Stars Can't shine Without darkness Ft. Malia



 
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Stars Can't shine Without darkness Ft. Malia
Thomas Montgomery
Thomas Montgomery
Messages : 310
Lun 20 Juil - 20:39

   

   
❝Sous le ciel
   la grandeur de tes yeux❞
   Malia & Thomas
Demain soir, ce sera un soir de pleine lune et une fois de plus un combat a la mort allait avoir lieu. J’avais du mal à m’y faire, pendant des années ça ne m’avait posé aucun problème et depuis qu’on était à Beacon Hill, je faisais tout pour faire foirer les plans de Kellan. Je n’avais aucune idée de ce qui se passait et honnêtement, ça me gâchait un peu la vie – ou du moins ce qui en restait. Dix ans que j’étais prisonnier de ce cinglé, oui, il s’était occupé de moi et m’avait offert une éducation – si on peut appeler ça une éducation. Oui, il m’avait logé et nourris et il avait agi comme un père avec moi, mais il ne l’était pas et m’avait transformé en monstre. J’aurais préféré mille fois être le monstre de mes parents que le monstre de ce psychopathe. Après avoir sacrifiés six personnes, j’aurais cru avoir droit à une libération conditionnelle, mais apparemment ce n’était pas dans ces plans, j’allais devoir jouer le baby-sitter pour les jeunes de la ville qu’il avait kidnappé et attendre de savoir qui il désirait garder pour sa collection.  Jusqu’à présent, j’avais eu la chance de ne tomber sur aucun jeune avec qui j’avais passé l’été alors que j’étais enfant et que je visitais mes grands-parents. Devoir regarder un ami d’enfance mourir, sacrifié dans une cage m’aurais certainement retiré les dernières bribes d’humanité qui me restait.

J’étais assis au centre de la cage et je m’imaginais en train de combattre pour ma propre vie. Quelques fois, je me disais que ce serait la meilleure solution – de cette manière, je n’aurais plus à aider Kellan et je ne ferais plus de mal, mais, je ne tenais pas à mourir, je n’étais pas prêt. Je l’avoue. Je suis un lâche. Observant les barreaux et les taches de sangs qui ne s’effaceraient jamais, mon esprit vagabonda vers les derniers captifs de Kellan. Qui serait l’heureux élu? J’espérais de tout mon cœur que ce ne soit pas le jeune humain. Mais en vrai, je ne voulais pas les voir dans l’arène, ils étaient ici par ma faute, si je n’avais pas aidé les trois autres & Mackenzie à s’enfuir, le collectionneur n’aurait jamais attaqué la maison hantée à l’Halloween et nous ne serions pas dans cette situation. J’évaluai les chances de gagner de nos nouveaux locataires et décidai qu’aucun d’entre eux ne pourrait affronter la bête de demain. Je quittai l’arène et me dirigea vers la pièce où ils étaient tous enfermés. J’espérais qu’à cette heure, ils soient endormis, mais je savais très bien que c’était impossible de dormir dans cette pièce.

Je balançai une excuse banale à l’un des gardes et entra dans la pièce. J’avais toujours avec moi ma poudre de sorbier, mais je savais que c’était plus pour les protéger eux, que moi. J’avançais tranquillement vers celle qui s’appelait Malia. C’était magnétique, je ne savais pas vraiment pourquoi elle m’intriguait à ce point, mais je devais évaluer la situation et ce n’était pas avec la jeune coyote enfermé dans un donjon que j’allais pouvoir faire cela. Je m’accroupit devant elle, réalisa qu’elle ne dormait pas et lui offrit des menottes – pas n’importe quel type de menottes, des menottes à l’épreuve de tous, même d’un ours-garou apparemment. « Peux-tu les mettre? » J’essayais d’être le plus discret possible pour ne pas réveiller les autres. « Je sais que ma parole ne vaut rien, mais je te promets que rien de mal ne va se produire. » J’espérais qu’elle ose bien me suivre, car honnêtement, je ne voulais pas la voir dans la cage et avec le tempérament de la jeune femme, c’était l’une des meilleures candidates pour affronter le « test » du collectionneur. « Demain, c’est la pleine lune…Je veux simplement t’aider… »

   
© Pando
Thomas Montgomery
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Mer 22 Juil - 16:41
Sous le ciel , la grandeur de tes yeux.
Thomas & Malia
Qu'est-ce qu'il me veut ? Pourquoi me regarde-t-il de cette façon ? Pourquoi est-il amical avec moi alors qu'il est en parti la cause de mon malheur ?

La peur mais surtout la colère ornait mon visage qui d'ordinaire, était quand même bien plus détendu et appréciable. Là, j'avais envie de tout casser, de tout péter. Si je pouvais chopper ces fichus chiens, je leur ferrais passer un sale quart d'heure, c'est évident. Je tournais en rond dans cette cellule sombre, l'odeur émanant de cet endroit puait la mort et le sang, je ne savais pas trop s'il y en avait dans les environs mais je parierais cher que le sang avait coulé dans ces cellules, d'une quelconque façon en tout cas. J'avais peur, je ne pouvais pas le nier. Mais je faisais tout pour ne pas paraître apeuré de la situation que je ne comprenais pas vraiment. J'avais bien senti des autres souffles de vie dans les cellules avoisinantes mais pas de personnes que je connaissais réellement, du moins que j'avais sans doute aperçu de vue. Des gens de Beacon Hills et d'ailleurs, c'est évident. En tout cas, je voulais sortir et je trouverais bien un moyen de me barrer d'ici, quitte à faire le plus sale des coups tordus même au plus bête de cette bande d'abruties. Et il faut croire que l'abruti concerné c'était toi.

Oui, je t'avais déjà vue, j'avais voulu te refaire le cou plus d'une fois, car une Malia en colère, c'était jamais bon signe ! Une coyote-garou en colère, valait mieux passer son chemin surtout que j'étais vive et pleine de rancœur en ce moment. Oh la colère monterait vite au nez c'est évident. Alors que la grande partie dormait difficilement autour de moi, je m'étais recroquevillé dans un coin, essayant de calmer les battements de mon cœur, car faut l'avouer, je suis un peu claustrophobe sur les bords. Je n'aime pas être dans un si petit endroit et surtout privée de lumière. Je n'arrivais même pas à savoir si on était le jour ou la nuit, c'était insoutenable. J'en avais réellement marre et je donnerais vraiment cher pour m'en aller d'ici. Alors que je glisse mon visage entre mes bras qui eux-mêmes étaient calés sur mes cuisses, j'essaie de vaguement trouver le sommeil avant d'entendre un bruit de pas, me faisant automatiquement lever le nez. Je sens l'odeur de ta personne que je n'aimais pas. Je t'aimais pas tout court, tu étais bien l'un des responsables de notre enlèvement et je savais que t'agissait avec le mec qui nous voulaient du mal. Je commence à sortir les griffes, les crocs se dessinant déjà entre mes lèvres. Quand tu me donnes ses menottes, je plisse le front en balançant mes cheveux en arrière, te les balançant en pleine tronche :

« Dégage, tu peux rêver, tu vas m'emmener à la mort j'parie. » Grognais-je sans aucune bonne foi, avant d'écouter la suite de tes paroles. Je suis un peu curieuse de nature et je vois bien que tu es étrange avec moi, car l'excuse de la pleine lune c'est pas terrible bien que je ne savais pas si mes collègues de cellules savaient se maîtriser. Cela pouvait être une vraie boucherie ici.... Je soupire longuement avant de râler et de tendre le bras hors des barreaux et les ramasser en les mettant :
« T'a bien intérêt à rien me faire car j'ai peut-être les mains prises mais pas le reste. » Dis-je en te menaçant quand même de t'en foutre un bien placé si tu venais à me faire du mal. Je te laisse donc ouvrir la cellule, hésitant bien une seconde à me tirer et te frappant mais j'avais aucune chance comme ça.

« Pourquoi tu veux m'aider ? Ta des choses à te faire pardonner en priorité avec moi ou t'essaie juste de soulager ta conscience de frapper ? »


© Gasmask
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Thomas Montgomery
Thomas Montgomery
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Jeu 30 Juil - 21:56

   

   
❝Sous le ciel
   la grandeur de tes yeux❞
   Malia & Thomas
Elle était une véritable survivante et savait très bien se défendre, son caractère me paraissait si charmant – étrangement. J’évitai de répondre à ses premiers commentaires, elle pouvait penser n’importe quoi sur moi, oui, j’étais du côté des méchants, mais je n’avais connu rien d’autre. Toute ma vie adulte, j’avais été forcé par un Nixerian à tuer des gens et à prendre plus de pouvoir. Vivre sous le contrôle d’une créature surnaturelle n’était pas vraiment agréable, mais c’était tout ce que je connaissais. On m’avait élevé comme un chien. Une bonne action égalait une récompense, et puis un jour, c’est devenu un automatisme d’obéir. Je voulut l’aider à se relever et à la sortir de cette pièce qui puait l’humidité et la peur, mais je n’avais pas envie de perdre une main alors, attendit qu’elle me suive et répondit par la même occasion à sa question. « Pourquoi tu veux m'aider ? Ta des choses à te faire pardonner en priorité avec moi ou t'essaies juste de soulager ta conscience de frapper ? » Pourquoi je voulais l’aider elle en particulier ? D’après ce que j’avais vu, elle était la seule parmi le groupe qui avait une chance de gagner dans la cage et plus elle gagnait, plus longtemps les autres avaient des chances de survivre. « Tu sais, la plupart des gens qui sont ici, le sont contre leur gré. Moi aussi… Si je veux t’aider, c’est parce grâce à toi et tes amis, peut-être qu’un jour, peut-être, moi aussi je vais sortir de ce trou à rat. » Je n’avais jamais parlé de mon temps chez le collectionneur de cette manière, j’avais appris à ne pas le mentionner. J’avais autant de chance de sortir de cet enfer vivant qu’un scorpion pris au piège dans un feu. Après quelques minutes, je m’arrêtais brusquement et fis signe à Malia de ne pas faire de bruit. L’un des chasseurs de primes du collectionneur passait par là et je n’avais pas envie de répondre à ces questions donc je fis de mon mieux pour que nous restions dans l’ombre. Après tout, les chasseurs du collectionneur n’étaient pas tous des lumières et celui-ci ne se reconnaitrait même dans s’il fixait un miroir.

Nous reprîmes notre chemin et je poussai une porte. On arriva dans ce qui était mes quartiers. Une grande pièce avec un lien dans un coin, un divan et une minuscule télévision dans un autre coin, une table et une salle de bain attenante – pas de WiFi, évidemment. La pizza que j’avais réclamée était déposée sur la table, j’invitai Malia à entrer et m’assura que personne d’autre n’avait vu la jeune femme. Je refermai la porte et réalisa aussitôt que ça pouvait avoir l’air louche tout ça…  « Je me suis dit que ça ne te ferait pas de mal de prendre des forces, alors j’ai commandé une pizza, car, je ne savais pas trop ce que tu aimais… » Bon j’avais l’air louche une fois de plus. Je regardais les mains de Malia et lança de la poudre de sorbier au pas de la porte pour empêcher la jeune femme de sortir et puis m’approchant lentement d’elle, je pointais ses poignets. « Je peux t’enlever ça si tu veux… » Ma chambre était un luxe comparer le sous-sol froid dans lequel la plupart des captifs étaient garder. Je n’avais tout de fois par de fenêtre pour observer le ciel et les étoiles – j’avais que les gardes pour me réveiller lorsqu’ils avaient besoin d’un truc. Ma télévision ne captait que très peu de canaux et je devais avoir lu plus d’une trentaine de fois chaque livre qui se trouvait dans ma bibliothèque. Sur ma table de chevet, on retrouvait la seule photo de ma famille qui me restait, la seule photo que j’avais sur moi le jour où ce cinglé m’avait kidnappé. Je fixai Malia histoire de savoir si elle était prête à ce que je lui retire les menottes et croyant détendre l’atmosphère je laissai échappés trois mots que je n’avais pas prononcés depuis des années… « Moi c’est Thomas »…

   
© Pando
Thomas Montgomery
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Dim 23 Aoû - 11:52
Sous le ciel , la grandeur de tes yeux.
Thomas & Malia
Qu'est-ce qu'il me veut ? Pourquoi me regarde-t-il de cette façon ? Pourquoi est-il amical avec moi alors qu'il est en parti la cause de mon malheur ?

Oh ça oui, que j'étais une survivante, une survivante qui avait qu'une volonté : fuir. Un coyote, j'avais toujours mon âme de coyote et me retrouver coincé dans un lieu sombre, sans doute sous-terre car j'étais incapable de dire si on était le matin ou le soir, et surtout avec peu à manger, c'était la mort presque assurée. Je devais me barrer d'ici, par tout les moyens, même les plus insolites et les plus malsains. Bon bon... Je n'irais pas faire la lèche-botte à quelqu'un mais comme toi tu semblais t'intéresser drôlement à moi, j'étais sûr que je pourrais t'utiliser par les sentiments ou quelque chose comme ça. Mais je pensais plutôt à me libérer d'une autre manière avant de penser à quelque chose comme ça, surtout que je ne savais pas vraiment me maîtriser. Et oui, j'étais quelqu'un de direct et le souci, c'est que je mentais assez mal dans mon genre, la sincérité c'était quelque chose de très vrai avec moi !

Je te suivis donc sans faire de bruit, n'étant pas très rassuré par ces types qui surveillaient les allers et retours des gens. Leurs odeurs étaient ignobles en plus, vraiment. Mes yeux piquaient un peu avec les néons que je voyais, cela faisait un moment que j'avais pas vu de la lumière et cela me faisais mal. Grand dieu que j'avais envie de te renverser ou te tuer pour sortir, surtout que tes paroles me laissaient à la réflexion. Comment ça t'était coincé ici ? C'était bien toi qui nous avais kidnappés avec les autres sbires de ce mec non ? Tu n'avais pas l'air malheureux, c'est surtout ce que je me dis en voyant ta chambre. Tout le confort nécessaire. Soft mais bien. J'aimerais mieux être ici que dans ma foutue cellule avec des loups et autre bestioles qui ont du mal à se contrôler, surtout que je sentais qu'une pleine lune approchais et que sans le savoir, tu faisais exprès de m'en extirper pour que je sois à l'abri. Trop aimable de ta part. C'est certain.
Je tends sans attendre les mains vers toi quand tu me proposes donc de me libérer de ses fichues menottes, me massant les poignets une fois fait. J'observe sans grande gêne les lieux, regardant en effet cette unique photo posée sur la table de chevet. Je ne dis cependant rien la concernant car je m'en fichais un peu en faite. Je finis par me tourner avant de lancer :

« Pourquoi tu me fais un traitement de faveur ? J'ai quoi de plus que les autres pour mériter ta sympathie ou une pizza, ou je sais pas trop quoi ? Et qu'est-ce que tu voulais dire tout à l'heure par contre mon gré ? T'es ici car on te le force vraiment ou t'a choisi ça car c'était plus simple ? Car pardon de croire ça, mais tu m'a pas l'air malheureux ici, en étant son chouchou où je ne sais pas quoi. Mais sache que mes amis t'aiderons pas. Ta fais du mal j'en suis sûr. On n'aide pas ceux qui ont tué ou fait du mal. » Dis-je assez fermement, tout en me jetant volontiers sur la pizza qui était là .Bah quoi ? T'avais bien dit que c'était pour moi non ? Au diable les bonnes manières, je crevais de faim.



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Thomas Montgomery
Thomas Montgomery
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Mar 8 Sep - 15:48

   

   
❝Sous le ciel
   la grandeur de tes yeux❞
   Malia & Thomas
« Pourquoi tu me fais un traitement de faveur ? J'ai quoi de plus que les autres pour mériter ta sympathie ou une pizza, ou je sais pas trop quoi ? Et qu'est-ce que tu voulais dire tout à l'heure par contre mon gré ? T'es ici car on te le force vraiment ou t'a choisi ça car c'était plus simple ? Car pardon de croire ça, mais tu m'a pas l'air malheureux ici, en étant son chouchou où je ne sais pas quoi. Mais sache que mes amis t’aideront pas. Ta fais du mal j'en suis sûr. On n'aide pas ceux qui ont tué ou fait du mal. » Elle n’avait pas tort, d’un côté, j’étais un meurtrier –qu’on m’aille contrôler ou pas et elles et ses amis n’aiderait jamais quelqu’un comme moi. Je représentais tout ce qu’ils avaient toujours combattu – depuis le Nogitsune, je les avais vus défendre cette ville contre les pires menaces, qu’elles soient humaines ou pas. Le fait que j’avais sauvé la vie, ou plutôt ramené à la vie l’un de leurs amis ne m’aiderait pas non plus à paraitre plus humain aux yeux de la jeune coyote. J’avais commis des horreurs, et même si je les regrettais, je ne pouvais pas les effacer, oui j’avais un peu de luxe dans ce monde de cinglé, mais après avoir passé près de 10 ans ici, j’avais appris à fermer ma gueule et faire ce qu’on me demandait. « Un traitement de faveur? Si j’étais toi, je verrais sa comme un dernier repas comme tu es celle de ton groupe qui est le plus à risque de se retrouver dans la cage. »  J’avais soudainement changé de ton, peut-être que c’était dû au fait que je tentais de l’aider et qu’elle ne faisait que japper des insultes. J’avais l’impression qu’elle voyait la vie soit tout de noir ou tout de blanc. Pourtant, il y a des nuances à vie, rien n’est tout blanc ou noir, il y a une zone grise et elle ne semble pas avoir encore réalisé ça. Elle ignorait et ignorerait toujours que j’avais été celui qui avait aidé ses amis à s’enfuir la première fois – y compris son ex-petit ami selon ce que disaient les recherches que j’avais faites pour Allison. « C’est pas de la sympathie, uniquement de la logique. Un combattant affamé, n’offre pas de spectacle » Je m’assoyai sur mon lit et l’observa, elle était encore si jeune et avait une vie qui l’attendait, des gens qui l’aimaient et des rêves à réaliser. Je calmais ma respiration et tenta de changer de ton. «Contre mon gré, signifie que j’en avais pas envie. Si tu ne connais pas encore les Nixerians, tu sauras que c’est eux les véritables monstres dans cette histoire.» Si seulement elle savait ce que c’était que de se retrouver dans la cage, elle ne serait probablement pas aussi arrogante. Je m’y étais retrouvé à mainte reprise et chaque fois, j’avais l’impression que ma dernière heure était venue. « Toi et tes amis n’avez pas besoin de vouloir m’aider. Vous le ferez sans même y penser. Si vous faites tomber le collectionneur, on pourra enfin quitter cet endroit...Je n’ai même pas besoin de demander de l’aide, c’est un effet domino. » Je n’avais pas mentionné Allie pas principe, mais selon les documents recueillis sur la jeune argent, elle n’avait pas vraiment eu d’interaction avec la jeune coyote et donc, même si j’avais mentionné son prénom, elle n’aurait eu aucune idée de qui je parlais. « Et puis, si tu ne veux pas de ma *sympathie* je peux toujours demander à un garde de te ramener dans ta cellule. » j’avais pris la peine de faire des signes de guillemets avec mes mains lorsque j’avais mentionné le mot sympathie.

   
© Pando
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