habitude, alors que je continuais de la regarder en quittant la glace a mon tour. Je m'approcher et récupérer ma glace, je gouter enfin la gourmandise, me délectant du parfum qu'elle avait choisi pour moi:

- Bon choix... Les glaces sont bonnes.

Je ne me montrer pas très loquace, mais il fallait croire que je n'étais pas très douer pour m’exprimai, même lorsque le sujet est aussi intéressant et apte au roman qu'une délicieuse glace.
   

Elle me disais qu'a son gout aussi les glaces étaient bonne, bien que ses gout ne sont pas d'une objectivité sans faille. C'était sa gourmandise, alors que je comprenais que tout comme moi elle aimer la fraicheur... Je pensais un peu mieux la comprendre, et comprendre que cette chaleur et joie de vivre qu'elle porte en elle ne sont pas toujours aussi facile que ce que l'on pourrait croire.

Le froid est pour moi signe de liberté et de renouveau, un vent de changement qui parfois et tellement souhaité, tellement désiré... Un changement égoïste, un changement qui parfois peut le couté la vie de certaines personnes. J'avais tué mon père est était devenu alpha, j'avais dans ma rage tué ma famille est était devenu Bad Alpha, j'avais fait le choix de redevenir un Oméga et c'était Ennis, Kali et Aiden qui en avait payer le prix. Si j'avais été la, j'aurais pu les sauver avec ces pouvoirs que j'ai tellement maudis et haïs. J'en venais a croire que la souffrance était un prix a payer pour avoir la force de protéger les choses qui ont de la valeur a nos yeux.

Je ne suis pas venu au monde pour sourire, pour être heureux... Je n'avais toujours été qu'un bras armé, et je doutais fortement qu'un jour cela finisse par changer, ou alors je me demande quel serait le prix a payer cette fois.

Sans réellement que je m'y attende, elle me posait une question sur Aiden... Alors, elle savait? Je stoppais ma glace avant de regarder fixement le sol, après tout elle avait le droit de savoir quel genre d'homme il était... :

- Aiden... Aiden était un jeune idiot, Arrogant, sur de lui... C'était un inconscient, charmeur de bas étage.... Cependant, plus qu'aucun autre il savait qu'est-ce qu'était la souffrance humaine, il connaissait la peur du lendemain, et pourtant dans les plus grand moment de danger il continuait a se battre pour ceux qu'il aimait, il était d'un loyauté sans faille, c'était un véritable loup et mourir au combat est certainement la meilleur mort qu'il aurait pu avoir.

D'un coup, je sentais ma glace se briser par une compression non souhaité de ma main, je regardais ma main recouverte de glace brisé, alors que je continuais quelques mots:

- il lui restait tellement de chose a apprendre.... Il était trop jeune pour mourir... C'était un imbécile...

Je regardais ma glace sur le sol en morceau... Elle aussi c'était désormais trop tard pour qu'elle soit sauvé.