Oh non, l'angoisse, pas toi... ❧ Roy



 
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Oh non, l'angoisse, pas toi... ❧ Roy
Invité
Anonymous
Ven 8 Avr - 17:48

❝ Oh non, l'angoisse, pas toi...  ❞
Roy ❧ Mei
Recroiser le coup d'un soir dont on ne se souvient même pas du nom, ni de la nuit passée...Ça craint.
Elles m'agacent. Deux nanas, au rang juste devant moi qui n'arrête pas de bavarder sur leur soirée de la veille. Cool elle se sont taper un beau mec, et alors ? Qu'est-ce que j'en ai à faire moi ? Je retirais mon crayon de mes lèvres et tapotais sur l'épaule de l'une d'elle. Une fausse blonde – le gros cliché de la belle blonde cruche vous voyez le genre ? - qui se retourne en haussant un sourcil, un air hautain sur le visage. Elle me plaît pas elle, c'est clair.
« Vous pouvez pas la fermer sérieux ? J'en ai rien à foutre de savoir qui est passé entre tes jambes ce weekend. A la limite fait la liste de ceux qui n'y sont pas passé, ça ira plus vite»
Elle ouvrit la bouche pour répliquer et je lui lançais un regard mauvais qu'elle comprit immédiatement. Elle se retourna et je souris, reprenant le cours. Je ne suis pas du genre mauvaise mais.. Presque tous le cours elle a cité des mecs et je n'ai absolument pas envie d'entre parler de ça. Mon expérience de l'autre fois avec.. -Comment il s'appelle déjà ?- est encore fraîche, et franchement ça me fou mal.  Le genre j'ouvre les cuisses au premier venu c'est pas moi. Pourtant c'est bien ce qui s'est passé l'autre fois. Et alors sa réaction au matin -j'avoue que la mienne était spéciale aussi, mais je ne me souvenais de rien logique d'être surprise non ? - m'a encore plus conforter dans mon choix de laisser les coups d'un soir aux autres. Et franchement, dans le genre gênant et vexant, je m'en serais bien passé. Je me suis promis une chose ce matin là : l'alcool c'est fini pour moi. Pas envie d'me retrouver dans la même situation une deuxième fois. En plus, vu l'état de mon lit la soirée avait du être bonne, et c'est probablement le seul point positif… Point dont je n'ai aucun souvenir. Super.
Bref, le prof termina son cours et commença à ranger ses affaires alors que les autres élèves faisaient de même. Je terminais de prendre mon schéma avec soin et refermais mon cahier. Je le glissais dans mon sac avec ma trousse et me levais. J'enfilais ma veste en jean et posais ma hanse sur mon épaule. Les deux bécasses sont parties en me jetant un regard de travers. Vous avez de la chance que je sois pas une espèce plus dangereuse parce que j'vous jure que j'vous ferez bouffer vos extensions. Mais c'est clair que si vous m'regardez encore comme ça, j'vous fait ravaler votre sourire de pétasses.
J'attrapais mon sac pour en sortir mon Ipod et glissais les écouteurs dans mes oreilles en sortant de la salle. Le son à fond je me fou royalement des autres qui vont en sens inverse, rejoignant leur salle de cours. Moi j'ai fini et un p'tit tour me fera du bien. Une fois hors de la faculté je marchais tranquillement vers ma chère Capucine et montais côté conducteur en retirant mes écouteurs et jetant mon sac côté passager.
Je mis le contact et roulais vers le centre ville. Eye of the tiger faisant vibrer les baffes de ma vieille chevrolet. Le bad total : carreau ouvert, lunettes de soleil sur le nez en chantant à tue-tête. Ça fait partie des petits plaisirs qui me remonte à bloc. Je trouve une place non loin d'un bar et me gare. Réussissant l'exploit de le faire en réalisant un créneau. Une fois dans la place, la fierté s'est emparée de moi. J'ai réussi un putain de créneau ! Sans m'y reprendre à 10 fois et sans toucher une autre voiture.
Je jetais un coup d’œil dans mon rétro, m'assurant qu'il n' ait pas de voiture qui arrive et ouvre la portière. Je fis le tour de la voiture pour aller prendre mon sac, les lunettes toujours sur le nez profitant des rayons du soleil tellement agréable.
Je poussais la porte du Kurt's bar en remontant mes lunettes sur ma tête. Il n'y a pas grand monde et c'est assez agréable je dois dire. Je tourne la tête, cherchant où me mettre. Bon, le bar fera parfaitement l'affaire. Je m'y dirige donc et saute pour monter sur le tabouret -fait chier d'être si petite-. Une fois correctement assise je cherche le barman du regard. Il est à l'autre bout du comptoir et… Merde. Fait chier. Je ne me souviens absolument pas de son prénom, mais son visage parfaitement. Et son adorable fessier aussi d'ailleurs. Oh ! Mei ça va ouai ?
Je fais quoi ? Je prend mes jambes à mon coup et me tire vite fait bien fat ou je fais comme si de rien n'était ? Ce petit dilemme m'occupa quelques secondes où je jouais avec mes cheveux en regardant le comptoir. Et apparemment j'ai mis trop de temps, puisque je sens une ombre légère se poser sur moi.  Merde. Merde. Et re-merde.
Ignorance. On va faire style de rien, de toute façon j'ai plus que ce choix. Je vais pas prendre la poudre d'escampette alors qu'il est juste devant moi. Je relève donc la tête vers lui et tomber sur sa gueule d'ange.  La tête qu'il à fait avant de fuir de chez moi me revenant en mémoire m’énerva. Bon après tout...Il s'en rappel peut-être plus ou en aura rien à foutre ? Roh putain, et s'il me demande son sweet ? Je dis quoi ? Si je lui dis qu'il passe le reprendre ou que je lui ramène ça fait le genre de fille qui s'image des choses -et même si je suis du genre à croire aux contes de fées, je ne pense pas qu'un coup d'un soir donne quelque chose derrière-. Et si je lui dis que je l'ai balancé, ça fait garce… Tant pis, autant passer pour une garce.
« Un cappuccino s'il vous plaît »
Je serre les dents et espère qu'il ne va pas me reconnaître. Même si dans un coin de mon esprit je sais que c'est peine perdue.
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Mar 12 Avr - 7:44



Not you... I don't want to see you again.Mei & Roy« Oh non, l'angoisse, pas toi... »
Je m'en rappelais comme si cette soirée avait eu lieu hier. Ah, pendant qu'on y est, c'était dans le bar où je travaillais, un soir, pendant le week-end. J'étais tranquillement en train de faire mon service – d'ailleurs il y avait tellement de monde ce soir-là que je devais courir dans tous les sens pour servir tout le monde sans que l'on m'engueule – et puis là, une magnifique jeune femme aux cheveux roux est entrée dans le bâtiment et s'est assise sur un tabouret contre le bar. C'était comme si une lumière marchait dans l'ombre, vraiment, on ne voyait qu'elle. Elle, son visage d'ange, et ses longs cheveux ondulés d'une couleur rarissime par ici. La seule autre fille que je connais avec des cheveux d'une telle couleur c'est ma chère Lydia, un jolie blonde vénitienne que j'adore mais que des fois je déteste tellement que je pourrais même pas la voir en peinture. Enfin bref, là n'est pas la question. J'étais donc allé voir la rousse, qui, accompagnée d'un sourire ravissant, me demanda un verre d'alcool de plus alors qu'elle s'en était déjà pris plusieurs avant grâce à un collègue qui l'avait servi.
Au début, respectant le règlement – ce que ne faisait pratiquement personne ici –, j'avais refusé de lui servir quelque chose étant donné qu'elle n'était pas majeur – ouais, ici c'est 21 ans – puis, ayant fini mon service quelques minutes plus tard, je lui proposa de boire un verre avec moi, essayant de la draguer en même temps. Au début, elle accepta le verre mais n'était pas vraiment dupe pour le charme que j'essayais de lui faire. Et après au moins quatre ou cinq verres, elle tomba enfin dans mes filets – étant donné que j'ai une petite part de "garou" en moi, je ne peux pas être bourré –. Complètement bourrée, j'ai même réussi à pouvoir aller chez elle et l'attirer dans son propre lit. Évidemment, nous avons passé la nuit ensemble – et pas qu'à parler, je vous rassure, bien plus que ça – et, avant de passer à l'acte, j'avais éparpillé mes vêtements dans la pièce.
Au réveil, après une bonne partie de jambes en l'air où elle était complètement beurrée – mais carrément super souple –, elle s'étira et se cogna à moi. Prenant peur en me voyant dans son lit, elle recula et finit le cul sur le plancher. Son cri me réveilla et, voyant l'heure tardive qui s'affichait sur le réveil sur sa table de chevet, je finis par écarquiller les yeux avant de sortir du lit en deux-deux, ne m'occupant même pas de Mei – c'est comme ça qu'elle m'avait dit s'appeler – qui s'obstinait à tirer le drap vers elle, à s'enrouler dedans me laissant le gland à l'air tout en me sommant de dégager de chez elle. N'ayant même pas écouté ce qu'elle m'avait dit car j'étais tellement occupé à me rhabiller, je me hâta vers la porte de sortie, en oubliant même mon sweat. Comment je le sais ? Ah bah c'est pas vous qui vous êtes gelé les miches en étant dehors ! Et si je m'étais précipité aussi rapidement dehors c'est parce que j'avais cours, et que j'étais donc en retard de plusieurs heures.

~~~

Aujourd'hui était une belle journée, chaude et éblouissante. Mais le meilleur dans tout ça c'est que je n'avais pas cours de la journée, je pouvais donc aller travailler sans problème au Kurt's Bar. Pourquoi faire ça et pas rien faire comme font tous les jeunes de mon âge ? Et bien parce que j'ai besoin d'argent en ce moment. Ma mère est mal en point et je dois donc m'occuper d'elle, de faire les courses, de lui préparer à manger, de la soigner, etc. En ce moment, c'est un peu moi le maître de la maison en quelque sorte. Enfin bref, c'est pourquoi je prenais la direction du bar en sortant de chez moi. La circulation n'étant pas très dense et plutôt fluide, je pus arriver facilement à ma destination. Je garais ma voiture à l'arrière du bar puis y entrais par la porte de derrière. Je saluais les cuisiniers puis Kurt qui était dans son bureau – un vrai grincheux celui-là – puis pris mon service derrière le bar en bois massif de l'immense pièce. Bizarrement, je ne pensais pas qu'autant de personnes viendraient boire un coup et manger. Mais, visiblement, ils s'étaient tous donné rendez-vous et nous voilà donc avec un Kurt's Bar rempli. Pour ma part et aujourd'hui, je ne m'occupais que du bar et pas du service en salle, ça, c'était le boulot de quelqu'un d'autre pour l'instant. Ensuite, une personne m'interpella au coin du comptoir et je lui servis donc ce qu'elle m'avait demandé. Pendant ce temps, pleins de gens entraient et sortaient de l'établissement jusqu'à ce que une tête que je ne connaisse que trop bien arrive et s’assoit sur un tabouret. Un petit sourire en coin et ayant terminé la commande de mon client précédent, je me dirigea vers "elle" et la regardais jouer avec ses cheveux en fixant le comptoir. Elle releva ensuite le visage et je pus donc enfin admirer ses jolies traits fins. Un sourire charmeur scotché sur le visage, je l'écoutais me demander un cappuccino. A sa tête, on aurait dit qu'elle ne me reconnaissant pas alors que quand on...ouais bon je vais pas non plus exposer les détails mais je peux vous assurer qu'elle a aimé ça.

« - Oui moi aussi ça va Mei, ravie de te revoir, répliquais-je avant d'aller lui préparer un cappuccino puis de revenir, le déposant devant elle : Ça te fera 1 dollars et 30 cents s'il te plaît. »

Tout en lui parlant, je commençais à nettoyer des tasses et des verres avec un chiffon pour ne pas être inutile pendant que je parle à cette charmante rousse. Toujours le sourire aux lèvres, je la dévisageais.

« - Quoi de neuf depuis cette fameuse soirée ? Demandais-je chaleureusement. »

Je ne l'avais pas vu depuis cette nuit, alors autant remettre ça sur le tapis, non ? Surtout que j'aimerais bien qu'elle me rende mon sweat...

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Dim 24 Avr - 13:16

❝ Oh non, l'angoisse, pas toi...  ❞
Roy ❧ Mei
Recroiser le coup d'un soir dont on ne se souvient même pas du nom, ni de la nuit passée...Ça craint.
Faite qu'il ne me reconnaisse pas. Faite qu'il ne me reconnaisse pas. Faite qu'il ne me reconnaisse pas. C'est au moins la centième fois que je répète cette phrase dans ma tête. Vous l'aurez devinez, je n'ai pas vraiment envie qu'il se souvienne de moi. De un parce que je ne suis pas le genre de fille d'un soir ou même plan cul. Et de deux… Je ne me souviens même pas de son prénom. Deux raison qui font que je n'ai pas trop envie de reparler de la soirée de la dernière fois. Ah et une troisième raison : je ne me souviens vraiment pas de grand-chose. La seule chose dont je me souviens -mon dieu, j'arrive pas à croire que j'vais dire ça, mais dans tous les cas, jamais je ne lui dirais de vive voix. Jamais, là il peut toujours courir le p'tit barman.- c'est que j'ai pris un pied d'enfer.  Mais hors de question qu'il le sache, son sourire à deux balles ne ferait que s'élargir encore plus et m’énerver encore plus par la même occasion.
«Oui moi aussi ça va Mei, ravie de te revoir -il partit préparer ma commande pendant que je le maudissais intérieurement de m'avoir reconnu- Ça te fera 1 dollars et 30 cents s'il te plaît. »
Je lui soufflais un merci et déposais l'argent sur le comptoir. Ne sachant pas trop comment réagir. Je ne peux pas non plus lui parler comme à un chien, au dernière nouvelle j'étais parfaitement consentante ce soir là, juste.. Complètement à côté de mes pompes. Donc il est loin d'être le seul fautif. Je me décidais à lui répondre, tentons d'avoir l'air d'une personne civilisée.
« Ouai moi aussi, pour savoir si j'suis ravie de te revoir.. Bah pour ça faudrait déjà que je me souvienne de plus de choses que de toi en train de te barrer à moitié à poil de chez moi »
J'attrapais ma tasse en lui lançant un regard gêné, tentant de lui faire comprendre que je ne me souvenais absolument pas de son prénom. Il me l'avait sûrement dit, puisque je suppose que nous avions -un minimum du moins- fait connaissance avant qu'il finisse cul-nu dans mon pieu. Je pris une gorgée de mon cappuccino, plongeant limite mon nez dans la tasse pour cacher le rouge qui commençait doucement à envahir mes joues. Ça va peut-être vous paraître idiot, mais je n'ai jamais vécu.. Ce genre de situation et n'ai absolument aucune idée de comment me comporter. Alors mis à part devenir rouge comme une pivoine et être gênée comme pas deux bah.. Voilà quoi. Une fois que je sentis la brûlure ayant envahi mes joues disparaître je relevais la tête vers lui pour le voir en train de nettoyer des verres tout en me souriant. Ouai… Bon au moins je me suis pas taper n'importe quoi. Parce que bon, c'est peut-être juste un coureur mais il est carrément sexy quoi. Tiens, ça non plus je ne lui avouerais jamais. Plutôt crever ouai. J'ai un minimum de dignité.
« - Quoi de neuf depuis cette fameuse soirée ?  »
Super, je sens qu'il va vraiment me bassiner avec ça. Ça va probablement faire carrément cliché mais..Il est hors de question qu'il croit que je suis ce genre de nana. J'ai pas vraiment envie de me traîner la réputation de fille facile – ou de fille à saouler pour la ramener chez soit- et d'me faire draguer lourdement dans les bras. Non merci.
« Ouai.. A propos de ça, t'imagine pas que ce soit dans mes habitudes et encore moins qu'on remettent ça. Parce que, clairement, c'est pas prêt d'arriver. C'est clair ? »
Bon. Peut-être un peu brusque, mais tant pis. Je risque pas de l'effrayer, peut-être juste d'avoir l'air d'une coincée de première quoi. Puis je repensais à son boulot et au fait qu'il ne m'ait absolument pas refuser une consommation – du moins, pour être dans l'état dans lequel j'étais, il avait dû accepter de me servir un nombre de verre.. Plutôt élevé-. Je croisais les jambes et le regardais en haussant un sourcil.
« D'ailleurs, en tant que barman, tu devrais pas arrêter de servir les clients avant qu'il se retrouve à la limite de se foutre à poil sur le bar ? »
Ouai, faite pas cette tête, j'ai déjà fini en soutif' sur un bar en train de danser avec une amie. Avant que le proprio nous éjecte comme des malpropres. Et le pire, c'est que je me souviens parfaitement de cette soirée.  C'était après avoir obtenu mon diplôme, avant mon entrée en fac. Et… Je vous dit pas la gêne que j'ai ressentis le lendemain matin en me souvenant de ça. Depuis j'ai essayé de ne plus boire.. Ce qui, comme ce type à pu le constater, à lamentablement échoué. J'arrive en me disant « bon, juste un verre » et mon amour des mojitos m'est souvent fatal.
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