ujourd’hui ça faisait un mois jour pour jour que j’étais en congé, même si je trouvais assez facilement quoi faire, je devais quand même me ménager surtout que j’arrivais bientôt à terme et que la fatigue se faisait de plus en plus pesante. Après avoir fait un brin de ménage, deux trois courses, je décidais d’aller à la rencontre de Jordan. J’y songeais depuis quelques temps maintenant. Seulement je n’avais jamais trouvé le bon moment pour lui demander si il serait d’accord pour devenir le parrain de mon futur enfant. Même si j’avais perdue une bonne partie de confiance aux hommes, d’avoir emménagée ici m’avais fait changé d’avis. Du coup j’étais partie pour le commissariat. Je m’étais décidée et motivée, rien n’y personne ne pourrais m’empêcher d’aller lui poser la question. C’était important pour moi. Jamais je n’oublierais notre rencontre, même si au final ça avait finis par déboucher sur une belle amitié. Arrivé au poste de police, je me présentais à l’acceuil et attendis patiemment qu’il arrive. Je feuilletais des brochures se trouvant près de moi. Je m’étais assise, rester debout commençait à devenir un peu plus compliqué à présent. J’étais comment souvent de bonne humeur, souriante, même si parfois il m’arrivait d’avoir des sauts d’humeur grâce à mes hormones. Je m’étais mise à caresser mon ventre, comme souvent depuis maintenant près de six mois, bien que j’étais enceinte de sept mois. Je ne m’étais pas aperçu de cette grossesse au début, si ce n’était que j’étais fréquemment barbouiller.

'avais toujours aimé faire des visites surprises à mes amis, surtout ceux proches comme lui. Du coup c'était toujours avec plaisir que je faisais mes apparitions. Excepté qu'aujourd'hui ma venue avait un but plus précis. Quelques instant plus tard, je lisais une brochure sur les drogues, une voix familière me sortit de ma lecture, c'était Jordan. Je souriais, me levant avec un peu de mal, je finis par y arrivé, en prenant aussi appuis sur mon ami. Il me demandait comment j'allais ainsi que la raison de ma venue, je ne pouvais pas lui reprocher d'être inquiet pour moi, ma grossesse n'était pas vraiment ordinaire puisque je me devais d'affronter cela seule, sans avoir un homme à la maison.

• Salut Jojo. Oui tout va bien t'inquiète pas. Rassure toi je vais bien, on va bien tous les deux. Je voulais juste te faire une petite surprise et aussi te parler d'un truc. Mais dis-moi toi ça va?

Comme souvent, je l'enlaçais tout en lui faisant la bise. Son inquiétude me faisait chaud au coeur et me réconfortais aussi. J'espérais sincèrement qu'on pouvait aller boire un café ou tout autre chose pour lui poser la grande question. Rien que d'y songer, je sentais déjà les larmes monté. Je n'avais jamais eu les larmes aussi facile que depuis le début de ma grossesse, c'était une horreur, j'avais l'impression de passer mon temps à pleurer.

inalement je n'étais pas déçue d'être venue le voir. Puis ça me permettait aussi de prendre l'air. Je ne supportais pas vraiment de passer mes journées enfermée dans mon appartement, j'avais bien besoin de bol d'air de temps en temps. Par chance il allait bien, son boulot n'était pas marrant tout les jours comme le mien mais tout finit par s'arranger, j'étais certaine que la situation allait se débloquer tôt ou tard.

• Ca finira par changer un de ses quatre.

Lorsque Jordan posa sa main sur mon ventre, je sentie le bébé bouger, ce qui me fis sourire. Je posais alors ma main sur celle de mon ami. Avec ses paroles il me fit penser à mes collègues qui étaient assez souvent sur mon dos vu que je n'était pas du genre à rester tranquille bien que parfois mon enfant me forçai au repos, là je prenais le temps.

• Oui, j'ai hâte de voir sa petite bouille, j'en peu plus, j'ai l'impression d'être une baleine. C'est bien pour ça que je suis en congé maternité. Je suis souvent assise sagement chez moi. Je sais que j'aurais pu t'appeler et te demander de passé mais je voulais rendre un peu le soleil et l'air. Une patrouille t'es sérieux? Tu crois sincèrement que ça m'arrêtera?

J'essuyais une petite larme au coin de mon oeil, sentir le bébé bouger, l'annonce que je devais faire à Jordan, me troublais beaucoup. Je pris les mains de Jordan les miennes, j'étais nerveuse de lui demander d'être le parrain. Je fini par prendre mon courage à deux mains ainsi que mon plus beaux des sourires et un ton plus que sérieux.

• Jordan, tu sais que je t'apprécie beaucoup, j'ai quelque chose de vraiment important à te demander. C'est quelque chose qui me tiens vraiment à coeur et tu aura le droit de prendre le temps que tu veux pour réfléchir et me donner ta réponse ... Jordan j'aimerais que ... que tu devienne le parrain de mon futur enfant. Tu as fais beaucoup pour moi en me sauvant la vie, t'es le seul que j'arrive à voir comme pouvant être un modèle masculin pour lui.