Derek : Retournez à l'école.
Isaac : En fait, nous ne pouvons pas. Boyd et moi sommes incroyablement malades.
Derek : De quoi ? Dommages cérébraux ?
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Parrish : Je vaux cinq dollars ?
Stiles : Cinq millions.
Parrish : J'arrive seulement à gagner quarante mille par an. Je devrais peut-être me tuer moi-même.
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Derek : T'as confiance en moi ?
Isaac : Évidemment. Ça n'empêche que je l'aime pas.
Derek : Personne ne l'aime.
Peter Hale : Messieurs, pour votre gouverne, effectivement le fait de revenir d'entre les morts à quelques peu altérer mes aptitudes. Mais, je vous rassure, j'ai conservé mes facultés auditives. Alors, si vous avez un quelconque grief à mon égard, surtout il faut pas hésiter à me le dire en face.
Derek (se tournant vers Peter) : On t'aime pas ! Maintenant, tu la fermes et tu nous aides.
Peter Hale : Bien.
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Peter Hale : Leur tanière ?
Stiles : Oui leur tanière. Vous habitez où, vous ?
Peter Hale : Dans de lugubres cavernes cachées tout au fond des bois.
Stiles : Oh ! C'est vrai, ça ?
Peter Hale : Non, pauvre crétin. J'ai un appartement dans le centre ville.
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Scott (qui voit Peter) : Qu'est-ce que c'est que ce délire ?
Derek : C'est marrant, j'ai pensé la même chose quand je t'ai vu discuter avec Gérard au poste de police.
Scott : Attends, c'est pas pareil. Il avait menacé de tuer ma mère. Il fallait que j'ai l'air d'être dans son camp, j'avais pas le choix.
Peter Hale : Je soutiens Scott là-dessus. Non mais t'as vu sa mère ? Elle est sublime !
Scott et Derek (en même temps) : La ferme !
Isaac : C'est qui ça ?
Scott : Peter, l'oncle de Derek. Y a peu de temps, il a essayé de nous tuer, on lui a mis le feu et Derek l'a égorgé.
Peter Hale (faisant un signe de la main) : Salut !
Isaac : C'est bon à savoir.