La Chasseuse et le Loup (Peter)



 
Recherche de liens ?
Tu as l'idée parfaite d'un lien en tête
mais à la flemme de créer un scénario?
Le sujet de recherche de lien est pour toi !!!
C'est dans ce sujet que tu trouveras ton bonheur!
Scénario coup de ♥️

Rejoins-nous sur Discord
-40%
Le deal à ne pas rater :
Tefal Ingenio Emotion – Batterie de cuisine 10 pièces (induction, ...
59.99 € 99.99 €
Voir le deal

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
La Chasseuse et le Loup (Peter)
Allison Argent
Allison Argent
Messages : 766
Jeu 12 Jan - 3:50
Depuis que j’étais revenue vivre auprès de mon père, les choses avaient bien changés. Sans être parfaites, les choses allaient mieux pour moi. Il fallait juste enlever ce sentiment de peur qui ne me quittait pas. Je ne savais pas si j’étais encore capable de me battre, si j’étais toujours une véritable chasseuse et non pas une pétocharde qui se planquait dès que la situation le lui permettait. Mon passage de l’autre côté m’avait fait beaucoup de mal. Un temps, j’avais cru ne plus être capable de respecter le code d’honneur que j’avais instauré et en fait, si. Cette fille, cette Allison Argent-là, elle était toujours-là, quelque part, mais je crois que j’avais peur de la laissée sortir, simplement parce que Thomas ; et mon père lui donnait raison ; ne me jugeais pas assez forte pour combattre. J’avais finis par les croire moi aussi. A maintes reprises, j’avais essayé de leur prouvé qu’ils se trompaient, mais à chaque fois, je m’étais dégonflée. Étonnamment, la seule personne ayant réussi à me mettre en confiance vis-à-vis de mes capacités, c’est Peter Hale. A dire vrai, lorsqu’il m’avait parlé, je ne me souvenais pas du tout de lui, même si son visage m’était familier. Il m’avait alors dit qu’il était ami avec mon père, et de fil en aiguille, j’avais vu en lui, celui qui pourrait m’aider à redevenir celle que j’étais. Puis, il était venu dans une conversation que j’avais eu avec Stiles et ce dernier m’avait dit que je ne devais pas lui faire confiance, qu’à l’évidence, Peter avait profité de mon amnésie pour me manipuler. Sur le moment, j’avais été sceptique et puis, ne l’ayant pas revue en ville depuis, j’avais finis par ne plus y penser. Et puis, depuis que je vivais à nouveau chez mon père, la mémoire commençait à me revenir. C’était toujours par à coup, mais je me souvenais de plus en plus de choses et de personnes, dont Peter. Si je restais secrète sur certaines choses, sur les autres, je l’étais moins, mais on ne me jugeait toujours pas assez forte pour combattre et ça me frustrait. Alors, quand je m’ennuyais, quand je n‘avais rien à faire, je trainais en ville. Seule.
Allison Argent
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous
Mer 22 Mar - 17:12
Oh, I'm your friend little puppy
with Allison & Peter

Dans toute la ville, il y a cette mort ambiante, cette sensation de perte. Oh, tu détestes cela, Peter. C’est répugnant, cette absence de pouvoir, cette tumeur empêchant tes dons de ressurgir. Loup de naissance, il n’y a pas pire tourment que de voir tes sens s’atténuer autant, de voir cette puissance t’échapper. Tu as cette impression, ce mauvais sort sur toi. D’abord ton enfoiré de neveu te vole ta place d’alpha, place durement gagnée en tuant sa sœur – il pourrait tout de même te pardonner, tu l’as fait pour la famille –, et te retire ces pouvoirs que tu as tant désirés, et désormais, c’est la ville entière qui se retourne contre toi…
Et les humains deviennent de plus en plus envahissants, dans ce monde ou le monstre est scellé en toi… ce n’est pas ce kanima qui changera les choses malheureusement, et seule l’emprise que tu as sur Wolfgang Homachin te maintient dans ton estime… mais le reste…

Parlons-en du reste. Des ennemis de partout. De tout côté. Tu as la rage de voir cette bande de chiens te prendre ta fille, tu as la haine de voir ces foutus chasseurs, ces Steels, et leur horrible SLade derrière la troupe te chasser. Tu as cette frustration de devoir aider l’homme, le loup, le « true alpha » que tu as transformé, cette bête qui n’a rien eu de mieux, comme remerciements, que de te mener à la mort… Quelle chance, n’est-ce pas ? Oh, tu aurais dû en transformer un autre. Stiles, cet idiot, ou Allison… Pourquoi pas ? Jamais Argent n’aurait laissé sa fille se sacrifier pour une morsure d’alpha, et tu aurais pu avoir un certain contrôle sur ceux-là…

Allison… Cette demoiselle en a tellement souffert, de tous ces évènements passés, qu’elle est sans aucun doute la personne la plus influençable que tu connais, et en tant que « conseiller » et « consultant » pour McCall, tu as eu l’honneur d’avoir un bout d’histoire avec elle… Tu te souviens encore de la terreur qu’elle ressentait entre tes griffes, ou de la peur qu’elle avait lorsque tu as détruit la vie de Kate Argent, cette foutue incendiaire, tueuse d’enfants, faiseuses d’orphelins…


Assis tranquillement en terrasse du café, tu avais la seule chose te permettant d’affronter ces horribles jours en tant qu’humain en main, ce café moelleux et noir, bien corsé, bien chaud, tandis que ton ordi était ouvert sur des comptes que tu gérais, tandis que tu réfléchissais à la meilleure façon d’utiliser tes ressources et ces alphas que tu tentais de mener par le bout du nez. Seul Scott s’était avéré assez idiot pour te faire confiance, mais Fitzgerald et Lewis restait en ligne de mire. Bien entendu, pour le dernier, il s’agissait d’un ami, d’une connaissance, et peu importe ta réputation de Grand Méchant Loup, tu avais l’honneur de vouloir l’épargner, voire même de rejoindre sa meute, un jour, si jamais tu en avais besoin pour honorer une dette que tu aurais envers lui une fois qu’il t’aurait livré le pouvoir du true alpha… EN attendant, il te manquait des alphas à ton panel, et tu avais de grandes vues sur ton neveu, mais le côté familial auquel tu te rattachais tant te faisait défaut, tu ne voulais pas le tuer… Du moins, ce n’était pas là ton premier plan…

Et qu’en est-il des alphas autres que les loups ? En connais tu ? Sûrement pas, mais tu as des liens pouvant t’y mener. Cet ours, là, qui a perdu ses pouvoirs ? Serait-ce une bonne idée ? Toujours meilleure que d’aller réclamer la puissance au plus grand alpha – après toi, on est bien d’accord – de tous les temps : Deucalion. Deucalion… Oh, il reste implanté dans ta tête… l’aveugle au grand pouvoir… SI seulement tu n’étais pas cette frêle enveloppe humaine… Et même… Un loup bêta n’a aucune chance face au tyran des tyrans… pour l’atteindre, il te faudra Cade… Accepterait-il ? Oh, non… il ne se frotterait pas à ce monstre, à ce démon… Il ne voudrait pas perdre la vie, ses poils, ou ses pouvoirs…
Toujours est-il que dans cette course à la puissance, tu commences à te demander s’il ne faudrait pas faire alliance avec les Steels... Serait-ce possible ? Slade ne te laissera sans doute jamais approcher, mais il reste à sa place, il n’est que le Chris Argent de la matriarche, n’est-ce pas ? Il n’est que le père de celle aux commandes… Sans doute pourrais-tu approcher sans mourir, et offrir les services de ta réputation ?


Coupé dans ta rêverie par un regard jeté au hasard sur les mèches brunes de l’amnésique, tu souris. Cette fille, depuis son incident – oh, elle était juste morte, n’en faisons pas un drame, tu étais aussi passé de l’autre côté et en étais revenu –, était sans aucun doute le meilleur pantin que tu avais. Aussi, tu replias ton instrument technologique, avant de poser ton café et de te lever, te dirigeant vers elle avec un petit Allison ?
Tu lui touchas alors l’épaule, et dans un grand sourire, tirant pourtant plus du rictus que de la flamme joyeuse, tu lui proposas de s’asseoir à ta table. Tu as l’air perdue… Je t’offre un café ?

electric bird.




Invité
Revenir en haut Aller en bas
Allison Argent
Allison Argent
Messages : 766
Mer 19 Avr - 14:10
Je me sentais moins vulnérable depuis que je savais de quoi retournait toute cette histoire à propos du dôme. Le fait qu’il empêchait les créatures surnaturelles de sortir, mais pas d’entrée. Qu’ils étaient prisonniers. Qu’ils ne pouvaient pas usé de leur pouvoir. Qu’ils étaient aussi vulnérables que des êtres humains. Depuis que je savais tout ça, je me sentais moins en retrait, même si j’avais toujours l’impression que l’on me cachait des choses et pas des moindres, à ce sujet, je me sentais donc encore un petit peu perdue. Enfin, ça ne servait à rien de débattre pendant des heures entières sur le sujet, ça ne changerait rien. Tôt ou tard, je savais que ça finirait par s’amélioré, qu’ils s’arrêteront de toujours s’inquiété pour moi. J’allais bien, j’étais restée la même et j’avais pratiquement retrouver la totalité de mes souvenirs. Et puis, j’étais toujours capable de me battre, je n’avais rien perdu de ce côté-là, même si mon père ne voulait pas l’admettre. Enfin voilà, là encore, il n’était pas nécessaire de débattre pendant des heures entières, ça ne servait à rien. Ce jour-là, j’avais la tête pleine de mes dernières découvertes aussi, j’avais besoin de prendre l’air. Je décidais de prendre un café, depuis ma « mort » c’était devenue une boisson qui m’aidait à tenir. Les cauchemars s’étaient calmés depuis longtemps, même si cela n’avait pas été une mince affaire. Enfin, c’était ma meilleure option pour la journée, pour réfléchir, sauf que, à peine avais-je mis les pieds dans le café qu’une voix m’interpela. Une voix que je ne connaissais que trop bien. Peter Hale. Oh, quand il m’avait accosté il y a de ça quelques mois, je n’avais aucuns souvenirs de lui et il avait réussi à me faire gober n’importe quoi, comme quoi il était ami avec mon père, ce genre de choses. Bien sûr, il avait semblé tellement gentil que je ne m’étais pas méfier une seconde. C’est Stiles, quelques semaines plus tard, qui m’avait rafraichi la mémoire. Depuis les souvenirs étaient revenus et je savais que je devais me méfier, aussi, qu’il m’interpelle de la sorte ne me disait rien qui vaille. Son sourire sonnait faux. Qu’avait-il derrière la tête ? Ma conscience me hurlait de prendre mes jambes à mon coup, pour autant, ces dernières étaient comme enracinées dans le sol, incapable de faire le moindre mouvement. J’avalais ma salive avec difficulté, mais parvint tout de même à décliner sa proposition, à savoir, celle de venir m’assoir à sa table. « Je comptais prendre à emporter, mais merci de l’offre, c’est apprécié ! » fis-je, m’obligeant à sourire. J’étais méfiante, mais je savais que j’avais toutes les raisons de l’être, même si, il était le seul, à ma connaissance, à être passé de l’autre côté et à en être revenu, comme moi.
Allison Argent
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut Page 1 sur 1
Sauter vers: