Prénom(s) ➳Raven Nom ➳Collins Age ➳24 ans et toutes mes dents Lieu de naissance ➳Australie Nationalité ➳Australienne Travail/Études ➳ Serveuse au Triskellion Club Connais le surnaturel? ➳oui bien sûr que oui vu que je suis une petite louve toute mignonne ( en apparence ) Défaut ➳Rancunière ➳Têtue ➳JalouseQualité ➳Intelligente ➳Drôle ➳AimanteGroupe ➳we are howlers Race ➳WereWolfNiveau de pouvoir ➳je ne sais pas à vous de me dire ^^
Célébrité ➳Phoebe Tonkin
Code de validation ➳ Validée par Saleem.
Raven Collins❝Vis tes rêves comme si c'était ton dernier jour❞
Elle est née Louve ~ Elle est australienne ~ Elle a toujours eu un caractère assez fort comme on dit qui s’y frotte s’y pique ~ possède un tatouage dans le bas du dos ~ est douée dans les arts martiaux ~ malgré sa force de caractère , a la phobie des clowns ~ a rêvé de faire médecine ~ est la pro des blague donc soyez prudents ~ est très réservée quand elle ne connaît pas, voir même elle pourrait paraître froide ~ est assez jalouse et possessive envers les personnes qu’elle aime ~ s’est faufilée dans le bureau des profs pour y voler les sujets d’un examen ~ a eu sa période blonde et une période grunge ~ n’a pas toujours été des plus agréables en périodes de pleines Lunes ~ a trouvé son ancre dans la colère ~ est ambidextre
on a toujours quelqu'un qui est fait pour soi quelque partUne jolie petite fille, un joli bébé, une jolie fille, qui ne pensait pas que sa vie allait être différente des autres. Je m’appelle Raven. Raven Collins, je suis australienne et j’ai vingt - quatre ans. Je peux vous assurer que ma vie est bien loin de la vie d’une jeune femme de mon âge. Pourquoi? Et bien disons déjà que ma famille est un peu spéciale, ce qui fait de moi un être très spéciale, et non je ne me la pète pas. Je suis simplement une louve… Oui mes parents sont des loups, donc quoi de plus logique que je le sois aussi.
Au début, j’étais une enfant rebelle mais qui était dans l’innocence totale, cela ne devait pas être simple pour mes parents de trouver les bons mots pour m’annoncer que j’étais une petite fille différente mais dont la vie devait rester la plus normale possible.
Mais ils n’avaient pas vraiment le choix, mes parents prirent le temps de m’expliquer ce qui allait m’arriver à chaque pleine lune, au début cela allait être difficile d’après eux, mais petit à petit que j’allais être capable de me contrôler.
Je dois avouer que cela n’a pas été facile , les transformations , ça fait mal tout de même , de plus qu’il fallait que j’apprenne à gérer ça avec les cours aussi. Mes amies se demandaient souvent ce qu’il m’arrivait certains jours d’être très désagréable. Et plus on avançait dans le temps, plus il m’était difficile de trouver quelque chose à dire, et je ne me voyais pas faire un appel micro au lycée pour dire que j’étais une louve, j’allais me faire passer pour une folle.
J’ai beaucoup travaillé pour réussir à me contrôler, il me fallait une ancre, quelque chose à laquelle j’allais m’accrocher. Cela m’a prit plusieurs mois, je devais avoir je crois seize ans pour enfin réussir à me canaliser grâce à ma colère.
Petit à petit ce que j’étais faisait partie intégrante de ma vie, je pouvais sortir avec mes amis, bien qu’il fallait que je reste prudente, j’avais envie cette vie que j’espérais, et je n’avais plus aucune raison d’envier mes amis et de les détester quand j’étais en soir de pleine lune. La preuve je faisais même partie de l’équipe des Cheerleaders de mon lycée, et j’étais populaire, finalement cela me plaisait d’être populaire et de voir que je plaisais aux garçons. J’en profitais un peu, mais je n’étais non plus une petite garce, mais j’aimais me faire désirer. Etre amoureux était quelque chose que je ne connaissais pas encore, mais j’en ai fait l’expérience et cela a duré deux ans. Deux merveilleuses années jusqu’au moment de la remise des diplômes, nous n’avions plus les mêmes centres d’intérêts.
La vie a continué comme elle avait commencé, j’avais eu dans l’idée de débuter des études en médecine, mais finalement en voyant la capacité de matière à étudier je réalisais que ce n’était absolument pas pour moi. Pour le coup, je ne savais pas trop ce que j’allais faire de ma vie, je me sentais tellement prête à devenir médecin voir chirurgienne mais cela n’allait être qu’un petit rêve. Je finis par faire quelques boulots de serveuse et de baby-sitters.
Mais il y a deux ans, ma vie a changé, en bien vraiment.
J’ai fait la connaissance de quelqu’un d’un jeune homme qui dès le premier regard m’a totalement retournée. Il s’appelle Derek… Derek Hale. Et croyez-moi ou pas il est juste comme moi. Directement on a compris que nous étions des loups, et en discutant apprendre que lui aussi est un loup né.
On a bien discuté, et rapidement on s’est rendu compte qu’on avait tellement en commun, j’avais l’impression de revivre en sa compagnie… D’ailleurs, on se sentait tellement bien ensemble, que nous avons sauté le cap et passer une nuit ensemble. Après cette nuit, on a discuté et réalisé que notre amitié était si importante qu’on ne voulait pas qu’elle soit brisée.
Il fallait bien se rendre à l’évidence en plus que Derek n’allait pas pouvoir rester en Australie sa vie était ailleurs à Beacon Hills.
J’ai tenté de faire bonne figure , on s’appelait tous les jours pour prendre des nouvelles ou simplement comme ça. Mais au fond de moi je ne supportais pas et plus d’être aussi loin de lui. Je pris juste le temps de réfléchir disons cinq petites minutes pour prévenir ma famille que je quittais le noyau familiale et surtout ma pack.
Voilà dix-huit mois que je suis arrivée ici, pour une seule bonne raison, déjà retrouver Derek, voir s’il accepte de m’avoir dans sa meute, car oui il est Alpha et j’ai peut-être cette crainte qu’il ne m’accepte pas. Je suis ici aussi pour une chose, tenter de lui montrer qu’au fond de moi je ressens plus que de l’amitié, qu’entre nous rien ne risque de se briser. Mais je dois y aller en douceur. Je sais déjà qu’il me fait confiance, une confiance aveugle, pour m’avoir embaucher dans son bar et m’avoir laissé les rênes durant son absence. Maintenant il est de retour et m’a laissé quelques jours de congés,c ‘est la moment peut être, de parler de certaines choses avec lui, malgré mon caractère fort, malgré notre ressemblance flagrante au fond de moi , j’ai peur d’un refus.
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