I need to drink and you're a barman [PV Sean]



 
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I need to drink and you're a barman [PV Sean]
Invité
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Sam 8 Oct - 17:53
I need to drink and you're a barman

Sean J. Carter

&

Caleb Woodbury

Ce samedi-là, tu étais à nouveau de garde de nuit au Beacon Hills Memorial. Le samedi était de loin le pire jour pour être au travail si on exceptait les jours de fête comme le jour de l’An et autres. Et ce samedi-ci se révéla identique à tes préjugés. Des sportifs amateurs, des bricoleurs du week-end arrivèrent aux urgences toute la journée. Et puis, le soir approchant, les adolescents sportifs et blessés furent remplacés par des adolescents alcoolisés aux propos désorientés et souvent injurieux. Les premiers temps, tu répondais à ces attaques mais il y avait déjà un moment que tu n’y prêtais même plus attention.

Soudain, parmi ce chaos de gens plus ou moins ivres, tu remarquas un jeune homme d’un calme étonnant dans le capharnaüm ambiant. « Mary, qui est ce patient silencieux là-bas » demandas-tu à une des infirmières qui passaient en lui désignant l’inconnu. Tu t’interrogeais sur ce qui l’amenait ici. « Je crois que c’est quelque chose comme Carter » te répondis-t-elle. Aussitôt, tu cherchas son dossier dans la pile trop grande. Il était parmi les derniers donc il n’était pas là depuis longtemps. Oubliant le règlement, tu te dirigeas vers lui, scrutant son dossier au risque de percuter un collègue ou un autre patient.

Ce fut seulement une fois arrivé près de lui que tu relevas la tête. « Bonjour, je suis le docteur Caleb Woodbury. Que puis-je pour vous M. Carter ? » lui dis-tu en t’asseyant sur le tabouret laissé ici à ton intention. Tu avais lu son dossier et, aussi maigre soit-il, tu savais parfaitement ce que tu devrais faire. Mais tu attendis qu’il te tende de lui-même sa main. Tu rapprochas de toi un plateau de suture. « Si cela peut vous rassurer, les plaies sont assez propres donc la cicatrisation devrait être rapide. Il vous faudra tout de même y aller doucement au début. Comment vous êtes-vous fait cela ? » Cela aussi, le dossier le mentionnait mais tu le demandais, c’était surtout pour engager la conversation et distraire l’attention du jeune homme pendant que tu examinais ses blessures.
Après que tu fus sûr du protocole à suivre, tu commenças par enlever les quelques éclats de verre restants. Il grimaça une ou deux fois malgré l’anesthésie locale que tu lui avais faite. « Ça risque de tirer un peu pendant les points. Si vous avez mal, n’hésitez pas à me le dire. » Et tu continuas ton travail sans pouvoir t’empêcher de regarder de temps en temps ton patient. Il y avait un quelque chose d’étrange, de surnaturel chez lui. Ou bien était-ce simplement ton imagination ajoutée à un peu de tension qui te faisait voir ce qui n’existait pas ? Difficile à dire, même pour un werefox.
[/i]
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Invité
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Lun 10 Oct - 11:39

 
 
David et moi, nous étions de fermeture ce soir, mais il restait encore des clients et nous ne pouvions pas leur demander de partir. Ce n'était pas encore l'heure, mais cela ne devrait plus tarder ! Son rôle, c'était de prendre les commandes pour me les transmettre et les servir une fois que les boissons étaient prêtes venant de ma part. Sinon, quand il n'y avait plus personne, David rangeait la salle tandis que je me chargeais du bar. Au moment ou je prenais le dernier verre dans le raque comme je n'avais rien d'autre à faire, celui-ci se brisa dans mes mains et je voyais du sang couler. Super, je venais de me blesser comme un con et pour la première fois en trois ans au Kurt's bar. Mon collègue était parti chercher la trousse de secours et revenait rapidement pour me nettoyer les plaies du mieux qu'il le pouvait. Je terminais par avoir des bandages sur les deux mains, mais ce n'était pas très bien fait .

- Nous avons l'hôpital qui n'est pas très loin. Tu devrais t'y rendre pour avoir les soins adéquats, car je ne peux pas faire mieux en ce qui me concerne et je peux finir tout seul.

- Je comptais m'y rendre, mais après la fermeture ! Seulement, il est préférable d'y aller maintenant à mon avis comme ils ont tendance à mettre du temps et que je sais très bien de quoi tu es capable.

Je le voyais partir en hochant la tête et je me rendais à notre vestiaire pour prendre mes affaires et sortir par-derrière. Je lui avais souhaité une bonne soirée et de faire attention aux verres, car il devait y avoir des morceaux sur le sol. Je me rendais au Beacon Hills Memorial en marchant, car je n'avais pas besoin de prendre ma voiture pour les alentours qui se trouvaient près de chez-moi. Arrivé à l'intérieur, je passais par les paperasses habituelles et les passages avec les infirmières avant de pouvoir rencontré un médecin urgentiste. Je patientais calmement dans la salle d'attente et je pouvais voir un homme venir dans ma direction.

Il avait en main mon dossier et il se présentait tout en me demandant ce que celui-ci pouvait faire pour moi. Il prenait place sur le tabouret et je lui tendais ma main droite sans protection comme les personnes avant lui me les avaient retiré pour s'en occuper un peu. L'autre main n'avait que des égratignures pouvant se soigné sans aucun problème.

- Bonsoir docteur Woodbury, vous devez connaître les raisons de ma venu comme vous avez le dossier en main. J'ai une blessure profonde sur la main droite avec quelques égratignures autour et il en est de même pour la main gauche qui est beaucoup moins pire.

Malgré la douleur, je souriais comme si de rien était. Cela m'amusait d'être blessé ou malade par moment, car cela faisait de moi une personne "faible" dans ce genre de situation ! C'est vrai, nous les nixerians pouvions vivre bien plus longtemps que des humains ou même d'autres créatures. L'homme prenait à nouveau la parole pour dire que je devais être rassuré sur le fait d'avoir des plaies propres et que cela ne mettrait pas longtemps à cicatrisé. Doucement ? Bah voyons, je risquais d'être en arrêt de travail à tous les coups et il me demandait comment je pouvais m'être fait ça !

- C'est certainement le meilleur moyen pour faire de la conversation ! Cela ne vous ennuie pas de poser des questions auxquelles vous connaissez déjà la réponse ? Loin de moi d'être sarcastique, mais plutôt du genre à être franc.

Je le laissais s'occuper de moi et il m'arrivait de grimacer de temps en temps. Mon regard le détaillait et dérivait parfois autour de moi ! Cette personne semblait pas mal physiquement, mais je ne le connaissais pas du tout et je n'aimais pas juger les personnes.

- Me connaissant, je ne dirais pas pour le fait d'avoir mal pendant les points de suture ! Pour répondre à la question à laquelle je n'ai point répondu, je travaillais au Kurt's bar comme à mon habitude. Seulement, en prenant le dernier verre dans le raque, il a décidé de se briser dans mes mains et ce sont des choses qui arrivent à force d'être lavées depuis plusieurs années.

J'attendais de voir ses réactions. Provocation ou pas ? A lui de voir, car ce n'était pas mon genre. Il fallait me connaître pour savoir que j'étais du genre à dire ma façon de pensée et peu importe avec qui cela pouvait bien être. Charlie le savait que trop bien et il en était de même pour Winslow !

- Ce n'est pas trop difficile de voir des personnes plus ou moins bourrés en pleine nuit ? Personnellement, j'ai beau être calme... J'aurais du mal à faire ce métier et je vous tire mon chapeau !

Je n'avais pas de chapeau avec moi, mais ceci n'était qu'un vilain petit jeu de mot ! Il ne m'en voudrait sûrement pas, car je complimentais encore en plus !


 ©Eikyuu - épicode
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Jeu 27 Oct - 15:14
I need to drink and you're a barman

Sean J. Carter

&

Caleb Woodbury

Si poser des questions dont tu connaissais les réponses ne t’ennuyait pas ? Tu ne te l’étais jamais demandé alors tu pris le temps d’y réfléchir un instant avant de répondre. Tout en m’occupant de lui, je continuai à lui parler. « C’est certain que la plupart des gens adorent raconter leurs soucis et il n’est pas rare que d’une coupure à la main, ils en arrivent à me parler de leur vie. On s’y fait même si ce n’est pas pour ça que j’ai choisi de faire ce métier, je dois bien l’avouer. » Tu piquas pour le premier point. Au total, tu en fis une dizaine. Tu étais trop concentré pour voir ton patient te regarder avec un peu plus d’insistance que de coutume. Tu crus le sentir tressaillir sur la fin lorsque tu fus obligé de resserrer le dernier point et de faire un nœud mais tu ne fis aucune remarque. Ce n’était pas vraiment dans tes habitudes de te taire mais il y avait un je ne sais quoi chez Carter qui t’empêchait de trop le provoquer.

Il retourna sur le sujet de ton métier et de sa difficulté et tu lui souris, un peu embarrassé. La plupart du temps, les gens ne parlaient que d’eux-mêmes, ton métier tout comme son impact sur ta vie leur étaient égaux tant que tu les soignais et qu’ils repartaient chez eux en se sentant mieux qu’en arrivant. Mais ce patient-là semblait vouloir en savoir plus et parler de toi n’était pas vraiment ton truc. Tu pris une profonde inspiration avant de te lancer, prenant ainsi le temps de réfléchir à ce que tu allais bien pouvoir lui dire. Ce qu’il voulait entendre ou la vérité ? Tu optas pour la seconde solution. « C’est difficile oui. Je me demande souvent pourquoi ces personnes se font du mal de cette manière, pourquoi il s’empoisonne la vie pour un peu d’ivresse ? Moi, l’ivresse, j’y suis confronté chaque jour un peu dans mon métier. C’est une vocation, une passion transformée en métier. Mais eux ne doivent pas avoir cela. Et puis, il y a ceux qui boivent pour oublier. Mais oublier ne résout pas les problèmes que nous avons, il ne fait que les repousser. Alors pourquoi boivent-ils vraiment ? Je n’en sais rien et ça me désole parce qu’ils perdent du temps et le temps est précieux. »

Voilà, tu venais de plomber l’ambiance. Tu souris timidement, un peu gêné par ce que tu venais de dire. Il n’y avait pas de honte à avoir, il t’avait posé une question et tu n’avais fait que lui répondre. Mais il est vrai que la réalité de ton métier est parfois dure à entendre. Sauf qu’en tant que barman, les personnes ivres devaient être son quotidien au moins autant que le tien. « Mais vous devez savoir ce que c’est puisque vous travaillez dans un bar. » Ce n’était pas la remarque la mieux formulée que tu aies faite. Mais tu ne savais pas vraiment quoi dire, peu habitué à être complimenté. « Je ne fais que mon métier, pas besoin de me tirer le chapeau ou quoi que ce soit d’autre. Je ne le mérite pas plus qu’un autre. » Et c’était vrai. Surtout pour celle ou celui que tu avais blessé lors de ta première transformation. Un médecin blessant un innocent. Tu t’en voulais encore et tu t’en voudrais probablement toujours.

Tu commenças à ranger tes instruments en lui annonçant avec une certaine légèreté un « J’ai fini, vous pouvez y aller après un rapide passage par l’accueil pour le formulaire de sortie. Bon courage pour le reste de votre nuit et ne forcez pas sur votre main surtout. » Tu passas ta main sur ton visage, fatigué. Heureusement, ta garde était bientôt finie et tu pourrais aller te reposer, enfin. A moins que… Tu marchas jusqu’à l’accueil et tu hélas ce Carter. « Peut-être que je pourrais venir à votre bar à la fin de ma garde. Mais pour ça, il faudrait que je sache lequel c’est. » Pas d’insinuation dans ta voix, juste de la sincérité et un brin d’audace.

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Mer 1 Fév - 15:07

 
 
Je pouvais le voir réfléchir, il prenait son temps pour répondre et il pouvait le prendre. Je n'étais guère presser ou peut-être un peu afin de pouvoir rentré à la maison et pouvoir être dans mon lit pour dormir ! Je n'étais pas vraiment fatigué, mais mon corps me donnait l'impression de l'être et peut-être que le fait d'être blesser y soit pour quelque chose.

Il prenait la parole pour me dire que même en ayant une coupure à la main, ce n'était pas rare pour les personnes de parler des soucis qui ont lieu dans la vie de tous les jours. Honnêtement, ce n'était pas dans mes habitudes et il le comprendrait bien assez vite sur le fait que je pouvais être différent de ses autres patients. Je répondais aux questions, mais je ne parlais jamais de moi-même lorsque cela me concernait.

Il me faisait un premier point de suture, pour finir avec un dixième qui me faisait tressaillir comme celui-ci était bien plus douloureux que les autres. Je devais sourire comme à mon habitude, mais mon corps avait su réagir à ma place pour montrer que je n'étais pas un homme insensible et que j'étais du genre à cacher ce que je ressentais ! Le médecin souriait de façon embarrassé et il prenait de nouveau la parole pour me dire que son métier pouvait être difficile. J'avais posé des questions sur lui et non sur moi, c'était préférable pour apprendre à connaître la personne en charge de nous soigné.

Je comprenais son point de vue sur les personnes buvant pour oublier et qui ne faisait que repousser les problèmes au lieu d'y faire face ou bien se faire de mal pour je ne sais quel raison. Je trouvais ça idiot pour ma part, tu peux boire et pas de façon excessive... Je n'étais pas le genre de mec à boire pour oublier ou pour me faire du mal, surtout que j'avais un métier ou il était fréquent d'avoir les mains abîmé à cause des verres qui casse soudainement comme cette nuit. Je pouvais le voir sourire et ça semblait être de façon timide ! Je n'étais pas très doué pour déchiffrer et surtout pas quand mon cerveau ne fonctionnait pas aussi bien avec la douleur.

Il me parlait et il est vrai que je connaissais très bien ce genre de chose, mais il m'arrivait de ne pas servir des personnes ivres et pourtant blesser. Dans ce genre de situation, il m'arrivait d'utiliser mon pouvoir sans me faire remarquer pour le faire partir et le tour pouvait être jouer ! Je souriais sur le fait de l'entendre me dire que celui-ci ne faisait que son métier et que je n'avais pas à le féliciter par la même occasion.

- Dans mon métier, je vois énormément de ravage concernant l'alcool et pourtant... Je gagne ma vie de cette manière, mais il m'arrive de faire sortir des personnes lorsque cela en vient au mains avec d'autres personnes.

Je pouvais le voir ranger ces instruments et me dire qu'il en avait terminer avec moi. Je devais passer à l'accueil et il me demandait de faire attention à ma main, ce dont je comptais faire ! Il me souhaitait bon courage pour le reste de la nuit, mais nous avions terminer pour ce soir au travail comme nous n'avions plus personne vu l'heure que nous étions. Je me levais et je me rendais vers l'accueil en même temps que le Docteur Woodbury qui m'interpellait pour me parler. Il proposait de venir au bar après avoir terminer son travail et que pour se ramener, il devait savoir ou je travaillais.

- Nous fermons à partir d'une certaine heure, mon collègue n'a pas du m'attendre pour remettre à propre et fermer le Kurt's bar ! Vous pourriez venir à la maison prendre un verre, je ne vis pas très loin de mon lieu de travail et d'ici.

Il avait proposé, mais je ne pouvais ouvrir le bar pour une seule personne. Il ne payerait rien en venant boire un verre à mon appartement et puis, cela me permettrait d'apprendre à connaître une nouvelle personne en dehors de mon travail ou de mes clients habituel !

- Si vous acceptez, je peux vous attendre à l'extérieur ! Je vous montrerais mon lieu de travail directement, si l'envie vous prend de venir faire un tour au bar.


 ©Eikyuu - épicode
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Jeu 2 Fév - 14:00
I need to drink and you're a barman

Sean J. Carter

&

Caleb Woodbury

Vous partagiez cela dans vos métiers, la confrontation aux malheurs des gens. Qu’il soit grand ou petit, vous essayiez de le réparer même si ta réparation était plus saine sans doute que celle que pouvait offrir ton patient. C’était peut-être pour cette raison que tu avais eu envie de tenter ta chance de le connaitre un peu plus. Sa proposition d’aller boire un verre chez lui te mit sur la défensive pendant un instant. Ce n’était pas ton genre d’aller chez les autres. Tu préférais recevoir chez toi où tout t’était familier et où tu te sentais en sécurité. Tu faillis refuser. Mais il y avait un truc chez Sean qui te poussa encore une fois à l’imprudence et tu acceptas qu’il t’attende à la sortie. « Je n’ai qu’un dernier patient à voir et je serai libre pour le reste de la nuit alors ce sera avec plaisir. »

Tu le regardas s’éloigner un instant avant de retourner dans la salle d’attente des urgences. Il restait deux hommes qui s’étaient bagarrés à la sortie d’un bar. Peut-être le Kurt’s bar ? Quelques points de suture et tu les renvoyas chez eux l’un et l’autre en leur conseillant d’éviter l’alcool au moins le temps des médicaments. C’était un peu vain mais c’était ton devoir et tu le fis. Ensuite, tu saluas ton collègue venu prendre la relève et tu allas échanger ta blouse contre une chemise sombre et un jean. En sortant, tu souris à la secrétaire de l’accueil. Comme d’habitude, elle te rendit ton sourire. Tu avais entendu dire qu’elle en pinçait pour toi et vous aviez même eu un rendez-vous auquel tu n’avais donné aucune suite. Elle était belle, drôle et pleine de vie mais tu ne ressentais rien de plus que de la bienveillance à son égard alors à quoi bon lui donner de faux espoirs ?

Lorsque tu franchis les portes du Beacon Hills Memorial Hospital, il était bel et bien là à t’attendre. « ça va, ce n’était pas trop long ? » lui demandas-tu par politesse mais aussi parce que tu ne voulais pas l’embêter. Après sa réponse, tu lui emboitas le pas sans trop parler. Vous passâtes devant le bar où il travaillait et tu lui dis y être déjà venu. Et puis, il s’arrêta au bas d’un petit immeuble. Tu marquas un temps d’arrêt, incertain. « Tu es sûr que cela ne te dérange pas ? Je comprendrais que tu préfères te reposer après ta soirée de travail. » Tu l’avais tutoyé sans t’en rendre compte parce qu’être si proche de chez lui et donc de son intimité semblait avoir rompu cette barrière qui se dresse habituellement entre deux inconnus. Que dirait-il ? T’inviterait-il quand même chez lui ? Au fond de toi, même si tu refusais de te l’avouer, tu espérais qu’il maintiendrait sa proposition.

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