C'est de la confiance que naît la trahison. [ft. Isis]
Recherche de liens ?
Tu as l'idée parfaite d'un lien en tête mais à la flemme de créer un scénario? Le sujet de recherche de lien est pour toi !!! C'est dans ce sujet que tu trouveras ton bonheur!
La trahison est le fait d'abandonner, de livrer à ses ennemis ou de tromper la confiance d'un groupe, d'une personne et/ou de principes.
before.
« Pizza ! »
A cet appel, Tess se précipita vers la porte d'entrée. Trop tard, Letty était déjà en train de payer le livreur. Dommage. Tess rejoignit le salon, dans lequel était déjà posée Gladys et Clari. Quelle bande de grosses bouffeuses tout de même. Elles s'assirent autour de la table du salon et se mirent à bouffer bruyamment, tout en matant Conjuring, le film d'horreur préféré de Gladys. Ce soir, c'était la pleine lune. Mais il restait encore une heure avant la chasse à venir. Tessa avait hâte de pouvoir se dégourdir les jambes. Elle sait que, demain, elle sera crevée.
Un silence pesant régnait dans la pièce. Les volets fermés, les lumières éteintes, l'atmosphère était pesante et effrayante. C'est Letty qui ouvre le bal de cris en hurlant à la vue du fantôme. Gladys et Clari se mirent à faire de même, tandis que Theresa se moquait d'elles en riant aux éclats. Le film, qui avait duré deux bonnes heures, s'était fini dans une fin... reposante. Cependant, le téléphone retentit dans la maison (de Gladys) et les filles se mirent à hurler de peur en même temps. Encore une fois, seule Tessa rit à gorge déployée. Elle se précipita vers le combiné et eu la conversation suivante :
« Yo. Comment ça baigne Oncle Ben ? T'as compris la blague ? Hein ? - Tess ? J'ai besoin de ton aide. - T'aurais au moins pu faire semblant d'avoir trouvé ça drôle... - Tess, je suis sérieux. Je viens de poursuivre un renard-garou qui semblait se diriger vers la forêt. J'ai perdu sa trace, mais tu dois pouvoir y arriver. Dépêches-toi. »
after.
Je prend mon arc, mes flèches, le sniper de papa, le couteau de maman, et je grimpe dans la voiture à une vitesse folle. Sans prêter attention aux feux rouges, je passe de 50 km/h à 120, et ne met que peu de temps avant d'arriver au point de rendez-vous donné par mon oncle, il y a à peine 15 minutes.
Je gare la voiture à l'arrache à sors de celle-ci en moins d'deux. J'attrape mon carquois, vérifie que les flèches y sont bien insérées, et rejoins mon oncle. Ce dernier semble paniqué. Sans doute l'idée de ne pas avoir pu tuer un stupide fox. J'affiche un sourire bête et enfile mon carquois ainsi que mon arc. Mon couteau est solidement attaché à l'intérieur de ma botte, de sorte à me défendre en cas de perte de mon autre arme.
« Il est parti vers le nord. Tu pourras sûrement le retrouver en suivant ses traces. Tu es la meilleure dans ce domaine. - Et toi ? Tu vas où ? - Ta tante vient de m'appeler, elle a un souci avec un omega qu'elle vient d'attraper. »
J'hoche la tête, silencieuse, et lui sourit en retour. Je lui donne mon sniper, puisque qu'il ne me sera d'aucune utilité pour attraper un stupide renard-garou, et me met à marcher en suivant les premières traces. La terre n'est pas entièrement recouverte de feuilles, et la pluie la rend plus môle. Prise par un tic, je tripote le piercing que je porte au nez, et soupire d'exaspération lorsque la pluie se met à frapper plus fort. Je vérifie que mon portable est bien caché sous mes couches de vêtements, et je reprend la marche.
Au bout d'une quinzaine de minutes de recherche, je vois enfin la silhouette d'un animal. En me cachant derrière un arbre, j'attrape mon arc et sors une flèche dans la précipitions. Ni une ni deux, je me met à viser. La renarde-garou, qui ne semble pas m'avoir vu, s'approche en ma direction. En sortant de ma cachette, je la vise directement, mais ne tire pas. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que l'animal ne fuit pas. Elle m'observe. Et en l'observant, j'ai l'impression de la connaître. De tout connaître sur elle. De l'avoir déjà vu, de l'avoir connue.
Assaillie par tant de pensées, je tire, mais me loupe. La flèche se plante directement dans l'arbre juste derrière la renarde, qui semble en profiter pour fuir. Je me met à la poursuivre, courant aussi vite que possible.
« Saloparde, revient ici ! »
Code by Sleepy
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Mer 3 Aoû - 11:56
C'est de la confiance que nait la trahison ▲ Theresa O'Brien La trahison est le fait d'abandonner, de livrer à ses ennemis ou de tromper la confiance d'un groupe, d'une personne et/ou de principes.Certaines journées peuvent se montrer totalement à l’opposé de ce qu’on croyait au départ voir même la pire de tous. Vous savez ce genre de journée où on aurait clairement du resté au lit et faire semblant de ne pas entendre notre cadran oublient pour une journée nos soi-disant responsabilités... Vivre une différente journée que celle-ci... Après avoir passé à deux doigts de me faire frappé par une voiture ce matin, voilà qu’un mec me fonce dedans rendant mes vêtements couverts de bière. Le mec rendit service à tous ces connards qui souhaitaient voir mon soutif à travers mon chandail blanc, mais pour moi j’hésitais à deux fois entre lui faire vivre ces derniers instants ou alors le foutre mon poing sur la gueule! Je crois que son sourire et son regard légèrement influencé par l’alcool me firent trancher sur la seconde option. C’est sans attendre que mon poing partit en plein sur sa tronche et d’une force légèrement trop forte que ce que je pensais. Il tomba à la renverse au sol; pour ma propre survie, il n’avait pas atterri sur une des tables sinon j’aurais définitivement du faire une croit sur mon boulot. Alors qu’il tomba à la renverse, la scène captée depuis le départ par tous les clients en fit rire plus d’un rendant la situation moins sérieuse qu’elle le devrait. Je crois même avoir vu mon patron rire pendant un instant, où est-ce ma super imagination qui m’aurait encore joué des tours? Alors qu’il était sur le cul, ces amis vinrent l’aider le sourire aux lèvres et lui mentionna à quel point il avait clairement eu ce qu’il méritait. Moi pour ma part, mon intention était bien loin que de faire rire tous ces alcoolos pendant la soirée. Je quittai la scène en allant dans la salle des employés tout en rageant intérieurement. Les clients totalement abrutissent et le pichet de bière avait rendu cette journée encore plus atroce que ce que j’aurais cru.
Serrant les dents, je me mordis l’intérieur de la joue un instant afin de contrôler le côté animal qui semblait sagitté en moi. C’était plus fort que moi, je devais partir, courir me défouler! Alors que j’eus le dessus sur mon désir animal, mon patron entra et sous ma plus grande surprise, il n’était pas frustré, mais plutôt amusé. Il pourrait clairement être mon père et il avait toujours été si gentil avec moi. Après quelques blagues des plus nuls comme il le faisait si bien, je souris laissant croire que je m’étais calmé et il me donna ma soirée. Qu’elle chance malgré toute cette malchance quand même... Je le remercie et sortit par l’arrière une fois changer.
Une fois à la maison, je ne pus me retenir de me changer les idées. Une balade en pleine forêt était le mieux surtout avec mes nerfs à vif. Une autre catastrophe avec ces humains et j’arrache la tête à ce dernier c’est moi qui vous le dit! L’odeur de la forêt me traversa et je libérais mon côté renard en moi qui ne cessait de me demander de sortir. Mon regard d’ore brilla sous la lune et c’est dans un saut que j’atterris aux sols sur mes quatre pattes blanches.
Moi, qui aurait cru que ma course serait des plus innocentes, cherchant le calme malgré cette journée atroce, mais la soirée était bien loin d’être terminé que je tombai sous les traces d’un stupide chasseur. Le point positif était que j’étais plus rapide, plus rusé et qu’il n’était pas le premier que je voyais. Je tournais ma rencontre avec lui en sorte de jeu ou je m’amusais à lui faire croire à un faux chemin avant de trouver un jeune arbre ou je grimpai. C’est d’une patte agile, que je suivais les branches pour me rendre dans un autre arbre, plus un autre jusqu’à ce que je m’assoyais et analysait la scène. Quelqu’un d’autre approchait, mais étrangement, je reconnus la voix.
Cette intuition m’incita par la suite à partir! Je ne vis pas cette personne, mais dans mon esprit je cherchais à qui cette voix familière pouvait appartenir. Je me poussais suivait le bruit d’un ruisseau non loin de moi tout en espérant que ces chasseurs me laissent tranquille! Peut-être serais-je encore chanceuse malgré cette journée totalement désastreuse?... Aucun bruit, seul le son de la rivière me parie aux oreilles et je calme mon pas doucement. Je lève le nez pour renifler l’air et me situer avec ces odeurs par millier. C’est alors que j’avançais qu’un pas calme que quelqu’un sortit devant moi et je cessais le pas. Immobile, je la reconnais... De sa chevelure rousse qui me faisait tant pensé aux flammes agitées d’un feu de camp, de son style bien à elle, voir jusqu’à ces traits, jusqu’à ces expressions qui m’était plus un secret pour moi. Elle était une amie, mais jamais je n’aurais cru qu’elle était aussi une chasseuse. La surprise me bloquait sur place et je l’observais, cherchant peut-être quelque chose de différent qui pourrait me dire intérieurement que ce n’était pas Theresa, mais une personne qui lui ressemble. Vous savez quoi, je me mettais le doigt dans l’œil, car c’était bien ma soi-disant amie... qui me vise comme si j’étais un dindon sauvage.
L’instinct me prit soudainement et sous son pneu mal calculé j’en profitais pour fuir vers la droite. La pluie devenait plus intense et malgré les arbres, je sentais ce léger chemin d’eau créer sur les feuilles. J’espérais la semer, j’espérais ne pas faire face à cette situation que j’avais toujours réussi à cacher entre elle et moi, mais ce petit pincement au coeur me vint soudainement. Je me faisais poursuivre par une amie... Je sautai sur un rocher assez gros et grimpa sur un arbre coucher par la vieillesse puis sauta pour atteindre les branches d’un grand saule. Ma couleur blanche se fondit dans les blanchailles de l’arbre et resta près du tronc souhaitant peut-être la semer. Les oreilles bien droites, je guettais chaque bruit de cette forêt devenue chez moi. Pourrais-je encore une fois fuir cette vérité de moi?
La trahison est le fait d'abandonner, de livrer à ses ennemis ou de tromper la confiance d'un groupe, d'une personne et/ou de principes.
« Saloparde, reviens ici ! »
Et voilà que je me met à parler à un renard-garou. Génial. Le plus bizarre est de ce dire que sous cette fourrure ce cache une femme qui, dans la vraie vie, pourrait être quelqu'un de tout à fait banale. Mais ces derniers temps, je n'ai de pitié pour personne. Avec l'histoire de la barrière qui empêche aux surnaturels de partir de la ville, mais qui, en plus, les attire, je ne sais plus où donner de la tête.
Je poursuis la renarde et soupire ; j'ai perdu sa trace. Mais elle ne doit pas être loin, car j'ai pu voir une ombre sauter vers le saule à ma gauche. Je me tourne vers celui-ci, et décoche une flèche. Je vise, à la recherche de la renarde. C'est désespérant.
« Tu ne pourras pas survivre de toute manière, alors sors de ta cachette tu veux ? »
Aucun bruit, rien. Même pas l'écho du vent entre les branches d'arbres. Je n'entend même plus la mélodie de la rivière un peu plus loin. Alors que je laisse divaguer mon regard vers la rivière en question, je vois l'ombre se faufiler derrière plusieurs arbres, sans doute pour fuir. J'attache mon arc dans mon dos et me met à courir en sa direction. Avec un élan de courage, je lui saute dessus, lui attrape la queue et roule avec elle jusqu'à m'écraser contre un arbre. Sans m'en rendre compte, nous étions juste à côté de la dite-barrière qui aurait déjà gravement blessé plusieurs surnaturels.
Je tiens la renarde fermement, sans non plus lui faire mal, et soupire. J'halète à vrai dire. Cette course poursuite m'aura fait perdre plusieurs kilos, c'est sûr.
« Bon alors, miss ? Montres-nous ton vrai visage. »
Tout en la tenant d'une main, j'en profite pour envoyer un sms à oncle ben de l'autre.
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HRP : Désolée, c'est court, mais je pouvais pas faire mieux ^^'
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