Tu as l'idée parfaite d'un lien en tête mais à la flemme de créer un scénario? Le sujet de recherche de lien est pour toi !!! C'est dans ce sujet que tu trouveras ton bonheur!
We must learn to live together as brother or perish together as fools . Δ Martin Luther King Jr.
Ce que je faisais à marcher dans la rue. Regardant derrière mon épaule comme si quelqu'un ou quelque chose me suivait. Je savais qu'il n'y avait personne, mais j'avais cette peur incessante qu'on me suive. Depuis que j'étais devenu un de ces hybrides. J'avais cette appréhension constante que ma vie se jouait à un film. Au final, c'était simplement mon esprit qui tombait petit à petit dans une paranoia assez profonde. Je ne pouvais pas me terrer toute ma vie dans une maison qui au final n'était qu'un endroit où j'allais amener des soupçons. Je devais simplement continuer de vivre comme si de rien était. C'était la seule façon de ne pas attirer l'attention.
Aujourd'hui j'étais partie en direction de ce café qui s'appelait le Starbucks. Pourquoi faire vous allez me dire ? Je n'avais clairement pas l'envie et la nécéssité d'un café, j'étais déja bien assez sur les nerfs comme ça. Cependant, j'avais donné rendez-vous à mon frère dans cet endroit pour que nous puisâmes parler. Un endroit neutre était l'endroit parfait pour éviter de parler de tout ce qui était surnaturel et de se concentrer sur des points bien plus important comme notre vie familiale. Depuis qu'on s'était installé tous les trois ensemble mon frère, ma sœur et moi. La plus jeune de la fratrie avait commencé à agir assez bizarrement. En effet, elle s'absentait de plus en plus, et nous savatâmes pas pourquoi. De plus, il était hors de question que l'un de nous la suive. Nous n'aimerions pas non plus que l'un de nous deux suivent l'autre. Il fallait réfléchir à d'autres options.
De plus, il y avait cette Envy. Cette femme qui essayait de prendre la main sur tous le monde surnaturel dans sa paume. Cette femme qui me semblait un peu folle, mais en attendant je devais avoir l'avis de mon frère sur cette femme et sûrement échangé pour être sûr de ce que nous voulions faire.
Une dernière chose devait être abordé et cette chose était quelque chose qui nous a suivit bien trop longtemps. Cet immense boulet que mon frère avait eût la lourde tâche de traîner toute sa vie, notre passé. Le malheur qu'il avait eut d'être né d'un amour illégitime.
Cela faisait beaucoup de thématiques que nous devions aborder tous les deux. Au détour d'une rue, je remarquais une silhouette enfantine. Je me précipitais à sa poursuite, mais quand j'arrivais au coin de la rue, je me retrouvais devant la vitrine du café. Devant moi, le reflet de l'être que je devais être, mais en cet instant je ne voyais qu'un simple enfant devant une vitre. Je me voyais l'enfant qui avait vécu avec son frère. L'enfant qui allait parler de son enfance révolu comme s'il avait été coupable. Je poussais la porte d'une main tremblante, mon corps et mon coeur tremblait de peu de courage. Si, j'écoutais ma raison, je me serais mis à courir à l'opposé. Je me serais effondré. Il était simplement temps que j'affronte son regard et la culpabilité d'une vie d'innocence. J'étais intelligent, mais en en ce qui concernait les sentiments, la vérité, j'étais un handicapé.
Je pénétrais dans le café, commandait un frappé et allait m'asseoir. Ma main serrait très fort le gobelet, ma main n'arrêtait pas de trembler quand soudain j'entendis la sonnerie de la porte du café. Je relevais la tête et mon regard se bloquait comme peureux de la découverte que j'allais voir.
• Les choses n'allaient qu'en se compliquant, je ne me suis jamais réellement plein de ma situation familiale pire encore, je me suis convaincu à être l'épine dans le pied de ma famille. La personne qui est là mais qui ne devrait pas l'être, un poids ou comme l'aime si bien le rappeler ma mère, un bâtard. J'étais jeune mais j'ai très vite perdu cette innocence qu'ont les enfants à force d'être constamment le punching ball de mes parents. J'aurai pu fuir, j'aurai pu fuguer, beaucoup personne auraient penser qu'être ailleurs que dans cette famille serait mieux. Mais malgré mes parents, ce n'était pas une famille si horrible que ça, mon père et ma mère avaient beaucoup de soucis entre eux, et j'étais là pour subir leurs colère et éviter qu'ils se la jettent l'un sur l'autre. Et malgré ça, j'ai tenu, je suis resté car j'aimais ma famille et notamment mon petit frère Alek et ma petite sœur Nila. Je me suis forgé pour eux, j'ai continué à tout prendre sur moi pour ne pas qu'ils souffrent. Bien sur en grandissant, je me rebellais de tant à autre, ne voulant pas tous les jours subir cette injustice à cause des fautes de mon père. Déjà que je le ressentais déjà assez avec cette stupide rivalité qui s'est vite installé entre Alek et moi. Mais ça a été plus fort que nous et nos parents n'ont rien arranger de tout cela.
• Bref, nous voici présent à Beacon Hills, une ville pas très loin de là où nous vivions avec nos parents mais après leur rupture, après que la vérité ait éclaté au grand jour. Mon frère, ma soeur et moi avons décidés de s'émanciper, de vivre entre nous et nous éloignés de nos parents. Déjà pour ne plus vivre dans cette ambiance mais surement pour ne pas faire un choix entre les deux, Alek et Nila en veulent à père d'avoir tromper à plusieurs reprises notre mère. Mais ils en veulent également à notre mère pour tout ce qu'elle a pu me faire subir, notamment Alek lorsqu'il a appris la vérité sur moi. Une situation bien compliqué tout ça et qui ne s'arrange pas à cause du surnaturel, entre ma condition de werecoyote depuis cinq ans, et tout récemment la transformation d'Alek en werefox. Un sujet qui fâche un peu et nous divise toujours autant mais le but de notre rendez vous aujourd'hui n'est pas de parler de ça. Mais plus de notre situation familiale, de ce que nous avons de peu vécu ici à Beacon Hills, une ville qui dégage une aura surnaturel puissante et surtout le cas de Nila qui semble se comporter d'une étrange façon depuis quelques jours déjà. Bref, entre Alek et moi ces derniers jours ce n'est pas la joie mais nous avons absolument besoin de parler, de mettre les choses aux clairs, d'abord parce que je tiens à lui et que je ne veux pas qu'il s'éloigne de nous mais aussi pour éviter que tout cela divise notre famille et entraîne Nila dans la même spirale infernal de la rivalité qui sommeil toujours être Alek et moi. J'entrai dans le café, un peu nerveux et sceptique, ne sachant pas trop à quoi m'attendre. Je repère mon frère, bien fringué, propre et charismatique comme à son habitude. Je commandais rapidement un cappuccino avant de venir m'asseoir à la table, d'abord silencieux puis cassant cela avec un : " Salut Alek. " , qu'est ce qu'il faut que j'ajoute d'autre ? Je suis peut être l'aîné de la famille, celui qui se sent responsable d'eux mais j'en reste que le bras armé, le cerveau de la famille, c'est lui. " Alors, il va falloir qu'on parle de quelques sujets importants, tu veux commencer ? "
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Starbucks Coffee - Entretien avec un Renard.