Tu as l'idée parfaite d'un lien en tête mais à la flemme de créer un scénario? Le sujet de recherche de lien est pour toi !!! C'est dans ce sujet que tu trouveras ton bonheur!
Jamais lentement pas à pas, et forcement moi j'avance en regardant plus haut, plus haut toujours droit devant sans être porter par le vent et plus vite dorénavant plus haut.Aidée de mes amis. La vie est un livre qui s'écrit chaque jours plus vite pour voir la suite c'est pour ça que je cours pressée de voir, de faire, foncer sans me perdre.
Always here for you
J'étais couché sur le ventre sur mon lit douillet, seul meuble que je n'avais pas changé lors de la re-décoration de ma chambre cet été. J'aimais ma nouvelle chambre à présent, je m'y sentais bien même si je n'y passais pas beaucoup de temps étant donné que j'étais plus souvent chez Stiles. Les nombreuses photos accrochés sur les murs ou le long d'une cordelette décorée me rappelaient chaque jour que je n'étais pas seule. En effet j'avais la chance d'avoir des amis précieux, Skyla, Scott, Jordan, Derek, Saleem, Mackenzie, ma cousine Aya, Kira et bien sûr l'homme de ma vie Stiles. Notre été avait été calme et nous avions immortalisé ceci de toutes les manières possibles, nous pouvions nous voir sur les photos, lors de batailles d'eau, ou encore à la plage, les filles bronzant, les gars voulant se mesurer les uns aux autres au beach volley. Mais aussi aux divers parcs d'attractions que nous nous étions offerts. Le collectionneur nous avait fait comprendre que la vie était courte et nous n'avions pas voulu que cela nous empêche de vivre à fond. Certes cacher ma relation avec Stiles n'avait pas été simples parfois mais nous avions réussi et nous étions toujours aussi heureux même au bout d'un an. Je continuais ainsi de rêvasser au lieu de réviser mon cours de littérature anglaise, quand j'entendis Prada foncer dans l'escalier suivit des pas de ma mère. Je m'attendais à ce qu'elle vienne une fois de plus me parler de mes grands nombres d'absence à la maison ces derniers temps. Obnubiler par cette idée je fus surprise de voir Kira derrière ma mère. Quoique cela ne me surprenait pas de ne pas l'avoir entendu dans l'escalier, Kira était une des filles gracieuses que l'on envie face à leur grâce innée. Quoique mon amie était aussi parfois très maladroite ce qui était contradictoire. Je souris en la voyant, elle m'avant manqué ces deux derniers jours, je savais qu'elle avait du rester chez elle entouré par sa famille. " Lydia, je pars à mon séminaire, je reviendrais que lundi de la semaine prochaine, donc pas de folie dans la maison je te prie." m'annonça ma mère. " Maman, ce n'est pas encore les vacances, nous sommes tous occupé, il n'y aura que Kira et moi à la maison" lui répondis-je incluant d'office Kira, car je connaissais mon amie pour savoir qu'elle avait besoin d'espace loin de ses parents, même si je savais aussi qu'elle les aimait énormément. Bien sûr je comptais aussi faire une petite réunion avec la meute ce week-end chez moi, pour pouvoir parler de la menace qui nous troublait. Ma mère me jaugea du regard puis partit emportant Prada avec elle. Je fis signe à mon amie d'entrer même si je lui avais répété un million de fois de toujours faire comme chez elle. Je rangeais mes livres et pris mon amie dans mes bras. " Tu vas bien Kay' ? " lui demandais-je l'affluant du surnom que j'avais pris l'habitude de lui donner, beaucoup ne comprenait pas ma lubie de donner des surnoms à tout le monde mais pour moi cela était une marque d'affection spécifique de moi même.
Lorsque j'avais quitté New-York, ville ou je suis née ou j'ai grandis, j'étais paniquée à l'idée de ne pas parvenir à être accepté, à me faire des amis. Là bas, alors que c'était bien plus grand que Beacon Hills, je ne me sentais pas perdue. Enfin, j'avais finalement eut tord de m'inquiéter, car je m'étais fais de nombreux amis et de très bons. Néanmoins, je n'étais pas arriver au bon moment dans leur groupe, après la mort d'Allison, je m'étais sentie de trop, comme indésirable, j'avais peur de leur donner l'impression que je prenais sa place alors que ce n'était pas mon intention, j'avais eut du mal à me faire une place, j'allais de maladresse en maladresse, à force de vouloir bien faire, on fait des erreurs, mais jamais ils ne me l'on reproché et finalement, j'ai trouvé ma place, et j'en suis heureuse. A New-York, j'avais de bons amis, certes, mais ils n'auraient jamais compris ce qui m'arrivait ici. Après, parfois je me dis que c'est arrivé parce que nous sommes à Beacon Hills, là bas, peut-être qu'il n'y aurait jamais eut de Renard, qui sait ? En tout cas, malgré tout les soucis qu'il me pose en ce moment, je suis contente de l'avoir, car sans lui, je n'aurais pas rencontrer Scott ou Lydia. Lydia que je décidais d'aller voir en cette fin de journée ensoleillée. Une journée banale et ordinaire ou je n'avais pas eut "d'absence". Une journée que je voulais passé avec une amie, à parler de tout et n'importe quoi, même si, comme-moi, elle était spéciale. C'est Natalie, sa mère qui m'a ouvert la porte, m'invitant à la suivre, car Lydia était dans sa chambre. Prada me fit fête et je manquais trébucher sur elle. J'ai toujours été un peut godiche, mais il y a des moments ou ça frise le handicap, je me suis quand même pris une belle gamelle dans les escaliers du lycée en voulant faire ma maline. Enfin, j'imagine que ça peut-être touchant, sinon, je serais certainement une fille solitaire. J'entrais dans la chambre de mon amie, tandis que sa mère annonçait qu'elle partait en séminaire et qu'il ne fallait pas qu'elle en profite pour organiser une fête. Je posais alors mes fesses sur le lit, tandis que Lydia me demandait comment j'allais. "Impec' ! Et toi ?" Je lui demande.
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