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Hey babe, let's have some fun | Emrad [+18]
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Ven 14 Avr - 21:26
Hey babe, let's have some fun
Hey beauty, are you sucking cocks ? Δ Konrad & Emma.


Dans le dernier épisode de l’histoire d’Emma et de Tim :  Tim a réveiller Emma dans son laboratoire, le but était de l’effrayé pour lui faire comprendre l’intérêt d’avoir peur de lui et de tout ce qu’il est capable de faire, qu’elle soit sa compagne ou non. Les choses se déroulaient plutôt bien, quelques blagues salaces et tendancieuses, une déclaration d’amour de la part d’Emma puis une violente dispute qui éclate. De cette dispute résulte un changement de comportement de Tim incroyablement stupéfiant, perdant toute notion d’amour et de sentiment positif, une partie en lui qui se cachait et qui était emprisonné depuis très longtemps. Cette partie ténébreuse qui se cachait en lui n’était autre que Konrad, l’enfant que les parents de Tim souhaitaient avoir, une vraie arme sans sentiment et dont le seul but est le pouvoir et de conseiller Phoenix, sans aucun projet, ni espoir. Tim s’était enfin avouer ressentir des choses importantes pour lui, vouloir une vie de famille après la guerre des Ivians, vouloir une compagne, ne plus se sentir seul avec ses propres lubies comme la science et les expériences. Ses espoirs ont disparu avec sa conscience, tombant dans l’inconscience dans une prison de glace pendant que le nouveau Tim, Konrad, s’amusait gaiment à torturer notre petite blonde favorite. Après quelques insultes, démonstration de pouvoir et un viol douloureux, Emma fut mis à la porte après un sombre et mystérieux marché passé entre Tim et Konrad, Emma s’étant proposé pour servir Konrad tant que Tim survit en lui, nous vous proposons la suite à travers ce RP, se passant dix jours plus tard.

Information complémentaire : Nos RP sont, la plupart du temps, accompagnés de scène érotique, parfois même très détaillé et sèche, donc quand ça part en scène de sexe, nous mettons la balise hide qui empêche quiconque (hors staff) de lire le contenu. On va essayer de mettre sous hide uniquement les passages dans les RP qui sont sexuel pour permettre une lecture de l’histoire. Je conseil cependant d'avoir vraiment dix huit ans minimum pour éviter les plaintes et également avoir déjà eu un rapport sexuel. Bonne lecture.


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J’étais dans une forme olympique, quel bonheur d’être de nouveau moi-même, un être sans cœur, sans sentiment et qui veut s’amuser. Cela faisait dix jours que j’étais tranquillement dans mon petit rôle de Tim, j’étais forcé de me faire passer pour lui, même devant Phoenix, après tout, nous étions la même personne avec des objectifs différents et identiques, pour le coup, j’étais plutôt content de revivre ça, je me sentais à l’aise, tranquillement capable de tout, j’avais encore plus de pouvoir qu’à l’accoutumer, il ne me restait qu’un petit sacrifice à faire et j’avais déjà tous les éléments pour ça. Deux parents et un médecin, les trois étant des signes de protection, des protecteurs, de leurs enfants ou des vies qu’ils ont à entretenir, dans tous les cas, le sacrifice sera idéal et me permettre d’avoir tous les pouvoirs. Mais pourquoi ne l’ai-je pas fait ? Pourquoi n’ai-je pas encore sacrifié ces gens ? Parce qu’ils ont un intérêt pour moi, ce sont les parents d’Emma Dietrich, et cette gonzesse n’était clairement pas encore prête à me servir au doigt et à l’œil, mais j’avais ma petite idée concernant ce sujet, de quoi la rendre complètement dingue. J’allais lui demander des choses horribles, l’éduquer à être une vraie folle dingue, mais surtout, j’avais une extrême hâte de la revoir, je me demandais comment elle avait passé ses derniers jours loin de l’amour de sa vie, enfin, si il l’était encore. De mon point de vu, elle n’avait pas cessé de penser à lui, hésitant à revenir dans ce bâtiment encore et encore, passant même devant sans avoir la volonté de continuer, je ne m’étais même pas renseigner à l’accueil, peut-être qu’elle était passée pour me voir, mais dans tous les cas, je l’avais laissez dans le doute de ce que j’avais fait, et même si j’avais avoué laisser l’esprit de Tim en vie pour le moment, promettant de la rappeler, j’avais fait en sorte de lui laisser du temps pour remettre ses idées en place, juste assez pour qu’elle comprenne tout l’intérêt de la relation, et du manque.

J’étais tranquillement dans mon bain, regardant les courbes de Maeva, ma soubrette, s’habiller tranquillement dans la salle de bain, s’essuyant avec la serviette, j’avais un petit sourire en coin, j’admirais la façon qu’elle avait d’être si détachée, juste comme je le voulais, je n’avais pas envie de relation compliqué et aimante comme Emma le désirais avec Tim, et je savais qu’elle péterais un plomb quand elle saurait pour Maeva et moi, peut-être même qu’elle voudra la tuer, ou qu’elle le fera dans mon dos, je m’en fichais de Maeva en réalité, elle n’était pas très intéressante, contrairement à Emma, et moins belle, mais ça passait et dieu que j’aimais le sexe. Elle s’habillait donc, partant faire son service d’étage, c’était important, mais je pouvais reconnaître qu’elle savait être une soumise. Ses courbes étaient alléchantes et je souriais en la regardant quitter la pièce, j’avais une idée derrière la tête pour aujourd’hui, cela faisait suffisamment longtemps que j’étais loin d’Emma, et j’avais la manière en tête pour l’aborder de nouveau, j’allais rapidement savoir à quel point je lui manquais et sa vie était banale à ce point.

Je me levais donc, sortant de mon bain avec grâce, m’étirant légérement, j’avais repris l’activité sportif depuis quelques jours, après avoir levé le dôme, j’étais inconscient et j’avais eu du mal à m’en remettre, mais c’était un ordre de la part de Phoenix et je devais absolument le faire pour le bien de tous. Pas forcément pas bonté d’âme, mais surtout pour sa chère et tendre Médée, c’était l’unique motivation de Phoenix, comme quoi, même lui était plus accaparé par ses soucis de couple que part notre quête. Après tout, pour le moment, nous étions surtout en quête de pouvoir. L’intervention sur le Néméton était difficile, surtout que je devais cacher mon inspiration obscur aux autres pour ne pas passer pour un méchant garçon, et ce fut littéralement éprouvant, bien plus qu’à l’accoutumé, j’étais même tombé dans les vapes malgré ma puissance bien plus conséquente que celle des autres. Le Néméton avait absorbait notre énergie pour renaître à nouveau et nous débarrasser du dôme, rien de mieux pour nous. Excepté le fait que les pouvoirs des créatures étaient enfin revenus, mais Nix était toujours coincé dans la ville, comme les autres, et ça m’énervait au plus haut point, ce pouvoir qui avait fait le dôme m’intéressait, j’en transpirais de curiosité, je voulais ce pouvoir pour le reproduire, c’était un vrai mystère et ça m’excitait plus que n’importe quelle fille du monde. Je me dirigeais vers ma chambre, ouvrant les placards, cherchant une tenue adapté à la situation, je devais être séduisant sans trop en rajouter, mais sans être trop classe pour autant, donc oublions le costume ou la chemise, j’optais plutôt pour une tenue décontractée mais qui m’allait à ravis, une veste en cuir de grande qualité et un jean noir, classique, sombre mais efficace, je savais qu’Emma n’avait pas l’habitude de me voir dans cette tenue, elle ne m’avait vu qu’en costume pour le rendez-vous, en t-shirt au laboratoire ou bien encore tout simplement nu. Pour le coup, j’espérais une bonne surprise de sa part. Je me dirigeais ensuite vers l’ascenseur, récupérant trois cents dollars au guichet d’en bas, allant ensuite au garage pour prendre mon Aston martin . Une voiture que j’adulais beaucoup, étant fan des James Bond. J’aimais bien l’aspect super héros je m’en foutiste, et anglais de surcroit, son accent était tellement séduisant, j’en frémissais, j’aimais bien le miens également, mais ce n’était pas bien de s’aimer sois même, du moins si on fait confiance aux magazines pourries qui régissent la vie de milliers de personnes. Je démarrais la voiture, me dirigeant vers l’hôpital.

Sur la route, j’appelais la direction de l’hôpital, j’avais déjà des contacts en ville et j’avais fait des placements dans l’hôpital, surtout pour la recherche qui était l’une de mes passions. Plus de 500 000 dollars ont étaient reversé en mon nom, soit trois ou quatre projets et brevets que je possède sur la recherche pharmaceutique et expérimentale. Le directeur m’avait à la bonne et j’avais une idée en tête. Je l’appelais donc directement, lui donnant des instruction très précise et importante, j’allais faire des bêtises et ça m’amusait, j’avais un grand sourire sur les lèvres, je me garais donc sur le parking de l’hôpital, sortant de la voiture, jetant un œil sur les gens à l’extérieur, il devait être quinze heures, en pleins après-midi, j’aurais pu appeler directement Emma mais c’était tellement moins amusant, j’avais besoin d’en apprendre plus sur sa réaction directement, et j’imaginais sa tête, c’était tellement attrayant. Je montais directement dans le bureau du directeur pour revoir les détails, j’étais tellement à l’aise dans ma bêtise, je pouvais voir les regards de tout le monde braqué sur moi, j’avais un physique atypique, c’était sûr, mais j’étais surtout atrocement joyeux, sifflotant, avec une démarche décomplexée, dans un lieu où la mort et les urgences sonnait partout. Je croisais une infirmière, je ne savais pas si c’était une collègue à ma chérie adorée, mais je savais une chose, toute infirmière gagnait mal sa vie, du moins, à la limite du raisonnable, parfois suffisamment sous certaines conditions, mais j’étais capable de rendre la vie d’une infirmière plus gracieuse sous certains services, j’étais plutôt sympathique. Je me dirigeais donc vers elle, lui rentrant dedans littéralement, l’arrêtant d’une main sur les poumons, lui souriant légérement. « Hey ma jolie. Tu veux t'amuser ?»



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Sam 15 Avr - 9:53

Colin Parson ♦ Eveline Garcia

Hey Babe, Let's have some fun
J
'avais attaqué mon poste depuis maintenant quelques jours, un poste de nuit. Mon préférée. La nuit était agitée et, j'avais très peu de chance de croiser Konrad ou ses esclaves. Bien que le pourcentage soit faible, voir même inexistant, mais, je ne savais pas ce que l'avenir me réservait et surtout pas en ce qui concernait Konrad. Mais, j'aimais surtout le travail de nuit pour les accidents, les adolescents complètement inconscients qui prenait le volant avec un beaucoup trop d'alcool dans le sang et qui terminait dans un piteux état à l'urgence. Mais, cette nuit avait été particulièrement calme, tellement calme que, j'avais eu le temps de faire des recherches sur le néméton, sur les daraches et d’autre mots que j’étais certaine d’avoir entendu la veille. Une nuit tellement calme que, j'en voulais encore travailler et faire des heures supplémentaires n'étaient pas un souci pour moi. Bien au contraire, ça me permettrait de me familiariser d'avantage à l'hôpital et surtout au protocole que, je ne comptais pas suivre.

Et, comme à chaque fois après une nuit beaucoup trop calme, la journée était tout à l'opposé, beaucoup trop agitées, tellement agitées qu'il avait fallu rappeler plusieurs médecins et chirurgiens de l'hôpital. Les urgences étaient sans dessus dessous, des patients dans chaque recoin de l'hôpital, même dans les couloirs. La cause de toute cette agitation ? Officiellement, un accident de voiture, maintenant que je connaissais mieux le surnaturelle, je dirais qu’il s’agit d’autre chose... Entre les résidents qui vous collaient au Basque, ce qui avait particulièrement le don de m'agacer et les demandes des familles, sans oublier les soins pour les patients, j'avais besoin de prendre du recul. J'avais besoin de respirer ne serait-ce que l'espace d'une seconde, avant d’hurler sur une petite infirmière qui n'avait rien demandé. J'avais rapidement pris les escaliers, me posant la tête sur les genoux pour essayer de gérer tout ce stress. Je ne savais vraiment pas pourquoi, j'étais stressée. J'avais l'habitude des crises dans les urgences.

Voilà à quoi, je passais mon temps depuis une semaine. Le travail encore et toujours le travail, j’avais peut-être disparu quelques jours. En réalité, j’avais disparu pendant trois jours, j’étais rentré dans mon hôtel grâce à l’aide d’une gentille vielle dame qui m’avait accompagné jusqu’à l’hôtel, en me prêtant sa veste qui grattait énormément. J’avais réalisé sur le chemin que, j’avais besoin de recul, tellement besoin de prendre des distances du monde et de savoir que, j’étais seule. Un week-end dans la forêt, éloigner de la vie humaine, uniquement entourée de mères natures, voilà ce qu’il m’avait aidé à réfléchir pendant ce court instant. J’étais ensuite allé à l’hôpital, travailler encore et toujours. Je ne m’étais pas arrêté un seul jour pendant ses sept jours, j’enchaînais les nuits et ensuite les heures supplémentaires et grâce à autant de travail, je n’avais pas beaucoup pensé à Konrad. Je savais qu’il ne risquerait pas de m’appeler, je n’avais pas pris mon téléphone, ni même mon sac. Et dieu que mon livre me manquait, j’avais besoin de m’y défouler, j’avais besoin de noter tout ce que je ressentais, j’avais besoin de noter les résultats à mes recherches, mais je n’avais plus ce satané livre. L’idée m’était passée par la tête de retourner dans le bâtiment de Konrad et de récupérer mon livre. Mais, je ne voulais pas qu’il pense que, je venais dans l’unique but de le voir dans le but de l’espionner, je ne voulais pas qu’il pense qu’il me manquait, que je rôdais ici dans le but de me rapprocher de lui, je n’avais pas besoin de ça.

Je pris une grande respiration avant de me lever et de retourner aux urgences en passant par la salle d'attente qui était pleine à craquer, pratiquant certain soin dans le tas. La fatigue commençait légèrement à se faire sentir aux niveaux de mes jambes qui tremblaient légèrement, ce qui était normal, je n’étais pas retourné dans mon hôtel depuis un certain temps, passer ses nuits sur les lits de repos du personnel de l’hôpital n’avait rien de reposant. Tu ne te retrouvais que souvent réveiller par des personnes en manque de sexe et, je ne savais pas pourquoi, mais ses derniers jours, j’avais l’impression de les attirer. Il n’y avait pas un jour sans que, j’essaie d’aller me reposer, mais que, je tombe sur un couple en pleine action. Heureusement que, je m’étais rapproché d’un interne en médecine qui m’avait prêté son lit, chez lui lorsqu’il était de garde, je commençais doucement à reprendre du poil de la bête. Il n’y avait rien entre nous, simplement une bonne entente. J’avais de légers cernes et, j’avais légèrement maigri ses derniers temps, pourtant, je ne faisais que manger lorsque, j’étais stressé, mais même cette gourmandise ne me servait pas à grande chose. J’avais beau manger encore et encore, je ne prenais pas un gramme tellement, je n’arrêtais pas de me poser des questions au sujet de Konrad. J’avais le pressentiment que Maeva avait pris ma place, que grand bien lui face, ce n’était pas mon problème. Au contraire si cela jouait à mon avantage et qu’il reste loin de moi, c’est très bien. Je n’avais aucune confiance en lui et, je ne savais pas si Tim était encore là ou non, où, si Tim était devenue Konrad une nouvelle fois pour me forcer à quitter la ville.

Mon bip qui sonnait dans ma poche me sortit de mes pensées, je ne savais pas ce qui était encore plus important que les urgences. Pourtant, j’avais légèrement froncé les sourcils en voyant que le directeur me bipais pour le retrouver dans cette salle d’osculation « C’est quoi encore ça » Je m’étais rapidement levée avant de commencer un footing en direction de cette salle, j’avais dans l’espoir qu’il s’agissait d’une intervention, qu’il allait me féliciter de mon engagement dans cet hôpital. J’avais ralenti devant la porte reprenant une respiration normale, replaçant mon stéthoscope autour de mon cou. J’étais entré avant de voir une tête aspirer un sexe, je vous l’avais dit ses derniers temps, j’étais bonne pour tomber sur les scènes qui me rappelaient Tim et moi. J’avais refermé la porte en entendant mon prénom « Oh… je suis désolé » Mais, j’avais entendu mon prénom en entrant dans cette pièce et, j’étais certaine qu’il s’agissait de Konrad. Mais comme, j’avais la fâcheuse habitude de voir son visage sur tous les hommes que je croisais, voilà pourquoi, je n’avais pas fait attention. " C'est une blague ?" Mais cette voix ne me tromperait pas, j’avais ouvert les portes en écarquillant les yeux, j’étais choqué de ce spectacle. Sûrement pas autant choquer que cette infirmière qui avait été surprise en plein acte avec Konrad, mais je l’étais. J’avais croisé les bras lançant un regard noir à Konrad, puis à cette fille qui me disait vaguement quelques choses. « J’ai … Été bipé par le directeur qui ne devrait plus tarder à arriver » Je fronçais d’avantage le regard vers l’infirmière « Tu ferais mieux d’aller te laver la bouche si tu ne veux pas finir à la porte » J’entrais dans la salle d’osculation, très silencieuse et très froide ne lançant pas un seul regard à Konrad. « Quant à toi, tu ferais mieux de partir, je pense que tu pourrais avoir des problèmes » Je préparais la salle comme si de rien n’était, comme s’il n’était pas là. J’avais l’impression que c’était la fatigue qui me jouait des tours, mais je repris rapidement mes esprits, cela ne pouvait pas être une coïncidence. « Qu’as-tu fait au directeur » Mes gants étaient tomber au sol, alors que, je m’apprêtais à aller voir l’état de santé du directeur, mais quel enfoiré ce Konrad.


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Sam 15 Avr - 20:31
Hey babe, let's have some fun
Hey beauty, are you sucking cocks ? Δ Konrad & Emma.

Pendant les premiers jour, j’étais plutôt excité, j’avais rendu service à Phoenix, j’avais fait en sorte de m’en sortir et de connaître tous les employés de Faucon, que ce soit le service de nettoyage ou même les membres du conseil d’administration. J’aimais le contrôle de manière totalement incroyable, j’étais obsédé par le contrôle, j’avais besoin de savoir tout et de connaître tous le monde, les qualités, les défauts, les faiblesses, les points fort, tout ce qui pouvait me permettre de manipuler ou de faire du mal si le besoin est. Je me doutais bien que la remise au niveau n’allait pas être facile au début, j’allais devoir me faire passer pour Tim pour la plupart des gens, dont Sylvia et même Nix, après tout pour tout le monde sauf Emma, c’était facile d’être Tim, vu que la seule chose qui changé était les sentiments qui concernait l’amour entre nous deux. Et même si Emma le criait sous tous les toits, seul Nix était au courant de mon existence, et quand bien même, il s’en fichait complètement, je le reconnaissais bien là, il était la tête dans ses plans et dans ses problèmes avec Médée.  Alors pourquoi cacherais-je mon identité selon vous ? Excepté pour une meilleure adaptation pour mes employés ? Et bien c’était très simple, c’était une clause de mon contrat avec Tim, un contrat très embêtant pour moi mais dont le plaisir et la souffrance qui en découle est tout bonnement parfait. Vous l’apprendrez bien vite, croyez-moi, c’était évident qu’Emma n’allait pas s’arrêter là. Du moins je l’espérais. J’aurais vraiment aimé qu’elle soit différente avec moi qu’avec Tim, je la trouvais particulièrement ennuyeuse et peu imaginative. Peut-être même un peu trop banal pour nous. Nous méritions quand même une fille digne d’une princesse.

Les jours suivant étaient beaucoup mieux, je m’adonnais à des choses incroyables que je n’avais jamais vraiment testé dans la vrai vie, je n’étais qu’un spectateur avec Tim, mais j’étais très content de ce que j’avais désormais, au point d’essayer toute sorte de chose, j’avais déjà fait les bars à strip tease de la ville, ainsi que tous les bars, je m’étais amusé comme un jeune de vingt ans en toute impunité et dans la plus grande discrétion, je ne voulais pas faire de vague, je préférais être totalement discret concernant mon mélange avec le grand public, je n’étais pas du genre à me dévoiler au grand jour hormis quand c’était absolument nécessaire. J’avais rencontré de nombreuses personnes, j’avais couché avec la plupart d’entre elle juste pour m’amuser, sans jamais leur laisser entre apercevoir ma situation, ma relation la plus stable actuellement était Maeva, elle était a mon service et c’était vraiment pas trop mal, beaucoup moins de sensation qu’avec Emma, lorsque je l’avais violé. Bon c’était glauque à dire comme ça, mais les sensations me revenaient d’elles-mêmes rien qu’en y faisant allusion, ça prouvait bien que c’était quand même trop bien. J’avais envie de la revioler mais pour le moment, je voulais surtout m’amuser avec elle, et j’avais l’idée parfaite pour ça.

Officiellement, Emma n’apprendrait que que le directeur l’a envoyé dans ma salle de consultation, mais tout était bien plus pervers, je voulais l’attendre dans une position inattendue, j’avais imaginé mourant dans un premier lieu, notamment pour susciter son attachement, que la simple pensée que je sois dans un mauvais état la mette dans un état de panique total. Pour le moment, je trouvais ça très amusant, mais pas assez choquant, donc j’avais opter pour la situation la plus amusante que j’avais en tête, une fille qui me pompait l’entrejambe pour une réaction parfaite. J’imaginais déjà sa tête surprise, puis choqué et colérique, puis peut être un peu frustrée, après tout j’étais capable de mettre ma main au feu qu’elle n’avait rien fait de son corps depuis le viol, et c’était pas la meilleure expérience pour elle, surtout en dernier rapport. Mais surtout, je trouvais ça horriblement attirant d’imaginer son attirail génital débordant d’excitation à l’idée de m’attendre pendant dix jours. Évidemment, je restais dans l’optique ou elle était fidèle à Tim. Si ce n’était pas le cas, j’avais deux choix possibles, soit je laissais Tim revenir momentanément pour faire un massacre, soit je le faisais moi-même mais pour des motivations différentes. Après tout, je ne ressentais pas vraiment la jalousie pour Emma, je n’étais pas du genre exclusif, à partir du moment où je restais le dominant et le préféré, mais ce n’était pas le cas de Tim, et quelque chose me disait qu’Emma allait peut-être regretter d’avoir voulu épargné Tim, car il était bien plus violent que moi dans un sens, moi c’était juste du fun, rien de plus, bon j’aimais la souffrance mais c’est tout, rien de bien grave. Concernant les affaires d’Emma, je ne les avais pas amener, excepté un petit cadeau dans ma poche, deux en réalité, mais je comptais bien garder des bons moyens de pressions sur elle, en plus de la vie de Tim, quelque chose me disait que ça n’allait peut être pas suffire, difficile de résister à l’envie qu’un homme plus amusant, plus beau et sexy que Tim faisait surface et devoir le repousser était une chose si horrible…


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Dim 16 Avr - 19:48
     

Konrad T. Reed ♦ Emma G. Dietrich

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S
i mon entourage avait été au courant de ce qu’il m’était arrivé, je pense qu’ils se seraient posé une seule question. Comment avais-je réussi à me relever et reprendre une vie normale ? La réponse à cette question était simple et surtout très courte, c’était impossible. Je ne pourrais jamais relever la tête, rien n’était comme la première fois. C’était pire, car j’avais dans un sens cherché mon malheur. À chercher à le pousser encore et toujours à bout, jusqu'à arriver au point de non-retour. Pourquoi, je voyais mon second viol complètement différent du premier ? Alors qu’il s’agissait du même acte sexuel ? Car, j’avais éprouvé des sentiments pour cet homme, je l’aimais encore et toujours et le pire dans tout ça ? J’étais complètement tombé sous le charme de cet enfoiré de Konrad, il avait beau être le pire de tout le connard sur terres, je ne pourrais pas m’empêcher d’être irrésistiblement attiré par lui. Contrairement au premier médecin qui n’était rien pour moi, je n’avais fleureté qu’une seule fois avec lui… Enfin, il avait fleureté avec moi et, je l’avais remis en place.

La vérité étant donc, que, je ne m’étais jamais relevé. Cachant mes cernes causés par de nombreuses nuits sans sommeil derrière du maquillage, le cache-misère comme je l’appelle. Je réussissais à garder la tête sur les épaules en travaillant, là ou je serais que, je n’aurais aucun problème avec Konrad. Il n’oserait tout de même pas venir me violer dans un endroit où on risquerait de le surprendre, surtout dans un endroit où il ne serait pas en avantage avec tous ses produits. Et, je peux vous assurer que, j’étais cette fois-ci dans mon univers, a mon avantage, il ne m’aurait fallu que d’une seconde pour me retourner et lui injecter un tranquillisant, je pourrais comme ça prendre la fuite en toute tranquillité ou bien, faire croire au viole en le dénonçant au service de sécurité.

Plus les jours passaient, plus je me sentais détruite de l’intérieur et pourtant. Je relevais la tête et me forçais à sourire, à rendre ma vie bien meilleure qu’elle ne l’est déjà. Je n’étais pas morte et c’était bien le plus important, je devais l’oublier et pour cela, je ne devais pas passer devant son immeuble, ni même voir quelques choses qui lui seraient associées. Il m’arrivait parfois de l’oublier lorsque, je me trouvais dans le lit de mon ami, bien qu’il ne soit jamais là, je pourrais me servir de cette idée pour le faire, fuir et lui faire penser que, j’avais tourné la page. Il devait d’ailleurs le savoir, s’il m’avait suivre par ses chiens de garde, ils ont bien dû remarquer que mon chemin, n’était pas en direction de l’hôtel, mais d’une maison de médecin. Et en parlant de médecin, je venais d’être bipper par beaucoup, plus important qu’un médecin, par le directeur de l’hôpital. Il s’agissait soit d’une bonne nouvelle soit d’une très mauvaise et comme, je n’avais pas dormi de la nuit, je partais dans l’optique qu’il s’agissait d’une très bonne nouvelle. Premièrement, car, il m’avait bipper dans une salle d’osculation, c’est donc qu’il avait besoin de moi, pour un soin ou peut-être une chirurgie. S’il m’avait cherché pour un souci plus grave, comme un renvoi ou … une mise à pied, le bureau aurait été un endroit plus adapté.

Je n’avais sans doute jamais couru autant de ma vie pour rejoindre une salle d’osculation, mais j’étais encore sous l’adrénaline de l’action, je ne savais pas quelle surprise allait m’attendre derrière cette porte. Je reprenais doucement mon souffle, resserrant ma couette de cheval. C’est vrai qu’en entrant dans la pièce, je me serais attendu à une équipe pratiquant un soin lourd et compliquer. Mais, j’étais tombé sur une infirmière pédiatrique, Éva, il m’était arrivé de travailler avec elle. C’était une infirmière assez discrète, mais qui était connu dans l’hôpital pour ses nombreuses parties de jambes en l’air avec le personnel, mais de là à coucher avec même des patients. J’en avais tellement l’habitude, que, j’étais rapidement sortie de la pièce présentant de simples excuses. Mais, cette voix m’était familière, je connaissais cet homme et, je n’avais aucun doute, il s’agissait de Konrad. Mon premier sentiment en voyant son doux visage ? La peine, je lui offrais mon dos, il n’avait pas pu le lire sur mon visage. Mais mon cœur saignait d’être en sa présence lorsque, je commençais à accepter son absence. Je savais qu’il avait tourné la page et, j’en avais eu la preuve. Je préparais la salle comme si de rien était, comme s’il n’était pas là. J’étais indifférente à sa présence et, j’avais même une idée en tête. Je ne savais pas vraiment comment m’y prendre, j’avais juste menacé cette idiote d’Eva de tout raconter au chef et … j’avais même réussi à vexée Konrad. Je me demandais bien pourquoi, il était ici. Pourquoi revenir après dix jours, je ne pense pas qu’il s’agissait de notre accord d’être et surtout de devenir ce qu’il voulait. Vu qu’il ne m’avait pas attendu pour se faire sucer la queue comme si ce n’était qu’un biberon par une étrangère qui n’en était peut-être pas une, je m’attendais à tout-venant de sa part, il m’avait violé, il avait fait ce qu’il y avait de pire au monde. Il était peut-être capable d’être venu ici pour me faire du mal à nouveau. Où menacer une nouvelle fois un médecin qui serait proche de moi, voilà pourquoi, je n’avais pas envie d’aller au bout de mon plan. Je l’écoutais parler en croisant les bras sous ma poitrine « Alors ne perds pas une seconde de plus » J’aurais envie de lui poser des questions sur ses placements, sur les projets qu’avait Tim. Mais, je ne devais plus jamais m’intéresser à eux. « Surtout que, je n’ai pas le temps » Personne n’était en danger et c’était le plus important pour moi, je devais maintenant sortir de cette pièce et me préparer pour ce soir. Ce n’était rien d’officiel, mais je ne travaillais pas, j’étais invité au restaurant. « J’ai un léger rendez-vous ce soir et, je suis pose que tu as quelques filles à mettre dans ton lit, alors abrège » Je m’étais mise à rire toute seule en prenant la direction de la sortie, s’il pensait vraiment qu’il allait réussir à m’enfermer ici à cause d’une simple fille, c’était louper « Oh et pour information, Éva est au service pédiatrie, elle termine son service dans une demi-heure.» J’avais quitté la pièce et lâcher mes cheveux avant de me retourner et le regarder une dernière fois dans les yeux « Tic tac tic tac »


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Lun 24 Avr - 12:12
Hey babe, let's have some fun
Hey beauty, are you sucking cocks ? Δ Konrad & Emma.

J’avais des projets, de vrais projets, c’était quelque chose qui n’était pas arrivé depuis plusieurs années, j’étais toujours un boute-en-train, à faire les choses au dernier moment, je n’aimais pas planifier c’était tellement écœurant de la vie, tellement ignoble, il fallait prévoir d’être à un moment précis dans plusieurs jours alors que tout pouvait changer, la vie ne tenait qu’à un fil et ne pas en profiter c’était une chose détestable pour moi, je voulais profiter de ma vie aussi courte soit elle, car sans ça, on ne peut pas mourir sans regrets. Les regrets font partis de la seule chose qui peut faire en sorte de détruire une vie pour de bon, sans regrets, aucun problème à ne plus vivre ou a perdre quelque chose. C’était pour ça que mon seul but était de faire absolument tout ce que j’avais envie ou besoin de faire. Que ce soit des choses futiles comme regarde une émission abrutissante ou mentir à sa femme, aux choses les plus terribles comme le viol, le meurtre ou encore, être un parfait petit égoïste bien énervant. Mais le plus grand regret de la plupart des gens, c’était de vivre sans amour, sans sentiment, sans connaître le bonheur d’avoir une âme sœur, une femme ou un homme qui fait de votre vie un vrai paradis, une place de choix, qui fait que vous êtes heureux de vous lever pour travailler, quel que ce soit votre travail, car vous savez qu’à terme, ce sera bénéfique pour votre vie à deux. Vivre est déjà quelque chose de formidable, mais vivre une vie à deux est quelque chose d’incroyablement rare. J’avais connu ce vieil ami qui me disait que l’amour était une chose unique, très peu commun, et qui était sans doute la denrée la plus rare de notre monde. Je ne pouvais qu’être d’accord avec lui, je ne me voyais pas vivre sans sentiments indéfiniment, je voulais faire une rencontre incroyable, qui me fasse rêver encore et encore, mais avec les années, ma vie ne devenait qu’un planning de chose, je ne vivais plus pour moi, je vivais pour le pouvoir, l’avidité, le sadisme. Rien de tout ça n’était important à mes yeux mais c’était les éléments qui me forgeait. J’en perdais l’envie de vivre, et ce n’est qu’un matin, un matin tout tranquille, comme les autres, que j’avais ouvert les yeux sur ma vie. Je mettais mis à nu devant moi-même, déblayant mes mauvaises pensées pour faire face, j’avais besoin de compagnie, et pas d’une compagnie de femme débile, dénuée d’intérêt, non, j’avais besoin d’une compagnie douce et agréable, intelligente, que je pourrais m’amuser à tenter de manipuler en vain. Une vraie compagne digne d’être l’âme sœur tant recherché par ces stupides humains, j’avais beau m’être appelé Timotheus, qui signifiait « envoyé de dieu » en grec, je savais pertinemment que je ne pouvais pas attendre la fin des conflits pour respirer et vivre autre part que dans mon laboratoire si attachant. Mais j’avais beau espérer être différent, je ne pouvais pas l’être réellement, j’étais né biologiquement, comme les autres, j’avais une mère et un père, j’avais des sentiments, des craintes, du courage, mais je n’étais qu’un homme ordinaire. Jusqu’à que je trouve un moyen pour être réellement différent, outre mes connaissances en druidisme grâce à mon père, notamment, j’avais trouvé un autre moyen d’être différent, d’avoir des pouvoirs comme dans les films que j’adorais regardé, je voulais devenir un druide maléfique, un Darach, c’était désormais mon unique but pour aider Nix dans sa quête, je ne pouvais pas me douter qu’en devenant un monstre, j’allais en faire ressortir un autre, un sombre égo bien plus terrifiant que ma propre personnalité, Konrad avait bien repris le contrôle, et allait désormais pouvoir jouir de toutes mes qualités et habilités, les remords et les regrets en moins.

Et celle qui allait en subir le plus les conséquences, c’était Emma, une jeune femme que j’avais rencontré tardivement, après moult recherche pour trouver cette fameuse âme sœur, ce n’était guère une chose facile, j’avais des critères très précis, mais je m’étais souvenu d’une aventure avec une femme plus jeune que moi, qui m’avait parlé de sa sœur, dans sa description, elle collait parfaitement avec mes goûts et mes envies, sur le coup je n’avais rien dit, j’avais juste fait en sorte de la retrouver et de lui garantir une vie saine pour les prochaines années en espérant la revoir, juste au cas où, mais c’était en lisant un de mes nombreux rapports de surveillance que j’avais sauté de ma chaise en prenant contact avec mes détectives pour en apprendre le plus possible sur elle, c’était comme ça que j’avais pu la retrouver sur cette application et organisé ce premier rendez-vous incroyable et unique en son genre. Cette femme m’avait fait tourné la tête, mais ce qui la rendait si spéciale, ce n’était pas juste les sentiments que j’éprouvais pour elle, c’était toute sa vie, elle était parfaite en tout point, une vie compliqué et guère facile à vivre, des parents lâches, une sœur dépravée, et un job intéressant et témoignant d’une étroitesse d’esprit très agréable. Quoi de mieux que de relever le défis de faire sombrer dans le sadisme une jeune femme travaillant sans relâche pour sauver les autres, elle allait apprendre à leur faire mal désormais, car c’était ce que je voulais, mais ce qui n’allait pas le faire, c’est que Konrad le voulait encore plus que moi, pas pour en faire sa compagne et son âme sœur, mais pour en faire une arme, une arme secrète et terriblement efficace, car les gens les plus gentils sont potentiellement les plus dangereux une fois bien manipulés. Konrad le savait et désormais, c’était lui qui disposé de mon corps comme il le voulait, ce n’était que le reflet d’une personnalité bien présente en moi. Et je craignais sincèrement ce qu’il allait faire, même si j’avais conclus un pacte avec lui. Un pacte qui garantissait un avenir pour moi, mais qui allait coûter très cher à la personne qui comptait le plus pour moi désormais, Emma Dietrich.

Bien que j’avais passé les derniers jours à reprendre une vie normale et amusante, au gré de mes pulsions, je n’en avais pas oublié le travail accomplis, j’étais bien plus efficace que Tim, je travaillais vite, je ne me perdais pas dans des pensées qui n’avait aucun rapport comme lui, j’étais concentré sur une chose, et je la faisais plus vite et bien mieux. En l’occurrence j’avais remplacé toutes les fioles qu’Emma avait détruire, j’avais également terminé ce projet de sérum de rage que mon moi inférieur avait commencé. Désormais, j’étais prêt pour la phase de test du prototype, j’avais quelques idées pour ça, mais ça allait attendre, mes idées était terriblement cruelles, j’en tremblais d’excitation, surtout que tout concernait Emma, absolument tout. J’avais également fait en sorte de préparé le dernier sacrifice avec les parents d’Emma, mais je voulais qu’elle soit présente pour mon avènement, pour que je sois officiellement déclaré comme l’être le plus puissant de cette ville, je voulais qu’elle observe grâce à quel genre de sacrifice on obtient la puissance et le pouvoir sur les autres. Mais ce n’était pas si facile, j’avais promis de lui laisser quelques jours de tranquillité, et je devais résister contre mes propres pulsions, chose que je n’avais pas pour habitude de faire. J’avais potassé toute la semaine un plan pour notre nouvelle rencontre, je savais ce qu’elle ressentait pour Tim, et pour moi par la même occasion, je connaissais l’attirance sans relâche qui lui berçait ses nuits. Elle me voulait et elle voulait Tim, mais il fallait faire un choix, et j’avais hâte d’imaginer la tête de Tim quand il perdra le pari qu’il m’avait fait, perdant ainsi également la vie tranquille dont il rêvait avec cette femme blonde aux grands intérêts physiologiques. C’était pour ça que mon plan était parfait, car son esprit était infecté désormais de pulsions et d’envie, elle avait sans doute imaginé revenir vers notre bâtiment pour me surprendre, doutant à chaque fois sur son envie de le faire ou non. S’imaginant que Tim allait peut être mourir que son seul amour n’était plus personne d’autre que moi. Je me délectais chaque instant de cette pensée, l’imaginant se morfondre dans le travail ou dans son lit, pleurant pour me retrouver au plus vite mais sachant ne rien pouvoir faire, Tim pensait la protéger en lui offrant une chance de partir loin d’ici, moi je savais qu’il la torturait en faisant ça, et ça ne me rendait que plus puissant de le savoir anéantis par ses décisions.

J’avais donc mis au point ce plan amusant, offrant une grosse somme d’argent à l’hôpital pour la recherche en laboratoire contre les maladies infectieuses et les maladies auto-immunes, je ne voulais pas forcément aider une cause en faisant ça, je voulais m’attirer les bonnes faveurs du directeur de l’hôpital, le doyen, je voulais qu’il me rende des services, j’aurais fait cette donation à n’importe quel dirigeant de société tant qu’Emma était en service à l’intérieur, juste pour avoir le privilège de la torturer, et j’avais eu une idée bien plus attrayante qu’une lettre de licenciement. J’avais une autre sorte de lettre, et pour la petite fellation en supplément, c’était pour l’amuse-gueule, l’apéritif de ce qu’elle allait subir, voir son ancien amant se faire sucer n’était qu’une étape facile à diriger pour quelqu’un comme elle, elle avait déjà subi bien pire, mais j’avais espoir que ce soit une de ses collègues, qu’elle ne puisse plus la regarder sans vouloir la tuer pour cet affront, c’était mesquin n’est-ce pas ? Mais tellement bon à mettre en œuvre, tout était une question d’argent, le pouvoir commençait par-là, et je voulais lui faire comprendre par des moyens très démonstratifs. Cette gâterie n’était que le début d’un long et douloureux apprentissage.


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Mer 26 Avr - 18:50
     

Konrad T. Reed ♦ Emma G. Dietrich

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V
ingt-quatre heures, le temps d’une journée. Une simple petite journée qui pourtant peut changer une vie, en vingt-quatre heures, j’étais devenu un monstre. Dans ses mêmes vingt-quatre heures, j’avais souffert, j’avais eu confiance en moi, je n’étais plus vraiment la même. Il m’avait encore bien fallu vingt-quatre heures pour me reposer de la soirée que, j’avais passé. Heureusement pour moi que, j’avais eu quelques jours de repos, car, je n’aurais sans doute jamais pu assurer mon poste. J’avais bien eu besoin de cette journée, pour dormir, mais surtout pour pouvoir pensé à mes envies à ce que, je voulais vraiment dans la vie. Le pouvoir ou la connaissance et l’évolution dans ma carrière professionnelle, car je ne savais plus du tout. Les quarante-huit heures qui ont suivi mon départ de chez Konrad avaient été tellement longues que, je n’avais qu’une seule envie, retourner le voir et m’excuser de m’être enfuit, je ressentais un manque tellement intense en moi qu’il me prenait par les tripes. Mais, c’était justement ce qu’il ne fallait pas faire, je ne devais absolument pas aller vers lui, c’était ce qu’il attendait de moi, de me voir ramper à ses pieds pour lui demander pardon et n’être qu’un objet à ses yeux. Je devais plutôt prendre la fuite, aller loin d’ici voir d’autre pays, la terre est ronde et il y a tellement de pays à voir que, je ne comprenais toujours pas pourquoi, je ne pouvais pas quitter cette ville. Je m’étais juste réfugié à gauche et a droit, désertant de quelques jours, les endroits que je fréquentais le plus pour lui faire croire à ma mort ou même à un départ. Après tout, n’était-ce pas la seule chose dont j’étais capable ? Fuis, mes responsabilités ? Tout comme avec Sloan ?

J’avais une nouvelle fois jouée à l’idiote, reprenant un poste de travail, enchainant même les heures jusqu’à tomber de sommeil dans la salle du personnel pour ne pas penser à lui. Oui ? J’étais désespéré à ce point, mais en même temps comment ne pas réussir à penser à lui. En une soirée, en quelques heures, il avait réussi à me faire changer, j’étais devenue une nouvelle femme. Maintenant, je n’hésitais plus pour prendre des initiatives. Pour le travail ou autre chose, je m’imposais, je commençais à dire non. Comment oublier l’homme qui a réussi à faire de vous une femme forte en l’espace de quelques heures, puis qui au réveil vous brise le cœur pour se protéger lui-même ? C’était impossible et la personne qui osera vous dire le contraire ne sera qu’un vulgaire menteur. Au final, je n’étais pas plus malheureuse de ne pas avoir pris la fuite, j’avais pris un nouveau rythme de travail et maintenant, j’appréciais même presque d’user de mes charmes pour arriver à mes fins. Mais attention, je ne dépassais jamais certaine limite. C'est-à-dire qu’il m’arrivait parfois à draguer certain médecin ou chirurgien pour avoir des avantages sur certain patient, en échange d’un rendez-vous ou deux. À croire que les premières leçons ne m’avaient pas servie.

Dix jours, deux cent quarante heures sans nouvelle de Tim ou de Konrad. Un test à mes yeux, maintenant, j’étais certaine que Tim ne m’aimait pas assez pour reprendre le contrôle de son corps. Je ne voyais jamais de garde à mes trousses ou d’homme qui me suivait, c’est qu’il s’en foutait complètement et qu’à l’heure qu’il était, alors que, je tombais de fatigue, il devait sûrement baiser une de ses nouvelles compagnes. Rien que de penser à cette horrible vision me filait la nausée. Je n’aurais jamais dû penser à ça, je n’aurais jamais dû perdre mon temps à rester dans les urgences à vouloir faire des heures supplémentaire alors qu’il n’y eût rien de vraiment croustillant à voir, je voulais du sang, je voulais quelques choses de puissant et non.. Des points de suture à gauche où a droite ! Et comme si mon rêve avait été exhaussé, le chef m’avait bipper. Mais les rêves, c’est de la bleusaille, car, il ne s’agissait pas du chef, je ne sais pas a quoi je m’attendais en même temps. J’étais tellement dans le feu de l’action que, je n’avais même pas remarqué que c’était Tim qui se faisait prendre à la source. À l’intérieur de moi, je voyais rouge, mais tellement rouge que, j’avais envie d’étrangler cette fille avec mon stéthoscope.

Mais, je ne voulais pas lui montrer ce que, je ressentais. Non, il n’aurait pas ce plaisir sur moi, je comptais me la jouer bien plus …. Discrète cette fois-ci, j’avais appris, je ne sais comment, peut-être à force de jouer de mes charmes pour avoir certain avantage, mais je n’étais plus aussi bête et paniquer face à un homme. J’avais joué la fille indifférente, qui préparait son plant de travail, qui essayait de paraître professionnel. Qui l’était même énormément alors que, l’homme que, j’avais le plus envie de tuer à l’instant présent se trouvait dans la même pièce que moi. Je craquais doucement mon coup en l’écoutant, me préparant trois petites pilules de couleur différente dans la main. « Tellement rapide que, tu vas éviter de me faire perdre mont temps et trouver quelqu’un d’autre a embêter, rapidement » J’en profitais pour détendre mes cheveux les secouant légèrement, on ne dirait pas comme ça, mais porter une queue-de-cheval haute toute la nuit ça faisait légèrement mal au cuir chevelu. « Tu as du mal à comprendre quand, je te dis que je n’ai pas de temps à perdre avec toi ? Alors ouvre bien tes oreilles » J’approchais doucement de lui, les bras toujours sous ma poitrine « Je . Ne . Prendrais. Jamais . Plus . De . Temps . Pour . Toi » Je n’avais sans doute jamais autant articulé de ma vie, même en parlant avec une personne sourde. Alors oui, je cherchais à voir sa réaction. Mais sans surprise, il n’était pas jaloux, il ne voulait que s’amuser une nouvelle fois. « Te rendre jaloux ? Pourquoi faire ? » Un sourcil arqué à essayer de comprendre, même si au fond de moi, je savais très bien ce qu’il voulait dire par là « Je prends simplement du bon temps avec certaines personnes de cet hôpital, alors non. Je ne cherche pas a remplacer quelques choses dont, je n’ai pas besoin » Aie mon cœur, ça me brisait de dire ça et je continuais pourtant de jouer la fille beaucoup trop occupé pour l’homme qu’elle aime encore peut-être. Mais bien sûr que, je l’aime encore. J’avais beau l’envoyée vers cette infirmière, je ne voulais pas la voir avec elle. Ça me rendait malade et, j’avais comme l’impression que, j’allais devoir manger du chocolat en énorme quantité. Mais alors que, je m’apprêtais à sortir de la pièce pour rentrer chez mon ami. Son histoire de lettre m’intrigua au plus au point, qu’avait-il encore une fois préparer. Je lui avais limite arracher la lettre des mains pour l’analyser de plus prêt « Qu’est-ce que c’est que ce ramassis de connerie encore » Je lui lançais directement un regard froid « Tu te soignes tout seul » J’avais veillé a parler bas pour ne pas trahir son secret en claquant la porte derrière moi, je n’en revenais pas. Comment avait-il réussi à se procurer cette ordonnance ? « Je ne suis pas infirmière à domicile et, je ne quitterais pas l’hôpital en y laissant de vrai malade pour un malade imaginaire qui n’a qu’un seul problème dans sa tête ! » Pourquoi moi ? Pourquoi ne pas me laisser tranquille comme ses dix derniers jours ? Et pourtant, je souriais, je savais que l'Emma présente sur le papier était moi, c’était voyant comme le nez au milieu de la figure, mais, j’avais une porte de secours qui ne servirait pas à grande chose. « Oh, mais je vois, c’est Emma du service d’Urologie » Voyons Emma était un prénom rependu de nos jours et …. Je jouais à l’idiote pour gagner du temps « Je vais te la bipper, tu verras, elle est blonde yeux vert, grande de taille. Elle a tout pour plaire, elle s’occupera très bien de ton problème par là » Je pointais du bout des doigts son entre-jambe en attrapant mon bipeur. « Je te laisse, j’ai vraiment besoin de me changer les idées en charmante compagnie, si tu vois ce que je veux dire. » Je m’étais approché de lui en jouant avec l’une de mes mèches de cheveux, gonflant mes lèvres « Des jeux beaucoup plus excitant que celui-ci » J’avais rapidement quitté la pièce en cherchant du regard quelqu’un, le premier qui passait pour me trouver une porte de secours, il n’oserait pas me faire du mal devant tant de personnel ?



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Jeu 27 Avr - 17:20
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Les limbes ne sont guère passionnants, dans la réalité des choses, j’errais simplement dans mes souvenirs, c’était ce qu’il se passait quand nous étions abandonnés dans notre propre esprit. On doit subir des souvenirs, vaguer dedans, revoir nos erreurs et nos bons moments, parfois les pires moments étaient plus faciles à revivre que les mauvais. Car en revivant les bons moments, on souffrait davantage de ce ne plus ressentir ce genre de bonheur. Imaginez un instant revivre cette fameuse nuit avec Emma, chaque étape, de la voiture au restaurant, son premier sourire, sa première grimace, le premier baisé. Je ne me souvenais même plus du premier baisé, quand était-ce ? Pas au restaurant, peut être après le viol que je lui avais fait subir ? J’aurais dû être plus présent, c’était certains, j’aurais dû mettre de côté mes plus sombres pulsions pour vivre quelque chose de réel avec elle. Après tout, avant même ce premier rendez-vous je savais parfaitement bien qu’elle était celle qu’il me fallait, et je l’avais perdu, à force du temps, j’avais perdu la femme de ma vie, mais sachez que revivre cette soirée était toujours préférable à entendre les pensées de Konrad, ce qu’il comptait lui faire, la façon de la faire souffrir était imaginable pour moi, je ne pouvais pas me permettre de rester là à le regarder faire, mais je n’avais aucune idée de comment reprendre le contrôle, il m’avait permis de revivre des souvenirs aléatoirement dans ma mémoire, me libérant ainsi de cette fameuse cage de glace qui m’avait tant fait souffrir, désormais j’étais dans une sorte d’enfer personnalisé ou je pouvais tout revivre, ça me permettait également de ne pas trop perdre la tête, j’étais comme spectateur de la scène, je me voyais agir et parler sans rien pouvoir influencer. C’était assez horrible en y repensant mais j’adorais réellement certains souvenirs, ma première expérience réussis, mon premier contact avec Nix, même ma naissance, tout était visible. Chaque petit fragment de mon être. Mais pendant tout ce temps à errer, je ne pensais qu’à Emma, c’était une fille si courageuse, si brave, si authentique. Au premier regard de chaque homme, je savais très bien ce qu’on pouvait penser d’elle, elle était si parfaite et si belle que c’était facile de l’insulter de fille facile ou de salope sans cervelle. Mais je la voyais si différemment, c’était une infirmière compétente, aimante, elle était présente pour aider les autres, et c’était quelque chose que j’admirais. On pouvait bien sûr trouver ça futile et pas très intéressant pour quelqu’un comme moi qui ne pense que par lui-même. Mais personne ne la voyait comme moi, je voyais un espoir pour moi, une fille qui comprendrait mes sombres penchants, pour qui je pourrais écouter les histoires pendant des heures sans jamais me lasser une seule seconde, même si c’était pas forcément très intéressant, l’entendre me suffisait simplement. Et de là ou j’étais actuellement, rien que d’imaginer le son de sa voix me suffisait à ne pas perdre la raison, je me sentais abandonné, j’avais l’impression de l’avoir déçu en ne me battant pas davantage, mais je devais l’avouer, Konrad allait être plus utile pour la guerre en préparation, j’aurais été injuste envers Phoenix en laissant passer pareille occasion pour lui d’avoir un soldat si puissant à ses côtés. Mais aujourd’hui je pouvais le dire sans m’en vouloir, je suis tellement désolé Emma, j’aurais aimé que tu entendes ça et que tu puisses y croire, je croyais tellement en nous que je m’en veux de t’avoir traité si injustement en t’abandonnant à ton triste sort, mais c’était tout ce que je pouvais faire, j’étais incapable de faire du tords à Phoenix. Mais le pire dans tout ça, c’est que je savais très bien ce que Konrad prévoyait de lui faire, il allait en faire une esclave, au départ, c’était mon idée de la transformer en véritable démon sur terre, mais j’avais changé d’avis en comprenant tout l’intérêt de son innocence et de sa franchise. Elle était franche, c’était indéniable, trop franche même parfois, elle se mettait en danger, surtout avec des gens comme moi en l’étant de cette façon, et je pouvais la voir de l’autre côté du miroir, je pouvais la regarder se battre contre mon autre moi. C’était une fille courageuse, et je savais que même sans moi, elle s’en sortirait tant bien que mal, elle ne pouvait pas mourir, c’était la seule chose que j’avais demandé en échange de ma captivité, qu’elle puisse vivre, je priais simplement pour qu’elle s’endurcisse tant qu’elle le peut, ou bien même qu’elle réussisse à changer Konrad, le faire devenir un peu plus humain pourrait suffire pour changer toute la donne. Peu à peu, je revivais un nouveau souvenir, le décor changeait à nouveau, me laissant seul face à le dureté de ce monde, celui-là allait également me changer, je le savais, revivre tous ses souvenirs laisse des traces, et j’étais là pour un moment, un an, peut être deux, il n’allait pas falloir plus longtemps à Nix pour gagner cette guerre. Je l’espérais bien car j’avais tout donné, y compris Emma, pour récupérer mon corps après la guerre. Et un mois suffirait à rendre fou n’importe qui dans les limbes… Je me réveillais peu après, toujours dans ce satané monde, le corps couvert de cendre, la peau cramoisie, je pouvais sentir une forte douleur sur ma poitrine et des yeux rouges devant moi, je revivais sérieusement ce moment-là ? Cet ours-garou devant moi, je le connaissais que trop bien, Eliot se trouvait devant moi, je pouvais sentir chaque parcelle de douleur, la griffe avait déjà fait son travail, j’allais survivre grâce à dieu, mais pas sans séquelle, et un seul nom me venait à l’esprit pour expier mon horrible douleur : « EMMA ! ». Le hurlant en direction du ciel, évidement en vain, je tombais dans l’inconscience, tête contre terre.

Évidement que mon plan était parfait ! C’était plus qu’une évidence, c’était une certitude totalement incorruptible. J’allais lui faire doucement mal, la faire virer au rouge avec cette rencontre au bout de dix jours, et je ne comptais pas m’arrêter là, j’avais imaginé deux écoles, soit elle partait en pleurant et dans ce cas, c’était aisée pour moi de la manipuler pour la faire revenir à la maison, soit j’allais devoir être un peu plus subtil que ça, et la faire totalement craquer. Dans les deux cas j’avais des plans, elle allait beau jouer la carte de la fausse indifférence ou de la jalousie masqué par de l’ironie mal placée, j’allais dans tous les cas être bien meilleur qu’elle, c’était facile d’être calculateur, il suffisait simplement de tout prévoir, mais je me méfiais un peu de cette Emma, elle avait surpris Tim à trois reprises. Je n’étais pas étonné de la voir tenter une quatrième fois, ou première en l’occurrence, avec moi. Mais je n’étais pas si impressionnable facilement, mais à contrario de Tim, je ne demandais qu’à être surpris, la surprise avec quelque chose de bon, et ça allait lui faire gagner quelques points, rien de négligeable si elle souhaitait survivre à ce que je lui préparais. Une question me taraudait l’esprit pendant que cette gentille et douce infirmière me suçait la queue dans cette salle de consultation. Pourquoi s’arrêter au diplôme d’infirmière ? Elle était très douée et apprenait vite, je la voyais bien en tant que docteur spécialisé, peut être en chirurgie, ou bien même en pédiatrie, dans tous les cas, elle était bien plus douée que les autres, et j’étais certains qu’elle retenait les choses très facilement. Dans tous les cas, il fallait vraiment que je m’occupe d’elle, car pourrir dans cet hôpital n’était pas la chose à faire.

Bon, j’avais joué la carte de la surprise, de la fellation, mais apparemment, je faisais la cour à un mur. Impossible d’avoir la preuve de sa culpabilité, jalousie ou tout autre sentiment qui aurait ouvert une faille. A croire qu’elle s’était entrainé toute sa vie pour ce moment très précis où elle allait entrer dans cette pièce, peut être devais-je insister davantage pour la faire franchir, j’avais quelques idées en tête. Elle voulait que j’harcèle quelqu’un d’autre ? Mais c’était totalement impossible que ça se passe aussi facilement, pour qui elle me prenait réellement au juste ? « C’est impossible, c’est toi que je veux. » J’haussais les épaules, ce n’était pas vraiment un compliment, plutôt une simple information déclarée. Et voilà qu’elle me prenait de haut maintenant, elle voulait que j’ouvre mes oreilles ? Très bien, j’allais le faire avec plaisir, mais elle allait comprendre ce que les mots honte et respect signifiait pour moi. Elle s’approchait doucement de moi, les bras croisés sous sa belle poitrine, me disant qu’elle ne prendrait plus de temps pour moi. Mais au contraire, elle allait en perdre un temps fou. « C’est faux, tu es folle amoureuse de moi. » Je soupirais doucement avec dédain, comme si c’était quelque chose de normal, totalement normal à vrai dire.  Le coup de la lettre n’était que le début du plan, je l’avais court circuité par le chef de l’hôpital, et elle avait beau me faire tout un cirque pour être débarrasser de moi, je ne comptais bien lui faire cette fleur, oh que non, j’allais réagir impulsivement et avec beaucoup de plaisir contre ce bout de femme. Je l’écoutais simplement parler, me raconter des histoires et tenter de me rendre jaloux avec ses jeux plus excitant, moi aussi je connaissais des jeux plus excitant à faire dans un hôpital, mais par-dessus tout, je savais très bien que dans les hôpitaux, les ragots circulaient aussi vite que dans un film, il suffisait d’un petit scoop. Elle fuyait doucement à travers la porte après que j’eus répondu : « Alors jouons ! », et alors qu’elle franchissait le seuil de la porte, limite en fuyant alors que je n’étais pas très loin derrière elle, je lui fis un croche patte avec ma télékinésie, à l’abris des regards encore dans la salle en baissant son pantalon et sa culotte jusqu’au chevilles, se retrouvant donc cul nu, allongé sur le ventre, devant tout un ramassis de gens, patients, docteurs et infirmières qui la regardait d’un air bête, certains rires se firent sentir et le bruit cessa pendant un moment, quelques petits chuchotements et moqueries se firent entendre alors que ma voix s’éleva dans l’air. « Infirmière Dietrich ! N’est-ce pas une honte de sortir de cette manière ? Vous ne m’avez même pas laissé terminer mon affaire ! » Je sortais de la salle, un grand sourire sur les lèvres, m’abaissant légérement à son niveau. « Tu es sûre de vouloir rester ici ? J’ai encore quelques dossiers sur ton téléphone à transmettre à tes collègues et au directeur, tu sais, pour les petits jeux amusants… » Un sourire pervers et sadique pouvait se lire sur mon visage, un sourire diaboliquement drôle, tant drôle qu’un petit rire m’échappais.

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Ven 28 Avr - 9:22
     

Konrad T. Reed ♦ Emma G. Dietrich

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P
endant ses dix jours qui avaient été longs, mais tellement longs que je n’en voyais plus la fin. J’avais beau me faire tous les scénarios possibles, je me refusais de les accepter. Je ne voulais pas le savoir avec une autre femme, le savoir heureux et comblé avec une autre que moi. Vous pouvez appeler cela de la jalousie ou bien même de l’amour, je me refusais aussi de me croire amoureuse de lui. Je ne pouvais pas être amoureuse d’un homme qui m’avait violé, frappé et qui était tout ce que, je détestais chez un homme. Je ne méritais pas cela, je méritais un homme aimant et doux avec moi. Je n’étais pas comme les autres femmes qui auraient demandé un homme qui les couvre de cadeau, je partais du principe que, je travaillais et que, je n’avais jamais eu besoin de quelqu’un pour prendre soin de moi. Depuis mon enfance, je m’étais toujours débrouillé seule, alors pourquoi commencer maintenant ? Non, je demandais que de l’amour. Et, je savais que je n’aurais jamais cet amour venant de Konrad. À ses côtés, ce ne serait que de la violence et de la peine et, je préférais me savoir le cœur en sécurité noyé sous mon travail et lui en compagnie de vulgaire fille de joie. Plutôt que de me voir dans un avenir ou, je ne serais que l’instrument de son propre plaisir, un objet rien de plus à ses yeux. Et Tim n’avait rien fait pour reprendre le contrôle, il s’était pitoyablement laissé enfermer par son double, tout cela pour quoi ? L’oiseau Phoenix ? J’étais bien heureuse de ne pas l’avoir rencontré, car je ne me serais pas privé de lui dire le fond de mes pensées. Comment un homme pouvait-il préférer son patron à son amour ? S’il me l’avait demandé, j’aurais été prête à abandonner ma carrière professionnelle pour son amour. J’avais presque déjà embrassé son idée, mais une nouvelle fois, il m’avait donné une raison pour ne pas le suivre.

J’avais réussi à transformer mon amour en haine, je ne savais pas vraiment comment en étais-je arrivé à un tel point de haine pour cet homme. Même si cela était dû à toutes ses nuits blanches. Toute les nuits a ne pas trouver le sommeil de peur de le voir dans un coin sombre de ma chambre, j’avais peur d’ouvrir les yeux et de le trouver sous mon nez, prêt à s’enfoncer en moi de force juste pour me voir pleurer. Et pourtant, avec cette simple image, j’avais du mal à retenir le liquide qui coulait entre mes jambes lors de mes réveils. Il n’y avait pas une seule nuit où il ne faisait pas partie de mes rêves érotiques, il avait marqué une partie de ma vie et, j’avais beau faire tous les efforts possibles, je ne pourrais jamais l’oublier. J’avais juste trouvé comment le haïr, la meilleure façon à mes yeux pour l’oublier ne plus l’aimer. Pensée à ce qu’il m’avait fait faire pendant mes heures de travail, je passais ma vie à sauver les autres et par sa faute, j’avais une mort sur la conscience et l’envie de tuer les personnes qui s’opposait à moi en commençant par lui.

J’avais eu dix jours pour commencer une nouvelle vie, chose que, j’avais rapidement fait en créant de nouveaux liens, amitié, séduction… Je ne reculais devant rien surtout si cela me permettait d’aller de l’avant. Mais parfois, il suffisait d’une heure pour faire basculer notre vie, soixante petites minutes qui n’étaient rien dans vingt-quatre heures et pourtant… J’étais stressé, mais bien quoi qu’un peu fatigué, ce qui était normal avec plus de douze heures de travail dans les pattes et … Voilà qu’il venait de bouleverser ma petite vie tranquille en l’espace d’une simple heure. Comment avais-je su qu’il s’agissait de Konrad et non de Tim ? La provocation ! Tim ne se serait jamais fait sucer et m’aurait appelé pour être spectatrice de cette scène. Il n’y avait que Tim pour essayer de me faire craquer, il n’y avait que cet idiot pour réussir à me rendre malade en l’espace de quelques minutes. Mais, je ne comptais pas me laisser faire, il était malin. Mais, j’étais aussi maligne que lui, peut-être pas autant, mais je l’étais, j’étais capable de beaucoup de choses et, j’allais lui prouver. Après avoir bousillé son coup d’un soir, j’étais prête à lui montrer que, je ne voulais plus avoir aucun contact avec lui. Je ne m’étais vraiment pas entraîné à le revoir, j’étais tellement dans l’idée qu’il ne voudrait plus jamais de moi avec ses longs jours dans le silence que, je ne savais juste pas comment faire. Je jouais l’indifférente et, j’espérais que cela marcherait. « C’est trop tard, après dix jours d’absence. Tu penses bien que j’ai tourné la page désolée » Je m’étais doucement approché pour caresser sa joue du bout de mon index, alors que ses paroles m’avaient doucement brisé le cœur. Je ne savais pas s’il était sincère ou si cela n’était qu’une partie de son plan pour m’avoir. « Je suis désolé que tu aies de faux espoirs… » Je souriais en coin, il n’y avait rien qui ressemblait à mon ancienne moi dans ma façon de faire pour l’instant « Amoureuse ? Non, je pensais être amoureuse de Tim… Mais, il s’est avéré que, je n’aime pas les lâches » Un rire m’avait échappé alors que, je prenais rapidement la fuite, tellement rapidement que, je n’avais pas pensé une seule seconde à ce qu’il pouvait me faire. Je savais qu’il n’allait pas me frapper ou me violer une nouvelle fois devant tout le monde, il n’en serait pas capable. Mais… Il était capable des pires coups, et là… Il venait de frapper très fort, je n’avais pu me rattraper alors que mon corps était lourdement tombé. Face contre terre, le cul à l’air. Alors que, j’étais paralysé par les rires qui m’entouraient. Je cherchais comment me sortir de cette galère, j’étais plus forte que ça… J’avais déjà survécu à bien pire. Je souriais doucement en écoutant sa provocation alors que, je me redressais doucement « Vous laissez terminer ? Il n'y avait rien à terminer désolé… Je n’ai jamais connu un coup aussi mauvais que celui-ci » J’avais doucement remonté mon string et mon pantalon, tout en gardant ma classe, ce n’était qu’un corps parmi d’autre. J’essayais de me mettre ça en tête pour ne pas virer au rouge écarlate face à tout ce monde, la plupart des infirmiers m’avaient vu à moitié nus dans les vestiaires qui étaient mixtes. Les médecins voyaient environs des dizaines de fesses par jour ce n’était pas le mien qui allait changer la donne, ce n’était que la scène qui était… Drôle pour les autres, mais beaucoup moins pour moi. « Hé vous tous ? Vous n’avez pas du travail ou mieux à faire » Mon regard était sombre et ma voix sèche, je reportais rapidement mon regard dans celui de Konrad m’approchant de lui pour chuchoter. « Attends-moi devant, j’arrive dans pas longtemps le temps de me changer et prendre une douche. »

Je lui avais tourné le dos sans attendre son accord ou même ses avances, car je savais qu’il était capable de me proposer une partie de jambes en l’air sous la douche. J’avais pris soin de me préparer sous la douche, car je n’allais pas que faire en sorte de le rejoindre. Non, je comptais bien aller au bout de mon plan. Le temps de bipé un médecin qui avait des vues sur moi, le fameux médecin avec qui je passais beaucoup de temps, mais à qui j’avais toujours refusé les avances. Enfilant ma robe rouge qui offrait un merveilleux décolleté, mais qui restait très courte, mes escarpins blancs-cassé, mes cheveux onduler et un simple rouge à lèvre rouge. J’avais pris la direction de la sortie pour rejoindre Konrad qui devait déjà bouillir d’impatience à l’extérieur, je me demandais même s’il m’avait attendu ou s’il n’était pas déjà en train de retourner l’hôpital pour me presser. Mais, j’étais maintenant dehors, je voyais sa silhouette au loin et je lui avais rapidement tourné le dos pour cacher la personne qui m’accompagnait « Je promets de rapidement me rattraper, dès que, j’en ai fini cette petite histoire » Et… je l’avais embrassé, collant doucement mon corps au siens alors que ses mains s’étaient posées sur mes fesses. Je n’avais pas imaginé qu’il allait aller aussi loin dans son baisé, non. Je pensais qu’il allait juste m’embrasser quelques secondes et rien de plus et, alors qu’il était rentré à l’intérieur du bâtiment. J’avançais doucement dans la direction de Konrad, en arrangeant ma robe. « Tu veux quoi ? Et vas droit au but »


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Ven 28 Avr - 18:56
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Hey beauty, are you sucking cocks ? Δ Konrad & Emma.

Revivre ce souvenir n’était qu’une longue étape de mon long périple, j’allais devoir les revivre un par un, et celui-ci était l’un des plus douloureux. En réalité, c’était le plus douloureux physiquement, je n’avais pas pour habitude d’être blessé, et cette fois, c’était la griffure d’un ours garou alpha, c’était une blessure fatale pour la plupart des gens, j’avais souffert le martyr comme jamais auparavant, car ce genre de blessure ne pouvait pas simplement être guéris naturellement, c’était ce genre de blessure qui pouvait transformer un humain en une créature démoniaque, un métamorphe de base qualité. Heureusement pour moi, j’étais un survivant et surtout un bon médecin et scientifique, je savais comment m’en sortir, mais il avait suffi de peu pour que je perde tous mes espoirs de vie humaine et que je devienne un ours, ça aurait été horrible pour moi, j’avais déjà entendu des rumeurs sur cette vie surnaturelle et surtout sur la potentielle obtention de nouvelles habilités grâce à des sacrifices humains. J’avais entendu parler d’une guérison totale comme par magie, ça me donnait des nausées de devoir mourir dans un tas de boue à cause d’une griffe. C’était justement pour ça que j’avais combattu l’infection, j’avais réussis à tenir jusqu’à l’arrivé de Nix, il m’avait sauvé à la vie, alors que c’était l’inverse qui devait être de rigueur. J’avais gardé cette cicatrice en guise de souvenir pour pouvoir me venger plus tard, et quelques jours plus tard, mon vœu fut exaucé, car c’était un fier cadeau que les hommes de Nix m’avait ramené, l’ours en question, Eliot, offert sur un plateau d’argent, je lui avais fait tellement subir de douleurs atroces, qu’il ne s’en était jamais vraiment remis, mais c’était également le jour de mon avènement, car me potion pour retirer les pouvoirs des alphas avait enfin marché,  je lui avais retiré tout ce qui faisait de lui le meilleur et l’une des plus puissantes créatures du monde connu. J’étais connu comme l’homme le plus dangereux pour les alphas de tout type, et c’était cette réputation qui m’avait convaincu de la nécessité de devenir un Darach. Ce long souvenir était douloureux mais dans un sens réconfortant, ça me rassurait dans le sens où j’étais cet homme, cet homme puissant et fort, capable de faire des choses extraordinaires. Mais la réalité me rattraper vite, je pouvais sentir ce doux parfum d’ici, je prenais une longue inspiration, le respirant à plein poumons, c’était le parfum d’Emma, elle n’était pas loin, tout proche, je pouvais le sentir et rien que cette odeur me rendit triste, déprimé et abattu, je voulais me battre pour elle mais j’avais promis de ne pas le faire, un pacte est un pacte, une parole était une parole, j’espérais juste qu’elle découvre un jour que j’ai tout fait pour qu’elle soit en sécurité. Peut-être me pardonnera-t-elle avec le temps ? Mais ça ne faisait que dix jours et j’avais l’impression de l’avoir quitté depuis un an, j’avais besoin d’elle, pour me sentir mieux, dormir, me sentir aimé et pas rejeté, j’avais besoin de cette fille, et la sentir à l’autre bout du fil, Konrad nous séparant, était une chose horriblement désagréable, je voulais battre ce mauvais esprit, mais pour le moment, je devais juste prendre mon mal en patience.

Quelle pitoyable bout de femme, comment on pouvait croire que cette fille pouvait être l’élue choisis par le grand Timotheus que tous le monde craignait ? C’était une fille suffisante, sans aucune ambition, elle se contentait du strict minimum depuis son départ de Faucon Industries, sans même essayer de me rendre la vie difficile, elle s’était contenté d’enchaîner les gardes, ça se voyait à son visage et ses cernes, elle était fatiguée, limite morose, c’était l’inverse de passionnant à voir. Mais je voulais quand même m’amuser avec elle, c’était mon petit cadeau à Tim, pour le faire souffrir, rien que ma présence à côté d’elle devait suffire à l’anéantir. Mais le pire dans tout ça, c’est que je lui avais laissé plusieurs jours pour fuir, sans même envoyer la moindre personne à sa poursuite ou pour faire pression, une totale liberté, et maintenant que j’avais élaboré un plan tout rigolo, elle faisait tout pour le faire capoté avec sa mauvaise humeur. Rien que pour ça j’avais envie de lui faire beaucoup de mal. Assez de mal pour la faire plié pitoyablement à ma volonté, mais pas trop pour ne pas endommager la marchandise. Car c’était tout ce qu’elle était, de la marchandise à volonté dont je pouvais me servir, mais elle avait besoin d’une petite leçon apparemment pour apprendre à me respecter de nouveau, et elle n’avait aucune idée de jusqu’où j’étais prêt à aller pour avoir son respect et sa peur, j’étais prêt à tuer chaque personne de cet hôpital pour ça, je n’étais pas Tim, je n’allais pas me contenter de stratagème, c’était juste pour le fun que je faisais des plans, si je devais être plus violent et impressionnant, j’allais l’être.

Elle parlait réellement d’absence ? Il fallait croire que oui, elle pensait que j’étais amoureux d’elle ou bien ? Je n’étais pas absent, j’étais simplement occupé ailleurs, si elle n’était pas capable de subvenir à ses propres besoins ce n’était pas mon problème, et elle pouvait bien faire la dame heureuse et pas du tout frustrée sans moi, je savais très bien que ce n’était qu’une grosse façade, une vaste blague sans importance. Elle se languissait de mon retour, et j’allais très rapidement le prouver, j’allais faire en sorte de lui faire comprendre son erreur. J’étais prêt à tout pour ça. Et j’avais cette petite idée derrière la tête, lui faire comprendre ce qu’est la honte, lui faire subir une humiliation publique. J’avais tout d’abord comme idée de lui faire une éjaculation forcée sur son visage puis de l’envoyé devant tout l’hôpital, mais je trouvais ça trop tragique, je préférais une approche plus amusante quitte à être un peu plus soft. « Je m’en fiche que la page soit tournée, si ça peut t’amuser. » J’haussais les épaules, je n’en avais vraiment rien à faire, sachant surtout que ce n’était pas vrai, nous lui avions laissé une marque beaucoup trop grosse pour que ça soit déjà terminé, il lui faudrait au moins dix ans pour oublier ne serait-ce que la sensation de notre première fois ensemble. « Tu me connais mal… » Je souriais légérement, amusé. « Je n’espère jamais rien, l’espoir rend faible. » C’était sec, mais tellement vrai, j’hochais d’ailleurs la tête en prenant un ton mesquin. « C’est d’ailleurs ce qui as tué ton petit ami, Timotheus, tu te souviens de lui j’espère ? » Je savais qu’elle était capable de répondre non juste pour m’énerver, mais ce n’était pas important, je savais que mes paroles l’atteignaient, au plus profond d’elle. « Tim est un lâche, évidemment, il ne s’est pas assez battu pour toi c’est ça ? » C’était à mon tour de m’approcher d’elle, lui soufflant dans le cou. « Crois moi, il a tout donné pour ta petite personne, il t’a laissé une chance de fuir et il m’a fait promettre de ne pas te tuer… C’est son cadeau de mariage. » Je reculais de deux pas, prenant tout mon temps pour qu’elle assimile bien tout. « Oh, navré, vous n’avez eu que très peu de temps, mais c’était ce qu’il voulait pour vous, au final, une famille, un mariage, des trucs pitoyables quoi. » Je souriais, un grand sourire témoignant d’un je m’en foutiste total. En la faisant trébucher, j’avais opté pour un discours plutôt dramatique et amusant, les rires se faisaient sentir, mais ce n’était pas l’important, c’était juste une petite pique amusante. Je pouvais la voir se trémousser sans gêne, remonter son pantalon avec son petit string rose qui dépassé, c’était si excitant. « Vous avez raison, la prochaine fois j’éviterais de vouloir éjaculer sur votre visage, on se contentera de vos fesses. » J’avais levé la voix bien haute, mais la foule se dispersa très rapidement après l’ordre de l’infirmière Dietrich, c’était amusant de voir son regain d’autorité d’un coup, après tout, ce n’était qu’un cul et qu’une chatte mis en évidence, un corps que beaucoup fantasmeront pour un long moment, mais je n’étais pas choqué, c’était un hôpital, il y avait des rumeurs sur les ébats sexuels dans ces bâtiments-là. Elle m’avait donné rendez-vous plus tard, le temps de se changer, je savais pertinemment qu’elle avait quelque chose derrière la tête, mais j’étais prêt à tout, j’allais l’attendre devant l’hôpital, comme un garçon sage, elle ne pouvait pas s’enfuir et j’avais une idée derrière la tête la concernant. Je l’imaginais déjà prévoir un plan d’action, mais ce qu’elle ne savait pas avec moi, c’est que j’avais toujours un plan B, et s’il ne marchait pas, un plan C. La suite vous la connaissait, il suffit de connaître son alphabet.

J’attendais simplement dehors, ma posture était parfaite, j’étais droit comme un i, les mains jointe devant moi, attendant patiemment la venue de ma promise, et je ne faisais pas allusion à un mariage, elle m’avait été promise, par Tim, je repensais à tout ça, je devais peut-être la ménager un tant soit peu mieux, elle méritait d’être mise à l’épreuve, et pas tout simplement juger. Je n’avais pas non plus mauvaise conscience de lui faire subir tout ça, mais je n’étais pas ici que pour le fun. Il fallait qu’elle reprenne son poste, qu’elle soit prête à se battre pour moi. Et ce n’était pas une chose aisée, quelque chose en moi me disait de lui laisser un peu de lest. De lui donner une chance, c’était sûrement cet idiot de Tim qui m’envoyait des pulsions, soit, j’étais prêt à lui accorder sa chance, j’attendais donc tranquillement, une attitude sérieuse. Mais ce n’est qu’en la voyant descendre les premières marches, accompagnée, je pouvais voir la silhouette d’un homme, qui étais-ce ? Probablement un nouveau prétendant, elle m’avait vu, très clairement, et j’arborais un grand sourire en voyant son attitude, je venais de comprendre ce qu’elle avait en tête. Quelque chose qui allait tout changer, je retenais un rire en la voyant l’embrasser. Son corps se faisait tripoter par ce gentil monsieur à la peau basané. Je pouvais sentir tout mon corps bouillir de rage, mais ce n’était pas la mienne, c’était celle de Tim, et ça m’amusait tellement, je mourrais d’envie d’exploser de rire, j’avais un rictus digne des plus grand malade mentaux. Elle se dirigeait vers moi, je ne bougeais pas d’un poil, j’étais parfaitement détendu en apparence. Sa voix était pressée, elle voulait rapidement en finir avec moi, du coin de l’œil je pouvais voir son petit ami qui entrait dans l’hôpital, du moins qui remontait les marches, je le regardais d’un air calme, me retournant ensuite vers Emma. « Excuse-moi ma jolie… Un instant… Tu as oublié quelque chose. » D’un coup d’un seul, mon corps disparaissait dans une lueur rougeâtre, apparaissant plusieurs mètres plus loin, juste devant le bel inconnu qui avait fait frémir le cœur de ma belle Emma. Je souriais devant lui, alors qu’il était en état de choc. « Coucou, je suis le méchant ex meurtrier ! » Et en une fraction de seconde, son cou était entre mes mains, sa nuque totalement brisé grâce à ma force surhumaine, et je me retrouvais en face d’Emma, le corps ballonnant de l’étranger dans mes bras. Lui jetant dans les bras en m’étirant doucement. «Je ne comprend pas... Il avait l'air si gentil et doux, il est partis si vite...» Je parlais comme si j’étais en état de choc, avant de ricaner doucement. « Il avait l’air d’un bon garçon, dommage que ton violeur soit encore derrière ton cul hein. » Je m’approchais de son visage, plus férocement, cette fois, mon visage était plus sérieux et plus froid, je lui pris les joues d’une main, la forçant à me regarder alors que le corps tombait au sol, raide mort. « Tu n’es rien à mes yeux, juste un jouet, je ne suis pas Tim, et si tu me manque encore de respect, c’est tout ton hôpital et toute ta vie qui seront mes prochaines victimes. » Je ne rigolais clairement pas, j’étais presque en colère, les raisons de cette colère restait à déterminer pour Emma. « Tu m’appartiens désormais, tu as conclu un pacte, j’ai épargné ton amoureux transis, alors tu me dois obéissance. » Je reculais légérement, la lâchant. « La prochaine fois, ne me sous-estime pas. »

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Dim 30 Avr - 19:35
     

Konrad T. Reed ♦ Emma G. Dietrich

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S
es derniers temps, j'avais de lourds sauts d'humeur. Je ne savais pas si cela était dû à mon manque de fatigue ou bien au stress continue que je ressentais. Un stress qui était dû au manque de confiance que, j'avais en moi. Je n'étais pas quelqu'un de sûr d'elle, bien au contraire, j'avais souvent des doutes sur la personne que j'étais. Je ne savais jamais si ce que, j'entreprenais était bien ou pas. La seule chose dont, je ne doutais jamais était mon travail. Vous vous demandez sans doute pourquoi, j'ai la réponse à votre question. C'était pourtant simple. Mon travail était basé sur une éthique, un questionnement qui se basait sur le point de vue du patient et du soignant. Je n'étais donc, jamais seule, mais il y avait beaucoup de protocoles. Mon travail était donc tout tracé, un chemin à faire, des règles à suivre. Et, en suivant ses règles, on était certaine de ne jamais se tromper. Voilà pourquoi, je n'avais jamais douté de mon travail. En ce qui concernait les choix que je prenais dans ma vie personnelle, c'était un peu plus compliqué à suivre. Car, j'étais maître de mes choix, mais aussi de mon destin et il aurait fallu d'une seule petite erreur pour faire de ma vie un enfer. Remontant des jours à l'arrière, j'avais fait deux mauvais choix ... Accepter le rendez-vous avec Tim, car, soyons sincère. Si, je n'avais pas accepté ce rendez-vous, je ne me serais jamais fait frapper et violer une nouvelle fois. Mais, Tim n'était pas vraiment le méchant de l'histoire, j'avais eu beaucoup de temps pour y réfléchir et la seule personne méchante dans l'histoire n'était d'autre que moi. Je lui avais brisé son cœur pour protéger le mien, réaction normale si j'en crois la plupart des filles. Mais si, je ne l'aurais pas brisé ce Konrad n'aurait jamais fait surface et à l'heure qu'il est, je ne serais pas dans cet état.

Car oui, depuis ce jour. Je n'étais clairement plus la même. Je ne me privais pas de crier sur la première personne qui osait se mettre en travers de mon chemin, je me sentais constamment suivie et observer alors que, je savais qu'il n'avait aucun intérêt à me faire suivre. Tim lui était possessif alors que Konrad, lui... N'en aies strictement rien à faire de moi. Et, voilà ce qui me rongeait de l'intérieur depuis quelque temps. Le fait de penser et surtout de douter de l'amour qu'il pouvait avoir pour moi, j'étais à eux doigt, mais vraiment à deux doigts d'entendre Tim dire ce que, je voulais entendre depuis les heures qui s'étaient écoulées, mais ce con de Konrad ne lui en avait pas laissé l'occasion. Mais, je n'en dormais plus. M'amuser ? J'avais beau me voiler la face encore et encore, je l'aimais encore et le pire dans toutes ses histoires, c'est que j'aimais aussi Konrad. Un amour qui n'avait aucun sens, comment pouvait-on aimer son violeur ? Je n'en avais moi-même pas la moindre idée alors que, j'étais la principale concernée. Peut-être à cause de son caractère et ce côté mystérieux et sauvage qu'il avait ? Oui, je pense que c'était ça la principale cause. Car même s'il m'avait surpris une nouvelle fois en me trompant, si on pouvait appeler ça tromper, car, je savais qu'il s'était envoyé des filles pendant ses dix jours. " Oui, je m'en souviens, mais il n'a jamais été mon petit ami. Rien n'était officiel, je n'étais que son assistante d'un soir" J'avais haussé les épaules pour montrer mon indifférence, alors que j'étais très loin d'être indifférente pour le coup. Surtout lorsqu'il se mit à me parler de mariage, sur le coup. Je n'avais pas réussi à parler.... Mariage ? Il avait bien dit mariage ? Mon cerveau n'arrivait plus à réfléchir. Je ne faisais que le regarder le regard complètement perdu dans le vide " Pitoyable ... Le mot parfait. Je vois que tu n'es pas le seul à être précoce Konrad" Je savais qu'il comptait s'amuser avec moi et pourtant, je m'étais dit que si, je pouvais l'envoyer dans les roses et lui montrer que, j'avais tourné la page. Que, je n'étais plus cette fille fragile et faible face à lui, que j'étais capable de lui tenir tête.Il allait se trouver une nouvelle soumise, qu'il trouverait une autre personne à embêter et que, je pourrais enfin passer des nuits tranquilles. Mais, je m'étais encore foutue le doigt dans l'œil, car, il avait essayé de me ridiculiser. Mais cela ne marchait plus avec moi, je ne comptais plus me laisser faire par lui. Je l'avais bien trouvé en gardant la tête haute et ne montrant pas ma honte aux autres. Je m'étais même exposé aux autres, rien à faire, je ne les connaissais pas. Il avait haussé la voix pour bien m'humilier et bien que bien lui fasse, car, je l'avais complètement ignoré en allant me préparer.

J'avais pris un temps fou pour me préparer, premièrement pour tester sa patience, mais surtout pour voir s'il était capable d'attendre ou non. S'il était capable d'attendre mon arrivée ou s'il allait venir me sortir de force de la douche au bout de dix minutes. La surprise n'avait pas été mauvaise puisqu'il m'avait sagement attendu posé comme un militaire devant sa voiture. Une voiture qui n'était pas la même que la première fois et... je préférais de loin la première. Il était d'un calme incroyable et, j'avais mon idée en tête. Je voulais essayer de trouver les réponses à mes questions et c'était pour cela que, j'étais sortie accompagner de l'hôpital. Ce médecin n'était en réalité rien pour moi, car à mes yeux, il n'y en avait qu'un seul... Et c'était Tim ou du moins maintenant Konrad. Il n'était qu'une simple distraction, une protection puisque je me cachais chez lui. Jusqu'à présent, il ne, c'était rien passé entre lui et moi. J'avais toujours repoussé ses avances ou même repousser ses rendez-vous à cause du travail et là, je venais de briser cette barrière pour voir la réaction de Konrad. Mais vous comprendrez cela dans quelques instants, je l'avais embrassé et, je pensais que le baiser n'aurait pas duré plus de cinq secondes, mais cet idiot avait prolongé le baiser, il avait même fait pire. Ses sales pattes pleines de bactérie avaient traîné sur mon corps, empoignant même mes fesses. J''étais complètement déstabilisé par se baiser tellement il était mauvais. Mais, je lui avais promis plus, dans l'espoir que Konrad entende mes paroles. Mais alors que, j'avais avancé vers lui ordonnant limite de me dire ce qu'il voulait à l'instant présent. Il avait autre chose en tête et, je savais ce qu'il allait faire, j'y comptais même bien, c'était le but de ce baiser. " Si tu parles de ma culotte, je sais. Je n'aime pas en mettre avec ses robes" Je ne disais pas cela pour le séduire... quoi que ? Mais, c'était vrai. Les robes moulantes et les dessous ne faisait pas bon ménage, surtout quand la robe était moulante comme la mienne. Elle laissait souvent des traces et gâchait tout le style. Mais là, je venais de découvrir un nouveau pouvoir, il avait disparu. Et alors que, je le cherchais en tournant en rond autour de moi-même. Il c'était brusquement retrouvé à nouveau devant moi, j'avais légèrement sursauté avant d'avoir un poids dans mes bras. Le corps du médecin sans vie, j'avais un petit sourire presque invisible sur mes lèvres. " Il n'était qu'un pantin en réalité" Je l'avais limite jetée au sol, je l'avais dis il n'était rien à mes yeux, il n'avait servie qu'à mon petit plan. Mais alors que la pression de ses mains sur mes joues commençait à me faire mal à la mâchoire, je n'arrivais pas à parler alors que, j'avais tant à lui dire, j'avais de quoi le remettre en place. Mais ma bouche en cul de poule et sa force ne m'en donnaient pas l'opportunité, j'avais attendu qu'il prenne du recul qu'il s'éloigne pour pousser le corps vers ses jambes avec mon escarpin alors que je me massais les joues " Tu mens ou alors tu nies tes sentiments, j'en ai la preuve" Je pointais le médecin du coin de l'œil, car voilà quel était mon plan, s'il n'en avait rien à faire comme il le disait si bien. Il n'aurait pas agi de la sorte, il n'aurait pas tué un innocent pour rien tout ça a cause de sa jalousie." Mais maintenant que, j'ai la réponse à ma question, je t'écoute patron" Je croisais les bras sous ma poitrine, je n'avais pas peur de lui au contraire, j'avais bien d'autre envie en tête. " j'honore ma part du contrat tant que tu honore la tienne"-je souriais toujours mordant ma lèvre inférieur tournant mon talon au sol " Oh et une dernière chose, ne me sous-estime jamais aussi. Car tu as beau être fort et tout ce qui s'en suit. Tu es tombé dans mon piège"


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