Me & my girls - Emma, Alejandra, (Alycia)



 
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Me & my girls - Emma, Alejandra, (Alycia)
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Lun 20 Fév - 15:46
BFF
with Emma & Alejandralycia

Une pièce en somme toute claire, blanche, lumineuse, et idéalement couverte de rayons de soleil, la réchauffant tandis qu’allongée sur ton canapé, tu t’accouplais avec la sieste bien méritée, en jeans, en débardeur, sans soutien gorge serré et désagréable, sans chaussettes, sans rien d’autre qu’un sous vêtement – pour la décence –, et un bracelet comportant le cadran d’une montre. Tranquillement allongée, les yeux clos, tu embrasais ce doux repos, t’en servant pour penser au problème d’Emma. Elle ne t’avait pas dit grand-chose. Il fallait dire que parler d’un meurtre au téléphone, combien même il relevait de la légitime défense, n’était pas le meilleur moyen de se défaire de son poids et du jugement qui pouvait se masser sur les épaules ; Tu le savais, pour avoir déjà tué. Mais c’était différent, n’est-ce pas ? Toi, tu tuais un criminel, à bout portant, faisant ton travail. Elle, elle tuait un homme tentant de la violer. En soit, elle était dans un meilleur cas et élan de conscience que toi, mais la tienne était forgée pour ce métier dangereux, pas la sienne…

D’après ce que tu avais compris, la pauvre n’avait rien pu faire d’autre, l’homme trop affamé de sexe – et Emma était très jolie… si jolie qu’il t’arrivait de la mater longuement, parfois – se jetant sur elle, la bloquant, la laissant avec cet ultime choix de se défendre, et ce risque atteint de tuer l’assaillant…
La pauvre.
Lorsque c’était arrivé, tu avais reçu son appel affolé, mais tu ne pouvais pas l’aider. Parce que pour une raison ou pour une autre, une sorte de champ de force étrange opérait autour de Beacon Hills, et tu n’avais pas pu sortir, alors qu’Alycia pouvait le traverser. Chose horrible, bloquée dans la ville, tu n’avais pu que proposer deux alternatives à Emma : qu’elle reste et que tu tentes de l’aider en passant des appels, ou qu’elle vienne, et que tu puisses l’aider ou la protéger, mais au risque qu’elle soit considérée comme un délinquante de fuite, et donc une potentielle coupable.
Elle avait choisi de venir, et tu allais t’assurer que toutes les charges contre elle soient abandonnées. Tu lui avais ainsi envoyé un sms le matin même, lui demandant de venir pour l’après midi, pour en discuter, pour la réconforter, pour lui faire parler d’autre chose. N’importe quoi.
Tu réfléchissais à toutes les manières de l’aider, et tu allais t’assurer de faire ce qu’elle voulait. C’était pour cela que, allongée, tu te reposais les yeux, le corps et l’esprit. De manière à être plus capable de réfléchir. S’il s’agissait de lui trouver un avocat, cela allait être ardu. Dans la ville, peu d’avocats étainet bien que tu avais entendu parler d’une, une grecque. Peut-être serait elle bonne ?
S’il s’agissait de faire disparaître de la base de donnée les échantillons d’ADN, les caméras, ou n’importe quoi d’autre, tu allais devoir rentrer en contact avec quelques anciens amis de la Crim’ et des Stup’ de Rio. Cela allait sans doute prendre du temps, mais tu étais confiante.
S’il s’agissait de la tenir à l’écart de la police, tu pourrais toujours dire que tu t’occupes de son cas pour éviter un afflux trop important de policier dans les environs, cherchant pour cette pétillante blonde.

Néanmoins, tu espérais que tu pourrais lui donner son sourire qu’elle avait lorsque vous alliez danser. Lorsque vous alliez boire. Lorsque vous regardiez un film. Lorsque vous vous amusiez. Depuis que cette demoiselle de cinq ans plus jeune que toi t’avait aidée, alors qu’Alycia semblait avoir un problème in utero, vous étiez devenues amies. Puis, au fil du temps, le simple terme d’amies ne vous convenait plus, et vous l’aviez remplacé par « meilleures amies ». Une version adulte de « Meilleures amies pour la vie », bien que la signification restait la même.

Lorsque tu entendis ta petite puce ramener cinq peluches d’un coup dans le salon pour prendre le deuxième des canapés formant un carré convivial dans ton salon, tu souris, et ouvris un œil pour la voir, cette enfant que, d’une certaine façon, Emma avait sauvé. Cette enfant qui adorait sa salvatrice sans même savoir ce qu’elle avait fait pour elle. Sentant la caresse d’un bras de soleil droit sur tes yeux, tu grimaças ton visage, plissant quelque peu ton visage avant de gémir puis de doucement parler à ton petit trésor Ma puce… Tu sais qu’Emma va bientôt arriver hein ? _ Ben oui maman… Je prépare les peluches pour elle. Monsieur Billy il voulait la voir, et il amené Maman2, Chloé, Sébastien, et Calin. Tu souris. Monsieur Billy était un poulpe violet avec des lunettes de soleil, et la blondinette avait décrété qu’il était amoureux d’Emma. Maman2 était, selon Alycia, la peluche qui agissait comme toi. C’était une souris verte, ce qui te faisait toujours te poser cette question : est-ce un compliment ?
Chloé et Calin étaient respectivement un chat gris et un chien rouge, qu’Alycia adorait tout particulièrement. Sébastien, quant à lui, était un doudou représentant le crabe Sébastien dans l » Petite Sirène. Ce devait être le préféré de ton enfant.
L’observant avec attention, tu la voyais placer sur les coussins ou entre eux les peluches, avant de repartir dans sa chambre.
Elle revint quelques instants plus tard et te montra un dessin représentant Emma, Quinn et toi la soulevant. C’était fait de façon enfantine, mais c’était mignon, aussi t’exclamas tu Wow ! Mais c’est que tu deviens une véritable artiste. En réalité, tu te demandais bien ce qu’allait dire Emma. Elle allait sans doute te taquiner – ou pas – sur la femme qui vivait avec toi – bien qu’elle bossait aujourd’hui –, Quinn Avery. Tu lui en avais déjà parlé, alors qu’elle n’était qu’un simple plan cul, une nuit de sexe. Une pensée collée à ton esprit. AU fur et à mesure, tu avais commencé à parler de celle-ci comme une femme qui t’attirait vraiment, aussi, bien que la raison de son déménagement dans ton appartement n’était pas aussi amoureuse qu’elle aurait dû être, tu te demandais ce qu’allait en penser ta meilleure amie.

Lorsqu’Alycia eut fini de préparer le canapé des peluches, comme si Emma avait attendu pile ce moment là, la sonnette retentit et tu te levas. Tu n’eus même pas le temps d’aller vers la porte que ton enfant l’ouvrait déjà, s’écriant EMMAAAAAAA !, avant de lui sauter dans les bras.
Ne te la laissant pas, tu l’enlaças, bloquant Alycia entre le corps de ton amie et le tien, avant de lui demander Comment vas-tu ? Et de lui dire Entre, entre, ne reste pas sur le pallier.
Une fois que ce fut fait, Alycia se précipita sur le canapé des doudous pour prendre Monsieur Billy dans une main, le dessin dans l’autre. Elle se présenta alors devant la splendide blonde, avec un grand sourire, et lui tendit les deux objets. Monsieur Billy veut te faire un bisou, et moi je t’ai fait ce dessin !
Il n’y avait pas à dire. Alycia aimait presque Emma autant que toi.


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Mar 21 Fév - 19:32
     

Alejandra K. Ferreira ♦ Emma G. Dietrich

Titre du RP
L
Alejandra était l’une de mes raisons de mon arrivée dans cette petite ville, j’étais maintenant arrivé depuis plus d’une semaine et je ne l’avais toujours pas appelé. Je ne savais pas vraiment comment m’y prendre, je savais qu’elle allait me poser de nombreuses questions sur le meurtre que j’ai commis. Même si elle était ma meilleure amie, je ne savais pas comment aborder ce sujet. Je ne savais même pas si j’allais être capable d’en parler, si les mots allaient sortir de ma bouche. Mais je devais faire un effort, elle avait fait tellement de choses pour moi que je me devais de lui raconter toute la vérité, elle était ma moitié. La seule qui avait réussi à remplacer ma sœur dans mon cœur, je ne pouvais pas lui cacher ce secret. Je savais qu’avec elle, je n’avais besoin d’installer aucune barrière et cela allait dans les deux sens, elle n’avait pas hésité à m’avouer son attirance pour les femmes ce qui est, en somme, bien pire que de tuer un homme qui essaie de vous violer ce n’était que de la simple défense.

J’avais rencontré Alejandra il maintenant bien des années et pourtant à chaque fois que j’allais la voir, je ne savais pas quoi lui offrir. J’enfile rapidement une robe blanche en dentelle avec des bottines avant de prendre la sortie en direction de chez elle, une petite douceur en main que j’avais préparé la veille. J’avais besoin de manger pour lui avouer ce que j’avais sur le cœur, besoin compulsif de chocolat. Alejandra m’avait assuré que la ville était calme et qu’ici, je ne risquais rien, même si pour une raison qui m’échappe, elle n’avait pas pu venir m’aider. Mais connaissant Alejandra, je savais qu’elle avait déjà des plans allant de A jusqu’à Z. Je n’étais pas du tout comme elle, disons que je ne cherchais pas vraiment de plan de secours, j’avais simplement et surtout bêtement pris la fuite à la première occasion.

Je n’avais pas vu le temps passer, voilà que je me trouvais face à la maison d’Alejandra. Je n’avais qu’une seule envie, prendre mes jambes à mon cou et courir loin sans je ne jamais revenir, je ne voulais pas que l’image qu’elle avait de moi change à ses yeux surtout pas maintenant. Mais, j’avais ce gâteau beaucoup trop sucré en main. De ma hauteur, j’arrivais à voir les boules de maltesers tomber sur les kit-kat. Après une grande respiration, je frappe à la porte.

Je m’attendais à tout, sauf à voir le petit ange qui saute dans mes bras pourtant bien assez charger comme ça « Bonjour toi… Tu n'aurais pas grossi depuis la dernière fois ? » Mais comme si je n’étais pas assez chargé voilà qu’Alejandra rajouta de la masse, je me mets a rire en la serrant à mon tour « Un peu compressé, mais je vais bien et toi ? » Entrant dans la maison, je donne rapidement le gâteau a Alejandra pour m’alléger avant de regarder la petite et sourire en coin « J’ai un petit cadeau pour toi ! Mais je ne sais pas… Tu as été sage ? » Je porte mon regard sur Alejandra et penche la tête sur le côté « Vu l’invasion de peluche dans ce côté du lit, je suppose que tu étais allongé ? Tu es certaine que je ne te dérange pas ? Je peux repasser plus tard ou… ? » Alors que j’avance dans la maison Alicya revient en courant pour me donner un dessin, je regarde un arquant un sourcil et me baissant à son niveau « Tu m’expliques ce dessin ? » Je regarde le fameux Monsieur Belly et me mets à rire avant de chuchoter à Alicya « Tu penses que je peux lui faire un bisou ? » Relevant la tête, j’implore limite Alejandra du regard « Un thé ? J’ai besoin de parler ! »



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Mer 22 Fév - 6:50
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with Emma & Alejandralycia

Lorsqu’Emma était dans les environs, Alycia était toujours excitée. Elle l’aimait énormément. Cette jeune femme était sans aucun doute tout ce qu’Alycia rêvait de devenir… Car la mini blonde voulait être belle, forte, et aider tous ceux qu’elle pouvait. Ainsi, ton enfant avait idéalisé ton amie, et pour elle, celle-ci agissait presque comme une tante, une marraine, une grande amie.
Alors lorsque la blondinette te passa entre les jambes pour lui donner le poulpe violet et le dessin, alors que tu tenais l’énorme gâteau qu’Emma avait préparé, tu n’avais pas été étonnée. Tu avais même réussi à le prévoir, si bien que la gourmandise de taille était restée intact, ce qui, en soit, était une grande victoire de ton point de vue. Tu posas la pâtisserie sur la table, tandis qu’Alycia parlait de son dessin à la belle blonde. Alors, là, c’est toi, Emma. On te reconnait parce que tu es un peu plus grande et blonde. Là, c’est Quinn, l’amoureuse de maman. Et là, c’est maman. Et vous me soulevez parce que je suis très belle et très mignonne. Tu regardais ton amie, les yeux rieurs, ta main sur ta bouche pour ne pas rire, alors que ta propre fille se savait évidemment une beauté. Puis Alycia assura à Emma qu’elle pouvait embrasser Monsieur Billy, avant que tu ne reçoives le signe. Un regard qui te fit perdre toute envie de rire. Bien entendu. Ta sœur de cœur avait un problème, et bien que le rire faisait du bien de temps en temps, il était important de ne point perdre de vue l’objectif de ce rendez vous. Tu répondis alors Ne t’en fais pas, tu ne me dérange pas. Et pour le thé, bien sûr. Je te fais ça, installe toi.
Tu regardas alors Alycia, qui avait un œil perdu sur le gâteau – comment faire plaisir à ta fille ? oh, juste avec un gros gâteau au chocolat comme celui qu’Emma avait ramené – et tu lui demandas Alycia ? Je sais que tu veux le dévorer, et passer du temps avec Emma, mais pour le moment nous devons discuter. Va dans ta chambre s’il te plait. _ Mais maman… je suis grande. _ Alycia… S’il te plait mon ange. _ Mais nan ! _ Alycia. En tu habitación. Inmediatamente. (Alycia. Dans ta chambre. Tout de suite.) _ Pero eso no es justo. Yo quería jugar con Emma. (Mais c’est pas juste. Je voulais jouer avec Emma.) Etant donné que tu parlais quatre langues couramment, bien que l’anglais et le français étaient les moins maitrisées, tu apprenais depuis son plus jeune âge à ta fille à parler dans ces quatre langages complètement différents. Ainsi, il n’était pas rare, et depuis le temps, Emma, Quinn, ou n’importe qui te connaissant assez et connaissant ta petite famille, n’étaient plus étonnées. Il était normal que certaines phrases d’une conversation entre mère et fille passe d’une langue à l’autre. Généralement, cependant, l’espagnol servait à la contrainte. Lorsque tu devais donner un ordre qui ne te plaisait pas, ou lorsqu’Alycia se plaignait. Mais voir ta fille avec des larmes aux coins des yeux, désirant plus que tout s’amuser avec ton amie te fendait le cœur, aussi rajoutas tu rapidement Après notre discussion, on mangera du gâteau toutes les trois, et tu pourras t’amuser tant que tu veux avec Emma, d’accord ?. Son visage s’illuminant, elle hocha la tête avant de s’approcher de la splendide blonde, et de lui laisser le dessin et Monsieur Billy. Elle lui dit alors Si tu manges tout le gâteau sans moi, je vais bouder. Tu souris alors. Alycia, tout comme toi, connaissait l’amour entre Emma et le chocolat.

Ensuite, ta fille vous laissa, et alla jouer dans sa chambre, tandis que tu préparais le thé. Enun même temps, tu sortis trois assiettes et cuillères, sachant pertinemment qu’Emma allait avoir besoin de manger, et les disposas sur la table, tout en lui disant, ton accent devenant étrangement plus marqué, sans doute parce que tu réfléchissais à autre chose qu’à tenter de l’atténuer. Alors… Avant tout, je suis vraiment contente que tu sois là. Je suis désolée, pour une certaine raison complètement invraisemblable, je suis incapable de sortir de la ville. Je t’expliquerais. Le thé se mettant à siffler, tu retournas t’en occuper, avant de servir dans deux tasses, les apportant alors à la table, devant Emma et en face d’elle, pour finalement t’assoir aussi. Une fois ton regard turquoise plongé dans ses beaux yeux bleus, tu repris. Et cette histoire est tellement… Oh mon dieu, je suis vraiment désolée pour toi. Ça va ? Tu tiens coup ? Parce que tu as vécu quelque chose d’horrible.
Tu avais envie de parler. Tu avais envie d’étendre ton plan… Tes plans. Tout ce que tu avais pu faire, tout ce à quoi tu avais pu penser pour débarrasser Emma de ses charges, et de ses potentiels problèmes mentaux, si problèmes il y avait. Car une tentative de viol et un meurtre, même par légitime défense, pesaient lourd sur la conscience et pouvaient mener à des traumatismes.
Ainsi, comme pour tenter de réchauffer l’atmosphère, tu lâchas un EN tout cas, tu n’as pas perdu ton sens de la mode. Tu esquissas un maigre sourire, mais ton cœur avait mal. Mal pour elle. La pauvre infirmière ne méritait pas cela. Emma méritait tout sauf qu’on tente de la blesser, ou qu’on lui inflige pareille souffrance morale.
Ainsi, l’écoutant parler, l’invitant par la tranche de son gâteau que tu lui servis, avant de te servir toi, à se livrer, et à parler de tout ce qu’elle voulait. SI elle voulait raconter en détails, si elle voulait une parole réconfortante, si elle voulait se changer les idées, si elle voulait te taquiner sur Quinn, elle pouvait sentir qu’elle était libre de le faire. Que tu lui apporterais toute l’aide dont elle aurait besoin, et ce, sans la moindre hésitation.
Après tout, elle avait dépassé le stade de meilleure amie. Elle était quasiment ta sœur. Une sœur par choix, et non par sang.
Une sœur de cœur.


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Ven 24 Fév - 20:34
     

Alejandra K. Ferreira ♦ Emma G. Dietrich

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e regrettais sérieusement de ne pas être venue directement chez Alejandra à mon arrivée en ville, mais les choses n’étaient pas si faciles. Elle avait sa vie de famille, sa copine. Du moins, je pense que c’est toujours le cas vu le dessin que venait de m’offrir Alycia, je devais essayer de me faire pardonner pour mon absence. J’avais malheureusement besoin de temps pour réfléchir à ce que j’avais fait, besoin de savoir si je devais en parler ou non a Alejandra. Elle était oui ma meilleure amie, mais il ne fallait pas oublier qu’elle restait un agent de police avant tout. Si, je venais à lui raconter mon histoire, elle aurait été coupable de complicité de meurtre. Je ne voulais pas de ça pour elle, elle perdrait sa fille, sa vie de famille. Elle perdrait tout ce qu’elle a mis si longtemps à construire, je devais savoir son avis avant de lui confier ce lourd secret.

J’avais rapidement préparé un de mes fameux gâteaux, pour Alycia oui, mais aussi pour non. Et, comme à son habitude le gâteau fit une ravie, j’avais réussi à voir les yeux d’Alycia devenir ronds comme des billes à la vue du gâteau, mais malheureusement pour moi. Cette petite princesse était beaucoup trop occupée à me mettre en couple avec ce… Poulpe ? Sérieusement, je sais bien que mes relations peuvent se compter sur les doigts d’une seule main, mais … Un truc violet … Elle n’avait pas un petit Ken en stock ?

J’embrasse malheureusement le poulpe avant de prendre le dessin et de l’observer avec intention « Tu sais que tu es douée pour les dessins ? Une vraie petite artiste » Je l’embrasse à son tour avant de lui chuchoter, « C’est vrai que tu es très belle, mais je connais une personne qui veut faire ta connaissance » Je la pose sur le sol avant de me diriger vers la porte et de prendre une poupée grandeur nature qui ressemblait comme deux gouttes d’eau à Alycia, même taille, même couleur de cheveux « Je te présente…. Je ne connais pas son prénom ! » Je me mets à chercher dans tous les coins le nom de la poupée avant de me mettre à rire « Quinn ». Non ce n’était pas son vrai nom, mais j’avais envie de taquiner Alejandra et, je savais qu'Alycia allait lui en faire voir de toutes les couleurs.

Je m’approche à nouveau de la table en attendant mon thé et écouter le discours des deux, je secoue la tête. Cette enfant était aussi intelligente que sa mère, voir même encore plus ! J’essaie de garder le sourire en regardant le dessin du temps qu'Alycia arrive dans sa chambre, j’étais assez mal à l’aise dans parler en sachant qu’elle se trouve dans la maison. Elle avait l’âge parfait… L’ignorance la pureté.. L’enfance est un âge qui passe beaucoup trop vite. « Je promets de t’attendre pour manger le gâteau » Même si une part se trouvait déjà face à moi, je ne trouvais plus la faim. Je ressentais à nouveau du dégoût pour tout, plus aucune envie en moi. Heureusement, Alejandra se mit à parler de la barrière qui entour la ville, je fronce le regard et m’attache les cheveux « J’ai cru comprendre oui, mais tu n’es pas la seule … Je ne sais pas ce qui se passe, mais peut de personne arrive à quitter la ville. Alycia a essayé ? »

Les discussions sérieuses commençaient, mais devais-je parler à Alejandra de mon problème ? Devais-je lui dire toute la vérité ? Essayer d’inventer un autre secret ? Je soupire en ne sachant pas quoi faire. Mais Alejandra n’était pas qu’une simple amie pour moi, elle était celle qui avait réussi à prendre la place de ma sœur dans mon coeur. Je me devais de lui dire toute la vérité « Pour commencer .. Tu es certaine de vouloir savoir ? C’est qui fera de toi une complice ? » Je soupire en détachant mes cheveux, une habitude que j’avais prise lorsque je stressais « Par où commencer ?… Il y avait ce médecin. Je ne voulais .. Enfin, tu sais … Faire la chose. Et il m’a forcé, je me suis défendu et lorsque je suis partie … Il était comme mort. »

Une larme coula de ma joue, une larme qui n’eut pas le temps de faire du chemin puisqu’elle a été balayer par ma main au bon moment. Je ne voulais pas habiller mon maquillage, un petit rire s’échappa de mes lèvres. « C’est pour faire gros, mais je vais bien, tu vois même toi, tu trouves que je n’ai pas changé » Je hausse les épaules avant de regarder le gâteau et pousser l’assiette « Et toi alors … Quinn et toi ? »




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Ven 24 Fév - 22:09
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with Emma & Alejandralycia

Tu devais bien avouer que tu avais écarquillé les yeux de surprise en voyant la poupée grandeur nature. C’était un merveilleux cadeau, mais surtout assez peu ordinaire. Tu restas presque bouche bée, alors qu’Alycia l’accueillait avec une passion qu’on lui voyait souvent avec Emma, cette femme étant une de ses grandes amies. Ainsi, en réceptionnant la poupée, elle écouta le nom avant d’éclater de rire, tandis que tu plaças ta tête dans ta main, sachant bien évidemment ce qu’Emma avait en tête, et surtout ce qui allait se passer. Alycia allait continuer, encore et encore, à te rabâcher les oreilles avec sa Quinn. Et Quinn allait sûrement faire de même en réalité. Ce qui te fit lâcher un sourire. Ainsi, Emma eut le droit un un gros câlin de la part de la petiote.

Ainsi, la suite se déroula. Une fois qu’Alycia fut partie dans sa chambre à contrecœur, la discussion sérieuse commença. Lorsqu’Emma te demanda si Alycia avait essayé de sortir de la ville, tu répondis que oui, et qu’elle avait réussi, avant de demanderEt toi ?.

Mais la réelle discussion concernait la raison de la venue d’Emma dans cette ville. Comme tu n’avais pas pu venir l’aider, tu l’avais attirée. Et bien que tu t’en voulais de ne point avoir pu sortir, tu étais bien contente qu’elle soit enfin à porter de main… Mais cette possible joie s’évapora lorsque la belle te raconta ses mésaventures. La douleur dans sa voix, les pleurs qui semblaient avoir été versés, le malaise même qui se créait lors de cette explication te faisait du mal. Tes poings se serraient, ton visage se crispait de rage, et tout ce dont tu pouvais penser était la punition. Ton amie, ta meilleure amie, qui était presque ta sœur, avait subi un viol. Tu n’avais pas besoin de lui demander les détails. Tout d’abord parce que tu la comprenais mieux que quiconque et savais que si elle avait pu échapper à cet abus sexuel, elle aurait ensuite assuré que rien ne s’était passé. Mais non. Le médecin avait osé introduire son membre en elle par la force, et une larme de colère se propagea sur ta joue, que tu ne daignas pas essuyer. Cette pourriture avait blessé ton amie, et tu avais envie d’échanger de place un court instant. Soit pour éviter à Emma de subir cela, soit pour punir toi-même ce violeur, ce salopard. Comment était-ce possible ? Comment quelqu’un comme ceci pouvait exister. Ce drame te rappelait pourquoi tu étais devenue agente de police. Pour placer les criminels en prison, pour amener la justice, et nettoyer les rues des ordures. Et pourtant, chaque jour, quelque chose comme cela se passait. Sauf que cette fois ci, cela t’avait touché directement en s’attaquant à ta « famille ». Tu écrasas le poing sur la table, et Emma dut sentir que tu allais déverser ta rage envers ce mécréant, puisqu’elle changea de sujet. Tu la regardas, forte, et courageuse, essuyant la larme de sa main, avant de t’agenouiller devant elle. Tes pieds à même le sol, ton tatouage en partie caché, tu finis par la prendre dans tes bras, la serrant aussi fort que tu le pouvais, sans pour autant lui faire mal. Emma n’aimait pas que l’on vio… pénèt… s’immisce dans son espace vital, mais en tant que sa meilleur amie, tu avais ce droit que presque personne d’autre n’avait. Ce droit de la surprendre ainsi, de la garder contre toi, de lui faire subir cela. Tu avais le droit de la prendre dans tes bras sans lui faire mal, tu avais le pouvoir de la laisser se vider de ses larmes, tandis que tu lui assurais lentement, doucement, à l’oreille, que tu ne laisserais plus jamais quelque chose du genre arriver. Tu ne pouvais pas rester sans rien faire après tout…
Puis lorsque tu la lâchas, tu la regardas avec ces yeux, cristaux des océans, dans ces lacs bleutés, avant de lui assurer que Je vais te sortir de cette merde, je te le promets. Et j’espère qu’il est bien mort cet enfoiré. Et s’il le faut… Tu ne terminas pas ta phrase, mais tes yeux étaient parfaitement compréhensibles. Et Emma te connaissant bien, tu savais qu’elle devinerait que la fin de tes dires étaient « j’avouerais le meurtre et me désignerais comme la coupable. » Comprenant qu’elle comprenait, tu lui souris Ne t’en fais pas… J’ai même un plan pour cette dernière alternative…
Un plan ? Oui… Si tu devais porter le fardeau du meurtre, tu allais devoir effacer tout ce qui dévoilait ta présence à Beacon Hills au moment du meurtre, avant de plaider le danger public que le monstre médecin était. Ainsi, avec un bon avocat, tu pourrais n’être poursuivie que pour le crime d’avoir fui la scène. Mais au moins, Emma comprenait qu’être complice de meurtre ne te dérangeait pas, si c’était pour protéger ta famille, famille dont elle faisait aussi partie.
Sinon… Quinn et moi… euh…

Quinn et toi ? Vous viviez sous le même toit, mais plus parce que Quinn n’avait pas d’’endroits où aller. Quinn et toi ? Non, ce n’était pas de l’amour. Mais lorsque tu passas à cela, tu rougis, machinalement, et Emma devait sans doute te percer à jour plus que toi tu ne le faisais. Tu ne pensais pas être amoureuse, mais tu l’étais. Et Emma allait sans doute le voir. Quinn te plaisait. Quinn faisait battre ton cœur, d’une certaine façon qu’aucun homme ou aucune femme ne l’avait fait avant. Et vu que tu avais parlé à Emma de toutes les relations que tu avais eues…
Néanmoins, toujours aveuglée, tu ne prononças pas le mot « amour ».
Elle vit ici depuis quelques temps. Et… Je… je suis bien avec elle… Et en plus, c’est une détective. J’ai pu avoir des dossiers sur ton affaire grâce à ses contacts. Tu étais rouge.
Et tu avais ce petit éclat dans les yeux, qui montrait à tous ceux qui savaient le décrypter tes réels sentiments à l’égard de Quinn…
Mais de toutes façons, Quinn ne ressentait pas la même chose. Si ?

electric bird.



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Lun 27 Fév - 12:34
     

Alejandra K. Ferreira ♦ Emma G. Dietrich

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avais besoin de vider mon sac, besoin d’en parler. Même si , Alejandra fait partie de la police. Je savais qu’elle était la bonne personne pour parler de mes problèmes, et non, car elle était ma meilleure amie. Mais plutôt, car elle avait remplacé la place de ma sœur, une sœur dont le visage m’était inconnu à ce jour. Je ne l’avais pas revu depuis mes quinze ans. Voilà que deux ans plus tard, j’avais retrouvé le sourire grâce à Alejandra.

Alejandra était une femme pleine de vie, elle avait tout ce qui fallait pour être un parfait exemple. Du point de vue plus personnel, elle savait comment me conseiller. Elle savait donner les bons conseils au bon moment, les mauvais aussi arrivait. Mais les mauvais conseils arrivaient souvent lorsqu’un homme était dans la conversation, Alejandra était observer par l’idée de me mettre en couple.

Elle était la seule personne à savoir que je n’avais jamais eu d’homme dans ma vie, eu de réelles relations. Uniquement de la drague par internet avec un parfait inconnu, mais lorsque les choses devenaient sérieuses et que l’inconnu en question me proposait un rendez-vous. J’abandonnais à la première seconde et, Alejandra était la seule qui réussissait à me donner courage pour pouvoir essayer avec une autre personne.

Voilà pourquoi, je n’avais pas hésité une seule seconde avant de chercher du réconfort dans ses bras. Un réconfort qu’elle seule pouvait me donner, des conseils qu’elle seule pouvait trouver. Je savais qu’en arrivant chez elle, Alejandra avait déjà préparer dix plans d’avance. Mais avec son métier, pouvait-elle réellement me donner des conseils. Elle s’y connaissait en meurtre et délit de fuite et tous les problèmes qui allaient avec. Elle seule pouvait m’aider.

Et même si comme une enfant, je voulais jouer avec Alycia plutôt que de parler de mes soucis. Une enfant qui fuit ses responsabilités, voilà ce que j’étais. Mais Alejandra était toujours présente pour sonner mon alarme et me ramener à la réalité « Je savais que tu avais déjà un plan, je t’écoute ! » J’attrape ma tasse et arque un sourcil « Je n’espère pas qu’il soit mort, j’en dors déjà assez mal comme ça. Je ne pensais pas qu’il irait aussi loin dans ses gestes, mais il m’a vraiment … »

Je grimace et sers ma tasse dans mes mains pour oublier ce souvenir. Mais apparemment ce souvenir avait déjà été partager avec d’autre personne du cercle de confiance. « Attend quoi ? Tu en as parler à Quinn ? » J’écarquille les yeux doucement, je pensais qu’Alejandra allait garder le secret pour elle. Je ne savais pas quoi faire ? Devais-je en première criée sur Alejandra pour sa langue trop tendu cette fois-ci ? Où laisser parler ma curiosité pour savoir ce qu’il se passe dans ce dossier. Je manque d’avaler de travers avant de secouer la tête « Dis moi ? Je dois t’arracher la langue ou savoir ce que tu as dans ce dossier ? »

Je restais dans l’humour de toute façon avec Alejandra, je n’arrivais pas à faire autre chose que de garder mon sourire. Un sourire qu’ Alejandra avait à son tour lorsqu’elle parlait de Quinn, je lui montre le dessin et penche la tête sur le côté « Je suis pourtant certaine que … Ce dessin prouve le contraire. » Alors que je secoue le dessin sous ses yeux, j’arrive même à y voir une petite lueur y briller « TOI TU ES AMOUREUSE !!!! »



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Dim 26 Mar - 8:25
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with Emma & Alejandralycia

Emma était une femme forte. Très forte. Et tu le savais… Oh, tu le savais même mieux qu’elle. Tu voyais la force de ton amie, de ta sœur, de la première personne qui était entrée dans ce que tu appelais désormais ta famille… EN effet, avant même la venue de ta petite Alycia, ou de Quinn, il y avait eu Emma. Et tu ne savais pas comment mener ta vie sans elle…
Dans ton esprit, c’était simple : peu importe ce qu’il se passait, elle serait pour toujours et à jamais ton amie… Plus qu’une amie même… Qu’elle ait tué ce médecin, qu’elle ait aimé ou non se libérer de ces chaines violentes et abstraites qu’il avait placées sur le corps de la blonde, qu’elle ait fui ou non, qu’elle soit en cavale ou non, peu t’importait, elle restait une personne qui comptait énormément pour toi.
Bien entendu, il arrivait parfois que vous ne vous compreniez pas. C’était tout à fait logique, c’était la base d’une relation épanouie. Vous vous faisiez tellement confiance que vous en arriviez à déballer vos plus profonds secrets, et ceux-ci pouvaient se retrouver en contradiction avec la pensée de l’autre. Pourtant, à chaque fois vous parveniez à rester sur une même longueur d’onde. Aussi, lorsqu’elle comprit mal ta phrase et te demanda si elle devait t’arracher la tête ou non, ne sachant pas si Quinn savait pour sa situation, tu te levas, la regardas dans les yeux, un petit sourire taquin sur tes lèvres, avant de lui dire Penses tu vraiment que j’aurais révélé l’un de tes secrets sans te consulter auparavant ? non, je ne lui ai rien dit, mais j’ai accès à certaines de ses ressources, des informateurs potentiels, ou possiblement des personnes qu’elle a aidé. Il faudra que je vois avec elle – sans lui dire – qui est facilement utilisable, et je « l’engagerais » dans une affaire perso afin qu’elle enquête sur ce médecin, à mon compte. Donc je pense que tu devrais laisser ma tête sur ses épaules, pour le moment.
Tu souris, avant de te rassoir, et là elle te lâcha la bombe que tu pensais justement éviter. Toi ? Amoureuse ? Non… Impossible. L’amour, tu l’avais connu avec Rafaela, et elle t’avait brisé le cœur de la pire des façons… Alors tomber amoureuse, tu n’arrivais pas vraiment à l’imaginer… Oh, oui, on tombait plusieurs fois amoureux dans sa vie, mais là, c’était un grand pas…
Au fond de toi, peut-être, savais tu que c’était la vérité, que tu étais complètement amoureuse de Quinn… Mais d’une certaine façon, et cela, Emma devait bien le voir, tu n’arrivais pas à te l’avouer. Aussi, malgré le rouge apparent présent sur tes joues, tu le dis rien, évitant le regard, avant de fuir la conversation en terminant sur Bref, tu n’as plus à t’inquiéter, je m’occupe de tout concernant… enfin, LE concernant.
Elle comprenait.

Une fois que ce sujet douloureux fut passé et enterré derrière toi, derrière vous, tu décidas de pimenter la conversation. Elle avait obtenu que tu te « confesses » sans réellement le faire au sujet de la femme qui vivait sous ton toit. Désormais, c’était son tour. Et toi alors ? Ce fameux… comment c’était déjà ? Tim ? C’était comment ? Vous vous êtes revus ? Ou as-tu pris l’initiative d’en voir d’autres ? Avec tout ce que je t’ai dit, j’imagine qu’il est tombé raide dingue de toi, non ?
Tu souriais, sans savoir ce qu’il s’était passé. Tu souriais, pensant toucher un point amusant, pensant qu’Emma avait eu la meilleure nuit, ou les meilleures nuits, de sa vie. Tu avais envie qu’elle ait trouvé un réconfort, et qu’elle passe son traumatisme. Oh, bien entendu, tu ne savais pas qu’elle avait été, actuellement, véritablement violée lorsque tu lui avais créé son compte Tinder, aussi tu espérais que ce fameux Tim, ou un autre, ait pu lui redonner confiance en elle. Tu ne voulais pas qu’elle se sente à jamais mal dans sa peau, tout cela car un foutu docteur n’avait pas été foutu de garder son pénis dans son pantalon… bref, tu voulais qu’Emma se découvre les joies de l’amour, ou du sexe. Tu avais connu les deux, et avec les deux genres, filles et garçons. Aussi, tu voulais tout savoir de sa ou ses soirées, afin de voir si tu avais l’opportunité de faire, toi aussi, un petit « tu es amoureuse » même si tu te demandais si le coup de foudre venait réellement d’une simple application pour téléphone. Tu en doutais un peu, évidemment, mais bon… Une blonde au corps de déesse ne se trouvait pas à tous les coins de rues, donc il fallait commencer à mettre la beauté qui te servait de sœur sur le marché, afin qu’enfin elle connaisse l’euphorie de mettre les hommes à ses pieds.
Souriant, tu attendais qu’elle te dévoile ce que tu espérais une bonne nouvelle.
L’était-ce ?

electric bird.



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